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Allemagne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Le Rwanda est une des pires dictatures du monde. Le Rwanda est l'un des pires modèles que pourrait prendre l'Allemagne. -
Russie et dépendances.
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
https://frenchquartermag.com/interview-de-karl-schlogel-historien-et-auteur-par-french-quarter-magazine/?lang=fr (13 août 2021) The Scent of Empires de Karl Schlögel, c’est l’histoire de deux parfums révolutionnaires (Chanel n°5 et Red Moscow) et de leurs créateurs au centre d’une saisissante histoire olfactive du XXe siècle. Les deux parfums ont des racines dans la Russie tsariste, en particulier dans un parfum développé par deux parfumeurs français, Ernest Beaux et Auguste Michel. Une histoire de pouvoir, d’intrigue et de trahison qui se concentre sur Chanel n°5 et qui a fêté son 100e anniversaire le 5 mai 2021 dernier et le parfum soviétique Red Moscow. En 1913, une société française installée dans l’Empire russe créa un parfum en l’honneur du 300ème anniversaire de l’accession au pouvoir des Romanov. Après la révolution, l’un de ses créateurs rentra en France et fit la rencontre de Gabrielle « Coco » Chanel, qui décida de commercialiser sa création. L’autre parfumeur resta en Russie soviétique, où il participa à la reconstruction de l’industrie cosmétique et de la parfumerie dans la Russie postrévolutionnaire. Les carrières de ces deux parfumeurs se sont terminées de manières très différentes : tandis qu’Ernest Beaux est devenu l’une des plus célèbres figures de l’industrie française de la parfumerie, August Michel a disparu dans la tourmente des purges staliniennes. On ignore totalement ce qu’il est devenu. Il existe également un parallèle entre les carrières de Coco Chanel et de Polina Molotova-Jemtchoujina, directrice de l’industrie soviétique de la parfumerie pendant de nombreuses années. Alors que Coco Chanel collabora avec les Allemands pendant l’occupation de Paris, Polina Molotova-Jemtchoujina, qui faisait partie du cercle intime de Staline, fut accusée dans les dernières années de la présence de celui-ci au pouvoir d’être « nationaliste » et « sioniste, » et envoyée au goulag. Elle y resta jusqu’après la mort de Staline. Ce livre parle donc également de paysages olfactifs, de luxe et de pouvoir. -
Allemagne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
L'AfD et la Chine : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alice_Weidel Au terme de ses études secondaires à Versmold, achevées en 1998, Alice Weidel fait des études d'économie et de gestion d'entreprise à l'université de Bayreuth. Elle obtient plus tard un doctorat en 20113. Sa thèse, rédigée sous la direction de l'économiste Peter Oberender (de), est consacrée à l'avenir du système de retraite en Chine. Elle obtient son premier poste chez Goldman Sachs et travaille également chez Allianz Investors. Considérée comme une spécialiste de l'Asie, elle améliore son mandarin lors de six années passées en Chine. Après avoir quitté le monde de la banque et de la finance, elle entame une carrière de consultante indépendante pour des startups. https://www.sinoskop.de/blog/china-policy-afd-2024/ (9 février 2024) La recherche du terme « Chine » sur le site officiel du parti « Alternative pour l'Allemagne » ne donne que peu de résultats. Les articles les plus récents sur la Chine ont été publiés en 2022. Le président M. Chrupalla met en garde : Si la guerre économique contre la Russie s'étend maintenant à la Chine, nous nous priverons de ressources et de technologies supplémentaires. C'est pourquoi nous devons entretenir des relations avec la Chine. Nous devons garder toutes nos options ouvertes"[1]. Mme Weidel, chef de file de l'AfD, critique l' » autosatisfaction “ de la ministre allemande des affaires étrangères en lui adressant un autre avertissement : ” Il est extrêmement dangereux de s'opposer aussi ouvertement à la Chine aujourd'hui[2]. Les résultats de la recherche sur la « Chine » sont légèrement plus récents sur le site web du groupe parlementaire du parti. Les déclarations les plus récentes datent de juillet 2023. Deux autres exemples. Le porte-parole du parti en matière de politique étrangère critique la stratégie chinoise du gouvernement allemand, qu'il juge « préoccupante à plusieurs égards » : Tout d'abord, le document ne mérite pas son nom : il s'agit d'une tentative d'imposer l'idéologie verte et les intérêts géopolitiques américains sous le couvert d'une stratégie pour la politique étrangère allemande[3]. En revanche, l'évaluation de Mme Weidel concernant le premier voyage de la délégation de l'AfD en République populaire de Chine (RPC) en juin 2023 est beaucoup plus positive : Nos interlocuteurs chinois se sont montrés très ouverts et intéressés et ont été très bien informés de notre travail à Berlin. Les