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ARMEN56

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Tout ce qui a été posté par ARMEN56

  1. Leurs propulsions sont fatiguées ... probablement maintenues à cout prohibitif Durcir HAO ? comme point d’appui avec les accords tacites des deux potes du coin Gaston et Oscar
  2. ARMEN56

    épave retrouvée

    Submarine USS Stickleback Found https://www.maritime-executive.com/article/submarine-uss-stickleback-found http://www.u-boote.fr/stickleback.htm
  3. ARMEN56

    Navy quiz

    En tapant K129 suis tombé là dessus https://www.maritime-executive.com/features/grand-finale-for-infamous-glomar-explorer
  4. Narco-Submarines: Specially Fabricated VesselsUsed for Drug Smuggling Purposes https://core.ac.uk/download/pdf/70984437.pdf
  5. ARMEN56

    Marine Japonaise

    « En exercice au moment de l’accident, le Soryu, un sous-marin de 84 mètres et 4200 tonnes en plongée mis en service en 2009, a apparemment heurté le vraquier alors qu’il remontait (ou se trouvait) à l’immersion périscopique » La prise de vue est toujours une phase très délicate « Le CDT vient de terminer sa "baïonnette", il a ainsi plus de sûreté pour la détection possible d'un éventuel bâtiment, tout là-haut en surface. - Moteurs avant 2 Le barreur de direction répète l'ordre, puis affiche sur les TTOM (transmetteurs d'ordres moteurs) la vitesse ordonnée. - Les moteurs sont réglés AV 2 - Bien ! central préparez-vous à reprendre la vue, je "prends" ajoute le CDT, l'officier de quart se dirige alors vers la "piste" du périscope de veille . Reprendre la vue, c'est à dire remonter à l'immersion périscopique ; c'est sûrement la manœuvre la plus dangereuse pour un Sous-marin, car parfois suivant l'état de la mer un cargo "lège" peut passer au travers de la détection du sonar, si son hélice sort un peu de l'eau sous l'effet des vagues par exemple, le risque d'abordage est toujours possible, pour le CDT et l'officier de quart la sécurité n'est pas un vain mot. l'Officier en Second arrive également, la reprise de vue exige toutes les compétences » http://www.sousmarinvenus.com/Sousmarinier.html
  6. ARMEN56

    épave retrouvée

    En plat de résistance... http://kashti.ir/files/ENBOOKS/Concepts in Submarine design.pdf
  7. Sur ce type de soum « ancien » on parle de moins de 10 mn “The Alpha design specified smallacoustic sonar arrays thereby allowing alignment of the WSC with the torpedotubesand as such reloading times were estimated to be below 10 minutes” https://cdn.asp.events/CLIENT_Clarion__96F66098_5056_B733_492B7F3A0E159DC7/sites/UDT-2020/media/libraries/weapon-and-payload-systems/30---Watson-&-Richards-Paper.pdf et ici l'historique avec qqes anciennes indications du firing reload time ... https://cdn.asp.events/CLIENT_Clarion__96F66098_5056_B733_492B7F3A0E159DC7/sites/UDT-2020/media/libraries/weapon-and-payload-systems/30---Alan-Watson-Steve-Richards-Slides.pdf
  8. Quand L’Amiral Barbier parlait de sous marin au « bar des sciences » en 2013 http://urisfc.free.fr/CR_ sous-marins_B.pdf
  9. j'ai rien dans mes soutes là dessus sur le woueb ; Reloading time 8 minutes , 15 minutes , 30 minutes et plus ….. https://www.reddit.com/r/submarines/comments/ewe67d/how_are_torpedo_tubes_reloaded/ https://www.subsim.com/radioroom/showthread.php?t=232141 https://forum.axishistory.com/viewtopic.php?t=92665
  10. ARMEN56

    épave retrouvée

    c'est juste , je supprime de terme « de travers » une hypothèse d’hypothèse A lire l’Amiral , on comprend que les manœuvres ont été contrariées , mais faudrait pouvoir discuter de tout ceci avec lui ou d’autres compétences .. Sous contrôle de sachant, je dirais que plus on s’éloigne du centre de gravité plus on augmente le moment piqueur en assiette positive , la fermeture d’un sas aurait freiné l’envahissement vers l’arrière tous mais avant lire ceci http://www.sous-mama.org/cours-de-connaissances-generales-du-sous-marin-classique-categories-3-14019.html
  11. quelques mots ici Infrared and Optics ; Developed first quantified bioluminescence detection model https://fas.org/nuke/guide/usa/slbm/ssbn-secure.htm
  12. Quelques pages sur la discrétion acoustique des soums https://www.bruit.fr/images/acoustique_techniques/AT48-3-10_compressed.pdf
  13. ARMEN56

