Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

g4lly

Administrateur
  • Compteur de contenus

    70 682
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    416

Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Environnementalement parlant c'est quasi criminel de bruler le bois ... bois énergie qui la plupart du temps n'est produit que pour ça au Brésil avec des acacias ou des eucalyptus coupé à 8 ans ... bourré de pesticide et planté dans la foret amazonienne déforesté.
  2. Le chauffage électrique par effet joule est assez différent d'une pompe à chaleur géo - qui fonctionne aussi à l'électricité mais avec un COP de 4 ou plus -.
  3. Le bois est la solution de chauffage la plus polluante ... et c'est cher - à peine moins que le gaz de ville si tu comptes en PCI -, le prix des pellets a explosé comme le prix des autres moyens de chauffage, in fine ce n'est que de l'énergie. Se chauffer à l'électricité c'est du pur gâchis - c'est 3 à 4 fois plus cher -, sauf à la rigueur via une bon grosse PAC eau-eau. Sinon les Ukrainiens profitaient du transit. Ils prenaient leur dime pour le transport et taxe, et récupéraient du gaz au passage - techniquement du gaz acheté par d'autre puis revendu à l'Ukraine pour pas qu'il y ait de marché direct Russie->Ukraine -. C'est pas pour rien que ça a perduré jusqu'à aujourd'hui, ça leur était utile, et ça évitait de fâcher leurs soutiens.
  4. L'idée de négociation, y compris avec perte de territoire est déjà dans les tuyaux. Le soucis c'est que pour le moment il n'y a pas beaucoup de base de négociation. La Russie propose bien de faire causette, mais ne semble pas vouloir faire de concession sur ses demandes assez maximaliste - vu d'Ukraine -. En gros pour essayez de trouver un agrément de cessez le feu, il faut être deux à le vouloir. Pour le moment ce n'est pas le commencement du début, mais si on aborde l'idée de commencer à en parler. L'autre souci c'est un cessez le feu pour quoi faire ? Que le conflit reprenne l'année prochaine quand tout le monde aura repris son souffle ?
  5. Les islamistes c'est comme les chasseurs ... il y a ceux qui promettent de rester chez eux, et ceux qui viennent tirer dans ton jardin. La bonne nouvelle c'est que le chaos succédant au chaos va aider la France à être meilleure ... enfin peut être ... ou pas ... on sait pas trop en fait ... mais au moins ca fait vivre le forum, on s'emmerder un peu sur ce fil depuis un moment il faut bien le dire.
  6. Non je vais aussi les visiter dans nos bidonvilles, dans les vieilles caravane bâchées qui prennent l'eau, et qui ne roulent plus depuis longtemps, leur apporter des bons pour du gaz - en bouteille - ou du charbon ...
  7. Bah oui dans leur HLM ils pompent du fioul et se baladent avec un chauffage électrique acheté au teleachat... Encore un qui ne doit pas aller à la rencontre des pauvres très souvent...
  8. Il suffit de déplacer le chargeur automatique... En gardant le gros de la compatibilité mais pas les cellules mobiles. Il me semble que c'est déjà le cas sur Leclerc.
  9. Pour rassurer @MIC_A la France est toujours le leader européen incontesté de l'achat de gaz russe... ... Via GNL. Et pour le 18º t'inquiète les pauvres y sont déjà... Avec un gaz a plus de 50$. https://gnn-media.com/la-france-en-tete-de-lue-pour-les-volumes-dachat-de-gnl-russe/
  10. Je ne sais pas si ca mérite un fil dédié, donc je pose ici. En Ukraine ont voit partout des solutions de surveillance déporté, via des caméras de surveillance consteller le champ de bataille, du moins surtout chez les défenseurs. Les attaquant utilise des drones pour déplacer les caméras. En gros les défenseurs aussi enterré qu'il le peuvent observe l'extérieur via des réseaux de caméras des surveillances, dissimulé autant que possible, comme le sous-marinier le ferait avec son périscope. Y a t il une doctrine dans l'AdT concernant l'observation à distance via des solutions d’observation fixe, dissimulé ? Ou est ce que cela passe nécessairement par des petits drones terrestre ? Depuis qu'on utilise plus les systèmes de minage/piégeage, assurer la sécurité des troupes enterrées est devenu une gageure, puisque les solutions d'alerte sont faible. Et la transparence du champ de bataille va aggraver le problème, puisque le moindre veilleur posté à l'extérieur sera attaqué par un drone - on dissimule plus facilement un caméra CCTV qu'un soldat -.