prochaines étapes sont déjà planifiées. [4] Selon le communiqué de presse, les délégués ont trouvé impressionnant à quel point la numérisation et l'IA font déjà partie de la vie quotidienne à Shanghai et à Pékin. En outre : La réduction des risques et le découplage ne sont pas des stratégies géopolitiques européennes ou même allemandes. Le commerce avec la Chine est trop important pour que nous nous laissions entraîner dans de nouveaux conflits. [5] Fin 2022, le portail médiatique allemand Correctiv a publié plusieurs documents internes du groupe de travail sur la politique étrangère du groupe parlementaire de l'AfD. L'un d'entre eux concerne la Chine et s'intitule « En faveur d'une politique chinoise réaliste, pacifique et indépendante de l'Allemagne ». Ce document de six pages décrit les relations souhaitées par l'AfD avec la RPC. Selon ce document, les relations germano-chinoises sont « la preuve que la division internationale du travail apporte la prospérité ». Les deux pays sont décrits comme des gagnants de la mondialisation et l'Allemagne devrait donc plaider en faveur d'une « coopération internationale pacifique et stable » avec la Chine. L'une des principales demandes de l'AfD est que l'Allemagne adopte une « politique chinoise indépendante et sûre d'elle, indépendante des directives de l'UE ». Certaines politiques de l'UE semblent toutefois acceptables pour ce parti radicalement opposé à l'UE : Ce faisant, nous tiendrons compte des accords-cadres signés entre l'UE et la Chine dans les domaines de l'éducation, de la culture, de l'économie, de la science et de la technologie ainsi que de la politique. [6] La section sur la « souveraineté numérique » contient la seule mesure politique qui n'est pas en faveur d'une plus grande coopération nationale avec la Chine. L'implication d'entreprises « contrôlées par des gouvernements étrangers » dans la construction du réseau 5G allemand est considérée comme « inacceptable », car elle « mettrait en péril » la sécurité nationale. L'exclusion du fournisseur chinois d'équipements de réseau Huawei est donc justifiée comme une mesure « nécessaire ». -
Remettre en liberté, c'est pas commuer une peine de prison plus longue en une peine de prison plus courte ?
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Allemagne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Musk n'a pas intérêt à une confrontation avec la Chine, car c'est son marché extérieur le plus important, bien avant l'Allemagne, et c'est son fournisseur de batteries. D'une certaine façon Tesla est une entreprise d'automobile chinoise - presque - comme les autres. Peut-être que le rapprochement avec l'AfD se situe là : défaire les logiques de guerre froide, de manière à reprendre la mondialisation, à recoupler les économies chinoise et américaines découplées. https://thediplomat.com/2023/06/elon-musks-chinese-odyssey/ (6 juin 2023) Contrairement à l'intention du gouvernement américain de rapatrier les capitaux et la production, M. Musk souhaite renforcer l'empreinte de Tesla dans les secteurs chinois des véhicules électriques et des batteries. Le cours de l'action Tesla a grimpé en flèche pendant la visite de M. Musk. M. Musk aurait comparé la Chine et les États-Unis à des jumeaux conjoints, laissant entendre que le découplage des deux plus grandes économies du monde n'est pas seulement coûteux, mais aussi potentiellement destructeur. L'importance de la Chine pour M. Musk est évidente : la Chine n'est pas seulement le deuxième marché de Tesla, elle joue également un rôle crucial dans la capacité de production de Tesla, contribuant à plus de la moitié de sa production mondiale. En 2022, la Gigafactory de Tesla à Shanghai a exporté 271 000 véhicules, ce qui représente un tiers de la production totale de l'usine. Le gouvernement de Shanghai a apporté un soutien politique et financier spécial à la Gigafactory de Tesla à une condition : les VE vendus en Chine devaient incorporer au moins 90 % de pièces et de composants fabriqués en Chine. Tesla a atteint cet objectif en augmentant le pourcentage de ses composants d'origine locale, de 50 % en 2019 à 70 % en 2020, pour finalement dépasser 95 % en 2022. La perspective d'un découplage entre Tesla et la Chine, surtout si l'on tient compte de la position dominante de la Chine dans la chaîne d'approvisionnement des véhicules électriques et de plusieurs minéraux essentiels utilisés dans les batteries des véhicules électriques et de l'électricité, pourrait entraîner des risques considérables. -
