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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Disons que c'est encore assez modéré comme interventionnisme ...
  2. Et surtout quand est ce qu'ils vont faire pareil ailleurs... En Europe par exemple.
  3. Il y a aussi un doux mélange entre nature et fonction ...
  4. Pas si on utilise des termes précis au lieu de termes générique ...
  5. La soumission est bien plus confortable et bien moins exigeante que la liberté...
  6. Techniquement les drones one way sont des missiles... Bombe disposant de son propre système de propulsion, autoguidée ou téléguidée.
  7. Qu'appelle tu un drones ... c'est tout le probleme. L’Ukraine a déjà mis en oeuvre des drones à réaction certes plus petit, mais à priori ils ont taper un déport de muntion dans le nord de la Russie, sans plus de souci que ca. https://en.wikipedia.org/wiki/Palianytsia_(missile)
  8. g4lly

    Génie

    Le systeme intègre deux robots ... je suppose qu'ils travaille en flèche, pour défricher presque 4m de voie. En dehors de la fraiseuse, le robots peut être équipé de tout un tas de matériel standard en génie civil, tarière, cribleuse, godet, pelle, lame, fourche etc. De toute évidence il s'agit plus d'un systeme de dépollution que de bréchage à proprement parler d'ailleurs.
  9. g4lly

    Génie

    Ce qui est amusant c'est que ca ressemble comme deux gouttes d'eaux çà un rouleau de défrichage mécanique agricole ...
  10. La gauche productiviste est de retour Comment les démocrates américains se réinventent autour de l’idée d’« abondance » Né en Californie et emprunté à la tech, le concept séduit les jeunes du parti. Il prône un Etat interventionniste associé à une déréglementation pour faciliter les investissements et accroître l’offre de biens essentiels tels que le logement, l’énergie, les transports et les soins. L’idée est partie de Californie, le terme a été emprunté à la tech. L’« abondance » est le mantra de la nouvelle gauche américaine. Bâtir plus, produire plus, développer, aller plus vite. L’abondance, c’est l’opposé de la décroissance. Le mot a surgi dans le débat public à la mi-mars, avec la publication du livre Abundance (Simon and Schuster, non traduit) par deux journalistes : Ezra Klein, Californien d’origine, chroniqueur au New York Times et podcasteur à succès, et Derek Thompson, journaliste pendant dix-sept ans au magazine The Atlantic, essayiste et lui aussi animateur de podcast. Leur credo : mettre au centre de la politique, non pas une revendication – égalité, justice, prospérité –, mais une projection. Celle d’un avenir où logements, énergies, transports et soins seraient disponibles à profusion. Aux élus de proposer comment y arriver. « La question de base, c’est : de quoi voulons-nous davantage ? », expliquait Ezra Klein lors d’une conversation avec le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, après la sortie du livre. Alors que le Parti démocrate traverse un épisode de déprime, la thématique de l’abondance est tombée à pic. Le livre est devenu un best-seller et une bénédiction pour des élus en mal de message positif. « La gauche se caractérise souvent par des freins, des limites, remarque un militant démocrate de San Francisco. Là, il s’agit de dire oui. » L’engouement a gagné les élus, pour la plupart modérés, comme les gouverneurs Kathy Hochul (New York), Tim Walz (Minnesota), Wes Moore (Maryland), Jared Polis (Colorado), et Gavin Newsom. Un groupe parlementaire s’est formé au Congrès. Baptisé « Build America » et surnommé « Caucus Abondance », il rassemble dix-sept démocrates et douze républicains. « Nous savons qu’il faut construire des logements, développer le réseau électrique et investir dans la recherche scientifique, notait le représentant démocrate de Californie Scott Peters, en présentant le nouveau groupe, le 9 mai. Pourtant, nous laissons des groupes prétendument écologistes