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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    On ne connait pas la teneur des contrats passés entre GE et Hal mais parfois il y a des surprises. Je ne sais plus pour quel contrat Hal ne voulait pas payer pour un truc qui lui incombait compte tenu des contrats (malchance ou défaut de prudence ?) et c'est l'IAF qui a du payer directement pour débloquer la situation. Je crois que c'était un délai pas prévu qui faisait que Hal devait entretenir un stock ce qui entraînait une dépense que Hal ne voulait pas faire sur ses deniers.
  2. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Premier fuselage en 28 ça veut dire premier avion avec un fuselage Indien en29/30. Donc à partir de 2030 ils peuvent avoir 2 avions par mois soit 57 mois pour 114 Avions (5 ans, ce qui mène à 2035) on peut penser que la production de MRFA prendre la suite de la production des Rafale M qui se fera à 1 par mois, ils ont donc jusqu'à 2027 pour commander MRFA.
  3. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Le M88 est plus petit que le F404 ça aide et on avait pu faire le remplacement dans le Rafale A.
  4. C'est ce que je pensais pour la deuxième élection après la première qui pour moi n'était pas concluante. Résultat il a gagné haut la main!
  5. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    GE ils ont deux ans de retard sur la première livraison d'un contrat de 100 F404.
  6. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Moi je ne le sais pas, j'ai quitté Dassault en 89... Mais j'ai un contact chez Thales et j'ai écrit ça sous son contrôle: https://forum.air-defense.net/topic/20302-le-dieu-rafale-et-tous-ses-saints/?do=findComment&comment=1134410 D'autre part des hollandais qui avaient fait des essais avaient rapporté que le RBE2 créait des pistes "solides" tout de suite.
  7. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    J'ai eu des question....le T-Rex les intéresse: Mk1 F404 => M88; Mk1a F414 => T-Rex; MK2 M-88 11 t destiné au démonstrateur de NGF.
  8. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Mais le RBE2 a une initialisation de piste avec un mode "d'entêtement" qui fait que la piste est initialisée très vite et donc il peut capter ce moment où la soute s'ouvre.
  9. Picdelamirand-oil

    Drone aérien

    Les petits drones sont fragiles un canon est overkill il faudrait mettre des mitrailleuses sur l'AAROK et pas avec des cadences de fou.
  10. Je rigole du mec génial que les US ont élu
  11. 1.000 milliards de dollars de plus tous les 180 jours: voilà pourquoi, comme Elon Musk, toute l'Amérique s'affole pour la dette du pays https://www.bfmtv.com/economie/international/1-000-milliards-de-dollars-de-plus-tous-les-180-jours-voila-pourquoi-comme-elon-musk-toute-l-amerique-s-affole-pour-la-dette-du-pays_AV-202506040622.html La dette fédérale atteint 36.200 milliards de dollars. Et la nouvelle loi budgétaire devrait encore la creuser. Rappel des raisons de ce décrochage. Elon Musk, le milliardaire et ancien patron du Département de l'efficacité gouvernementale, a lancé une violente charge contre la nouvelle loi budgétaire de Donald Trump, mardi 3 juin. Il considère que cette loi "augmentera massivement le déficit budgétaire" des Etats-Unis à 2.500 milliards de dollars, alors que la dette est déjà colossale. Ce mercredi, le Congressional Budget Office (CBO), un organisme non partisan, a donné une estimation assez proche. Selon leur analyse, le vaste projet de loi républicain qui vise à réduire les impôts et supprimer certains programmes fédéraux entraînerait une hausse de 2.400 milliards de dollars de la dette sur les 10 prochaines années. La dette fédérale atteint 36.200 milliards de dollars selon le site Fiscal Data du Trésor américain, soit un quasi doublement depuis dix ans (18.900 milliards). Des chiffres tellement élevés qu'il est impossible de trouver des éléments de comparaison. En 2023, elle représentait à elle seule plus du double de celles de toutes les pays de l'UE réunis. Aux Etats-Unis, le site US Debt Clock montre en temps réel son évolution (sur la base d'estimations). Chaque seconde, ce montant astronomique s'accroit de 60.000 dollars, un rythme de 1.000 milliards de dollars tous les 180 jours. Comment le pays en est arrivé là? Pour Christopher Dembick, analyste chez Pictet Asset Management, "cette dette a surtout augmenté en 2019, pas juste à cause de l'effet Covid, mais car le gouvernement a subventionné massivement la relocalisation des entreprises et la création d'emplois". Cette augmentation est notamment liée à des facteurs structurels: le vieillissement de la population et la hausse rapide des coûts des soins de santé, qui sont désormais les plus élevés au monde. A cela s’ajoutent les intérêts de la