Allemagne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://electrek.co/2025/01/16/tesla-boycott-is-gaining-momentum-in-germany-due-to-elon-musks-meddling-in-politics/ Cela (...) a conduit à un boycott de la plateforme X de Musk en Allemagne, lancé par « plus de 60 organisations académiques allemandes et autrichiennes ». Le boycott de la plateforme X s'étend maintenant à Tesla. Après Rossmann, LichtBlick, une grande entreprise d'énergie en Allemagne, se joint au boycott de Tesla. L'entreprise l'a annoncé sur LinkedIn cette semaine. Même si cela n'a pas un grand impact, les ventes de Tesla sont déjà en train de s'effondrer en Allemagne. Les ventes ont baissé de 41 %, soit environ 26 000 unités, en 2024 par rapport à 2023. -
19 septembre 2019. Revue Esprit. Christopher Lasch et la critique du progrès [Renaud Beauchard] Christopher Lasch est le reflet des tensions qui ont traversé le XXe siècle aux États-Unis, principalement depuis 1945. Fils de militants radicaux et partisans d’un « socialisme authentiquement démocratique », il étudie la théologie à Harvard et se lance dans un inventaire du « rationalisme optimiste » de ses parents. C'est à partir des années 1970 qu’il commence l’écriture de ses ouvrages majeurs. Après une enquête de grande ampleur sur la famille, il débute un cycle de trois essais sur la personnalité narcissique, emblématique du capitalisme contemporain : La culture du narcissisme (1979), Le seul et vrai paradis (1991) et La révolte des élites (1994). « Le marché mondial de production en série de biens de consommation et la bureaucratie publique et privée tentaculaire qui en est le corollaire sapent la confiance de l'individu en sa capacité à comprendre le monde, à le façonner, mais aussi à subvenir à ses propres besoins. [...] Dans un tel environnement, l'individu multiplie des défenses qui lui permettent de réprimer sa rage intérieure, il se fait une raison et développe un type de personnalité parfaitement adapté au monde qui l'entoure. Cela le conduit à se penser comme une machine désirante. » Pour Renaud Beauchard, l'œuvre de Lasch a un aspect antimoderne par sa critique de l'individualisme consumériste contemporain, mais elle est porteuse en même temps d'une défense du projet émancipateur des Lumières. Il s’inscrit dans une tradition alternative au libéralisme, celle de l’humanisme civique : « Dans un monde qui devient de plus en plus inintelligible, Lasch fait un constat désespéré de l’état du caractère démocratique de l’individu, qu’il attribue à une faillite intellectuelle du libéralisme ».
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Est-ce qu'il y a des cas de censure par Musk sur Twitter/X de gens avec qui il est en désaccord ?
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Chine
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.coface.com/fr/actualites-economie-conseils-d-experts/made-in-china.-comment-la-chine-pourrait-sortir-de-l-impasse-de-la-surcapacite (7 novembre 2024) Les risques de surcapacité ne se limitent pas à des secteurs spécifiques et sont désormais patents pour les biens de consommation, les matériaux de construction ainsi que les machines et le matériel de transport. En outre, le problème pourrait s'aggraver si la croissance de l'investissement en capital fixe continue de dépasser celle de la production, accentuant ainsi l'excès de capacité, surtout si la demande intérieure ne suit pas. Malgré les efforts de la Chine pour renforcer ses liens avec le Sud, de nombreux pays émergents continuent d'ériger des barrières commerciales afin de protéger les emplois et les producteurs nationaux. L'Indonésie envisage par exemple d'imposer des droits de douane allant jusqu'à 200 % sur une série de produits industriels de base importés de Chine. L'augmentation des frictions commerciales pourrait à son tour inciter les entreprises chinoises à investir directement dans des pays cibles afin de contourner ces obstacles. L'ASEAN reste la principale destination des investissements chinois en 2022-2023, tandis que la Hongrie est le principal bénéficiaire en Europe, recevant 4,5 % des IDE (Investissements Directs Etrangers) chinois. Néanmoins, les investissements chinois sont de plus en plus surveillés par les gouvernements des pays développés, notamment pour des raisons de sécurité nationale. En Europe, bien que la surveillance se soit intensifiée, certains pays comme la Hongrie, la Pologne et l'Italie continuent d'accueillir ces investissements, en particulier dans le secteur des véhicules électriques. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.coface.com/fr/actualites-economie-conseils-d-experts/les-prix-du-gaz-reviennent-sur-le-devant-de-la-scene-alors-que-les-stocks-europeens-s-amenuisent (22 janvier 2025) Les prix du gaz en Europe augmentent alors que les stocks diminuent plus rapidement que prévu, en raison du temps plus froid, de la réduction de la production d'énergie renouvelable et de la fin du transit du gaz russe par l'Ukraine. Avec des stocks désormais inférieurs à la moyenne saisonnière d'avant-guerre, l'Europe est confrontée à une pression croissante pour sécuriser ses approvisionnements avant l'hiver 2025-2026. Début janvier 2025,le prix du gaz européen (TTF) a dépassé les 50 EUR/MWh, marquant une hausse de +50% en glissement annuel et son plus haut niveau depuis octobre 2023. Les stocks européens de gaz naturel sont 17% inférieurs à leur niveau d'il y a un an. Sans risque immédiat de pénurie d'énergie en Europe, les stocks de gaz devraient terminer l'année à un niveau inférieur à ceux de 2023 et 2024, nécessitant des achats importants avant l'hiver 2025-2026. La fin du transit du gaz russe par l'Ukraine depuis le 1er janvier a contribué à faire grimper les prix du gaz européen à leur plus haut niveau depuis 15 mois. Depuis le début de la guerre en février 2022, la dépendance de l'Europe à l'égard du gaz russe est passée de 45% à 18% en 2024 de ses importations totales. Francfort a atteint les 878 degrés-jours de chauffage cet hiver, bien supérieurs aux 735 degrés-jours de chauffage de 2024. Pour compenser cette baisse de production d'électricité renouvelable l'Europe a dû puiser dans ses stocks. Ces derniers sont ainsi 17 % inférieurs à leur niveau d'il y a un an et légèrement inférieurs à leur moyenne saisonnière d'avant-guerre ukrainienne. Bien qu'il n'y ait pas de risque important de pénurie d'approvisionnement, les stocks de gaz devraient se terminer à des niveaux inférieurs à ceux des deux hivers précédents, au cours desquels les niveaux de remplissage se situaient entre 55 % et 60 %. Comme le suggèrent les prix à terme du contrat TTF néerlandais, les prix du gaz européen devraient rester environ 50 % plus élevés qu'en 2024, et plus de deux fois plus élevés que les niveaux d'avant la guerre en Ukraine. Dans le même temps, la dépendance de l'Europe à l'égard du GNL américain devrait s'accroître. Les États-Unis ont été les principaux bénéficiaires de la baisse des importations européennes de gaz russe, la part des importations de gaz américain étant passée de 6 % à 19 % au cours de la même période. https://www.atlanticcouncil.org/blogs/new-atlanticist/trumps-clear-path-to-securing-us-oil-and-gas-dominance/ (23 janvier 2025) Les États-Unis et la Russie s'affrontent sur les marchés de l'énergie, en particulier du gaz naturel, l'Europe étant le principal champ de bataille. Les coûts élevés liés aux longues distances et au canal de Panama limitent la compétitivité du GNL de la côte du Golfe en Asie par rapport aux producteurs qataris et australiens. En revanche, les cargaisons américaines à destination de l'Europe parcourent des distances plus courtes que les cargaisons à destination de l'Asie et évitent les frais de transit par le canal de Panama. Il est important de noter qu'un retour significatif du gaz russe en Europe nuirait gravement aux exportateurs américains de GNL et à l'agenda « America First » de Trump. Les projections suggèrent qu'il pourrait y avoir une surabondance mondiale de GNL au cours de cette décennie si tous les projets prévus sont menés à bien. En outre, la reprise d'importants flux de gaz russe vers l'Europe, bien qu'apparemment improbable à l'heure actuelle, mettrait la pression sur les exportateurs américains de GNL. Les États-Unis et la Russie sont également rivaux sur les marchés pétroliers. Les exportations américaines de brut sont passées de 700 000 barils par jour en janvier 2017 à 4 millions aujourd'hui. Depuis février 2022, les exportations américaines de brut vers l'Europe ont augmenté de 800 000 barils par jour, contribuant à déplacer la production russe qui a été interrompue à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Les États-Unis devraient saisir cette occasion pour s'assurer que les exportations américaines de GNL à long terme vers l'Europe remplacent définitivement les flux de gaz naturel russe. En effet, Trump peut contribuer à la domination énergétique des États-Unis en renforçant les sanctions contre le secteur énergétique russe. -
Groenland et Arctique : actifs strategiques très convoités
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Janus dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.coface.com/fr/actualites-economie-conseils-d-experts/le-groenland-continue-d-avancer-progressivement-vers-l-independance-malgre-les-ambitions-de-donald-trump#mineraux-rares-et-ressources-naturelles (20 janvier 2025) Le Groenland possède 25 des 34 minéraux essentiels répertoriés par la Commission européenne. Toutefois, compte tenu de la rigueur du climat et du froid, la plupart des recherches initiales ont montré qu'il serait trop coûteux d'exploiter une grande partie des ressources potentielles. La volonté d’éviter une dépendance excessive à l'égard de certains pays et la hausse des températures ouvrent cependant des perspectives à l’exploitation minière. Ces perspectives sont néanmoins limitées par la politique intérieure, le Groenland ayant introduit en 2021 une législation prévoyant l'arrêt de la délivrance de nouvelles licences pour l'exploration pétrolière et gazière, ainsi qu'une législation interdisant l'exploration et l'exploitation minière de l'uranium. -