prendre en otage la transition énergétique dans des décennies de contentieux juridique. » Le rêve américain 2.0 La Californie est le lieu de naissance du nouveau paradigme. L’Etat, qui était devenu le modèle à ne pas suivre, entre crise du logement, coût de la vie élevé et insécurité urbaine, a repris son rôle d’incubateur de nouveaux mouvements sociaux. Après la révolte antifiscale des années 1980, après l’émergence du mouvement écologiste, après le combat pour les droits civiques des homosexuels, l’abondance est la boussole de la nouvelle coalition qui se construit dans les villes américaines. La ligne de partage n’est plus entre démocrates et républicains, progressistes et conservateurs. Elle oppose maintenant les « Nimby » (« Not in my backyard ! », « pas dans mon jardin ») aux « Yimby » (« Yes in my backyard ! », « oui, dans mon jardin »). Les « Nimby » sont écologistes, anticroissance, antiforage, adeptes du principe de précaution. Leurs contradicteurs ont émergé dans la sphère des entreprises technologiques à San Francisco. Ils portent la revendication des jeunes en mal de logement malgré leurs salaires mirobolants – en trente ans, l’âge de la primo-accession à la propriété est passé de 28 ans à 38 ans aux Etats-Unis. Les « Yimby » réclament des maisons, de l’énergie pour leurs réseaux, des panneaux solaires, des innovations, et surtout, des résultats. L’abondance, c’est le rêve américain 2.0, si possible à vitesse accélérée. Les auteurs du livre dressent un réquisitoire accablant contre la gestion des affaires dans les collectivités démocrates. Les Etats-Unis, qui ont érigé des ouvrages aussi gigantesques que le barrage Hoover, sur le fleuve Colorado, entre l’Arizona et le Nevada, ou le réseau d’autoroutes inter-Etats, ont perdu leur capacité à construire, regrettent-ils. Lancé en 2008, le TGV californien, qui devait relier Los Angeles à San Francisco, reste à l’état embryonnaire dans la vallée Centrale, malgré plusieurs milliards de dollars d’investissements et le soutien de l’opinion – mais 2 270 terrains à exproprier, soit un nombre incalculable de litiges en justice, se défend le gouverneur Newsom. Dans le même temps, la Chine a construit 37 000 kilomètres de liaisons ultrarapides. En Allemagne, 1 kilomètre de voie ferrée à grande vitesse coûte 384 millions de dollars (328 millions d’euros) ; au Japon, 267 millions de dollars ; aux Etats-Unis, 609 millions de dollars… « Des obstacles désuets » Ezra Klein et Derek Thompson accumulent les exemples. Pourquoi le kilomètre de métro coûte-t-il douze fois plus cher à New York qu’à Paris ? Pourquoi les cinq Etats possédant le taux le plus élevé de personnes sans abri sont-ils tous gouvernés par des démocrates ? Pourquoi les métropoles californiennes accordent-elles si peu de permis de construire, par rapport à celles du Texas ? Dix-huit nouvelles constructions pour 1 000 habitants en 2022 à Austin contre 2,5 pour 1 000 habitants la même année à San Francisco et à Los Angeles. Réponse : les réglementations, les rapports de consultants, les délibérations d’organismes publics divers et, pour ce qui concerne le logement, le zoning ou plan d’occupation des sols, jalousement surveillé par les « Nimby », soucieux de préserver leur tranquillité et leur vue sur la mer. Des développements indispensables, comme des panneaux solaires ou parcs d’éoliennes, sont « bloqués ou ralentis jusqu’à l’immobilisme par des obstacles désuets et d’un localisme étroit », déplore l’organisation Inclusive Abundance Initiative, à l’origine de la conférence Abundance 2024, qui s’est tenue en octobre, à Washington. A San Francisco, pour qu’un projet immobilier soit approuvé, il doit satisfaire tout un catalogue d’exigences : réserver les contrats aux petites entreprises, obtenir l’aval du Bureau de la diversité et de la Commission des arts, embaucher localement, acheter l’électricité auprès de la compagnie