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Hélicoptères de la Gendarmerie et de la Police
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Merci ... l'auteur contesté ( aura au moins servi à sortir cette perspective, avec son article "pour exister" ! J'essaie autant que se peut partir d'une citation... même maladroite Le présent article ( journal des TP ) nous apprend que, si il y a du retard côté H160, La Gendarmerie sera "à la page" par ailleurs: "Le hangar de 2 500 m2 qui sera livré en juillet 2025, abritera aussi quatre grands drones" -
Allemagne
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Comment l'Allemagne a t elle apprécié cette rencontre MERZ * TRUMP ? -
Allemagne
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Est ce que l'Allemagne va commander une rallonge de F-35 ? Et encore des Patriot ? et ... encore des P-8A Poseidon ... Et encore quoi ?? "Un mois après son arrivée au pouvoir, Friedrich Merz, chancelier allemand, a été reçu à la Maison Blanche pour sa première rencontre avec Donald Trump. Au cours de l’échange, Trump a lancé un commentaire plus que déplacé à propos des commémorations du Débarquement." "« Je me permets de vous rappeler que nous célébrons demain le 6 juin. C’est l’anniversaire du Débarquement lorsque les Américains ont mis fin à la guerre en Europe. Et je pense que c’est dans votre main, en particulier, dans la nôtre… », déclare Merz, aussitôt interrompu par Trump. « Ce n’était pas une journée agréable pour vous », ironise Trump, sous-entendant alors un lien entre le chancelier allemand et le régime nazi. Avant de répéter, hilare : « Ce n’était pas une bonne journée »." "Une déclaration lunaire qui n’a pas fait perdre son sang-froid à Friedrich Merz. « Monsieur le Président, cela a permis la libération de mon pays de la dictature nazie », lui répond le chancelier allemand. « C’est vrai, c’est vrai », répond Donald Trump, le visage soudainement fermé. « Nous savons ce que nous vous devons », a poursuivi le chancelier pour calmer le jeu et rediriger la discussion sur le conflit entre la Russie et l’Ukraine." https://www.leparisien.fr/international/etats-unis/video-pas-une-bonne-journee-pour-vous-trump-derape-en-assimilant-le-chancelier-allemand-merz-aux-nazis-06-06-2025-ZV6WRV6XCVCJ7IX3BPELV5J6HE.php Je trouve que TRUMP "retrouve" "la forme !" qui convient pour une meilleure souveraineté de l'Europe -
Hélicoptères de la Gendarmerie et de la Police
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Il n'est pas le seul à se poser la question du délai d'arrivée des H160 gendarmes... La différence est que moi si je n'ai pas de réponse : pas grave ! Mais un journaliste qui est censé savoir : ça la fout mal https://www.avionslegendaires.net/2025/06/actu/lenorme-flop-des-airbus-helicopters-h160-de-la-gendarmerie-nationale/ "L’énorme flop des Airbus Helicopters H160 de la Gendarmerie Nationale !" Article qui ne dit rien ... -
Les moyens aériens de lutte contre les incendies
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Actualités air
Il y a la question de la disponibilité vu l'ENTRETIEN qui semble assez lourd : cela ne tient t il qu'à l'avion ( CL-415 ) OU celà relève t il de l'organisation ?? -
Les moyens aériens de lutte contre les incendies
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Actualités air
Option nouvelle ? Ignorée jusqu'à présent ? https://www.avionslegendaires.net/2025/06/actu/moderniser-les-bombardier-cl-415-plutot-que-les-remplacer/ "Est-ce un gros coup dur pour l’avionneur De Havilland Canada et pour son tout nouveau DHC-515 ? La Sécurité Civile serait sur le point de lancer un chantier de modernisation à mi-vie de ses amphibies de lutte anti-incendie Bombardier CL-415. Une option qui permettrait aux entreprises françaises engagées dans la conception d’avions bombardiers d’eau de réaliser leurs travaux sereinement et d’envisager une commande étatique de Paris. Ainsi modernisés les Pélicans pourraient voler jusqu’en 2030-2035 sans trop de difficultés." -
[Ministère des Armées, MINARM]
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Article accessible de Air & Cosmos... Rien de nouveau Gaétan Powis publié le 03 juin 2025 à 06:30 Quelles avancées et trous capacitaires pour le futur des Forces armées françaises ? Un avis de la Commission Défense de l’Assemblée nationale permet de découvrir le futur des capacités stratégiques et conventionnelles françaises. L’avis annonce des nouveautés, confirme des livraisons de nouveaux matériels mais s’inquiète aussi sur certains risques de trous capacitaires. Un rapport de l’Assemblée nationale Le 30 octobre 2024, la Commission de la Défense nationale et des Forces armées de l’Assemblée nationale publiait un avis sur l’équipement des forces de la dissuasion au sein du projet de loi de finances pour 2025. Cet avis est très