Groenland et Arctique : actifs strategiques très convoités
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Janus dans Politique etrangère / Relations internationales
Il semblerait que Nauja Lynge ait tort : https://www.coface.com/fr/actualites-economie-conseils-d-experts/le-groenland-continue-d-avancer-progressivement-vers-l-independance-malgre-les-ambitions-de-donald-trump Le pays est également très dépendant du soutien du gouvernement danois sous la forme du « bloktilskud », une subvention globale, qui représente environ la moitié des recettes publiques. Sur le plan commercial, 50 % de ses exportations sont destinées au Danemark et 60 % de ses importations en proviennent. https://en.wikipedia.org/wiki/Greenlandic_independence#Moves_towards_independence Un sondage réalisé en 2016 a révélé une nette majorité (64 %) en faveur de l'indépendance totale parmi les Groenlandais[25], mais un sondage réalisé en 2017 a montré une nette opposition (78 %) si cela signifiait une baisse du niveau de vie. -
Tout plein de problèmes sont apparus durant les mandats d'Obama, mais ce n'est pas Obama qui en est responsable. De même le covid est apparu durant la présidence Trump sans que Trump en soit responsable. La chute des taux de natalité commence en 2007, donc avant 2012 : source : https://econofact.org/the-mystery-of-the-declining-u-s-birth-rate (15 février 2022) Ce déclin ne peut s'expliquer par des changements démographiques, économiques ou politiques. Le changement de priorités pourrait être le principal moteur de la baisse du taux de natalité depuis 2007. Des données d'enquête et des données anecdotiques suggèrent que les cohortes plus récentes de jeunes adultes ont peut-être des préférences différentes pour avoir des enfants, des aspirations pour la vie et des points de vue sur les normes parentales qui sont à l'origine de la baisse du taux de natalité aux États-Unis. Ces changements pourraient refléter des préférences et des normes qui ont évolué principalement au cours des décennies précédentes, bien avant 2007 - telles que des pratiques parentales plus intensives et des opportunités économiques accrues pour les femmes - d'une manière qui a profondément façonné la vision du monde des jeunes adultes d'aujourd'hui. La crise des opioïdes est antérieure à 2012 : Entre 2006 et 2015, Purdue et d'autres producteurs d'analgésiques, ainsi que les organismes sans but lucratif qui leur sont associés, ont dépensé près de neuf cents millions de dollars en lobbying et en contributions politiques, soit huit fois plus que le lobby des armes à feu durant cette période.
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https://www.lefigaro.fr/international/nucleaire-iranien-donald-trump-tente-par-une-reprise-des-negociations-20250124 Nucléaire iranien : Donald Trump tenté par une reprise des négociations https://www.aa.com.tr/en/americas/trump-says-new-nuclear-deal-with-iran-can-be-brokered/3460920 (24 janvier 2025) Trump affirme qu'un nouvel accord nucléaire avec l'Iran peut être négocié Il y a des moyens de s'assurer que l'Iran n'atteindra pas l'arme nucléaire si l'accord est bien conçu, déclare le président américain.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
https://lecourrier.ch/2022/06/27/une-proxy-war-sur-le-dos-de-leurope/ (27 juin 2022) Pour l’ancien colonel Richard Black, représentant de l’Etat de Virginie (1998-2006), puis sénateur (2012-2020) et ancien délégué étasunien auprès de l’Otan, c’est bien d’une proxy war qu’il s’agit en Ukraine, un art dans lequel les Etats-Unis sont passés maîtres1. Avis partagé par le professeur de science politique John Mearsheimer, de l’université de Chicago, qui souligne la politique de provocation délibérée des Etats-Unis depuis la fin de la guerre froide, via le soutien aux factions antirusses et l’extension de l’Otan aux marges de la Russie2. Une position appuyée également par Christopher Caldwell dans son éditorial du New York Times, «La guerre en Ukraine pourrait être impossible à arrêter. Et les Etats-Unis sont les principaux à blâmer.»3 1 Un terme de «guerre par procuration» également repris par le Prof. David Bromwich (Yale), David Bromwich, «Waging proxy war in Ukraine won’t save us from ourselves» in The Nation, May 27, 2022. https://www.nytimes.com/2022/05/25/world/europe/henry-kissinger-ukraine-russia-davos.html (25 mai 2022) Kissinger suggère que l'Ukraine cède des territoires à la Russie, ce qui provoque une levée de boucliers. S'exprimant par liaison vidéo au Forum économique mondial de Davos, en Suisse, lundi, M. Kissinger a déclaré que l'échec de la reprise des négociations avec la Russie et la poursuite de l'aliénation du Kremlin auraient des conséquences désastreuses à long terme pour la stabilité de l'Europe. « Les négociations doivent commencer dans les deux prochains mois avant de créer des