municipale. Sur le plan fédéral, les projets d’infrastructures dans les énergies renouvelables doivent franchir plus de soixante procédures d’examen distinctes, dont l’une analyse leur conformité avec le traité sur les oiseaux migrateurs de 1918. Pour les adeptes de l’abondance, la gauche freine le progrès à force de s’en réclamer. Aux « Nimby » qui pensent protéger la planète en freinant le développement, ils répondent que le sentiment de pénurie alimente le vote populiste. In fine, la démocratie pâtit quand le gouvernement n’arrive pas à produire de résultats. Coalition hétéroclite Les « Yimby » prêchent l’« optimisme radical », par opposition au langage doom and gloom (« morosité et pessimisme ») qui caractérise, selon eux, les défenseurs d’une planète en sursis. Leur coalition est hétéroclite. Elle rassemble des figures de la tech, comme Reid Hoffman, le fondateur de LinkedIn, des libertariens, des conservateurs hostiles à l’Etat comme Charles Koch, dont la fondation finance le programme Abundance Agenda. Dès 2020, le gourou-investisseur de la Silicon Valley Marc Andreessen, aujourd’hui rallié à Donald Trump, publiait un essai intitulé It’s Time to Build, appelant l’Amérique à construire davantage d’infrastructures et plus vite. En octobre 2023, dans son « Manifeste techno-optimiste », il assurait que la technologie parviendra à résoudre le « problème de la pauvreté » et à « créer l’abondance ». Des années plus tôt, en 2012, un autre des grands noms de la Silicon Valley, Peter Diamandis, médecin, entrepreneur dans le spatial et proche du transhumanisme, publiait un livre développant le même thème (Abundance. The Future Is Better than You Think, Free Press, non traduit). Il y faisait miroiter un avenir technologique qui répondrait aux besoins fondamentaux de l’humanité « à une échelle inédite ». Cette proximité avec les adeptes du « solutionnisme technologique » n’enthousiasme pas tout le monde, dans le camp démocrate. Les progressistes notent l’absence de réflexion sur le rôle de la finance et de la consolidation des secteurs économiques. Pour eux, l’absence de redistribution et de justice fiscale est autant à blâmer que les carcans réglementaires. Mais la tendance est là. Le 30 juin, les élus démocrates ont émasculé l’un des textes fondamentaux de la Californie, le California Environmental Quality Act. Promulguée par Ronald Reagan, alors gouverneur de l’Etat, en 1970, cette loi prévoit que les citoyens ont un droit de regard sur les mesures touchant à leur environnement. Depuis vingt ans, elle a permis de freiner le développement. La réforme, qui a introduit des exemptions majeures à l’application du texte, a grandement déçu syndicats et écologistes. Un avant-goût des discussions qui risquent d’ébranler la coalition historique de la gauche à l’approche des échéances électorales de 2026 et 2028. Contribuer Réutiliser ce contenu https://www.lemonde.fr/international/article/2025/08/24/comment-les-democrates-americains-se-reinventent-autour-de-l-idee-d-abondance_6634255_3210.html
  11. A un moment il faut arrêter de projeter tes désirs dans le propos de tes interlocuteurs LA modération n'est pas une femme essentialisée malgré qu'elle est genrée au féminin dans la langue française
  12. Il n'est pas opposé, il la nuance c'est très différent. C'est un déterministe qui pense que nous sommes bien plus déterminé par la génétique, l'épigénétique, l'environnement, l'éducation, la collectivté que par nos "propre choix", il ne dit pas que nous ne sommes pas libre de nos propre choix, il dit juste qu'on est bien moins libre que certain ne le pense. Ce n'est pas nouveau c'est déjà très largement théorisé en psychologie, systémique, neuro-psy et bien sur psychiatrie depuis bel lurette. Ce délire de libre arbitre total et de toute puissance qui perdure au delà de l'enfance est d'ailleurs très récent ... et typique des enfants gâtés des sociétés modernes.