  11. https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/01/01/la-fin-du-transit-du-gaz-russe-par-l-ukraine-met-l-ue-sous-pression_6476366_3234.html La fin du transit du gaz russe par l’Ukraine met l’UE sous pression Kiev et Moscou ont confirmé dans deux communiqués séparés que les livraisons de gaz russe à l’Europe via l’Ukraine avaient définitivement cessé mercredi matin. Malgré la guerre, la Russie est encore parmi les principaux fournisseurs de l’Europe en gaz, dont le cours a bondi à son plus haut niveau depuis plus d’un an. Fin du paradoxe : deux ans et dix mois après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, Volodymyr Zelensky a mis un terme aux livraisons de gaz russe à travers les canalisations ukrainiennes et à destination de pays de l’Union européenne (UE). Comme il l’avait déjà annoncé, le président de l’Ukraine n’a pas renouvelé l’accord de transit russo-ukrainien ayant expiré mardi 31 décembre 2024. Aucune livraison de gaz russe à l’Europe via l’Ukraine n’est prévue mercredi 1er janvier, a confirmé, le 31 décembre en début de soirée, le gestionnaire ukrainien du réseau de transport gazier GTSOU. Selon les chiffres publiés sur le site de ce dernier, les volumes programmés pour mercredi sont de 0 mètre cube et les livraisons cesseront tôt dans la matinée. Mercredi 1er janvier, Kiev et Moscou ont confirmé, dans deux communiqués séparés, que les livraisons de gaz russe à l’Europe via l’Ukraine avaient définitivement cessé, après l’expiration du contrat signé entre les deux parties à la fin de 2019. Cette fermeture « constitue l’une des plus grandes défaites de Moscou », a commenté dans la foulée le président Zelensky. Ce contrat quinquennal liait jusque-là l’entreprise publique ukrainienne Naftogaz au producteur Gazprom, dont l’Etat russe est l’actionnaire majoritaire. Son non-renouvellement sera synonyme d’une perte de revenus pour le Kremlin mais aussi pour Kiev, à un degré moindre, et surtout de nouvelles tensions énergétiques sur le Vieux Continent. Le gazoduc dit « Bratstvo » (« Fraternité », ou « Brotherhood » en anglais) date de la fin des années 1960, du temps de l’Union soviétique. A travers l’Ukraine, il établissait jusqu’à présent le lien entre la Russie et plusieurs pays européens. Depuis 2022, l’Autriche et la Slovaquie restent les deux pays à avoir le plus importé de gaz par cette canalisation et par ses extensions, devant la République tchèque, la Hongrie, l’Italie ou encore la Slovénie. L’annonce a aussitôt provoqué un coup de chaud sur le prix du gaz, déjà mis sous tension par un début d’hiver froid. Le contrat à terme du TTF néerlandais, considéré comme la référence européenne du gaz naturel, a atteint, puis dépassé, mardi, la barre des 50 euros le mégawattheure, son plus haut niveau depuis octobre 2023. Au-delà du coût énergétique, la fermeture de ce gazoduc met au jour les difficultés de l’UE à adopter une position commune sur l’énergie, une discorde directement liée au casse-tête que constitue, pour les Vingt-Sept, un bannissement définitif du gaz venu de Russie. D’un côté, la Commission européenne affiche l’objectif de se passer des importations d’énergies fossiles russes à l’horizon 2027 ; de l’autre, ces dernières semaines encore, la Slovaquie se disait favorable à de nouvelles livraisons de gaz russe bon marché. ...
  12. Ça facilité l'acceptation par d'autres clients potentiels qui peuvent profiter de la polyvalence et de l'évolutivité naturelle. Encore plus si le chargeur auto et nativement compatible avec les deux calibres. Le canon est consommable dans un char ou canon d'artillerie. Donc disposer de stock et en plusieurs calibre est normal. On peut imaginer un client disposant de stock de munition 120mm qui souhaite acquérir du matériel neuf, et la possibilité de moment venu de basculer rapidement sur du 140 si la menace l'impose. Il achète un engin avec un canon Ascalon, l'équipe avec le 120mm, jusqu'au jour ou il doit affronter une menace supérieure. Il débloque son stock 140mm, prend une heure pour échanger les futs ... et boum surprise.
  13. g4lly