bouleversements et des tensions qui ne seront pas faciles à surmonter », a-t-il déclaré. « Idéalement, la ligne de démarcation devrait être un retour au statu quo ante », a-t-il ajouté, faisant apparemment référence à un rétablissement des frontières de l'Ukraine telles qu'elles étaient avant le début de la guerre en février. « Poursuivre la guerre au-delà de ce point n'aurait pas pour but la liberté de l'Ukraine, mais une nouvelle guerre contre la Russie elle-même ». https://www.weforum.org/stories/2022/05/kissinger-these-are-the-main-geopolitical-challenges-facing-the-world-right-now/ (23 mai 2022) Henry Kissinger Il y a environ huit ans, lorsque l'idée d'une adhésion de l'Ukraine à l'OTAN a été évoquée, j'ai écrit un article dans lequel je disais que l'idéal serait que l'Ukraine puisse être constituée comme un État neutre, comme un pont entre la Russie et l'Europe. À mon avis, il faut que le mouvement vers les négociations et les négociations de paix commencent dans les deux mois à venir pour que l'issue de la guerre soit définie. Mais avant, cela pourrait créer des bouleversements et des tensions qui seront toujours plus difficiles à surmonter, en particulier entre les relations éventuelles de la Russie, de la Géorgie et de l'Ukraine avec l'Europe. Idéalement, la ligne de démarcation devrait revenir au statu quo ante. Je pense que rejoindre la guerre au-delà de la Pologne la transformerait en une guerre non pas pour la liberté de l'Ukraine, qui a été entreprise avec une grande cohésion par l'OTAN, mais contre la Russie elle-même, et il me semble donc que c'est la ligne de démarcation qu'il est impossible de définir. Il sera difficile pour quiconque d'évaluer cela. Des modifications pourraient intervenir au cours des négociations qui, bien sûr, n'ont pas encore été établies, mais qui devraient commencer à être le retour des principaux participants au fur et à mesure que la guerre évolue, et j'ai donné un aperçu d'une possible issue militaire. Mais je voudrais garder à l'esprit que toute modification pourrait compliquer les négociations dans lesquelles l'Ukraine a le droit d'être un participant important, mais dans lesquelles on espère que l'héroïsme dont elle a fait preuve pendant la guerre s'accompagnera de sagesse pour l'équilibre en Europe et dans le monde en général - une relation qui se développera à la suite de cette guerre, entre l'Ukraine - qui sera probablement la puissance conventionnelle la plus forte sur le continent - et le reste de l'Europe se développera sur une certaine période de temps. Mais il faut envisager les relations de l'Europe avec la Russie sur une période plus longue et d'une manière distincte des dirigeants actuels, dont le statut sera toutefois affecté au niveau interne pendant un certain temps par les résultats obtenus au cours de cette période. Dans une perspective à long terme, la Russie a été, pendant 400 ans, un élément essentiel de l'Europe, et la politique européenne pendant cette période a été affectée, fondamentalement, par l'évaluation du rôle de la Russie par l'Europe. Parfois de manière observatrice, mais à plusieurs reprises en tant que garant ou instrument permettant de rétablir l'équilibre européen. La politique actuelle doit garder à l'esprit que le rétablissement de ce rôle est important à développer, afin que la Russie ne soit pas poussée dans une alliance permanente avec la Chine. Mais les relations européennes avec la Chine ne sont pas le seul élément clé de cette [inintelligible]. -
Je pense - un peu avec Emmanuel Todd - que les États-Unis sont dans une phase de régression. Avec ses déclarations sur le Panama, le Canada et le Groenland, Trump se replie sur l'hémisphère occidental. Il essaie de contrôler plus étroitement, d'exploiter plus fortement une zone d'influence que les États-Unis contrôlent déjà. Il replonge les États-Unis dans la mentalité du 19e siècle, où a été établie la doctrine Monroe (1823). Il y a peut-être une véritable confrontation avec la Chine au niveau du Panama et de l'influence sur le canal. Mais pour le reste, c'est comme un mari qui bat sa femme (le Danemark est le meilleur ami des États-Unis avec qui ils ont de longues années de mariage), pour oublier les échecs et les difficultés qu'il rencontre à l'extérieur de la maison [comprendre pour les États-Unis à l'extérieur de cet hémisphère occidental], dans sa vie professionnelle, les humiliations par son patron, par la société en générale, sa diminution dans l'estime de ses camarades, etc... Pardon de faire de la psychologie de café du commerce... Trump ne sera pas "différent" mais il n'aura pas les moyens de faire autant que ce que les États-Unis faisaient au XXe siècle. Il va faire une politique du XIXe siècle non par choix mais par nécessité, parce que le pays n'a plus ni les compétences, ni l'industrie, ni la démographie, ni la santé qu'il lui faudrait pour faire plus.