intéressant car il donne des informations sur le futur des capacités stratégiques françaises mais aussi conventionnelles. Au vu de la longueur du rapport, seules les capacités directement liées à la dissuasion ou moyens aériens conventionnels des Forces armées françaises seront traitées dans cet article. Pour rappel, la dissuasion nucléaire française repose actuellement sur deux composantes constamment en alerte. Il y a tout d’abord les Forces Aériennes Stratégiques (FAS), centrées autour des Rafale B (biplace), du missile de croisière supersonique ASMPA-R, lui-même équipé de la Tête Nucléaire Aéroportée (TNA). L’autre composante d’alerte repose sur la Force Océanique STratégique (FOST), centrée autour des quatre sous-marins à propulsion nucléaire lanceurs d’engins (SNLE). Ces bâtiments, de la classe Le Triomphant, emportent chacun 16 missiles balistiques M51. Au niveau des têtes, les estimations tournent autour d’un maximum de 6 à 10 têtes nucléaires océaniques (TNO), sans compter les leurres emportés (dénommés Aides à LA Pénétration ou ALAP). Il existe aussi une troisième composante mais celle-ci est non permanente : la Force aéronavale Nucléaire (FaNu). Elle est centrée autour du porte-avions Charles de Gaulle, les Rafale M à bord et si elle est activée, les missiles de croisière ASMPA équipés d’une TNA, chargés à bord uniquement suite à l’activation de la FaNu. ASMPA-R et ASN4G À ce propos, si les Rafale B des Forces Aériennes Stratégiques sont déjà équipées en missiles Air-Sol Moyenne Portée Amélioré-Rénové (ou plus simplement, ASMPA-R), entrés en service depuis 2023, les Rafale M de la FaNu sont toujours sur la variante précédente du missile de croisière stratégique français, à savoir l’ASMPA. L’avis de la Commission confirme toutefois que cette situation est temporaire, l’ASMPA-R devant intégrer la FaNu "prochainement". L’année 2025 verra aussi le lancement en réalisation du missile Air-Sol Nucléaire de 4ème Génération (ASN4G), le remplaçant de l’ASMPA-R. Les quelques informations disponibles confirment que ce missile de croisière air-sol sera tiré depuis le futur Rafale F5 et disposera d’une vitesse hypersonique (supérieure à Mach 5, soit plus de 6174 km/h). Le discours du 18 mars dernier d’Emmanuel Macron, président de la République, sur la base aérienne 116 de Luxeuil (Haute-Saône, France), permet de confirmer que cette base aérienne redeviendra une Base Aérienne à Vocation Nucléaire (BAVN), capable d’accueillir des Rafale des FAS et de stocker leurs missiles de croisière stratégiques. Elle sera également la première BAVN à accueillir le duo Rafale F5 des FAS et missile ASN4G en 2035. Pour rappel, les FAS s’appuient actuellement sur trois BAVN : La base aérienne de Saint-Dizier (Haute-Marne, France), où sont basés les Rafale B des escadrons 1/4 Gascogne et 2/4 Lafayette et stockant une partie des missiles de croisière stratégiques. La base aérienne d’Avord (Cher, France), stockant une partie des missiles de croisière stratégiques et capable d’accueillir des Rafale B des FAS si besoin (en fonction du niveau de la menace, les Rafale B des FAS sont dispersés entre les BAVN). La base aérienne d’Istres-Le Tubé (Bouches-du-Rhône, France), stockant une partie des missiles de croisière stratégiques et également capable d’accueillir des Rafale B des FAS si besoin. Des ravitailleurs en poste de commandement Si les avions de combat Rafale B sont souvent mis en avant pour les Forces Aériennes Stratégiques, les FAS comprennent également les avions de transport et de ravitaillement de la 31ème Escadre Aérienne de Ravitaillement et de Transport Stratégiques (31ème EARTS), situés sur la base aérienne 125 d’Istres-Le Tubé. Cette unité est en train de compléter son renouvellement puisqu’elle devrait prochainement compter uniquement des ravitailleurs et avions de transport A330 MRTT Phénix. L’Avis de la Commission annonce en 2025 le premier financement pour l’amélioration de cette flotte au standard 2. Au niveau dissuasion nucléaire, ce standard permettra d’ajouter une capacité de commandement et de conduite des opérations (Command and Control, C2), permise par l’ajout d’une antenne de communication satellitaire MELISSA. Cette capacité C2 permettra à un A330 MRTT de gérer en toute sécurité (l’antenne MELISSA donne accès à la constellation de satellites de communication français Syracuse IV) un raid nucléaire stratégique et ce, en toute indépendance. Ce standard voit également l’amélioration des systèmes d’autoprotection. Airbus précise aussi qu’il s’agit d’un pas en avant vers l’intégration de l’A330 MRTT dans le futur cloud de combat, développé dans le cadre du programme SCAF. Un nouveau SNLE La Force Océanique Stratégique devrait compter sur une nouvelle classe de sous-marins à propulsion nucléaire lanceurs d’engins (SNLE) afin de remplacer les actuels