  13. Normalement lors d'un rachat d'action les titres disparaissent, ils ne sont donc plus cessible... ... a priori c'est une augmentation de capital. Les nouveaux titre étant vendue à l'administration gratuitement, en échange des aides prévues par l'administration Biden. En gros soit Intel perdait 10 milliards d'aides, soit Intel troquer l'équivalent en action contre 10 milliards d'aides.
  14. Je suis toujours surpris qu'on perpétue le modèle obsolete des tranchées ... il faudrait voir en détail un peu au delà de la vulgarisation, mais à mon sens à l'ere de la transparence, la "tranchée" est morte. Par contre le retour des modèles de contre mobilité automatique - les mines et autre mines dispersable, charge prépositionné, minage hors route etc. - est un plutot bonne initiative, à condition de disposer de moyen de réalimenter les zones d'interdiction régulièrement par artillerie cargo ou drone. Plutôt que des tranchée l'important ce sont des abris d'infanterie souterrain ... de manière pour pouvoir supporter les attaques d'artillerie, de drone et autre bombardement sans souci. Puis à etre à nouveau disponible lorsque l'ennemi vient au contact - l'imbrication réduisant l'effet des effecteurs à distance -.* L'autre élément important ce sont les moyens d'observation déporter... ca peut être bétement une flotte de Tesla garé n'importe ou qui remonte les mouvements de l'ennemi qui passe à coté. Les caméra de surveillance d'habitation, de chasseur, de commerce etc. Une transparence sans drone ... passive. Pendant longtemps on utilisait des périscope de tranchée ou de fortification, dissimulé dans les rocher, des buissons etc. Autre élément importe si ce n'est capitale, le contrôle de la transparence via de large solution de masquage par fumigène. Il faut pouvoir soustraire des pan entier du théâtre à l’œil de l'ennemi pour permettre la mobilité. Soit par fumigène sur de très grande zone ... soit par des long tunnel entre village, ville, quartier, immeuble etc. L'objectif c'est de pouvoir déplacer ou ravitailler sa force sans subir et sans avoir à déployer des moyens important de DSA contre batterie etc. --- Pour les dents de dragon je n'ai jamais compris l’intérêt ?! A priori ca se déplace facilement avec une pelleteuse, une lame dozer ou une bête treuil, voir une coup direct de HESH ?! Sauf à la piéger très lourdement j'ai du mal à voir en quoi ca freine l'ennemi plus de des rail battus verticalement par exemple? --- Un truc trop négligé les zones humides et ou inondable, ce n'est pas applicable partout mais c'est une putain de purge pour les engins terrestre, quasi aucun blindé n'est capable de les franchir proprement, c'est facilement à miner et à interdire tant la vitesse d'évolution dessus et lente, et tant ca saute au yeux quand des engins s'y aventure.
  15. Pour l'exploitation miniere n'est pas rentable en Ukraine ... https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/03/03/la-russie-envahit-elle-l-ukraine-pour-ses-ressources-naturelles_6116020_4355770.html
  16. https://reporterre.net/Un-enjeu-cache-de-la-guerre-en-Ukraine-les-matieres-premieres Qu’en pense la population ukrainienne ? Depuis 2004, les habitants de la région de Marioupol, dans le Donbass, s’opposent à l’exploitation du gisement de terres rares et de zirconium d’Azov en raison des risques de pollution radioactive et ont obtenu deux fois l’interruption de la délivrance d’un permis. La dernière mise aux enchères du gisement en janvier 2021 a déclenché de grandes manifestations dans les districts de Manhoush et de Nikolske. Une fois la guerre terminée, les Ukrainiens n’auront-ils pas la mauvaise surprise de découvrir que pendant qu’ils tentaient de survivre aux assauts et aux bombardements russes, leurs régions ont été vendues aux entreprises minières et gazières ?