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Le substack de Jefferson Morley, "JFK Facts" https://jfkfacts.substack.com/p/what-president-trump-can-do-to-fulfill (16 janvier 2025) Au cours de la campagne présidentielle de 2024, le président élu Donald Trump a déclaré à plusieurs reprises qu'il divulguerait le reste des documents retenus concernant l'assassinat du président John F. Kennedy. Sur la base de ce que j'ai appris des documents produits dans mon procès contre les Archives nationales concernant ses décisions de reporter à deux reprises la divulgation au cours de son premier mandat, M. Trump devra établir une procédure différente s'il a réellement l'intention de divulguer toutes les informations que le gouvernement possède au sujet de l'assassinat du président Kennedy. Le Congrès a adopté à l'unanimité le President John F. Kennedy Assassination Records Collection Act de 1992 (JFK Act) afin d'assurer la « divulgation publique rapide » des documents détenus par le gouvernement concernant l'assassinat du président Kennedy. Pour atteindre ces objectifs, le Congrès a demandé aux services gouvernementaux et aux agences exécutives de rechercher dans leurs dossiers les documents en leur possession relatifs à l'assassinat et de les transférer rapidement aux Archives nationales et à l'Administration des dossiers (Archives). Pour faire respecter cette présomption de divulgation, le JFK Act a créé l'Assassination Records Review Board (ARRB). De 1994 à 1998, ce comité a été habilité à déterminer si des informations particulières constituaient un dossier d'assassinat et à procéder à un examen indépendant des informations que les agences souhaitaient reporter. L'ARRB pouvait soit faire droit à la demande de report de l'agence, soit rejeter la demande de l'agence et ordonner aux Archives de divulguer publiquement l'information. Si l'ARRB accepte le report de l'information, il fixera une date, au plus tard le 26 octobre 2017, à laquelle l'information pourra être divulguée. À la veille de l'échéance légale du 26 octobre 2017 pour la divulgation des dossiers d'assassinat encore reportés, Trump a publié un décret ordonnant aux Archives de reporter temporairement de six mois la divulgation publique d'un nombre non spécifié de dossiers d'assassinat non identifiés. Il a ensuite publié un second décret le 26 avril 2018, demandant aux Archives de reporter à nouveau la divulgation publique d'un nombre encore indéterminé de dossiers d'assassinats non identifiés pendant trois ans et demi après la date limite fixée par la loi. Au cours de l'été 2017, les Archives se sont opposées aux demandes de repoussement du FBI et de la CIA, mais le NSC a rejeté ces objections. Il s'est avéré que Trump a posté sur Twitter le 24 octobre 2017 que tous les dossiers de JFK allaient être publiés dans deux jours, mais la version finale du décret était déjà en cours de préparation pour sa signature. Alors qu'il semblerait que M. Trump puisse simplement divulguer les dossiers d'assassinat retenus d'un trait de plume en signant et en publiant un décret, la réalité est que les présidents ne rédigent pas leurs décrets. Ils sont rédigés pour la signature du président soit par le bureau du conseiller juridique de la Maison Blanche, soit, plus fréquemment, par l'agence compétente en la matière. Au cours de la première administration Trump, le NSC a rédigé les décrets reportant les dossiers relatifs à l'assassinat de JFK. Désormais, tout décret devra annuler le décret du président Biden de 2023. Ce décret certifiait la poursuite du report des dossiers d'assassinat, indiquait que la déclassification future serait gérée par le Centre national de déclassification (NDC) et déclarait que le décret était la « certification finale » requise par la loi JFK. Plus précisément, tout décret de Trump doit également révoquer les « plans de transparence » préparés par les agences. Les « plans de transparence » représentent la liste des souhaits des agences quant aux événements ou circonstances futurs qui déclencheraient un examen de déclassification par opposition à une divulgation automatique. L'objectif des « plans de transparence » était d'éviter au président - ou plus exactement au personnel du NSC - d'avoir à procéder à ces certifications périodiques des documents reportés. En effet, la plupart des « plans de transparence » prévoient que ces examens de déclassification ne seront pas déclenchés avant au moins 2040, et certains événements ne se produiront probablement jamais. Le Congrès a le pouvoir de révoquer un décret, et il l'a déjà fait par le passé. Le 119e Congrès peut révoquer expressément le décret du président Biden de 2023 ; ordonner aux agences de divulguer tous les documents reportés dans les 30 jours suivant la promulgation ; déclassifier expressément les dossiers encore retenus du Church Committee et du House Select Committee on Assassinations ; répondre aux demandes de recherche de l'ARRB en suspens ; et créer un nouveau comité de révision JFK, appelé ARRB 2.0, pour achever le processus de recherche des documents gouvernementaux en suspens qui n'ont pas été transférés à la collection, tels que les dossiers de George Joannides et les enregistrements du FBI de l'opération d'infiltration CAM-TEX du chef de la mafia de la Nouvelle-Orléans, Carlos Marcello, qui ont été mis sous scellés depuis le milieu des années 1980. Au lieu de créer un ARRB 2.0, le Congrès pourrait spécifiquement accorder aux Archives l'autorité initiale de déclassification sur les informations considérées comme des documents relatifs à l'assassinat. De cette manière, les agences ne pourraient pas essayer de jouer la montre, comme elles l'ont fait avec tous les organismes d'enquête créés depuis l'assassinat.