quatre SNLE de la classe Le Triomphant. Pour l’instant, cette future classe n’a pas encore de nom mais est dénommée en fonction de son programme : le Sous-marin Nucléaire Lanceurs d’Engins de 3ème Génération (SNLE 3G), soit la troisième génération de SNLE français après les classes Le Redoutable et Le Triomphant. Les SNLE 3G seront encore plus discrets, équipés de meilleures technologies et de futures versions du M51. Au niveau capacitaire, pas de changement, avec l’emport de 16 M51. Et 2025 doit permettre le lancement de la phase 2 du programme, qui doit confirmer la livraison du premier SNLE 3G pour 2035. Le rapport de la Commission annonce également une production sur le long terme, avec un SNLE 3G livré tous les 5 ans, soit un total de 4 SNLE 3G livrés pour 2050. À noter que le format de la flotte ne changera pas : pour l’instant, les plans prévoient de garder une flotte de quatre SNLE. Ce chiffre n’est pas anodin car il permet une rotation des équipages et SNLE, assurer l’entretien, la réparation ou l’amélioration des SNLE,… tout en gardant un SNLE à la mer : Un SNLE est constamment dilué à la mer, à savoir qu’il navigue quelque part dans les mers et océans du globe, prêt à tirer sur diverses cibles ses missiles M51. Un SNLE est constamment prêt à prendre la mer en urgence si besoin. Par exemple, une crise grave éclate, des menaces sévères sont prises à l’encontre des intérêts vitaux de la France,… bref, si besoin un second SNLE peut partie de l’Ile Longue, la base des SNLE français. Un troisième SNLE, venant de terminer sa patrouille, est placé en entretien léger dans l’un des deux bassins de l’Ile Longue. Cet entretien dure quelques semaines afin d’effectuer des réparations, mises à jour,… nécessaires avant sa prochaine patrouille. Un quatrième SNLE est quant à lui vidé de son cœur nucléaire à l’Ile Longue et transféré sur l’Arsenal de Brest (en face de l’Ile Longue) afin d’effectuer un check up complet, des réparations et améliorations importantes,… Cette période est bien longue que quelques semaines mais une fois terminée, le SNLE effectue un tir d’essai de missile M51 (uniquement équipé de têtes d’essai). Cette manœuvre est double car elle permet de confirmer aux Forces nucléaires françaises que le vecteur fonctionne mais aussi d’annoncer au monde que le M51 fonctionne correctement ! À noter qu’en février 2022, alors que la Russie lançait son invasion de l’Ukraine, les Forces stratégiques russes se sont montrées fortement hostiles envers les différents pays soutenant l’Ukraine. La FOS a alors réussi à sortir non pas deux SNLE (soit le SNLE dilué et le SNLE d’alerte) mais bien trois SNLE ! Les personnels de l’Ile Longue ont réussi à préparer le SNLE en cours d’entretien léger pour le permettre de prendre également la mer. Ainsi, ce fut l’une des rares fois (si pas la première pour la classe Le Redoutable) que 3 jeux de 16 missiles nucléaires français M51 furent dilués en un laps de temps très court. Le message était clair et net : 'La France n’a pas peur !'. Un nouveau missile et une nouvelle tête océanique Pour continuer sur les M51, ceux-ci ont vu plusieurs améliorations, sous les standards M51.1, entré en service en 2010 et M51.2, entré en service en 2016. Concrètement, l’objectif est de moderniser ces missiles tous les 10 ans. Or, la fin de l’année 2025 verra l’entrée en service du M51.3. Si cette annonce était attendue, l’Avis de la Commission confirme aussi que ce nouveau missile sera accompagné d’une nouvelle Tête Nucléaire Océanique, la TNO-2 (soit la Tête Nucléaire Océanique 2). Et en toute logique, l’année 2025 doit voir le lancement du programme M51.4. Les études déjà effectuées annoncent une portée, une précision et une capacité de pénétration des défenses améliorées. PA-NG L’Avis annonce que les premiers travaux de réalisation des chaufferies nucléaires ont été lancés. Pour rappel, le Porte-Avions Nouvelle Génération (PANG), tout comme l’actuel porte-avions Charles de Gaulle, sera un porte-avions à propulsion nucléaire. Les deux chaufferies K22 devront développer une puissance unitaire de 220 MW thermiques, soit une augmentation de près d’environ 46 % des réacteurs K15 (150 MW) du Charles de Gaulle. À cela s’ajoute le prochain lancement des travaux de réalisation du PANG, dont la notification est attendue par Naval Group et Les Chantiers de l’Atlantique fin 2025, pour un lancement effectif des travaux début 2026. L’Avis de la Commission rappelle également que ces dates sont importantes au niveau du calendrier, le PANG devant remplacer définitivement le Charles de Gaulle en 2038. Pour rappel, le PANG sera bien plus gros et plus long que le Charles de Gaulle : 75 000 tonnes contre 42 500 tonnes et 305 mètres de long contre 261 mètres. S’il sera le plus grand bâtiment de guerre construit en Europe, il sera tout de même un peu plus