
Deres
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Tout ce qui a été posté par Deres
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Ce que je trouve très intéressant avec ce concept c'est que c'est en fait une arme modulaire allant encore plus loin dans le concept de modularité. Contrairement aux kits à monter sur les bombes qui réutilisent la fixation de la bombe, là la fixation de la bombe est un des modules à part entière et est capable d'accrocher une autre bombe. Après, on peut créer des modules à volonté tout en les montant de part et d'autre du module de fixation. C'est comme cela qu'ils ont fait les BAP-100 et BAT-120 en mettant une charge ou un propulseur derrière le module de fixation. La l'idée est de fixer un module de guidage à l'avant tout simplement et de remplacer le kit parachute arrière par un kit avec des dérive plus importante (la stabilité diminue à cause des canards avant). En théorie pas besoin car ces armes sont fait pour se monter l'une par dessus l'autre, ce qui menait à 9 bombes sur un même emplacement de trois. Donc on pourrait mettre sur chaque emplacement du tri-bombe, 1, 2 ou 3 armes l'une au dessus de l'autre. Mais dans ce cas là, autant prendre les adaptateurs existants dont certains acceptent deux rangés dont 18 projectiles maximums.
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Les chinois utilisent des missiles HQ-9 descendant de ceux des S-300 qui ont une grosse charge explosive (180 kg ?) alors que les missiles des systèmes américains ont des têtes plutôt de l'ordre de 60 kg. En théorie, cela augmente nettement le Pk car pas besoin d'exploser très près de la cible pour la détruire. Peut être cela joue-t-il dans le nombre déployé, l'utilisation de deux missiles par cible n'étant pas systématique, surtout que le navire possède en théorie une autre couche de défense missile puis 3 couches à plus courte portée.
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Au contraire, un avion qui ne va pas directement vers la cible a une vitesse de défilement importante vu de la cible qui la rend beaucoup plus difficile à toucher. C'est entre autre pour cela que les missiles anti-navires font des ressources avant de frapper.
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Il suffit que l'avion ne pointe pas directement sur la cible pour que la cible ne soit plus caché par le nez, le débattement vertical possible étant beaucoup plus important sur les côtés. Et au besoin, tu peux incliner un peu l'avion. De toute manière, il faut bien voir qu'un avion va tourner en "pylône " autour de sa zone de surveillance, donc celle-ci sera naturellement sur le côté et l'avion penchera vers elle.
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Tu rigoles ? Tu fait plus confiance à Wikipedia qu'à HK le spécialiste du sujet ?????
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Pour le centrage, faudra repasser, sans parler des effets aérodynamiques sur la cellule ! Cela augure d'un sacré rodéo au lancement ...
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Measuring Stealth Technology's Performance & ECM
Deres a répondu à un(e) sujet de zx dans Divers air
Le truc, c'est que les différentes parties de la structure ne participent pas de la même façon à la RCS. Les matériaux absorbants seront donc très intéressants pour les surfaces que tu ne pourra pas rendre complètement orientés en oblique par rapport à l'émetteur. C'est le cas par exemple des bord d'attaque : sur un B-2 mais aussi sur un Neuron, à part à l'avant, ils ont été obligés de conserver des bord d'attaque circulaires pour des raisons aérodynamiques donc avec nécessairement une partie perpendiculaire par rapport à l'émetteur. Et dans le bord d'attaque, tu peux facilement caser 2 ou 3 cm de matériaux (attention à la vulnérabilité aux oiseaux quand même ...) Et comme la forme furtive va créer des angles poubelles, il sera aussi intéressant d'utiliser des matériaux absorbants de manière à ce que ces secteurs ne brillent quand même pas trop. J'ajoute que la RCS n'est pas entièrement constitué des ondes réfléchies mais aussi des ondes absorbés puis réémis par l'onde de surface qui rencontre une discontinuité. C'est le rôle des triangles sur le Rafale, qui absorbe cette onde avant la fin de la surface mais aussi du peu de trappes des avions furtifs qui ont généralement des surfaces très lisses ou des trappes avec continuité électriques et angles orientés vers les angles poubelles. -
Je ne parle pas d'une troisième catapulte mais d'une catapulte avant qui n’empiéterait pas sur la piste d'atterrissage. Le CDG est soit actuellement soit en configuration atterrissage soit en configuration décollage et ne peut faire les deux en même temps.
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Quand tu as un système avec des redondances, c'est logique de différencier une simple panne d'une panne critique (perte d'une fonction). Car sinon, introduire des redondances diminue ton MTBF en démultipliant le nombre d'équipement donc de pannes possibles.
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Sans ajouter de catapultes, c'est vrai qu'une catapulte latérale n'empiétant pas sur la piste d'atterrissage serait vraiment un plus pour le PA2, ne serait ce que pour avoir un avion en alerte rapide disponible.... Au sujet des ailes repliables, il faut aussi songer au fait que cela alourdirait les avions. En plus, tu ne peux pas couper ton aile n'importe où, il faut le faire sur un des éléments de la structure (les nervures). Et pire, cela obligerait à revoir le découpage des ailerons qui est très intérieur et ne correspond pas à ces nervures. Et finalement, comme le montage des ailes est je crois robotisé, cela obligerait à revoir toute son industrialisation.