    [Rafale]

    Le schema n'est pas tout a fait juste, le point 2 peut prendre 3 AASM 250 par exemple pas seulement 2. De la meme maniere il peut prendre 2 bombes de 500kg pas seulement 1. Meme chose pour les bombes d'une tonne.
  14. Le feu des critiques de C8 ?
  15. La loi fiscale n'est pas la même. Un citoyen US paie est nécessairement un résident fiscal US ... ce n'est pas le cas ailleurs. Un citoyen francais peut très bien est résident fiscal au Luxembourg par exemple.
  16. La question c'est surtout qui va se casser le cul à transformer un A321XLR en bombardier avec de la place pour 10 à 20t de bombe à l'intérieur ... ... une soute pour PatMar aujourd'hui c'est quelques torpilles de 300kg - 4 ou 5 pour le P8 -... et ou quelques missile de 600kg.
  17. Le problème du bombardier c'est que c'est un avion de combat sensé aller au contact de l'ennemi, ambiance opposition vélu. Dans ce cadre un dérivé de liner n'a rien à faire là. La patrouille maritime est assez différente dans le sens ou l'environnement est infiniment moins complexe au dessus de l'océan qu'au dessus d'un pays ennemi. Il suffit de voir le ciel de l'Ukraine ... ... un PatMar capable de distribuer accessoirement des munitions air-sol en envirronement non contesté, surement. Un bombardier meme pas en reve. Aujourd'hui un bombardier ca ressemble à ca ...
  18. g4lly

    [Rafale]

    +5320L interne ...
  19. g4lly

    L'artillerie de demain

    Il suffit de mettre les rockets serbe dans les pods israélien ... d'un coté le pod israéliens permet de tirer des rocket "Grad" de l'autre la production Serbes est compatible Grad, ils les tirent de vieux BM-21 aussi d'ailleurs.
  20. g4lly