léger et plus court que les équivalents américains de la classe Gérald R. Ford, d’un tonnage de 100 000 tonnes et d’une longueur de 337 mètres. Cependant, ces différences n’auront pas d’impact sur une capacité binationale importante : l’Aéronautique navale française et l’Aéronavale américaine ont la chance de pouvoir totalement interopérer : déjà aujourd’hui (et dans le futur), des avions américains peuvent apponter et être catapultés sur et depuis le Charles de Gaulle et vice-versa, pour les avions français sur et depuis les 11 porte-avions de l’US Navy. Étonnant double tacle capacitaire Au travers des nombreuses informations disponibles, la page 104 de l’Avis fait apparaitre, avec grand étonnement, un ‘double tacle’ sur les capacités militaires françaises. Le premier concerne l’objectif pour l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE) d’aligner 185 avions de combat Rafale à l’horizon 2030. "Alors même que l’objectif de 185 Rafale à l’horizon 2030 est considéré comme le minimum nécessaire par l’état-major de l’AAE, le budget consacré à la dissuasion nucléaire en 2025 permettrait à lui seul d’en acquérir soixante." Cette citation sous-entend clairement que le budget de la dissuasion nucléaire française pourrait être utilisé au profit des forces conventionnelles. Mais cette option se ferait au détriment même de la dissuasion française… à une époque où la Russie est menaçante, y compris au niveau nucléaire et où la dissuasion nucléaire française est garante de la sécurité de la France et de ses intérêts vitaux ! Le second ‘tacle’ se trouve dans la phrase suivante et concerne, encore une fois, avec grand étonnement, l’avenir de l’Aéronautique navale : "Or, ces chasseurs peuvent, avec l’appui d’avions ravitailleurs, être projetés en quarante-huit heures partout sur le territoire français, sans avoir besoin d’un groupe aéronaval (GAN)." Ainsi, l’avis sous-entend également le peu d’intérêt que représente un groupe aéronaval. Alors certes, la France est capable de projeter des appareils à très longue distance, et l’a démontré par le passé, avec par exemple, l’opération Hamilton (frappes sur la Syrie en 2018 depuis la France). Cependant, les changements géopolitiques à travers la planète ont aussi démontré les limites de cette projection lorsque plusieurs pays ont décidé d’interdire le survol de leur territoire par des avions de combat français. Une hypothèse serait par exemple le besoin d’envoyer des Rafale en Polynésie française suite à des menaces chinoises… mais avec une interdiction de survol des États-Unis et éventuellement du Canada ! Inversement, le porte-avions représente LE moyen de projection de puissance le plus efficace pour un État : Il peut s’approcher (par rapport au territoire national) de la cible et ce, grâce à une donnée bien souvent oubliée ; la Terre est couverte à plus de 70 % d’eau ! Il ne faut pas dépendre des bonnes volontés de quelconque pays pour survoler son territoire ou éventuellement projeter directement des avions sur l’un de ses aéroports. Il est escorté par différents navires, faisant de cette base aérienne flottante (et constamment en mouvement), l’une des bases (si pas LA base aérienne ?) les plus protégées de France. Le porte-avions Charles de Gaulle emporte aussi des moyens de soutien, tels que les Rafale en configuration de ravitailleur en vol (via le pod NARANG) ou encore les avions de guet aérien avancé et de commandement aéronaval E-2C Hawkye. C’est un moyen dissuasif important, particulièrement lorsque son déploiement est annoncé. Le cas français l’est encore plus, grâce à la capacité d’emporter des missiles de croisière équipés d’une tête nucléaire. À nouveau, il est donc étonnant d’apercevoir que cet avis tacle la capacité aéronavale des Forces armées françaises, voire même, en arrière-plan, le renouvellement du porte-avions avec le PANG, malgré tous les avantages militaires et politiques qu’apportent ces capacités. Combien d’A400M ? L’avis de la Commission ne se concentre pas uniquement sur les capacités et soutiens de la dissuasion nucléaire française mais aussi sur les capacités conventionnelles. Dans cette optique, l’Avis pose la question du nombre d’avions de transport tactique A400M Atlas au sein de l’Armée de l’Air et de l’Espace. Ce nombre devra être rapidement décidé car la chaine de production dispose d’un nombre suffisant de commandes… jusqu’en 2028. Or, la viabilité même de cette chaine de production n’est pour l’instant pas assurée au-delà de 2028. Pour l’instant, un 25ème Atlas est attendu en 2025. La Loi de Programmation 2024-2030 annonce une volonté de détenir 35 A400M mais l’Avis de la Commission annonce que le chiffre de 38 A400M ne parait pas déraisonnable. Il précise aussi que ce chiffre dépendra beaucoup du projet de Futur Cargo Médian Tactique (FMTC), devant remplacer les