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Sur les problèmes de déclassification des archives JFK, rendues obligatoires par une loi de 1992 que les administrations successives - y compris la première administration Trump - violent impunément : Voir aussi : https://forum.air-defense.net/topic/20649-usa-criailleries-2-rumeurs-controverses-polémiques/page/163/#comment-1598312 qui se réfère (1:19:29) à un sondage de 2022 où 71% des Américains interrogés réclament une ouverture des archives.
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C'est un effort de paix, c'est tout le contraire d'une guerre.
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Robert Francis Kennedy, le frère de JFK et père de RFK Jr.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
29 novembre 2024 : Boris Johnson avoue que la guerre d'Ukraine est une guerre par procuration ("proxy war") de l'Occident contre la Russie : -
Tu répondais à @gustave qui pointait un article de Radiofrance.fr qui rapproche Trump et Milei. Or Milei est probablement l'un des moins hégémoniques des présidents argentins si l'on se réfère à son indifférence pour les Malouines : - Est-ce que c'est pas plus le fait des néo-conservateurs, qui sont principalement des Républicains anti-Trump (Dick Cheney) et des démocrates (Hillary Clinton en Libye : "We came, we saw, he died", Victoria Nuland à Kiev : petits pains, "fuck the EU") que celui des Trumpistes ? Combien de guerres Trump a-t-il déclenchées durant son premier mandat ?
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Roumanie - histoire, politique, armée
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Zalmox dans Politique etrangère / Relations internationales
Tu me fais découvrir cette page de Wikipédia que je n'avais pas lue : Selon Matt McManus, qui écrit dans Jacobin, il s'agit d'un « exutoire idéologiquement syncrétique dans l'esprit de Christopher Lasch ». Qui est Christopher Lasch ? https://www.philomag.com/articles/christopher-lasch-un-penseur-iconoclaste-redecouvrir (29 février 2024) Le 14 février 1994 disparaissait Christopher Lasch. Foudroyé par une leucémie à l’âge de 61 ans, le sociologue et historien américain venait d’achever La Révolte des élites et la trahison de la démocratie, l’ouvrage qui est à ce jour resté comme son grand-œuvre (disponible en français ici, et préfacé par Jean-Claude Michéa). Publié en 1979, La Culture du narcissisme est certainement l’ouvrage le plus abouti du penseur américain. C’est, semble-t-il, une banalité que de dire que les élites sont déconnectées. On doit cependant à Christopher Lasch d’avoir éclairé, dans La Révolte des élites et la trahison de la démocratie, son ultime ouvrage achevé dix jours seulement avant son décès le 14 février 1994, la nature singulière prise par cette déconnexion dans la seconde moitié du XXe siècle. Les conclusions du sociologue sont sans appel : « Les classes intellectuelles (sic) se sont séparées non seulement du monde commun qui les entoure, mais aussi de la réalité elle-même. » Elles « ont perdu tout contact avec le peuple » et ses préoccupations concrètes, ce qui pose un problème radical à la vie démocratique. Car ce sont tout de même ces élites, pourtant dé-nationalisées, qui contrôlent la vie culturelle et configurent, à leur avantage, le débat politique. Ce sont elles qui dilapident, de l’intérieur, les structures et les institutions de la res publica qui entravent le grand mouvement d’ouverture, de fluidification générale, de déterritorialisation qui leur servent d’idéal. La lutte des classes a changé de visage, mais elle est loin d’être finie. -
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/concordance-des-temps/etats-unis-les-mythes-d-origine-4958500 (18 janvier 2025) Agnès Delahaye, autrice de Aventuriers, pèlerins, puritains. les mythes fondateurs de l'Amérique. Robert Walter Weir - Embarkation of the Pilgrims. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Walter_Weir https://en.wikipedia.org/wiki/Sarah_Josepha_Hale#Thanksgiving https://en.wikipedia.org/wiki/City_upon_a_Hill#Speech_by_John_Winthrop
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Inde : politique intérieure et internationale
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Il y avait quelque chose qui sonnait faux quand Von Der Leyen disait, "je vais aller voir Modi, signer des deals avec lui, c'est la plus grande démocratie du monde, embrassons-nous Folleville". Elle fait de la realpolitik, et essayer de déguiser cela sous des pseudo-valeurs communes est une insulte à notre intelligence.