dette qui dépassent 1.000 milliards de dollars par an. Intêrêts de la dette massif Plusieurs acteurs économiques s'inquiètent du niveau des intérêts de la dette. A l'instar du gestionnaire de fonds spéculatifs Ray Dalio : il a déclaré à Bloomberg qu'il donnait aux Etats-Unis "trois ans, à un an près" pour éviter une "crise cardiaque économique". Selon l'agence Moody's, sans un effort pour freiner les dépenses publiques et augmenter les recettes fiscales, le déficit public des Etats-Unis pourrait passer de 6,4% du PIB en 2024 à 9% en 2035. La dette publique pourrait atteindre 134% du PIB en 2035 contre 98% en 2024. Le fait que la Fed garde des taux aux niveaux actuels (4,25/4,50%) induit un refinancement de la dette à des taux plus élevés et alourdit encore la charge de la dette. Les investisseurs américains à la rescousse Cette augmentation pourrait donc s'aggraver avec le nouveau projet de loi budgétaire défendu par le président américain, examiné depuis lundi au Sénat. "Vu le niveau, nous sommes dans une incapacité à réduire drastiquement la dette, ça peut évoluer avec un gain de croissance mais c'est très incertain et marginal", assure Christopher Dembick. Le seul moyen de sécuriser cette dette est qu'elle soit détenue par des investisseurs américains: c'est le cas aujourd'hui selon l'analyste et l'allègement de la règlementation sur les ratios de solvabilité mise en place cet été devrait renforcer cette situation.
  12. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Honeywell: software change could offer 25% boost to F-35 power, cooling Honeywell : une modification logicielle pourrait augmenter de 25 % la puissance et le refroidissement du F-35 https://www.flightglobal.com/fixed-wing/honeywell-software-change-could-offer-25-boost-to-f-35-power-cooling/163214.article Par Ryan Finnerty4 juin 2025 Le fabricant de systèmes aéronautiques Honeywell affirme pouvoir apporter des améliorations significatives à la production d'électricité à bord du chasseur furtif Lockheed Martin F-35, même sans installer de nouveau matériel sur ces avions complexes. Honeywell se positionne comme le choix le moins risqué pour un programme très attendu du Pentagone visant à moderniser le système de gestion de la puissance et de la température (PTMS) du F-35, qui alimente en électricité les systèmes critiques de l'avion et sert de groupe auxiliaire de puissance. Le PTMS refroidit également les capteurs et les systèmes de communication du F-35, qui sont devenus de plus en plus puissants au fil des mises à niveau successives du F-35, générant ainsi davantage de chaleur résiduelle. Il en résulte un déficit de capacité de refroidissement à bord qui surcharge le moteur Pratt & Whitney (P&W) F135, nécessitant des révisions plus fréquentes et augmentant les coûts de maintenance. La flotte de F-35 aura besoin d'une puissance électrique et d'une capacité de refroidissement nettement supérieures pour prendre en charge les mises à niveau prévues pour les années 2030 et au-delà. Cependant, le Pentagone n'a pas encore publié d'objectifs officiels pour un tel programme d'amélioration. Honeywell a déclaré à FlightGlobal qu'il pouvait améliorer de 25 % les performances du PTMS existant grâce à une mise à jour logicielle, sans avoir à remplacer ou à modifier les composants physiques complexes du système. « Nous avons investi en interne pour nous positionner sur une partie de ce potentiel de croissance et des besoins de la plateforme », explique Tony Rich, directeur des ventes techniques chez Honeywell. Le Pentagone n'a pas encore publié d'exigences techniques spécifiques pour la mise à niveau du PTMS. Pour l'instant, le Bureau du programme conjoint F-35 (JPO) se concentre sur l'amélioration de la capacité de production d'énergie du turboréacteur F135, en passant un contrat avec P&W pour effectuer une mise à niveau du cœur du moteur. Cependant, un rapport publié en 2023 par le Government Accountability Office des États-Unis a révélé que le F-35 aura besoin d'une mise à niveau distincte du PTMS d'ici 2029, à la fois pour soutenir les améliorations prévues des capacités de l'avion et pour réduire les coûts de maintenance associés au déficit actuel. M. Rich affirme que des modifications logicielles peuvent permettre au PTMS actuel d'atteindre une puissance de 40 kW, un niveau généralement considéré comme nécessaire pour prendre en charge l'ensemble des mises à niveau prévues pour les armes, les capteurs et les communications du F-35, collectivement appelées « Block 4 ». Au-delà de l'échéance de 2029, M. Rich indique que Honeywell envisage de fournir une puissance de 80 kW grâce à quelques modifications matérielles du PTMS existant. « Nous pensons que le matériel sera similaire à environ 95 % à celui que nous avons actuellement, et que les logiciels