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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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http://www.air-defense.net/forum/topic/20630-rafale/?do=findComment&comment=1626054
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Oui pour les pertes il faut prendre une marge sur le nombre d'avion, mais tu sais que tu pourra maintenir ta patrouille de 2 avions en permanence jusqu'à ce qu'il t'en reste que 3 si tu prends des Rafale et ce pendant un mois ou jusqu'à ce qu'il t'en reste 18 et ce pendant un an. L'attrition ne joue pas jusqu'à ce que tu arrives à l'os parce que la machine à extraire des heures de vol réelles reste la même.
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Et je reviens sur l'argument du fait qu'un avion ne peut pas être à plusieurs endroits à la fois: c'est vrai, mais en fait cette capacité dépend non pas de la taille de la flotte mais du nombre d'avions que tu est capable de mettre en vol simultanément, et ce nombre est beaucoup plus corrélé avec le flux d'heures de vol réelles que tu es capable de produire que de la taille de ta flotte. Je vais illustre ce que ces chiffres veulent dire: Dans un an il y a 365 X 24 = 8760 h et dans un mois il y a 8760/24 = 730 h. Si tu veux avoir une patrouille de 2 avions en vol 7 jour sur 7, 24h sur 24 il te faudra 1460 heure de vol et 3 4 Rafale vont suffire, chaque Rafale pouvant voler 50% du temps (350 h sur 730) à peu près. Si tu prends des F-35, ils pourront produire 13h 1/3 par mois et il t'en faudra 110, comme on est en surge et qu'on suppose qu'ils sont tous en état de vol à l'instant initial on va dire qu'on y arrivera avec 55. Si on regarde sur un an la même patrouille de 2 avions en permanence, il faudra 17520 h que tu peux obtenir avec 18 Rafale où avec 110 F-35. C'est sûr qu'à la sortie les Rafale seront plus usés que les F-35.
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Oui mais la maintenabilité du Rafale est si grande que l'on peut tirer un flux d'heures de vol réelles si grand ( 350 h par mois et par avion au maximum) que la taille de la flotte n'est plus un critère dimensionnant, tandis que le flux que tu peux tirer d'un F-35 semble limité à 150 - 160 h par an et là ça devient dimensionnant.
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Je crois que le nombre de Rafale n'est qu'une réserve d'heure de vol potentiel, et que les équipes au sol ainsi que les pilotes constituent une machine à extraire des heures de vol réelles de la réserve d'heure potentielle. Partant de là il faut que cette machine puisse assurer le cas le plus défavorable qui est celui où on a des OPEX en cours et où un conflit de haute intensité nous tombe dessus. Cette machine sera donc surdimensionné pour le temps de paix, et le nombre d'avion sera dérivé de la taille de cette machine.
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
SCAF : Airbus et Dassault s'apprêtent à faire stand à part au Bourget Airbus a invité Dassault aviation à partager un espace pour promouvoir le système de combat aérien du futur (SCAF) au cours de la prochaine édition du salon aéronautique du Bourget. Une main tendue qu'Eric Trappier, patron du second, n'entend pas pour l'heure accepter. -
Alors je vais donner ma vision des choses, concernant la production et la livraison de Rafale pour la France. D'abord la production: Lorsqu'on a détourné des Rafale Français pour les vendre à L'Egypte, la France avait commandé 180 Rafale, et il en restait 28 à livrer, et déjà depuis la LPM précédente l'Etat Français souhaitait arrêter les livraisons à la France, estimant qu'il avait trop de Rafale et que d'autres investissements pour d'autres armes ne pouvaient pas se faire parce que l'état était tenu d'assurer une production minimum de 11 Rafale par an, par contrat, et que l'export était à zéro. A ce moment là, j'avais calculé (pour mon usage personnel) que par rapport aux souhaits de l'état on avait 17 Rafale en trop. Je ne discute évidemment pas de savoir si l'état avait raison ou pas! Depuis on a commandé 12 Rafale, à temps pour qu'ils soient produit avant 2025, pour remplacer ceux qu'on a vendu à la Grèce. En 2023 on doit commander la tranche suivante de 30 Rafale et les 12 qu'on compte vendre à la Croatie et qui ne pourront donc pas être produit avant 2025 puisqu'il faut 3 ans pour produire le premier Rafale d'une commande, cela fera donc 42 Rafale. Il y en a donc 40 pour la France déjà commandés à produire en 2023, 2024, et 2025, soit 2 années à 13 et une à 14, comme en 2013 Dassault a déjà dit qu'i en produirait 13 pour la France, je pense que cette production sera réalisée. Donc on aura en 2025 192 Rafale livré à la France y compris pour sa Marine, dont 24 revendu à l'export ce qui donne un reste de 168 Rafale dont 46 pour la Marine ce qui fait 122 Rafale pour l'armée de l'air, dont les pertes et les avions mobilisés pour les tests, Il en reste donc 117 en ligne à cette date là. Quelle sera la suite? Pour moi de 2025 à 2030 on devrait produire les 42 que l'on va commander en 2023, soit 8 ou 9 par an pendant 5 ans. Cela nous amènerait à 159 en ligne en 2030, au lieu de 137. Je pense que ce 137 est un chiffre faux que je n'ai jamais vu sur un document officiel. Edit: Je viens de voir ce chiffre de 137 dans l'audition du général d’armée aérienne Stéphane Mille et je suis déçu Tout fout le camp.