    L'artillerie de demain

    Normalement les rockets 122mm "type Grad" sont déjà compatible PULS ... donc les rocket Serbes devraient l'etre de fait. D'autant qu'ils produisent déjà leur propre systeme de lance rocket multiple le Morava. Ici leur rockets longue portée en 122 https://www.edepro.com/products-and-services/rockets/artillery/mlrs-grad-g-2000 Une tir à 40km une autre à 52 il me semble mais je ne sais pas si la seconde est déjà commercialisé. L'évolution vers celle à 52km https://turdef.com/article/serbian-e-de-pro-doubles-122-mm-rockets-range G2000 rockets with newly designed warheads achieve a maximum range of 40.1 km. Their length is 2.87 meters, and their weight is 69.1 kg, of which 27.3 kg is the weight of the synthetic thermoplastic engine. They incorporate a 19 kg high explosive warhead. An evolution of the G2000 is the G2000/52 rocket with a maximum range of 52 kilometres. Their length is 2.86 meters, and their weight is 64 kg. They incorporate a high-explosive or fragmentation warhead weighing 18.4 kg. The G-2000 is compatible with the mobile multi-tube rocket launchers such as BM-21 and RM-70. Normalement il produise aussi des plus grosses rocket 267mm https://en.wikipedia.org/wiki/LRSVM_Tamnava Mais je n'ai jamais entendu d'usage dans PULS pour le moment.
  21. Prétensionneur à limiteur de couple, airbag adaptatif, presafe qui recule le siege, ferme les ouvrant, voir modifie la hauteur de caisse pour modifier le point d'impact ...
  22. Non ... il suffit de que ta voiture ne ralentisse pas trop vite. Dans un choc l'objet le plus lourd est celui le moins ralenti ... s'il est assez lourd il ne sera pas ralenti du tout. J'ai trouvé quelqu'un sous un PL en classe S il y a longtemps ... sa Classe S l'a sauvé ... pourtant il ne restait pas grand chose de l'avant de la voiture, et le pavillion était un peu plus bas qu'auparavant. En AX on aurait eu une compression de César. Et si l'obstacle est solide au point de ne pas bouger du tout ... prie pour avoir le capot le plus long. Plus c'est long plus c'est bon les décélérations.
  23. "Soutenu" ... soutenir c'est aussi fournir des équipements spécifiquement dédié à une bataille, par exemple des missiles antichar, des canon de 20mm etc. https://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/08/21/comment-paris-a-livre-des-armes-aux-rebelles-syriens_4475027_3218.html Comment et pourquoi la France a livré des armes aux rebelles en Syrie Plusieurs livraisons à l'Armée syrienne libre ont été effectuées, mais aucun « équipement qui aurait pu se retourner contre nous », assure Paris. Le voile se lève doucement sur l'un des secrets les mieux gardés de la présidence Hollande : l'armement des rebelles syriens par la France. Après que le président de la république a reconnu, mardi 19 août, pour la première fois, dans une interview au Monde, l'existence de ces livraisons, de hauts responsables français ont confié au Monde quelques détails supplémentaires. Selon une source officielle, plusieurs livraisons ont été effectuées l'an dernier par des voies clandestines. Le matériel comprenait notamment des mitrailleuses de calibre 12.7 mm, des lance-roquettes, des gilets pare-balles, des jumelles de visée nocturne et des moyens de communication, mais aucun « équipement qui aurait pu se retourner contre nous », tels que des explosifs. D'après cet interlocuteur, qui souhaite conserver l'anonymat, ces livraisons sont assez identiques à celles qui sont faites actuellement aux combattants kurdes des peshmergas. « Il s'agit d'armements immédiatement utilisables, qui ne nécessitent ni formation ni maintenance », dit-il. L'ARMÉE SYRIENNE LIBRE, SEULE BÉNÉFICIAIRE Seules les brigades affiliées à l'Armée syrienne libre (ASL), la branche modérée de l'insurrection anti-Assad, ont bénéficié de cette aide. Selon une source diplomatique, le Front islamique, une coalition de groupes armés d'inspiration islamiste, voire salafiste pour certains, n'a reçu aucune arme française. Il est difficile de dater avec précision les premières livraisons, qui remonteraient, selon toute vraisemblance, à l'hiver ou au printemps 2013. Préalablement, les autorités françaises avaient élaboré une cartographie des groupes rebelles, en partenariat avec le général Salim Idriss, alors chef de l'ASL. Une mesure destinée à éviter que des armes françaises ne tombent dans de « mauvaises mains », à savoir des groupes djihadistes ou salafistes, en plein essor à l'époque. La traçabilité des armes a été testée