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Covid-19 - Impact économique mondial
bubzy a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Ne pas oublier que le plus gros contingent de touristes en france ne sont autres que... les français eux-même. -
D'ailleurs d'où ça vient ça ? Et qu'est-ce que ça insinue dailleurs ? Parce que dans mon esprit, certes une brouette ça va pas vite, mais ça rend service, c'est pratique, simple, fiable, pas cher.
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Covid-19 - Impact économique mondial
bubzy a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Je ne sais pas l'impact profond que peut avoir le report des remboursements de crédit, mais si TOUT LE MONDE décale d'un mois, il n'y a pas vraiment grand chose à craindre... Il faut savoir que la plupart des contrats de crédits prévoient la possibilité de reporter des mensualités. Mais cela a un coût, celui de rajouter une petite part d'intérêts supplémentaires. Or, c'est bien les intérêts qui sont à la base de la rémunération de ceux qui octroient les crédits. Donc au final, c'est pas forcément une mauvaise nouvelle. -
Je vais continuer sur ma lancée hein... C'est à quel moment que la "victoire" est déclarée ? En temps réel histoire que la joute continue ? Ou au débriefing après délibération ?
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Je suis d'accord avec toi. mais je n'arrive pas comment expliquer qu'on ne peut simuler que le premier coup porté, sans prendre en compte des aléas peu simulables (non déclenchement des contre-mesures, pas de manœuvres évasives en l'absence de bûche en approche). On maîtrise le coup d'envoi, on sait prévoir où devrait taper la balle, mais pas la réaction adverse, et encore moins le résultat de la mêlée qui va suivre, c'est ce que je tente de dire. les simulateurs Rafale ont une puissance de calcul à faire tourner 1000 fois DCS (et pourtant dieu sait qu'il est lourd...) Non sans rire, le simulateur reproduit le plus fidèlement possible une partie des signaux électromagnétiques pour que l'avion les traite comme s'il s'agissait de vrai, là où dans DCS, tout ne peut être que scipté, au mieux. Par conséquent je pense que les meilleurs résultats possibles en BVR s'obtiennent sur simulateur, si du moins nous avons les bons comportement des éléments adverses. Et ça...
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En fonction des conditions et de leur résolution, les DDM peuvent avoir une portée supérieure à la portée visuelle, ce qui les rend utile dans un combat BVR. Etant entendu que pour maximiser son PK un ennemi tirera sa buche de plus prêt, la flamme peut être détectée de suffisamment loin pour réagir. Il y a une histoire de contraste, mais à haute altitude, c'est de plus loin. Donc à ne pas négliger cet outil, mais aussi la technique du lanceur qui doit être au fait que son missile peut être détecté si lancé de trop près. En électronique, la réponse est en quasi temps réel. Pour s'assurer d'une bonne chance de coups au but, le missile doit allumer son radar quelques km avant d'atteindre le point de sa course désigné par le radar du porteur si donnée de la cible mise à jour, ou via sa centrale inertielle. Cela laisse quelques secondes à l'avion qui va se trouver dans son champ d'interception pour réagir. Certainement pas suffisamment au pilote pour faire une évasive, mais suffisamment au brouillage pour tenter de fausser la véritable position de quelques dizaines de mètres, la charge explosive limitée des missiles demandant de faire un coup suffisamment précis. Même réponse que ci-dessus. Mais il y a beaucoup de choses qui ne se simulent pas sans traiter le résultat d'un engagement qui peut se faire en plusieurs phases. Une manoeuvre de Crank par exemple, c'est compliqué à dépiler après coup... Vaut mieux compléter l'entrainement en vol par une simulation. Je pars du principe qu'on peut bien s'entrainer en vol sur les engagement initiaux, mais de fait ne pas être capable d'aller plus loin. Personne n'a parlé de concours de bite C'est bien ça le problème. Un engagement BVR réel risque d'être tellement éloigné à cause de la limitation de ce qu'on peut reproduire, qu'on ne peut qu'entrainer certains réflexes en découpant des phases spécifiques dans des engagements bien bornés, en espérant que ça puisse coller un max à la réalité. Je précise que je dis ça à la lumière de mes pauvres connaissances dans ce milieu. Sauf que maintenant il est fort probable qu'on ne sache même pas si on est éclairé ou non. La seule suspicion de la présence d'un tel type d'avion en face via d'autres moyens rend ce type d'entrainement très, très hypothétique. On peut entrainer les réflexes, mais pas les résultats. Or, si les résultats sont trop différents de la réalité, ça pose un problème. Prenons le cas d'engagement par des avions via des modes passifs, comme le Rafale en est pourvu, on simule ça comment ? C'est une véritable question. On est bien d'accord que la suite CME est une réponse à la fois appropriée en rendant le travail de l'adversaire difficile, un peu comme lors d'un engagement entre des Rafale marine et des Typhoon venu les intercepté lors d'un entrainement en écosse, les Typhoon voyant bien les Rafale au Radar, mais incapable de les locker (bruits de couloir ou rumeur, je ne saurais dire). Le boulot du jamming final, c'est un dernier rempart visant à protéger l'avion. Il est évident qu'on ne se jette pas dans une charge frontale juste parce qu'on est équipé d'un gilet pare-balles. C'est pas ce qu'on m'en a dit. D'où le boulot du renseignement militaire, de l'usage de pleins de sniffeurs différents au dessus des range d'entrainement, en mer, au large lors des conflits, etc.