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Une intervention qui me semble intéressante après le You tube de l'audition de Brechet: https://www.youtube.com/watch?v=L0ZX3moD_mQ Bonjour. Je suis un ancien COGEMA/AREVA Marcoule. J'ai eu l'honneur de travailler de 2002 à 2013 en Comité de Groupe CEA sous la présidence de Bugat puis M Bigot, avec les directeurs DAM, DEN, Mme Lauvergeon et M Oursel et bien des responsables des BUs et de toutes les filiales. Nous savions dès 2012 qu' Astrid ne verrait pas le jour, notamment lorsque la Russie est entrée au financement de la pré-etude de faisabilité. Le cabinet SCAFEC et d'autres, avaient clairement posé des données financières de 2008 à 2012, de tout le Groupe CEA, avec diverses annonces en séances plénières sur ces écueils probables, alertes que les directoires n'ont jamais niées, pas même marquées d'une opposition. Nous savions que pour la gouvernance la priorité énergétique en 2007 était de flinguer NOTRE nucléaire pour faire comme l'Allemagne. Nous l'avons dénoncé mais nos VOIX ONT ÉTÉ ÉTOUFFÉES, en particulier par les gouvernants, mais aussi le PS ... Phénix en démantèlement, Super Phénix arrêté et en rinçages, nous SUBISSONS depuis 2003 le PRIX POLITICIEN d'une rattachement des verts au parti socialiste, puis la corruption venue des États-Unis. Les projets de réalisations à partir de 2011, Chine, Inde, Russie, Afrique du Sud par AREVA avaient du plomb dans l'aile. Restait la MINE, Cigar Lake, Uramin, les investissements foireux ERAMET, les accords bidons avec Dick Cheney et Donalds Rumsfeld, dont on sait aujourd'hui qu'ils ont enrichi des personnalités politiques et financières, payés des campagnes électorales et ruinés le Groupe. En fait la Présidence de l'époque, comme celles qui ont suivi jusqu'à nos jours ont replongées dans le suivisme imbécile des USA, dans l'Otan, alignés aux injonctions américaines et allemandes. Notre Nucléaire devait disparaître, EDF compris, notre industrie de pointe et nos filières de productions aussi, pour devenir un pion sous l'autorité US, via les assauts économiques d'outre Rhin. Et pourtant, nous avions tout pour être autonomes en matière d'énergie, les réacteurs le savoir faire d'exploitation, celui du démantèlement, la R&D qui optimisant les REPs II, III, préparaient le génération IV. Nous savions aussi QU'ITER ne serait pas opérationnel avant des décennies, si tant est qu'il le soit jamais. Nous savions gérer tous les déchets TFA, FA, MA HA et THA, ( très faible, faible, moyenne haute et très haute activité). Nous avions élaboré une stratégie industrielle pour le recyclage et la réduction des volumes de déchets européens de procédés et de deconstructions. Vous AVEZ RAISON M. Bréchet, ce sont nos GOUVERNANTS QUI ONT SABOTÉ NOTRE AUTONOMIE ÉNERGÉTIQUE. En ces temps de guerre ceci serait passible de jugement pour haute trahison. Le peuple DOIT réclamer des comptes et exiger un retour à nos valeurs pour assurer notre souveraineté. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ingénieurs en cybersécurité, acheteurs… Dassault Aviation recrute 1.000 personnes en 2023 en France -
Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
On leur a aussi vendu un EPR.- 4 665 réponses
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- rafale
- f-18 hornet
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(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
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J'ai dit que la voie de recherche proposée était complètement déconnante pour que personne ne cherche à comprendre, mais il fallait bien qu'elle soit un peu crédible pour que ChatGPT fasse une réponse un peu intéressante et argumentée, sinon moi aussi j'ai presque 75 ans....Cherche encore J'en ai attrapé un
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Arabie saoudite, le pays et son influence internationale
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Dans les coulisses des préparatifs ardus de la visite de Sébastien Lecornu à Riyad Alors que le volet militaire du partenariat stratégique franco-saoudien est discuté entre les états-majors des deux pays, une visite du ministre français des armées à Riyad s'organise. Sa préparation est plus complexe que prévu. -
Pour tout ces trucs, la simulation ça aide et ça ne met pas en danger la vie du pilote.
