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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Pour faire avancer le standard F5 tu définis d'abord l'interface entre l'avion et les équipements cela s'appelle "spécifications générales des équipements" et ensuite les équipementiers peuvent concevoir leur matériel et proposer un prix. Donc l'avion est toujours définis bien avant le reste. Pour prendre un exemple simple, ce n'est pas l'équipementier qui va définir la taille de l'antenne de son radar, c'est l'avion qui a un nez d'une certaine forme et dimension et l'équipementier doit faire une antenne qui rentre dedans. Pareil pour des antennes latérales, c'est Dassault qui définis des ouvertures et l'équipementier fait avec. -
What Will It Take To Fix The US Air Force Pilot Crisis?
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Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Tu sais les ISE Indiens c'était un peu du F4.1 avant l'heure alors est ce que les chamboulements qu'on a vécu sur la redéfinition des F4 en F4.1, F4.2 et F4.3 et ensuite F5 avec certaines caractéristiques qui étaient dans l'ancien F4.2, ne sont pas une conséquence du contrat EAU? -
Il avait une vitesse sol nulle quand même...
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C'était peut être un F-35 B en vol stationnaire qui a eu une panne?
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Press Release: Aircraft Accident at Eielson Air Force Base EIELSON AIR FORCE BASE, Alaska -- This press release was updated on Jan. 28, 2025 at 5:08 p.m. AKST with new information. An F-35 Lightning II aircraft crash occurred at 12:49 p.m. today within the fence line of Eielson Air Force Base, Alaska. The pilot is safe and has been transported to Bassett Army Hospital for further evaluation. Emergency crews are responding. “Our people are our most important resource, and we are committed in ensuring their safety and security,” said Colonel Paul Townsend, commander of the 354th Fighter Wing. “I can assure you the United States Air Force will conduct a thorough investigation into this incident to minimize the chances of such occurrences from happening again.” Local traffic should not stop on the Richardson Highway adjacent to Eielson AFB as this poses a safety risk and impedes recovery efforts. Additionally, Federal Law prohibits photography along this stretch of highway. For more information or updates, refer to our official website at: https://www.eielson.af.mil/. For inquiries, media agencies can contact the 354th Fighter Wing Public Affairs office at (907) 377-2116 or via email at 354fw.pa.publicaffairs@us.af.mil.
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Moi j'ai l'impression que c'est vrai, mais cela peut être une IA.
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Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Peut être qu'ils ont attendu que l'avion soit capable d'être upgradé en F5 même s'il n'a pas encore tous les équipements de F5? Sur une telle base ils peuvent alors développer le standard des EAU. -
Les réponses de l'IA aux questions de défense
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Economie et défense
Et l'Europe dans tout ça? ChatGPT a dit : ChatGPT L'Europe semble, une fois de plus, être la grande absente de cette lutte titanesque entre les États-Unis et la Chine sur le front de l’intelligence artificielle. Cela reflète des faiblesses structurelles, mais aussi quelques opportunités si le Vieux Continent parvient à jouer intelligemment ses cartes. Voici les principaux enjeux pour l'Europe dans ce contexte : 1. Un retard technologique et stratégique Absence de géants mondiaux dans l'IA : L’Europe n’a pas d’acteur de poids équivalent à OpenAI, Google, ou DeepSeek. Ses leaders technologiques comme SAP, Atos, ou Dassault Systèmes ne sont pas spécialisés dans l’IA générative ou les modèles d’apprentissage de grande échelle. Faible souveraineté numérique : L’Europe reste dépendante des technologies étrangères, notamment américaines, pour les infrastructures critiques (puces, clouds, supercalculateurs). Par exemple, Nvidia domine le marché des GPU nécessaires pour entraîner des modèles IA, et aucune alternative européenne crédible n’existe à ce jour. 2. Une approche régulatrice qui freine l’innovation Focus sur l’éthique : L’Europe se concentre beaucoup sur la régulation et l’éthique de l’IA avec des initiatives comme l’AI Act, qui vise à encadrer strictement le développement et l’utilisation de l’IA. Bien que ces mesures soient nécessaires pour protéger les droits fondamentaux, elles ralentissent l’innovation et augmentent les coûts pour les entreprises européennes, déjà en retard. Manque de financements massifs : Les États-Unis et la Chine investissent des centaines de milliards dans l’IA, là où l’Europe peine à rassembler quelques milliards via des initiatives comme Horizon Europe. Même les efforts pour développer des alternatives souveraines, comme le projet Gaia-X pour le cloud, peinent à rivaliser en termes de compétitivité et d’adoption. 