  17. https://www.touteleurope.eu/l-ue-dans-le-monde/minerais-terres-rares-pourquoi-le-riche-sol-de-l-ukraine-attire-les-convoitises-des-etats-unis/ Des ressources difficilement exploitables Ces ressources sont également synonyme d'intérêt stratégique majeur pour les Européens, notamment pour réduire leur dépendance vis-à-vis des importations chinoises et sécuriser leur approvisionnement. Actuellement, Pékin contrôlerait 60 à 70 % de la production de terres rares, et même 100 % de l'offre raffinée de graphite naturel, selon l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (AIE). L'utilisation des ressources du sol ukrainien fait par ailleurs face à plusieurs obstacles. À commencer bien sûr par le conflit avec la Russie. Plusieurs gisements majeurs sont actuellement situés sur des territoires occupés par l'armée russe, dans la région de Donetsk par exemple. L'autre difficulté réside dans l'extraction et le raffinage de ces minerais, qui s'appuient sur des procédés coûteux et polluants. Ce qui explique que l'Ukraine n'a, à ce jour, ouvert aucune mine pour les exploiter. Une mise en exploitation impliquerait des investissements d'ampleur, notamment dans les infrastructures (routes, réseaux électriques, etc.) et prendrait une à deux décennies. Peu de chances, donc, de voir la moindre production sortir du sol ukrainien avant la fin du second mandat de Donald Trump. Mais sans aucun doute une garantie, pour les Ukrainiens, que les États-Unis ainsi intéressés mettront tout en œuvre pour maintenir la sécurité dans le pays.
  18. étonnament ce sont des études qui remontent à l'époque soviétique et depuis personne en Ukraine ne s'est donné la peine de les exploiter ... quelle surprise. Les ukrainiens sont vraiment trop con. Ou plutot il y a bien des minérais, mais aucune étude récente ne valide leur présence, et surtout aucun investisseur n'y a vu de rentabilité économique. Parce qu'il ne suffit pas qu'il y ai du lithium quelques part pour qu'il soit rentable de l'extraire. Aujourd'hui par exemple le cours du lithium est tellement volatile que les mines chinoises sont à l’arrêt. CATL n'a meme pas obtenu le renouvellement de son permis concernant la plus grande mine de Chine. Et tout le reste est à l'avenant ... ... les jolies couleurs sur la carte ne représente pas de la production rentable de minéraux. Juste des études concernant leur présence, et dont on a des doutes sur la fiabilité.
  19. Les aggrégats monétaire en dollars sont par ici https://fr.tradingeconomics.com/united-states/money-supply-m1 https://fr.tradingeconomics.com/united-states/money-supply-m2 Et l'explication des différents aggrégats https://fr.wikipedia.org/wiki/Masse_monétaire#Représentation_graphique
  20. Tu pourrais me citer les exceptionnelles ressources minières d'Ukraine et celles économiquement exploitables.
  21. En février Milanion annonçait plus de 50 par mois ... ... Milanion a fait du bon boulot avec le FP-1 qui a permis de détruire des cible à 1500km en Russie de manière assez facile, et en quantité non négligeable - quantité de drones -. Il n'y a pas de raison qu'ils fassent moins bien avec le FP-5, ni en quantité ni en qualité. Concernant le FP-1 l'Ukraine en produirait 3000 par mois. https://united24media.com/latest-news/fp-1-vs-shahed-ukraine-ramps-up-production-of-low-cost-long-range-drones-10973
  22. C'est quoi la différence entre un missile de croisiere et un drone au juste ?! C'est la meme chose, un bidule qui vole, de manière autonome - en général programmé - et qui s'écrase sur une cible. Je ne vois pas bien en quoi la DSA russes serait plus apte contre ce gros machin que contre les autres machin d'avant ?! Parce qu'il est plus gros ?