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/rapports/ceindener/l16b1028_rapport-enquete [...] [...] [...] [...] [...] Les six erreurs de notre politique énergétique Prévisions énergétiques : avoir sous-estimé nos besoins d’électricité au regard de nos objectifs écologiques et de la sortie nécessaire des énergies fossiles, sans réflexion de long terme sur nos ambitions industrielles et climatiques. Opposition des énergies renouvelables électriques et du nucléaire : s’être focalisé sur le mix électrique, alors qu’il est déjà pilotable et décarboné, et l’avoir fait forcément au détriment de la sortie des énergies fossiles qui entraîne des défis immenses comme l’électrification des usages et l’impact sur le réseau, la capacité à assumer une part de sobriété énergétique, etc. Parc nucléaire : ne pas avoir anticipé la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires ainsi que leur renouvellement en série industrielle et non en un chantier isolé, ce qui a fragilisé à la fois la filière nucléaire, ses compétences et la capacité du pays à se relancer dans un chantier d’envergure. Énergies renouvelables : ne pas avoir construit plus vite de filières industrielles d’énergies renouvelables pour remplacer les énergies fossiles, à mesure que des objectifs étaient fixés. Marché européen : avoir laissé se construire depuis 20 ans un cadre qui a fragilisé le modèle énergétique français et EDF, au travers de la loi NOME, du dispositif de l’ARENH, du statut des concessions hydroélectriques et des règles d’échanges de l’électricité. Recherche : avoir arrêté le réacteur Superphénix en 1997 et ne pas avoir préservé notre avance dans la recherche et le développement de la 4ème génération post‑2019. Six leçons énergétiques pour les 30 prochaines années Le temps long compte : il nous faut mettre en cohérence (via RTE et d’autres organismes publics) nos ambitions climatiques (baisse des émissions), industrielles (réindustrialisation) et énergétiques (capacité à produire telle ou telle énergie en France) sur une échelle de temps compatible, soit plusieurs décennies. L’énergie, via l’électricité, n’est pas un bien comme un autre : au sein de l’Union européenne, chaque pays défend d’abord son mix énergétique, la France doit également défendre son mix électrique pilotable et décarboné. L’énergie est une industrie, la 3ème industrie française : nous avons besoin de continuer à maîtriser toute la chaîne de valeur d’un secteur énergétique et de disposer des compétences, mais aussi de choisir les technologies et les sources d’énergie renouvelables, dont l’hydraulique est la plus importante et la seule pilotable, les plus rentables et les plus à même d’assurer notre sécurité d’approvisionnement. L’électricité ne fait pas tout : il ne faut pas se focaliser uniquement sur l’électricité alors que sa production est déjà quasi-intégralement décarbonée en France, mais aussi, par exemple, accélérer le développement des réseaux de chaleurs, des ENR thermiques pour remplacer les énergies fossiles. La maîtrise de la demande se prépare : l’efficacité énergétique atteignable dans le parc résidentiel doit être mieux évaluée et dotée des compétences nécessaires ; la sobriété se prépare en amont, dans les mentalités. Sans recherche, nous sommes condamnés à avoir du retard : la Recherche a besoin de visibilité et de moyens pour anticiper les 5 prochaines décennies : fermeture du cycle dans l’industrie nucléaire ; stockage massif de l’électricité pour le réseau ; recyclage des matériaux critiques, etc. Le rapporteur en déduit six chantiers opérationnels, déclinés en 30 propositions, pour redonner à la France un destin énergétique. Se doter d’une ambition énergétique pour les 30 prochaines années au moins, qui se traduise dans une loi de programmation étayée scientifiquement et industriellement à cet horizon et qui intègre pleinement l’augmentation considérable de la consommation d’électricité compatible avec nos ambitions climatiques et industrielles. Cadre européen : réformer, dans l’année et en profondeur, le marché européen, en lien avec nos choix industriels nationaux, et suspendre ou revoir les règles qui en l’état menacent notre industrie : l’ARENH, le statut des concessions hydroélectriques ; exiger le respect du traité de Lisbonne et donner un nouvel élan au traité Euratom. Décarboner notre mix énergétique en accélérant les efforts de sobriété et d’efficacité et en s’appuyant sur les énergies renouvelables thermiques Renforcer notre