C-130 Hercules et Casa de l’AAE. Mais le FMTC n’est pour l’instant qu’à un stade préliminaire d’études, ne devant se concrétiser qu’à l’horizon 2035-2040. À noter que l’A400M a récemment ajouter plusieurs cordes à son arc : depuis le 12 mars 2025, les A400M peuvent désormais ravitailler les hélicoptères des Forces spéciales françaises. Sept jours plus tard, l’AAE confirmait que les A400M français pouvaient également être utilisés pour ravitailler en vol des avions d’alerte en France, tâche jusqu’alors effectuée exclusivement par les Phénix. Enfin, même s’il ne s’agit pas d’un avion français, les A400M allemands sont en train d’effectuer plusieurs essais de ravitaillement en vol afin de confirmer cette capacité avec les différentes variantes des tiltorotors V-22 Osprey américains. Rafale F5 Ce standard représentera une véritable rénovation mi-vie de l’avion de combat français, comme expliqué par le ministère des Armées : nouveau radar RBE2 XG, nouveau système de guerre électronique, nouveaux capteurs optroniques, intégration d’armes de saturation et bien évidemment, le missile ASN4G. Mais le MINARM rappelle aussi sa connectivité augmentée : "Il bénéficiera d'une intégration renforcée avec d'autres systèmes, tant au sol qu'en vol, et pourra être appuyé par un drone furtif de combat conçu pour faciliter les opérations de pénétration des défenses adverses." Et ce sont d’ailleurs 704 millions d’euros qui devraient être débloqués en 2025 pour financer le lancement en préparation du drone de combat devant accompagné les futurs Rafale F5. Pas d’AWACS avant 2035 ? Actuellement, l’Armée de l’Air et de l’Espace fait partie du club assez fermé des forces aériennes détenant une flotte d’avions de guet aérien avancé et de commandement (AEW&C). Au total, quatre E-3F Sentry, dénommés E-3F SDCA en France (Système de Détection et de Commandement Aéroporté), sont opérationnels au sein de l’AAE. Mais malgré des améliorations, cet avion est opérationnel depuis 34 ans (1991)… et l’Avis de la Commission s’inquiète de l’absence, dans la Loi de Programmation Militaire 2024-2030, d’un programme visant à les remplacer. L’Avis annonce d’ailleurs : "[…] Du reste, le tableau capacitaire prévu dans la LPM 2024-2030 ne mentionne nullement un tel programme, qui est donc théoriquement renvoyé à post-2035." Actuellement, deux choix sont possibles : le GlobalEye de Saab (Suède) ou l’E-7A Wedgetail de Boeing (États-Unis). Le premier apporte une solution européenne partielle, avec un avion Global 6000 de Bombardier Aviation (Canada) équipé d’un radar Erieye ER de Saab (Suède). Cet avion dispose d’une autonomie de 11 heures mais n’est malheureusement pas ravitaillable en vol, capacité pourtant importante dans le cadre d’une mission de soutien au raid aérien nucléaire français. L’E-7A Wedgetail se base sur le Boeing 737 NG, avec un radar MESA de Northrop Grumman. Cet avion peut voler plus de 10 heures de vol mais est ravitaillable en vol. Toutefois, au niveau capacitaire, dans les deux cas, les radars utilisés sont des radars de dernière génération, à savoir des radars à antenne active (AESA). Pas de missiles longue portée sur le Tigre 3 Le futur standard 3 de l’hélicoptère de combat Tigre sera bien revu à la baisse. Le point le plus marquant est l’abandon du missile antichar longue portée, sous la forme de l’Akeron Longue Portée (Akeron LP), confirmé par l’Avis de la Commission qui note "la quasi-absence de crédits" à ce niveau. Ce missile de MBDA était pourtant prometteur, avec une portée d’environ 8 kilomètres. Cependant, le retrait de l’Allemagne du standard 3 du Tigre ne laissait que l’Espagne et la France sur ce sujet. Or, les Tigre espagnols sont équipés en missiles Spike ER… d’une portée de 8 kilomètres. Mieux encore, l’Armée de Terre espagnole prévoit de passer au full Spike (pour une capacité actuelle de Spike, MILAN et TOW)… produits localement. Pour rester sur le Tigre, l’Avis s’inquiète sur le remplaçant du Tigre, attendu pour 2040 à 2045. Aucun financement n’est prévu pour des études au niveau national ou en coopération avec d’autres pays. C’est ainsi que l’Avis espère éviter un scénario F-35 en Europe : "Il ne faudrait pas qu’à la vague de F-35 en Europe succède une déferlante de ‘H-35’ [américains] à l’horizon 2040." Un missile antiradar plus tôt que prévu ? Une belle annonce au niveau d’un trou capacitaire actuel : la destruction des défenses aériennes ennemies (DEAD) devrait arriver plus tôt que prévu. Depuis le retrait du missile antiradar moyenne portée AS-37 Martel en 1999, l’Armée de l’Air et de l’Espace n’a plus aucune capacité DEAD. Il a été décidé d’en développer un nouveau pour 2035 pour équiper les Rafale F5… sauf que l’Avis de la Commission annonce une accélération – sans donner de délais – de la mise en œuvre capacitaire de ce missile avec une intégration dès