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Sauf qu'avec les radar en track before scan et lpi, il.est difficile pour la cible de savoir qu'elle fait l'objet d'une attaque seulement en écoutant les signaux adverses. Ce qui permet à un avion cible d'avoir une chance de survie sont des ddm qui détectent le départ missile (même sans connaître sa cible), et le système de combat électronique qui détecte et tente de brouiller le radar actif du missile quelques secondes avant l'impact. Ces modes de détection à plusieurs niveaux offrent des possibilités d'evasive qui a leur tour doivent être contrées par le tireur (missile et porteur) pour éventuellement doubler le tir et réagir à la réaction adverse. Faire ça en entraînement c'est compliqué. Ça serait un peu comme décider de l'issue d'un match de boxe au moment où le premier coup part, et avant qu'il n'atteigne sa cible. Pour ça qu'à mon avis, seule la simulation pourrait apporter des réponses, et encore... Avec bien des inconnues sachant qu'il faut parfaitement connaître la capacité des matériels en face. Pour ça que si un jour il y a un véritable conflit, les résultats devraient surprendre tout le monde. Du coup je suis le sujet, ça risque d'être intéressant.
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Du coup je suis encore plus étonné de cette publication
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Au début je pensais à comment approvisionner les habitants en nourriture. Et puis je me suis rappeler que si la quantité de produits manufacturés de piètre qualité provenant du monde entier et livrés à domicile en France était remplacée par de la nourriture, on aurait de quoi rendre obèse l'ensemble de la population fran...europé...mond... Fiatche ! On a pas assez d'êtres humains !
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C'est un journaliste de quelle nationalité ? Je suis quand même assez étonné du résultat de la comparaison !
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Covid-19 - Impact économique mondial
bubzy a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
le R0 est une donnée technique qui, ramenée aux aléas de la réalité peut avoir des impacts différents (type de population, équipements de santé disponible, état de santé global de la population, déplacement de cette même population, etc.). Mais cet indicateur te dis, dans des conditions TOTALEMENT similaires (et donc pour le coup, théorique effectivement), quel est le taux de propagation. Cet indicateur ne prends en compte que la vitesse/facilité avec laquelle la maladie toute seule se propage, mais pas le contexte. Il est donc nécessaire afin de faire des études d'impact. Les études d'impact doivent prendre en compte le R0, mais aussi la foultitudes de paramètres différents en fonction des pays et de tout ce que ça contient. -
Covid-19 - Impact économique mondial
bubzy a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Pas tout à fait d'accord. L'indicateur du taux de contagion est le R0. Le R0 de la grippe espagnole est de 2, celui du Covid19 est de 2.2. La différence peut ne pas être importante vu comme ça, mais ça reste un taux de contagion, donc c'est exponentiel. Attention, le tableau suivant est juste un calcul très théorique, c'est juste pour illustrer la valeur des chiffres, car notre cerveau ne sait pas traiter naturellement les exponentielles R0 =2 R0=2.2 Patient 0 1 1 Jour 1 2 2 Jour 2 4 5 Jour 3 8 11 Jour 4 16 23 Jour 5 32 52 Jour 6 64 113 Jour 7 128 249 Jour 8 256 549 Jour 9 512 1 207 Jour 10 1 024 2 656 Jour 11 2 048 5 843 Jour 12 4 096 12 855 Jour 13 8 192 28 281 Jour 14 16 384 62 218 Jour 15 32 768 136 880 C'est un peu le caca pour l'intégration d'un tableau Excel sur le fofo, la flemme de faire une image. Mais tu vois la différence ? une différence de 2 dixième seulement sur le R0 font qu'au bout du 6e jour, on a déjà le double d'infectés. Au jour 15 on en a 4 fois plus. Je me suis amusé dans mon tableau Excel à aller un peu plus loin, et c'est entre le jour 24 et 25 qu'on atteint un facteur 10 ! Le jour 29, alors que la grippe espagnole aurait infecté 537 millions de personnes, le Covid19 aurait fini son job puisqu'il aurait théoriquement atteint l'ensemble de la population mondiale, soit 8.5 milliards de personnes. Le taux d'infection tiens à beaucoup de choses, y compris à la rapidité de la létalité. Dans le cas de la grippe de 1918, on pouvait mourir seulement quelques heures après le déclenchement des symptômes, ce qui fait que ça limite le temps d'exposition et donc le taux