souveraineté sur toute la chaîne de valeur et être à la hauteur des besoins en compétences du secteur énergétique et en particulier d’électricité Parc nucléaire : Refaire de la filière nucléaire la grande force française, et en particulier établir un plan évolutif de fermeture de nos centrales au fur et à mesure que l’ASN en décidera et préparer en conséquence le renouvellement complet du parc, ainsi que le renforcement du cycle du combustible ; après évaluation scientifique, arbitrer entre l’accélération de la recherche sur le multirecyclage en REP et changer d’échelle sur la recherche 4ème génération (sans pré-choix technologique) Énergies renouvelables : sur le fondement d’études de rentabilité énergétique et de coût complet, lancer un plan d’installation contraignant de certaines sources ENR sur le territoire -
[LPM] Loi Programmation Militaire
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de xav dans Economie et défense
En tant que réservistes rappelés, ils auront peut être le droit de cumuler leur retraite et une rémunération ? -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Le gouvernement sonne la « mobilisation générale » pour l’emploi dans le nucléaire : soudeurs, chaudronniers, ingénieurs Le Groupement des industriels de la filière publie vendredi son rapport sur ses besoins en main-d’œuvre après l’annonce d’une relance par Emmanuel Macron. Les recrutements pourraient atteindre 100 000 personnes de 2023 à 2033. -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Laurence Boone : « Il faut sortir de l'image du couple franco-allemand » Dans une interview aux « Echos », la secrétaire d'Etat chargée de l'Europe, Laurence Boone, décrypte le bras de fer qui oppose Paris et Berlin sur l'énergie. La France sera « extrêmement vigilante » pour que la place du nucléaire dans la réforme du marché de l'électricité soit « sanctuarisée ». -
scaf NGF au sens technique / technologique du terme ...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Avion de combat du futur : les défis de la phase 1B -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Et à mon avis, plus ils attendent moins ils ont de chance de se rater... -
Je me rappelle un épisode du développement qui est le passage du Block 2B au Block 3I, normalement c'était juste un "portage" sur un ordinateur plus puissant. Là on change non seulement l'ordinateur mais les visus et d'autre choses comme les mémoires pour cause d'amélioration et compatibilité. Donc c'est plus lourd, surtout les visus c'est redoutable, tu as des pistes qui lorsqu'elles disparaissent d'un coté apparaissent de l'autre; le drop des pistes de la liste de visualisation lorsqu'elles sont trop éloignées et qu'on ne peut plus les voir est aussi modifié et j'en passe. Or le passage de 2B à 3I avait "réveillé" un tas de bugs dormants parce que l'enchaînement des tâches informatiques n'était plus le même et en particulier le logiciel, lorsqu'il fonctionnait avec le radar, plantait. J'imagine que même si ils n'ont pas prévu de faire une étape 4I, ils sont devant le même genre de problèmes sauf que les planning sont tellement en retard qu'ils n'ont pas fait apparaitre cette étape. Comme la procédure de livraison implique un essai qui montre que tout va bien, et qu'il n'y a pas de logiciel avec lequel on peut prétendre que tout va bien, on ne peut pas livrer, mais saint concurrency étant toujours là on peut produire et stocker les avions en attente de logiciel, donc il n'y aura pas beaucoup d'impact sur les bénéfices.
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
L’Allemagne et l’énergie nucléaire : vers un réajustement nécessaire ? -
Léger retard pour les F-35 belges
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Si si, les 8 Md$ sont complètement absurde, déjà parce que le décollage STO il est de base sur le Rafale M....et le surcoût des avions embarqués pour 26 avions ça représente un prix compris entre 1/2 avion et un avion, quant au coût du développement d'un biplace embarqué c'est à peine 270 Millions. donc tout compris tu est en dessous de 400 Millions de surcoût pour des éventuels ISE. Ton prix fly away c'est 2.5 Milliards et le PBL est de base sur un porte avion qui doit emporter toutes les pièces de rechange dont il risque d'avoir besoin pour la mission.
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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
La Chine menace d’un embargo sur les terres rares : “on se retrouve entre le marteau et l’enclume”