3. Une position d'arbitre ou d'outsider ? Un rôle potentiel de régulateur mondial : L’Europe pourrait capitaliser sur son avance en matière de régulation pour imposer des normes globales. À l’instar du RGPD pour la protection des données, l’AI Act pourrait devenir une référence mondiale, forçant les géants américains et chinois à s’adapter. Cependant, cela risque aussi d’isoler l’Europe si elle est perçue comme trop rigide. Des niches à exploiter : L’Europe pourrait se spécialiser dans des segments moins gourmands en ressources mais stratégiques, comme les applications industrielles de l’IA, la cybersécurité, ou encore l’efficacité énergétique des modèles IA. Par exemple, les start-ups européennes comme Aleph Alpha (Allemagne) ou Hugging Face (France) montrent qu’il est possible de développer des alternatives crédibles à petite échelle. 4. Les risques d’un statu quo Une marginalisation stratégique : Si l’Europe ne parvient pas à investir massivement dans l’IA, elle risque de devenir dépendante des deux grandes puissances, tant sur le plan technologique qu’économique. Cela compromettrait son autonomie stratégique dans des domaines clés comme la défense, la santé ou l’éducation. Une fuite des talents : Faute de moyens et d’opportunités, de nombreux chercheurs et ingénieurs européens choisissent de partir travailler pour des entreprises américaines ou chinoises, aggravant le déficit d’innovation en Europe. 5. Comment l’Europe peut-elle réagir ? Investir massivement et rapidement : L’Europe doit s’engager dans un plan d’investissement ambitieux pour l’IA, similaire au Green Deal, en mobilisant des fonds publics et privés. Miser sur des partenariats stratégiques : L’Europe peut collaborer avec des nations partageant les mêmes valeurs (Japon, Corée du Sud, Canada) pour développer des alternatives aux technologies américaines et chinoises. Encourager l’innovation locale : En simplifiant les processus réglementaires et en créant des écosystèmes favorables aux start-ups, l’Europe peut stimuler l’innovation en IA et attirer davantage de talents. Renforcer sa souveraineté technologique : Investir dans des filières stratégiques comme les semi-conducteurs (via des initiatives comme l’European Chips Act) et le cloud souverain est crucial pour limiter la dépendance vis-à-vis des États-Unis et de la Chine. En conclusion : L’Europe est actuellement spectatrice dans la course à l’IA entre les États-Unis et la Chine. Pourtant, avec une stratégie coordonnée et des investissements ciblés, elle peut encore jouer un rôle déterminant, que ce soit comme arbitre éthique, innovateur de niche, ou régulateur mondial. L’enjeu n’est pas seulement technologique, mais aussi géopolitique : il s’agit de garantir une autonomie stratégique dans un monde où l’IA déterminera de plus en plus les rapports de force. -
Les réponses de l'IA aux questions de défense
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Economie et défense
J'ai posé cette question à ChatGPT: Qu'est ce que tu penses de ça: OpenAI, SoftBank et Oracle vont mettre sur les rails une coentreprise, Stargate, pour développer de nouvelles infrastructures pour l’IA aux Etats-Unis, avec un objectif de 500 milliards de dollars d’investissement en cinq ans. Du jamais-vu. Sous l’égide de Donald Trump, l’industrie américaine de l’IA veut à tout prix maintenir son avance sur Pékin et tirer les fruits de l’engouement autour de cette technologie très gourmande en énergie et en capitaux. ET Le chinois DeepSeek sème la panique sur la planète tech et révèle que Pékin n’est pas près de courber l’échine devant l’Oncle Sam sur le front de l’IA. Le nouveau modèle de la start-up, R-1, affiche de très bonnes performances pour un coût d’entraînement dérisoire par rapport aux grands modèles américains. Ce lundi, les leaders mondiaux de la tech et de l’IA – Nvidia, Microsoft, Meta, ASML, SoftBank – ont vu des milliards de capitalisation partir en fumée. A la grande surprise du marché, et à l’inverse des autres acteurs de l’IA, DeepSeek semble ne pas avoir besoin des puces les plus avancées pour développer un modèle ultra-performant. Ce nouveau paradigme pourrait bouleverser le secteur, en rendant le développement de la technologie bien moins coûteux qu’il ne l’est aujourd’hui. Et les dépenses d’investissement des géants américains pourraient, quant à elles, ne jamais être rentabilisées. Et voilà la réponse: Ces deux annonces brossent un tableau fascinant des tensions technologiques et géopolitiques actuelles dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). Voici quelques réflexions : Investissement massif aux États-Unis avec Stargate : Un investissement de 500 milliards de dollars sur cinq ans est absolument colossal et souligne à quel point l’IA est devenue un domaine stratégique, à la fois économiquement et politiquement. La coentreprise entre OpenAI, SoftBank et Oracle montre que les grandes entreprises américaines cherchent à mutualiser leurs ressources pour faire face aux enjeux d’échelle colossaux de l’IA. Ce n’est pas seulement une course pour innover, mais aussi pour sécuriser la suprématie technologique