d'infection. Le taux de mortalité dépend de beaucoup de choses, si on veut comparer les deux pandémies. J'ai d'ailleurs appris très récemment que ce n'est pas la mortalité mais seulement la contagion qui définie une pandémie. Ainsi, une nouvelle souche d'un virus de rhume qui s’étend à l'ensemble de la population mondiale serait qualifié techniquement de pandémie, malgré la quasi inexistence de mortalité (on peut se fracasser la tête en éternuant trop proche d'un évier, rigolez pas ça m'est arrivé étant petit. Depuis, j'aime bien ressortir ma calculette pour faire ce genre de calculs à la c...) Le taux donc est relativement similaire en chiffre pur, mais les populations touchées ne sont pas les mêmes. Il n'y avait pas spécifiquement de populations à risques touchées par la grippe de 1918. Déjà à cause de la sur-représentation des cas de personnes en bonne santé entre 20 et 40 représentées dans les victimes, ensuite parce que l'échelle démographique était différente, puis parce que les soins donnés à nos anciens, qui vivent souvent relativement bien avec plusieurs affections et dont le Covid19 peut être la goutte qui fait "déborder le vase" aujourd'hui, mais situation qui n'existait pas à l'époque. Il est donc question là de comorbidité. Ce qui fait qu'il est très difficile de faire une comparaison avec deux situation sociologiquement et sanitairement très différentes. D'ailleurs, concernant le cas de l'Italie qui commence à avoir de grands chiffres plus facilement exploitables, il serait "bon" de connaître l'âge des personnes décédées, et si elles étaient atteintes d'autres infection. Je n'ai pas trouvé beaucoup de chiffres probants pour le moment. Barrière de la langue. -
C'est une super question qui, à mon avis, ne peut être traité que par simulateur...
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Covid-19 - Impact économique mondial
bubzy a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Il y a quand même de grosses différences entre une préparation à une crise et au mode de fonctionnement "classiqe" des preppers Les preppers font du stock, OK. Mais ils stockent dans un lieu de survie qui généralement n'est pas chez eux, du fait de la crainte que des gens comme eux tombent facilement sur leur stock justement. Les preppers ont prévu en cas de crise majeure d'aller se cloisonner dans un coin paumé, accentuant par là la crise à laquelle ils font face. Les preppers sont armés et préparés à une crise de courte durée seulement. Ceux qui remettent en cause les preppers à raison sont ceux qui construire une résilience collective. mais comme les réseaux sociaux et les médias aiment les caricatures, seuls les preppers sont visibles. Et en face d'eux, des gens qui ne font rien. Personnellement je préfererait aujourd'hui avoir une vie normalisée en étant capable de faire face à toute crise dans la durée, en m'assurant de pouvoir vivre de façon correcte, mais certes moins confortable, en produisant une grande partie de ma nourriture, de mon eau, de mon chauffage. Se planquer avec des armes... ça dure pas longtemps. Se seront statistiquement les premiers à mourir. -
Il y a déjà eu débat là dessus. Les deux armes n'ont absolument pas la même destination. La B61 est une arme contrôlée par l'OTAN. Elle ne peut être activée qu'avec le double accord des Allemands qui la transportent, et des US à qui elles appartiennent. L'ASMPA "serait" (faut définir déjà si nous même accepterions de vendre une telle arme) une arme dont le contrôle dépendrait uniquement du pays possesseur, éventuellement co-détenu avec la France, mais dans tous les cas, l'OTAN se retrouve dans une situation annexe. Rien que par ce fait, posséder une B61 ou un ASMPA, pour un effet militaire donné, change complètement la donne au niveau politique et géopolitique. Militairement parlant, une B61 apparait certes dans l'inventaire Otanien comme une arme aussi bien tactique que stratégique, mais de par sa conception, sa portée est limitée à son porteur. Dans le cas de l'ASMP, qui n'est PAS une arme tactique mais uniquement Pré-stratégique (dans notre conception à nous) on est dans une gamme de réponse supérieure, du fait de sa portée. Il y a un choix à faire de la part des allemands. Soit ils définissent le choix de l'emport de la bombe H de l'OTAN comme un prérequis, soit non. A partir de là plusieurs réponses pourront se mettre en concurrence. Mais on ne peut opposer ces deux munitions. Au mieux l'une est une alternative à l'autre, mais pas militairement; il s'agit d'une alternative politique.