le standard F4, alors même que ce missile était attendu avec l’arrivée du le Rafale F5. Modernisation du Meteor En air-air, les Rafale de l’Armée de l’Air et de l’Espace emportent trois types de missiles : le MICA IR à guidage infrarouge, le MICA EM à guidage radar (tous deux des missiles de courte à moyenne portée) ainsi que le Meteor à guidage radar et très longue portée (supérieure à 200 kilomètres). Ce missile supersonique est entré en service au sein de l’AAE en janvier 2021 et en mars de cette même année au sein de l’Aéronautique navale. Il fut déployé en opérations pour la toute première fois le 24 février 2022. Moins de six heures après le déclenchement de l’invasion russe de l’Ukraine, deux Rafale de la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan décollaient pour aider à sécuriser l’espace aérien polonais. Ces deux avions étaient en configuration air-air complète, avec donc, pour la première fois, des missiles Meteor. Pour information, un podcast de l’AAE retrace cette mission avec l’un des pilotes, le capitaine Marc : "Cette mission a duré 8h50 avec cinq ravitaillements en vol. Ça fait partie des plus longues missions que j’ai faites sur Rafale." (Voir sur internet ‘Capitaine Marc, pilote de Rafale au sein de l’escadron de chasse et d’expérimentation 1/30 Côte d’Argent’). Mais si ce missile est récemment entré en service, 2025 verra le lancement du programme de sa rénovation à mi-vie. Aucune information n’est malheureusement disponible. Futur missile de croisière incertain La France, le Royaume-Uni et prochainement, l’Italie, au travers de MBDA, sont en train de développer deux nouveaux missiles : le Futur Missile de Croisière (FMC) et le Futur Missile AntiNavire (FMAN). Au niveau du FMC, celui-ci doit permettre le remplacement des missiles de croisière air-sol SCALP-EG/Storm Shadow (désignations française et anglaise du même missile). Cependant, l’Avis de la Commission défense rapporte que le MINARM ne s’est pas encore décidé sur le remplaçant du SCALP-EG : "Le choix pour la France reste ouvert pour trouver le meilleur compromis survivabilité/performances/coût entre les concepts RJ [RamJet, supersonique et manœuvrant], TP [TurboPropulseur, le FMC subsonique et furtif] et SCALP NG [un SCALP-EG Nouvelle Génération, revu et modernisé] pour la mission de frappe dans la profondeur aéroportée." Inversement, pour le FMAN, le MINARM a précisé à la Commission un problème d’orientation majeur entre la France et le Royaume-Uni : "Toutes les options françaises reposent sur le concept RJ (concept supersonique manœuvrant) », tandis que ‘le Royaume-Uni souhaite monter en maturité le concept TP (concept subsonique furtif), pour sa future capacité antinavire.’ " D’autres sujets ont été abordés : le programme Scorpion (modernisation/remplacement des véhicules de l’Armée de Terre), le programme MGCS (programme franco-allemand pour le développement d’un char de combat et des drones de combat terrestres), les navires et drones de guerre des mines,… Pour plus d’informations, l’Avis est disponible sur le site internet de l’Assemblée nationale (TOME VII, DÉFENSE, ÉQUIPEMENT des FORCES – DISSUASION, par M. François CORMIER-BOULIGEON). -
Tandis que la TURQUIE hésiterait entre 2 ravitailleurs : A330 MRTT et KC-46A Après ses 7 KC-135R « Stratotanker » mis à niveau selon la norme Block 45.1 en 2021 https://www.avianews.ch/post/la-turquie-cherche-un-nouvel-avion-ravitailleur
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AAE et DRONES REAPER Transition achevée vers le REAPER MQ-9 Block 5 ER Wiki: "En juillet 2021, la France commande six drones en version Block 5 pour une livraison en 2024 et l'amélioration de six existants du Block 1 vers le Block 5" https://www.scramble.nl/military-news/france-completes-transition-to-mq-9a-reaper-block-5 "Key Enhancements of the MQ-9 Reaper Block 5 ER: - Extended Endurance and Range: The Block 5 ER variant offers up to 30 hours of flight endurance and a range of approximately 2,592 km - an improvement over the Block 1’s 24-hour endurance and 1,850 km range. These gains are enabled by wing-mounted fuel tanks, reinforced landing gear, winglets, and a four-bladed propeller. - Advanced Payload Capabilities: The Reaper Block 5 ER can carry a range of payloads, including an electronic warfare pod, GBU-12 Paveway II laser-guided bombs, AGM-114 Hellfire missiles, and GBU-49 bombs. - Enhanced Sensor Suite: Upgrades include improved video quality and connectivity, significantly enhancing real-time intelligence, surveillance, and reconnaissance (ISR) capabilities. In December 2024, these drones were authorised to operate within national airspace after a three-year certification process"
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@Personne avec le plus long post du forum ! Avec relief et indentation : quel boulot !