    épave retrouvée

    Vue du PCNO extraite du document de Jean Le Tallec dont lien plus haut Bien se rendre compte que dans cette hypothèse de collision à IP schnorchell le soum s’est pris de travers un choc à décalotter le massif ; soum déséquilibré , équipage sonné à inhiber le cognitif , stress épouvantable , le tout aggravé par la possible dépression ( les GE fonctionnent ) du PCNO Qqes autres références d’ouvrage d’ingénieurs concepteurs du génie maritime et d’anciens commandants https://www.amazon.fr/Hydrodynamique-navale-sous-marin-Alain-Bovis/dp/2722509261 https://www.amazon.fr/Commandant-sous-marin-Terrible-Triomphant-sous-marins/dp/2746753901 https://www.amazon.fr/Livres-Pierre-Quinchon/s?rh=n%3A301061%2Cp_27%3APierre+Quinchon
  14. ARMEN56

    épave retrouvée

    http://www.sousmarinvenus.com/Schnorchel.html extraits du rapport l'amiral Barbier « Les mâts hissés, heurtés par la collision sont pliés, le tube d’air est plié, dans l’incapacité d’être rentré, le clapet de tête très vraisemblablement endommagé et bloqué, dans l’incapacité d’être fermé. » « En l’absence d’autre indice fourni par les prises de vue et les observations visuelles, en l’absence d’observations des deux-mâts, périscope d’attaque et tube d’air, non observés à ce jour, il est permis d’avancer les hypothèses suivantes : La MINERVE se rend compte très tardivement de la situation de proximité avec un bâtiment de commerce. Elle donne l’alerte ; le clapet général schnorchel est fermé. Le bâtiment de commerce heurte le tube d’air, en cours de rentrée, le clapet de tête est endommagé n’est plus étanche, le tube d’air se bloque. Avec le tube d’air bloqué, le clapet de tête bloqué ouvert, l’intégrité de la coque repose sur la fermeture de l’obturateur coupole. Si celui-ci se ferme, la MINERVE se retrouve dans le cas d’une voie d’eau obturée au bout d’un certain délai. Les calculs conduits dans cette étude ont montré qu’une telle situation avait pu conduire à la perte de la MINERVE » « Un autre facteur aggravant peut être le non-arrêt du ou des GE à l’alerte, ce qui va augmenter la dépression dans le bord et augmenter d’autant le débit d’entrée et le volume d’eau embarqué, at aussi augmenter stress et détournement d’attention dans l’équipage » Commentaire Si l’obturateur de coupole ne se ferme pas , l’eau rentre au point tel qu’à 100 m , suivant les simulations du rapport page 68 , au bout de 43’’ le soum a embarqué 35 tonnes , alors que le potentiel d’allègement d’urgence (chasse et plomb ) n’est que de (14.5 + 8) 22.5 tonnes donc soum encore lourd….) Confusion avec Georges Kervorkian (*)qui a effectivement écrit un bouquin sur les accidents de soum https://livre.fnac.com/a1766208/Georges-Kevorkian-Accidents-des-sous-marins-francais-1945-1983 (*) Ingénieur de la DCAN ayant suivi de très près l'entretien des soums à l'arsenal de Toulon
  15. ARMEN56

    épave retrouvée

    Bonjour et bienvenu Rien à rajouter aux avis des officiers ( Ingénierie et opérationnels experts en la matière ) à savoir qu’en cas de voie d’eau , après collision l’hypothèse ici , il existe des procédures d’allègement d’urgence ; chasse aux ballasts et largage de plomb ; la chasse rapide et largage des plombs doivent être capable de contrer rapidement l’alourdissement causé par une voie d’eau à immersion max, obturable rapidement . Bv noter dans les conclusions de l’Amiral ; La collision a endommagé tube d’air et clapet de tête, entrainé une voie d’eau, créé un stress intense parmi l’équipe de quart.
  16. ARMEN56

    Le(s) PA de la Royale

    sur cette pièce là ?
  17. ARMEN56

    Le(s) PA de la Royale

    Mon incompétence totale en la matière a cependant bcq apprécié ces explications ;-) https://omnirole-rafale.com/differences-entre-le-rafale-marine-et-air/
  18. ARMEN56

    épave retrouvée

    Oui j'ai vu , super boulot ! Lui ai fait suivre qqs plans des 800 t qui trainaient au SHD avant le piratage Point saignant du rapport "collision à l’immersion périscopique avec un bâtiment de surface avec une probabilité de 75% : les observations visuelles montrent que la Minerve naviguait au schnorchel, que le tube d’air et le périscope d’attaque ont été arrachés de leur fût, que la partie supérieure du massif a été arrachée, faits qui ne sont pas des conséquences de l’implosion de la coque, mais sont dus à une collision" Ce qu'on pouvait lire plus haut sur ce topic fin juillet 2019 « Perplexe » sais pas si c’est le bon terme , en tout cas abordage ou collision ( par sous marin ? ) qualifié de peu probable n’ont jamais été vraiment écartés formellement. En ce sens j’avoue que la découpe franche de la peau du kiosque au niveau de l’immatriculation nettement visible m’a intrigué. Collision ? sachant qu’il ne s’agit pas là de coque épaisse mais de coque fine non sollicitée par la pression hydrostatique et je sais bien qu’il s’agit d’une image partielle…etc Alors pour cette partie manquant du kiosque, il est fort probable qu’il s’agisse d’un dégât collatéral d’implosion ( sas d’accès) ou coque épaisse , dégâts structures accentués par chute sur le fond bien entendu , pour autant doit on écarter comme cause initiatrice un choc de rencontre à ce niveau ? Si oui alors je me suis trompé »
  19. ARMEN56