seront similaires à 80 % », explique-t-il. « Il ne faudra donc pas beaucoup de modifications pour atteindre cette augmentation de 80 kW. » Honeywell utilise une simulation d'ingénierie numérique pour développer et tester diverses options d'amélioration en attendant que le Pentagone lui communique officiellement ses exigences. Honeywell est en concurrence avec Collins Aerospace, une filiale de RTX, qui propose un remplacement complet du PTMS appelé Enhanced Power and Cooling System (EPACS). Collins a promis que l'EPACS fournira 80 kW avec une solution prête à l'emploi qui ne nécessite aucune modification physique de la structure aéronautique du F-35 et qui sera compatible avec les trois variantes de l'avion. En février, Collins a testé un démonstrateur EPACS entièrement fonctionnel qui, selon l'entreprise, était à un stade de maturité technologique équivalent à celui requis lors de la phase initiale d'ingénierie et de développement de la fabrication des nouveaux programmes d'approvisionnement. « Nous sommes prêts à entamer le processus d'intégration avec Lockheed Martin et à aider les militaires à répondre à leurs besoins urgents en matière de missions », a déclaré Henry Brooks, président de la division Power and Controls de Collins. La concurrence entre un ensemble de matériel entièrement nouveau et une mise à niveau du système existant fait écho à la précédente compétition entre P&W et GE Aerospace pour fournir une amélioration de la propulsion du F-35. Dans cette longue saga, GE a poussé l'armée de l'air américaine à mettre en service un tout nouveau moteur à double flux à cycle adaptatif ; P&W a fait valoir qu'une mise à niveau du cœur du groupe motopropulseur existant représentait une option plus rapide et plus abordable pour résoudre le déficit de puissance à bord. L'opposition de la marine américaine et du corps des Marines à l'utilisation d'un nouveau moteur, qui n'aurait pas été compatible avec la flotte de F-35B à décollage court et atterrissage vertical, a finalement poussé le Pentagone à choisir l'option de mise à niveau du cœur. Honeywell a pris note de ce résultat et poursuit une stratégie rhétorique similaire en vendant une mise à niveau PTMS plutôt qu'un remplacement complet comme l'EPACS. Rich affirme que la modification du système existant sera une option nettement moins coûteuse et plus rapide, nécessitant moins de formation du personnel de maintenance et moins de changements dans la chaîne d'approvisionnement et l'entreprise de maintenance existantes du F-35. « Nous estimons que les économies réalisées sur le cycle de vie du système dépassent les 7 milliards de dollars », déclare-t-il, comparant la mise à niveau du PTMS au remplacement du système par une conception entièrement nouvelle. Honeywell estime également que la mise à niveau du PTMS peut être réalisée en seulement une semaine de travail par avion, même avec des modifications matérielles. En revanche, la société affirme que l'installation et les tests d'un remplacement complet prendraient environ sept semaines par avion. On ne sait toujours pas quand le Pentagone publiera un ensemble officiel d'exigences pour un programme d'amélioration de l'alimentation et du refroidissement, lançant ainsi officiellement un appel d'offres. Le JPO et Lockheed se sont récemment consacrés à la certification du package Technical Refresh 3 (TR-3) de matériel et de logiciels, qui a pris beaucoup de retard et qui est destiné à permettre les améliorations ultérieures du Block 4. Dans l'intervalle, Collins et Honeywell continuent de perfectionner leurs offres potentielles pour augmenter la puissance et le refroidissement à bord grâce à des fonds de recherche et développement internes. « Nous répondrons aux exigences au fur et à mesure qu'elles se présenteront », déclare Rich. « Nous comprenons le système, nous comprenons la plate-forme et nous comprenons les besoins potentiels qui existent. » Bien que ces exigences soient encore incertaines, Lockheed et le gouvernement américain suggèrent des améliorations potentiellement radicales des capacités du F-35 dans les décennies à venir. En avril, le directeur général de Lockheed, James Taiclet, a déclaré avoir mis au défi les ingénieurs de Lockheed de développer des améliorations capables de « suralimenter » le F-35 pour en faire un « concept de cinquième génération plus » pouvant être utilisé jusqu'à la seconde moitié du siècle. Par ailleurs, le président américain Donald Trump a suggéré que Washington poursuivrait ce qu'il a appelé un effort de « simple mise à niveau » visant à intégrer un deuxième moteur au F-35, une configuration que Trump a baptisée « F-55 ». Une telle addition nécessiterait une refonte presque complète du chasseur, ce qui prendrait probablement des années et coûterait des milliards de dollars.