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Le cycle du Patroller et ce qui s est passé en // ont tout changé....
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Voir le 61 RA qui est spécialisé sur le drones. Patroller... qui concentre donc actuellement l expérience Drones*AdT
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FRANCE : 5° puissance économique?
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de SPARTAN dans Economie et défense
L inflation joue sur le PATRIMOINE immobilier, comme tu dis... La il est question de l Epargne -
On est en SCAF là ...
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Là ça craint, aussi !
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FRANCE : 5° puissance économique?
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de SPARTAN dans Economie et défense
Je reprends et copie ici, un post de @Picdelamirand-oil sur le fil Allemagne : Patrimoine : les Français sont de plus en plus riches https://www.journaldeleconomie.fr/patrimoine-francais-2024-dette-publique/ La dette publique fait souvent la une. Mais un autre chiffre impressionne tout autant, bien que moins médiatisé : celui du patrimoine des Français. Et en 2024, il bat encore des records. 6 356 milliards d’euros. C’est la somme que représentent les avoirs financiers des Français. Un chiffre qui dépasse largement la dette de l’État. Et pourtant, ce capital reste largement sous-utilisé. Un patrimoine financier en hausse malgré les incertitudes Selon les données publiées le 23 mai 2025 par la Banque de France, le patrimoine financier des ménages français atteignait 6 356,4 milliards d’euros à la fin décembre 2024. C’est 109 milliards de plus qu’un an auparavant, soit une progression de 1,7 %. Cette augmentation s’explique principalement par la hausse de l’épargne réglementée et des fonds euros en assurance vie. Ce montant impressionne, surtout lorsqu’on le compare à d’autres indicateurs macroéconomiques. Il est près de deux fois supérieur à la dette publique française (3 305,3 milliards d’euros au T4 2024), et deux fois et demie plus élevé que la capitalisation boursière totale des entreprises du CAC 40. La structure de ce patrimoine montre une nette préférence pour la sécurité. Les Français privilégient des produits sans risque : les livrets réglementés comme le Livret A ou le LDDS, et surtout les fonds euros des contrats assurance vie. Ces derniers garantissent le capital, au détriment parfois du rendement. Avec un taux d’épargne de 18 %, supérieur à la moyenne européenne (15 %) et bien au-dessus des États-Unis (moins de 4 %), les ménages français restent attachés à une gestion prudente de leur argent. L’assurance vie, additionnée aux plans d’épargne retraite (PER), représente 2.089 milliards d’euros. Les actions non cotées et participations diverses totalisent 1.405 milliards d’euros. À cela s’ajoute 955,7 milliards dans l’épargne réglementée. Une partie des avoirs qui dort Mais tout cet argent n’est pas actif. Une part importante, environ 550 milliards d’euros, est simplement placée sur des comptes courants, sans aucune rémunération. Un patrimoine dormant qui pourrait peser davantage dans l’économie réelle, s’il était mieux orienté. Certains acteurs politiques souhaitent justement réformer l’épargne populaire. Dans un rapport publié en mai 2024, les députés Jean-Philippe Tanguy (RN) et François Jolivet (Horizons) pointent du doigt la mauvaise performance de certains supports, notamment les unités de compte. Ils soulignent, en s’appuyant sur les chiffres de Better Finance, qu’entre 1999 et 2021, ces placements ont généré une perte moyenne de -8 %. Ce que ces chiffres disent aussi, c’est le décalage croissant entre la richesse privée des Français et la situation budgétaire de l’État. Alors que la dette publique atteint des niveaux records, les patrimoines individuels se consolident en silence. Une situation paradoxale, qui interroge sur l’utilisation réelle de cette richesse dans un pays où les besoins d’investissement sont criants. Et 3 réactions : @Hypsen Qu'en est-il de la la répartition ? Parceque si ces milliers de milliards sont dans les mains d'une petite minorité... @g4lly Rien que tous les propriétaire de leur résidence principale ça chiffre vite ... Globalement 50% des foyers francais dispose de plus de 200 000€ de patrimoine brut ... ... la cassure entre les 60% les plus garnis et les 30% les moins garni est directement lié à la possession d'un bien immobilier. Les 60% les plus riches possèdent au moins un bien immobilier, les 30% les moins riches n'en possèdent aucun. Pour être dans le premier décile il faut plus de 716 000 € de capitale brut dans le foyer ... dans certains coin ou tu ne trouves pas de baraque à moins que ça c'est vite vu. Et pour être dans les 5% il faut 1 000 000 euros ... ce qui n'est toujours pas fou fou. Pour être dans les 1% ... 