  23. Pourquoi un cessez le feu serait un préalable à des discussions sur le règlement du conflit, du moins pourquoi ca le serait alors que les positions sont pour le moment semble t il diamétralement opposées. Je peux comprendre que dans le cas de négociation alors que les position sont plus ou moins en train de ce rejoindre, puisse se faire avec comme corolaire un arrêt des combats. Mais ici la situation est inverse, il n'y a pas de début de commencement de d'accord sur la suite de la cohabitation russo-ukrainienne. Coté russe un arrêt des combats doit être vu comme à l'avantage des ukrainiens qui pourrait reconstituer des forces pendant ce temps là ... or c'est depuis le début le probleme des russes, ils craignent d'avoir une armées ukrainienne adverses à leurs portes. A priori les russes n'ont pas trop de souci pour pour reconstituer leurs forces malgré le fait qu'ils attaquent ... pourquoi donc changer ce momentum plutôt positif, d'autant que préalablement ce n'était pas folichon leur performance militaire. En gros ils doivent s'accrocher à la dynamique actuel comme la misère sur le monde. --- Maintenant si l'objectif c'est d'obtenir un cessez le feu de la part des russes - puisque c'est eux que ca semble ne pas arranger - ... quel baton ou carotte peut on apporter? Malheureusement pas grand chose ... Il ne reste pas une infinité de levier sur lesquels agir. On pourrait agir plus fort sur certain à la limite mais est ce qu'au point de l'escalade d'engagement dans laquelle sont les russes cela changerait quelques choses, je suis dubitatif. La seule chose à mon sens qui puisse changer quelques chose, c'est que les russes perdent l'espoir de gagner quoique ce soit de plus que ce qu'ils n'ont déjà, et ce malgré tous les efforts qu'ils pourraient consentir. Or pour l'instant on en est pas là ... les russes ont toujours l'espoir de voir l'armée ukrainienne ne plus être capable de fournir suffisamment de combattant pour continuer la lutte, du moins sous la forme actuelle. Et pour le moment rien ne semble s'opposer à cette évolution défavorable pour l'Ukraine. LA seule bonne nouvelle c'est que malgré une armée qui peine à disposer de combattant, les pertes territoriales sont relativement modeste, et la dynamique de ces pertes est lente. Mais à terme la question risque quand meme de ce poser ... concernant la manière de conduire l’opposition à la force russe. Est ce qu'une posture symétrique peut être maintenue ad vitam, ou est ce qu'il faut penser à moyen terme à modifier le mode de combat contre l'envahisseur. De toute évidence un combat symétrique s'il fait gagner du temps, semble s’orienter vers une succession de pertes, et une incapacité à renouveler l'outil. A un moment il faudra peut être songer à combattre autrement ... ... les afghans ont bien réussi à chasser les russes, sans chars ni missile ... les talibans ont fait pareil avec les américains.
  24. Un mec se pointe chez toi, achète du terrain, puis considère que tu es trop con pour valoriser la parcelle qu'il te reste, puis t'en chasse à coups de bottes. C'est ca la morale de la colonisation israélienne ... ... c'est pas un probleme d'arabe ou de juif, c'est un probleme de déportation massive et organisé d'une population autochtone au profit d'une autre étrangère, sous prétexte d'une stratification éthnico-religieuse. Considérer cela comme acceptable, ou sans conséquence ... n'a pas grand chose à voir avec le faire que des guerres civile ait lieu ailleurs?! D'autant qu'ici cette épuration ethnique est fait avec la complicité de l'occident, qui à mis en place puis soutenue à bout de bras la colonisation israélienne, et qui le fait toujours. C'est cette complicité et ce double standard qui pour moi est une démonstration flagrante d'une forme de racisme systémique qui me désole. Moralement ca me désole, mais au delà je suis certain qu'à terme ca va nous retomber dessus ... que soutenir, par consentement implicite, le régime d'apartheid en Judée Samarie - la phase un du nettoyage ethnique - , et l'épuration de Gaza, nous rend complice d'un état qui va nécessairement devenir paria à terme.
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