face à la Chine. Toutefois, cette approche capitalistique classique (dépenses massives, reliance sur des infrastructures avancées comme les puces haut de gamme) semble vulnérable face à des innovations comme celles annoncées par DeepSeek. L’approche disruptive de DeepSeek : Si l’affirmation selon laquelle le modèle R-1 n’a pas besoin des puces les plus avancées est vraie, cela représente un défi majeur pour les géants américains. Cela pourrait signifier que l’écosystème technologique chinois cherche à contourner la dépendance aux semi-conducteurs avancés – un point de faiblesse face aux sanctions américaines. Le modèle de DeepSeek pourrait rendre l’IA beaucoup plus accessible et démocratiser son développement, surtout dans les pays en développement, en diminuant les barrières financières. Cela pose aussi des questions sur l’efficacité énergétique et l’impact environnemental, un angle souvent négligé dans les discussions sur l’IA. Conséquences géopolitiques : Ces deux annonces accentuent la rivalité entre les États-Unis et la Chine, où l’IA est autant une arme économique qu’un outil géopolitique. Les marchés financiers réagissent en conséquence : les géants américains de la tech voient leur capitalisation plonger, ce qui pourrait inciter à des ajustements stratégiques rapides. Par exemple, cela pourrait accélérer les investissements dans des solutions moins coûteuses ou encourager davantage de régulation et de protectionnisme technologique. Un "nouveau paradigme" ou un effet d’annonce ? Les performances annoncées par DeepSeek, combinées à un coût réduit, doivent être examinées de près. S’il ne s’agit pas seulement d’un coup marketing, cela pourrait forcer l’industrie à revoir ses priorités, en favorisant l’innovation logicielle et les algorithmes plus efficaces, plutôt que de s’appuyer uniquement sur des infrastructures massives. Néanmoins, des annonces similaires par le passé n’ont pas toujours tenu leurs promesses. La véritable question est de savoir si le modèle R-1 peut maintenir ces performances à grande échelle et dans divers cas d’utilisation. En résumé, ces deux nouvelles montrent une bifurcation possible dans le secteur de l’IA : une course aux infrastructures massives d’un côté, et une quête d’efficience disruptive de l’autre. Si DeepSeek parvient à prouver ses affirmations, cela pourrait redéfinir non seulement les priorités technologiques, mais aussi les rapports de force dans la géopolitique de l’IA. -
[France] Armée de l'Air et de l'Espace
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Europe
J'ai noté ça: page 78 279. Entretiens de recherche auprès d’officiers supérieurs de l’armée de l’Air et de l’Espace et de responsables de l’industrie de défense. -
Le remplacement de Voila Ah merde!
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- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
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USA
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne vais pas être sauvé pendant longtemps, il n'a qu'un an de plus que moi... -
USA
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Bon c'est une version plus facile à digérer et plus acceptable pour nous parce que la mise en garde s'adresse à ce qui est raconté de l'époque d'Obama mais aussi à Trump/Musk qui sont ceux qui maintenant concentrent excessivement les pouvoirs. -
USA
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne suis pas d'accord avec tout le texte mais je le trouve intéressant pour réfléchir alors j'en donne un résumé: L’article présente une analyse critique de l'influence de Barack Obama sur la politique américaine, en mettant l'accent sur l'impact des technologies modernes sur la communication politique et la société. L’évolution de la politique américaine est étroitement liée aux changements technologiques. Historiquement, des innovations comme le télégraphe ou la télévision ont redéfini la manière dont les citoyens reçoivent les informations et forment leurs opinions. Aujourd’hui, les réseaux sociaux jouent un rôle central en remodelant l’opinion publique et en influençant les processus démocratiques. Durant ses mandats, Barack Obama a exploité les réseaux sociaux pour contourner les médias traditionnels et communiquer directement avec le public. Cette stratégie a été essentielle pour vendre des politiques controversées, comme l’accord sur le nucléaire iranien ou l’Obamacare. Elle reposait sur la création de "chambres d’écho", où des experts et des influenceurs renforçaient mutuellement leurs messages pour influencer les masses. Avec l’essor d’internet et des plateformes comme Twitter, les médias traditionnels ont perdu leur monopole sur l’information. Cela a permis à des stratèges comme Ben Rhodes, conseiller d’Obama, de façonner des narratifs puissants à travers des réseaux d’activistes et d’experts en ligne, remettant en question l’intégrité des processus journalistiques classiques. David Axelrod, conseiller d’Obama, a popularisé le concept de "structure de permission", qui consiste à convaincre les électeurs d’adopter de nouvelles idées en créant