à blanc lors de l'acheminement d'équipement non létal, comme des kits médicaux et des rations halal, jusqu'à des brigades de l'ASL. Les livraisons s'accélèrent dans le courant de l'été 2013, après que l'Union européenne, le 29 mai, sous la pression de Paris et de Londres, eut décidé de lever son embargo sur les armes à destination de la Syrie. Deux mois plus tôt, François Hollande a laissé entendre que la France est de toute façon prête à armer les opposants au régime d'Assad, même en l'absence de consensus européen. « Si d'aventure, il devait y avoir un blocage d'un ou deux pays, alors la France prendrait ses responsabilité », déclare-t-il le 14 mars à l'issue d'un sommet à Bruxelles. « RAMER DANS LE MÊME BATEAU » La réunion du groupe des Amis de la Syrie, à Doha, au Qatar, le 22 juin, marque une étape importante. En réponse aux demandes pressantes de la Coalition nationale syrienne, la vitrine politique de l'opposition syrienne, ses parrains occidentaux et arabes se mettent d'accord sur un accroissement de l'aide militaire aux insurgés et sur une répartition des rôles dans cette perspective. « Il est urgent de fournir tout le matériel et l'équipement à l'opposition sur le terrain, chaque pays à sa façon », souligne le communiqué final. Le texte précise que tout « soutien militaire » doit transiter par l'Armée syrienne libre, dirigée par le général Idriss. « Une façon de dire aux Qataris et aux Saoudiens qu'ils doivent maintenant ramer dans le même bateau et ne plus soutenir des groupes rivaux de la rébellion », relève alors un proche du dossier. A l'époque, un sentiment d'urgence anime les pays membres des Amis de la Syrie. Le 4 juin, à la suite de l'analyse d'un échantillon rapporté de la banlieue de Damas par un reporter du Monde, Paris a formellement accusé le régime syrien d'employer des armes chimiques contre ses adversaires. Il s'agit alors d'usages à faible dose, très différents de l'attaque au sarin du 21 août, qui allait faire des centaines de morts. Mais c'est déjà un franchissement de « la ligne rouge » fixée par les grandes capitales occidentales, et les autorités françaises estiment nécessaire de réagir. L'autre facteur déterminant dans la décision de Paris de contribuer à l'armement des rebelles tient à l'approche de la conférence de paix de Genève 2, réunissant représentants du régime et de la CNS. Paris et ses partenaires pensent qu'il est important de renforcer les capacités militaires de l'opposition, de façon à ce qu'elle n'arrive pas à la table des négociations dans une position de trop grande faiblesse. LES LIVRAISONS D'ARMES N'ONT PAS CESSÉ Tous ses calculs ont fait long feu. « Genève 2 » a eu lieu en janvier-février 2014, sans le moindre résultat. Les efforts de structuration de l'ASL, engagée par le général Idriss, n'ont pas vraiment porté leurs fruits. En décembre 2013, des dépôts d'armes de l'ASL à la frontière syro-turque ont même été pillés par des combattants du Front islamique. Tandis que le régime se lançait dans une contre-offensive à Homs et autour de Damas, les rebelles islamistes prenaient l'ascendant sur leurs rivaux nationalistes dans le Nord. Autant d'événements qui ont dissuadé les autorités française d'amplifier leurs efforts. « C'est sûr que ces difficultés ne nous ont pas vraiment encouragés à aller plus loin », confie un diplomate. Si l'on en croit les déclarations de François Hollande jeudi 21 août, les livraisons d'armes n'ont cependant pas cessé. L'ASL en a d'autant plus besoin qu'elle est désormais prise en tenaille dans le nord de la Syrie par les forces du régime d'un côté et par les combattants ultraradicaux de l'Etat islamique de l'autre. « Nous ne devons pas relâcher le soutien que nous avions accordé à ces rebelles qui sont les seuls à participer à l'esprit démocratique », a déclaré le président français devant la presse, lors d'un déplacement dans le Sud. La France, a-t-il toutefois ajouté, ne peut « pas le faire seule » et « ça se fait en bonne intelligence avec l'Europe et les Américains ».
  24. Pouvoir compter partout et tout le temps ... sans ça tu deviens au mieux une puissance locale. C'est pas comme si on avait un pays continent.
  25. On a connu des engins avec dérive pliable par exemple ... peut être que le modèle sans dérive est montré dérives pliées. Avec un empennage en V le pliage pourrait etre pas trop trop complexe, sur le dos de l'appareil. On peut aussi plié les saumons de voilure pour avoir une effet de controle en lacet.
×
×
  • Créer...