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Ok, merci. Mais je n'arrive pas à merger l'info de Bruno et celle d'armen56, l'un dit qu'il y a 2 tag sur la fremm italienne et 1 sur la française, et l'autre de répondre que non, car l'un fonctionne en combiné et l'autre non. Dans ma tête c'est un peu comme si on disais qu'un animal avait deux pattes de plus que l'autre et qu'on lui répondait que non, car un il saute et l'autre il marche en crabe.
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Heu... On parle des turbines dérivés des parties chaudes de moteur civils faits par Rolls-Royce ? Il me semble que ça ne vient que compléter les moteurs diesel lorsqu'on le navire doit "passer la cinquième" ?
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Merci pour cet apport. Mais... TAG ? ...eul ?
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Merci pour la réponse, cohérente, qui me donne une bonne image de la chose moi qui connait assez mal le domaine naval. Car malgré ma question trollesque de fanboy pour déconner, j'ai appris pleins d'trucs ! ;)
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Je m'en souviens. J'ai pris pleins de tirs avec lui également, et des prises de becs assez sévères, mais on avait appris à s'apprécier mutuellement. Mais il n'y a jamais de tout blanc ou tout rose. Un peu d'humilité ne fait jamais de mal à personne et n'aurait eu qu'un seul résultat, le propulser au niveau des dieux du forum ! Si quelqu'un d'aussi assidu, expérimenté et intelligent que lui n'a jamais été modérateur, par exemple... C'est peut être pas pour rien ! Sinon ça serait Fukushima le forum aujourd'hui... Et je croise les doigts pour que, jamais au grand jamais, Defa ne se retrouve avec une arme entre les mains quand on sait le mal qu'il peut faire avec un clavier ! Mais comme beaucoup, je regrette son départ.
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Merci pour toutes ces explications. De ma part j'ai envie de dire qu'il ne sert à rien qu'un IFF face une identification aussi longue, bien au delà de la portée des armes du navire. D'autre part, quid de la portée de la réponse des IFF des avions ? C'est peut-être une décision de rationalité budgétaire qui fait qu'on s'est penché sur la question de savoir si c'était vraiment utile ? Surtout dans le contexte opérationnel français, où nous disposons d'avions de guet aérien qui font ce job. La FREMM n'étant pas à vocation antiaérienne après tout... Nous verrons bien les équipement embarqués à bord des FREMM DA (et quid des Forbin française ?) Bon en suspend, la question que tout forumer se pose quand il n'y comprends plus grand chose, c'est... Alors, c'est laquelle la meilleure des FREMM ? La Française ou l'Italienne ? Si c'est la première, merci d'argumenter. Si c'est la seconde, merci de ne pas répondre !
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Fallait le prendre au 32e degré hein... ^^ Et puis quand on conduit à gauche, pourquoi ne pas mettre sa montre à droite ? Tant qu'à faire pas comme tout le monde...
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Les canards couplés permettent de ne pas décrocher à plus forte incidence. Donc d'avoir un plus grand angle d'attaque. Pratique pour l'appontage ou pour une grande autorité d'orientation du nez, mais pas pour le décollage. Car le double effet kisskool c'est l'énorme traînée qu'engendre l'aile delta à fort angle d'attaque. Bénéfique parfois, mais pas pendant le décollage, car ça revient à activer un énorme aérofreins juste pour décoller plus court. Pour en revenir à cette compétition (débile), faudrait le dire à chaque pilote, car on ne decolle pas court de la même façon qu'on décolle "normalement". Et quid du vent de face aussi ? Parce qu'un vent nul ou un petit 10 noeuds bien en face, ça change pas mal de chose... De toute façon, le rafale n'a pas enclenchée la PC de suite, si on zoom bien on le voit, avant d'enclencher les 3 crans de la PC il était en train de se gratter les testicules...