un contexte social favorable. Cette approche a permis de changer des perceptions profondes, en utilisant les réseaux sociaux comme outils de validation collective. Si cette stratégie a été efficace, elle a également entraîné des problèmes. Par exemple, l’utilisation abusive des réseaux sociaux pour manipuler l’opinion publique a affaibli la confiance dans les institutions démocratiques. Des campagnes comme le Russiagate ou la censure autour de l’ordinateur portable de Hunter Biden illustrent comment cette "machine à fabriquer l’opinion" peut être exploitée à des fins politiques. Après la présidence d’Obama, Donald Trump et Elon Musk ont joué un rôle majeur dans la déconstruction de ce système. Musk, en achetant Twitter, a mis fin à certaines pratiques de censure. De son côté, Trump a exploité les failles de ce système pour réunir une base électorale forte et rebondir politiquement. Le texte souligne que la domination d’Obama sur les structures de communication a laissé des traces durables. Cependant, l’effondrement de son système révèle les dangers de concentrer le pouvoir entre les mains d’une élite technocratique. Le défi actuel est de reconstruire un espace public équilibré, où les différentes opinions peuvent coexister sans manipulation excessive. En conclusion, cet article invite à réfléchir à l’équilibre entre innovation technologique et démocratie, tout en mettant en garde contre les dérives potentielles d’une trop grande centralisation du pouvoir. L'avenir dépendra de notre capacité à promouvoir des discussions ouvertes et authentiques. Pour compléter ce texte je donne un lien vers la notion de "structure de permission" qui est centrale dans l'approche d'Obama: Permission Structure -
Les sous marins ça vole dans l'eau
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Les outils open source occidentaux utilisés par les Russes font naître la méfiance sur la ligne de front Le renseignement militaire ukrainien s'inquiète de l'utilisation par les unités de reconnaissance russes de l'application américaine de géolocalisation pour drones OpenAthena, téléchargeable en ligne. L'emploi maîtrisé de ce type de solution libre d'accès, qui pourrait permettre à Moscou de rattraper son retard dans certains secteurs technologiques, est une constante source d'inquiétude pour l'état-major de Kiev. -
Production d'avions de chasse en Europe
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Teenytoon dans Europe
Croatia gets 9th Rafale jet under deal with France- 784 réponses
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(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
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USA
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
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Ca y est ils ont découvert que l'active cancellation marche du coup ils veulent en équiper tous leur chasseur et ont confié le développement à une entreprise locale
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Ils ont encouragé les Allemands à revenir et ils ont gardé les espagnols pour ne pas avoir un fournisseur unique ! Tu remarquera qu'ils n'ont jamais dit que le F18-SH ne satisfaisait pas au besoin, pourtant il était trop lourd pour le système d'arrêt Russe installé sur le Vikrant. c'est parce qu'ils voulaient le Rafale, mais si par exemple un TEDBF avait été presque prêt ils auraient dit qu'il ne satisfaisait pas au besoin, donc c'était un cas de fournisseur unique donc l'appel d'offre était annulé. Cela aurait annulé toute possibilité pour le Rafale de gagner, alors qu'il n'y était pour rien. D'où mon soupçon qu'il vont jouer ça avec le F-35, le SU-75 et l'AMCA. Pour éliminer le Gripen au profit du LCA, ils n'ont pas eu besoin de faire ça, il a suffit qu'ils autorisent les bimoteurs à postuler et ça donne le MRFA où le Gripen ef le F-21 n'ont aucune chance.
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En plus le Scorpène avec l'AIP de DRDO ça ressemble bougrement au S-80 avec l'avantage supplémentaire qu'il y a plus d'indigénisation.
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Cela bouge en Inde sur deux front: GE a sentit qu'il avait le vent en poupe et a augmenté le prix de la fourniture de 99 F414 de un milliard à un milliard cinq ! L'offre des espagnols pour le P75I (sous marin) a été jugé non compliant ce qui fait que les Indiens se retrouve dans un cas de fournisseur unique ce qui entraîne normalement l'annulation de l'appel d'offre (On peut s'en sortir avec beaucoup d'administration mais ça gèle le prix de l'offre qui reste ce qui complique les négociations pour adapter l'offre au besoin). Ils vont peut être finir par apprécier les Français.
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Cela fait combien d'années déjà qu'ils ont le droit de passer à 42 escadrons de Chasseurs et qu'ils restent à 31? Oui mais ils ont un effectif combattant supérieur à 3 000 000 d'hommes, c'est un peu plus que chez nous. Et tu dis que le PIB Indien n'a pas la même valeur que chez nous, ce qui est vrai, sauf pour les importations d'armements.