    épave retrouvée

    "Causes de la disparition de la Minerve Ci-contre, le rapport final établi par l'amiral Barbier qui a plongé sur l'épave le 31 janvier 2020 à bord du sous-marin "Limiting Factor". A cette occasion après avoir analysé à la fois les images de l'épave, il a s'approcher et regarder les éléments qu'il souhaitait voir de près pendant de 6 heures. Il est seul à avoir pu se livrer à un tel examen. L'amiral Barbier, ancien officier sous-marinier à la retraite, a une longue expérience de navigation à bord de nombreux type de sous-marins dont des Daphné identiques à la Minerve. Il a également une expertise en termes d'analyse d'accidents aériens. Il est Expert de justice près la Cour d'appel d'Aix en Provence, agréé par la Cour de cassation. Cette expertise reste la seule réalisée depuis la découverte de l'épave. Elle le restera sans doute encore longtemps, car il n'existe aucun autre projet sur ce plan". "Ainsi, les observations visuelles et les prises de vue apportent quelques éléments et indices accréditant la thèse de la collision de la MINERVE avec un bâtiment de commerce." https://hervefauve.wixsite.com/270168minerve/rapport-sur-les-causes
  20. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    pas tout récent mais intéressant "LA TECHNOLOGIE DES REACTEURS DE PROPULSION NAVALE par Charles FRIBOURG, Directeur Technique de Technicatome" https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/33/048/33048066.pdf https://fr.calameo.com/read/005868215cdb3c69ff7b2 https://fr.calameo.com/read/0004132413b79a7dbab61
  21. Je sais bien que NG n'est pas MN......des news quand même d'O/F de ce jour
  22. L’introduction de l’électricité dans la marine militaire, 1880 – 1935 Thèse ; Résumé : Dès 1880, le projecteur photo-électrique contribue à la protection des cuirassés contre les torpilleurs, ouvrant la voie à de multiples applications embarquées. Alors qu’à terre l’électricité se répand sous la forme de réseaux socio-techniques, le processus de l’électrification des navires militaires interfère fortement avec les innovations des armes navales. Après la diffusion de l’éclairage intérieur, nombre de servitudes quittent la motorisation à vapeur pour des dispositifs électromécaniques. Au service de la mission militaire, ces usages sont énergivores et la maîtrise du système technique devient impérative, sa fiabilité étant un enjeu au combat. Vers 1910, la complexité de l’outil fait apparaître un professionnalisme spécifique, indispensable pour que chacun dispose d’une énergie devenue essentielle. Le savoir-faire du marin électricien s’appuie sur des écoles de formation et sur la l’expérience acquise, l’équipage et sa hiérarchie adaptant en autonomie les pratiques à leur environnement. Durant cette période, seule l’US Navy expérimente la propulsion électrique sur un bâtiment de surface et elle n’en généralise pas l’usage. Par ailleurs, les cultures maritimes différentes des flottes facilitent ou entravent la motorisation électrique des tourelles blindées. L’artillerie navale est l’ultime conquête de cette jeune énergie, mais deux freins brident ce système technique électrique: le courant continu limite les performances des génératrices et les asservissements de puissance manquent de modèles conceptuels face aux boucles de rétroaction. En 1930, devenue incontournable à bord, l’énergie électrique y apporte une contribution essentielle aux armes navales. https://halshs.archives-ouvertes.fr/tel-02876149/document Récemment m’étais amusé à m’interroger sur l’évolution des bilans de puissance électrique sur les navires militaires entre l’avant guerre à de nos jours . Comprendre à cet égard que le début des années 60 a vu la puissance des équipements électroniques multipliée , en raison besoin énergivore BF des radar-sonar, et que concomitamment cette époque a vu également pousser la nécessité de doter les navires de groupes frigo-air , un double besoins imposés d’abord pour la climatisation /confort - missions vers nos bases ultra marine- et ensuite pour la réfrigérations des équipements baies ..à l’eau glacée beaucoup plus caloportrice que l’eau de mer. Tout ceci pour arriver au constat qu’à iso déplacement entre un « Mogador » et une frégate moderne « Formidable » la puissance électrique installée aura été multipliée par 10. Bilan de puissance électrique
  23. J'imagine que si en analyse fonctionnelle on en a prévu un, c'est qu'on doit avoir du retex sur les avaries de LA et composants. Pour Barracuda c'est du mak taggart scott cf page 26 https://vdocuments.site/mts-submarine-equipment-2013-rev1.html peut être utilisé en manœuvre aussi https://www.mactag.com/defence/emergency-propulsion-system On en avait parlé ici http://www.air-defense.net/forum/topic/1531-sna-suffren-snle-et-ssgn-capacité-française/page/58/?tab=comments#comment-1163390 Panne de la prop , on mouille pour ne pas dériver
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