2 250 000 euros - toujours en patrimoine brut par foyer -. Et la tranche d'age la plus riche sans surprise ce sont les 50-59 ans ... tes achats immobiliers sont financé, les mômes ont quitté la maison depuis un moment, si tu as fais une carriere correct tes revenus sont les plus élevé à attendre ... résultat tu ne sais plus trop quoi foutre de tes revenus, que tu n'as pas le temps de claquer parce que tu bosses, alors tu investis encore plus pour préparer la retraite. @Bechar06 Ah enfin un tabou levé ! Excellent ! Comme si beaucoup de français n'avaient pas "profité" de cette dette publique accumulée pour s'enrichir sur le dos de "l'état au sens large", grâce à - et malgré - la fameuse "redistribution" Eh bien OUI ! Voilà donc de quoi "rembourser" une bonne part de la dette accumulée ... Dette qui, elle, profite largement à nos débiteurs, des non-français, qui se sucrent ! Je pense qu'on redistribue trop ou mal ! Mais la réaction de G4lly évoque la structure du patrimoine, qui montre une structure de richesse... Manque la répartition de la détention de l'épargne des 6.400 milliards -
Allemagne
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Je propose de poursuivre cette discussion en Économie Defence / France 5-eme puissance ... où j'ai copié les 2 ou 3 dernières interventions -
Article de synthèse de la situation actuelle https://opexnews.fr/scaf-masse-combat-saturer-tromper/
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(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
Opportunité d'une consolidation européenne ou au moins à qq. pays ?- 268 réponses
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- acquisition
- fusion
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(et 3 en plus)
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FRANCE : 5° puissance économique?
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de SPARTAN dans Economie et défense
Oui une lacune ... Mais dans le format limité ... manquent souvent des comparaisons de trajectoires entre pays européens proches, de manière générale -
@Spurlos interroge CFT ou "conformes" et tu as 2240 pages à parcourir sur ce sujet appliqué au Rafale ! Prends courage de lire + et fais nous un résumé qui sera profitable au prochain nouveau qui se re pose la question ... Cela c'est du RETEX !
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FRANCE : 5° puissance économique?
Bechar06 a répondu à un(e) sujet de SPARTAN dans Economie et défense
Sur la chaine FRANCE CINQ ce dimanche soir 25/05/25 est passé un documentaire très intéressant "Qui a tué l'Industrie Française ?" avec un catalogue de suspects ... Ou "comment la France est devenu un pays qui ne sait plus fabriquerr ce qu'il consomme" Grosso modo sur 50 ans ( choc pétrolier de 73 à 2025 ): les choix économiques ( souvent pas défaut de décision, impuissance déjà, brosser dans le sens du poil ) en France et autour ... Comment la France a perdu sa souveraineté économique ( et l'Europe aussi ) 1976 , Raymond Barre, premier ministre : "La France vit au-dessus de ses moyens" En 1h15, sans doute des impasses, ou des raccourcis ( par exemple l'abandon ou la non promotion des formules FR d'intéressement des salariés au fonctionnement des entreprises, à travers la particiupation et l'interessement, mais pas de représentants au CA des entreprises ) MAIS DE NOMBREUX ANGLES d'attaque et INTERVIEWS d' ACTEURS de l'époque qui tentent de justifier leurs choix d'alors ou les influences qu'ils ont subies ... A chercher sur le REPLAY de France 5 -
Quelques compléments de traduction : "En matière de "livraisons", note Ph. Koffi, le programme ayant à ce jour généré « plus de 800 livrables et obtenu plusieurs revues critiques ». Cela a notamment permis de progresser vers la finalisation de la forme du démonstrateur NGF. Un démonstrateur de Drône Ailier / effecteur déporté ( remote carrier ) devrait également entrer en phase d'essais en vol avant la fin de la décennie, ajoute-t-il." "En septembre, le programme devrait livrer ce que Ph. Koffi décrit comme « les trois architectures les plus prometteuses » pour "la combinaison du futur chasseur et Drone ailier" à ses pays partenaires pour examen." 'Phase 2 pour mi-2026" Alors quelles infos nouvelles données lors du Bouget 2025 ? Aucune ?