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C'est du blindage les deux plaques au niveau de chaque pilote ? C'est un peu chiche quand même.
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Deux pax sur strapontin à l'arrière. C'est pas super antimine tout cela.
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Je crois que le coût de la plate-forme est faible comparé au coût des capteurs pour les drones de petite taille.
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Mouais. Il faudrait voir en combien de tentatives ils arrivent à ce genre de résultats. Si ils passent toute leur journée pendant des semaines à rater des cibles à 3 km en attendant le tir miraculeux, je ne vois pas trop l'intérêt militaire. Autant utiliser des missiles antichar si le but est de neutraliser une cible à un instant donné, cela marche à quasiment tous les coup à la demande.
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Le souci c'est surtout que pour faire son job, un tel sous-marin doit être en surface, donc perd tout l'intérêt d'être un sous-marin. Si c'est juste pour lancer un bordée d'avion d'attaque, retourner se cacher sous l'eau, puis les récupérer à leur retour, c'est beaucoup plus simple avec des missiles de croisière. Et moins vulnérable puisqu'il est possible de les tirer submergé. Surtout que le lâcher de la bordé donnerait directement l'emplacement du navire. Si c'est pour faire le vrai travail d'un porte-avion, c'est à dire acquérir la supériorité locale, donc maintenir en continu des patrouilles aériennes, des AWACS, des hélicopères SUW et des envoi de CAS, alors les sous-marin va passer plus de la moitié de son temps en surface où il est particulièrement vulnérable. Il faut aussi noter que si un tel navire se réfugie sous la surface en cas de menace, ce qui serait logique, sa capacité de porte-avion donc sa raison d'être est totalement neutralisé. Pire, les avions de retour de mission n'ayant plus de piste seraient condamnés ...
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Bizarre d'embarquer de base une centrale inertielle de façon standard et pas en option. C'est logique pour certaines offres hélicoptère, mais les appareils militaires et le patroller doivent déjà avoir cela en plusieurs exemplaires à bord. Pas prévu de versions en pod autonome ?
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Je suppose qu'avec un radar moderne on peut faire plus intelligent que simplement régler une portée unique pour 360° de surveillance. Il doit être possible de décrire les zones à couvrir par le radar et celui-ci de tenir compte directement de l'orientation du navire. De plus, si mes souvenirs sont bon, les radars n'entrelacent pas les modes de manière simultanés mais de manières successives, les risques d'auto-brouillage étant trop importants.
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Le problème que je soulignais est surtout qu'avec ce genre de bombe nécessitant une trajectoire balistique vers la cible, l'avion porteur va devoir faire une passe d'attaque complète en ligne droite par cible ce qui nécessite souvent de longues minutes, puis faire un demi-tour à bonne distance avant d'entamer sa prochaine attaque. Et ce sans compter le temps éventuel de dissipation du nuage de poussière sur la cible. Déjà j'ai l'impression que les Rafales n'emportent que les AASM par 6, car pour les GBU, 4 munitions cela demande déjà beaucoup de temps pour les larguer. Donc plus me semble un peu gourmand. Par contre, il est possible que l'idée soit juste de réutiliser judicieusement l'existant pour obtenir des tribombes légers.
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Je crois que l'idée est que l'hélidrone embarqué serve surtout pour les missions nécessitant une grande autonomie ie la surveillance car un hélicoptère classique avec un plus grande charge et des passagers sera toujours indispensable. Dans ce cas là, il est nécessairement complémentaire de l'hélicoptère classique et devra donc cohabiter en plusieurs exemplaires avec celui-ci dans le hangar. Il est donc vital d'avoir un hélidrone de petite taille car nos frégates ne peuvent accueillir plusieurs hélicoptères.
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Tout cela fait beaucoup de munitions pour un guidage laser qui demande une passe complète par munition.
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Un lance-bouées acoustiques ? Je confirme, c'est marqué dans cet article : https://www.challenges.fr/salon-du-bourget/le-vsr700-le-drone-helicoptere-dont-reve-la-marine-nationale_481957 Et on ne parle nul part d'armement je note.
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Il faut aussi compter le coût des capsules sous-marines (50 ex) et les essais spécifiques de cette version. Le programme contient peut être également les moyens de planifications des tirs à bord des navires.
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Après on pourrait faire le distinguo entre un guidage et une correction de trajectoire terminale limitée. Les roquettes guidés tout comme les obus guidés conservent souvent des trajectoires balistiques avec seulement une correction de trajectoire en final, histoire de compenser la dispersion et un éventuel mouvement limité de la cible.
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Je pense aussi que la portée n'est pas obtenue uniquement avec le "plané" d'un tir à haute altitude mais aussi par la grande vitesse (proche de Mach 1) de largage. En effet, 100 km ou plus pour un largage à 10 km, cela ferait une finesse de 10, ce dont je doute vu la taille des ailes.
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Guerre civile en Syrie
Deres a répondu à un(e) sujet de maminowski dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui, les fumigènes des chars pour couvrir les bulldozers, je n'avais jamais vu.