  13. [Le nucléaire en chiffres] 30 €/MWh d’écart avec l’Allemagne : la compétitivité de l’électricité française https://www.sfen.org/rgn/le-nucleaire-en-chiffres-30-e-mwh-decart-avec-lallemagne-la-competitivite-de-lelectricite-francaise/?utm_source=Newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=RGN Hebdo - 05/06/2025
  14. C'est sûr que quelque part il faut arriver à ne pas garder ceux qui ne veulent pas s'intégrer, je pense qu'il y a suffisamment de demande pour faire du rejet intelligent, mais que c'est difficile.
  15. Annulation de la participation de Modi au G7 : Le Premier ministre indien Narendra Modi ne participera pas au sommet du G7 au Canada, une première en six ans. Cette décision est attribuée à des tensions diplomatiques persistantes entre l'Inde et le Canada, notamment liées aux activités séparatistes khalistanaises . https://timesofindia.indiatimes.com/india/in-a-1st-in-6-years-pm-modi-unlikely-to-be-part-of-g7-meet-hosted-by-canada/articleshow/121556213.cms?utm_source=chatgpt.com
  16. Bien malin qui peut dire qui a annulé le voyage, le tweet ne donne pas les causes de l'annulation. De toute façon les Tweets de Vibhor Anand, personne ne va certifier qu'ils sont toujours exacts Ce sont juste des indices qu'il faut vérifier. ·
  17. Un trou de 45cm de coté c'est à peu près la précision d'un SCALP lorsque tu as fait la préparation de mission avec de l'imagerie de l'objectif. Les US qui avait essayé la bête en utilisant deux Storm shadow donnés par les Britaniques avaient tiré les deux sur une cible et croyaient avoir perdu le deuxième qui était passé dans le trou créé par le premier.
  18. Pour compléter le taux de renouvellement à deux enfants par femme 2- 1,76 = 0,24 pour la France, mais pour la Corée, ça ferait 1,25 ce qui est énorme. Pour la France il aurait fallu 130000 immigrés en 2024. Il y a eu cette année là 336000 titre de séjours, 66745 naturalisation 130000 demande d'asile dont 70000 statut de protection accordé. Grosso merdo la population française continue de croitre, mais en vieillissant.
  19. Pour le Pakistan le fait d'avoir l'eau coupée n'est pas une situation d'avenir. Le retour des signaux pré-conflit : La situation actuelle ressemble à plusieurs épisodes précédents où une série de gestes unilatéraux ou symboliques ont précédé une détérioration rapide. Les annulations de voyages, les alertes aériennes (NOTAM), et la posture militaire élevée montrent que les deux pays se préparent au moins à une escalade contrôlée — voire à une confrontation limitée mais marquante. En résumé : si l’eau est réellement coupée, même partiellement ou temporairement, le Pakistan ne peut pas accepter ce statu quo. Et s’il ne peut pas le renverser diplomatiquement, alors il est probable qu’il cherche une occasion d’escalade qui lui permette de remettre la question à la table des négociations — ou au minimum, de montrer qu’il n’est pas impuissant. Ce qui fait effectivement monter la probabilité d’un regain de tensions, voire d’un affrontement limité.
  20. Ces événements indiquent une posture de vigilance accrue des deux côtés. L'Inde semble démontrer sa capacité de projection de puissance, tandis que le Pakistan renforce ses défenses. Bien qu'aucune action militaire immédiate ne soit confirmée, la situation reste volatile.
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