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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Traduction ils prennent les rênes et signifient que la puissance centrale c'est eux maintenant. Le pouvoir ils vont le maitriser via les matières premières. Comme prévu la maitrise des mines et le transport de ressources va être au coeur du jeu de puissance des décennies à venir. La guerre mondiale aura lieu surtout en mer.
  2. Je trouve quand même que ce changement stratégique de la Chine qui est arrivé il y a quelques jours amène à relire les propos de Trappier sur Taïwan. Clairement la Chine rentre dans une attitude hostile sur le plan stratégique. Cette attitude va amener à redéfinir les relations avec elle et dans ce contexte il va être possible de discuter différemment avec Taïwan.
  3. Parce que le colonialisme il était complexé peut-être ? Le colonialisme ne se définit pas par rapport à sa manière d'être mais par sa nature basique de s'accaparer les ressources qu'il n'a pas sur place le tout à vil prix.
  4. Maitenant qu'on revient a un monde plus basique on va pouvoir à nouveau appeler un chat "un chat". On va retourner â un colonialisme basique qui sera de dominer un pays non pas pour agrandir des frontières par impérialismes mais simplement pour s'accaparer ses ressources.
  5. On parle d'un changement de monde dans lequel le recours à la force va se banaliser particulièrement pour la maitrise des matières premières en gros un retour au colonialisme le plus basique est loin d'être exclu de la part des blocs.
  6. herciv

    Le F-35

    Alors au rang des difficultés il y avait déjà des problèmes de développement avec une forte tendance au rallongement. Il y avait aussi des problèmes de cadences de fabrication des moteurs dont la production est maintenant en retard de presque 1 an. ET maintenant il va y avoir les terres rares qui risquent de peser lourd dans la balance. Par chance pour le Rafale, Dassault s'est installé durablement en Inde qui pourra fabriquer toutes les pièces à fort contenu en terre rare.
  7. On appel çà un changement de monde. On rentre de plein pied dans le monde de bloc. Trump a monté la première charge contre l'ancien monde avec ses tarifs et s'étonne de la charge chinoise qui s'en suit. Ce qui va se passer maintenant est assez simple à anticiper : un contrôle aux exportations de la plupart des matières premières pouvant être reclyclée, des recherches pour trouver des substituts, une élevation de barrières douanières entre chaque bloc. L'Europe est déjà en train d'élever des barrières sur l'acier. Restera les non alignés avec l'Inde en tête de file avec lesquels ils y aura des barrières mais moins importantes.
  8. Tu es conscient que cette notion de terrorisme n'existerait même pas si les palestiniens avaient une armée et donc un ėtat ?
  9. C'est reparti pour la guerre commerciale et les tarifs à l'initiative des chinois via les terre rares. Forcément Trump a pris la mouche. La bourse US et toutes les autres réagissent très mal. Et comme la bourse US avaient juste besoin d'un peu d'aide pour se mettre à chuter ... https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/donald-trump-menace-la-chine-et-secoue-les-indices-boursiers-ce7d5adbd88cf522
  10. En tous cas la première cible touchée est Trump Himself et comme d'habitude il réagit au quart de tour : Donald Trump menace la Chine d’une augmentation «massive» des droits de douane, Wall Street se retourne https://www.lefigaro.fr/societes/donald-trump-menace-la-chine-d-une-augmentation-massive-des-droits-de-douane-wall-street-se-retourne-20251010 Par Le Figaro avec AFP et Reuters Il y a 7 minutes Dans un mssage virulent publié sur Truth Social, le président américain accuse Pékin d’adopter une attitude «hostile» et d’imposer des contrôles sur les terres rares. Passer la publicitéPasser la publicité Vers le retour de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine ? Donald Trump a menacé ce vendredi d’une «augmentation massive» des droits de douane sur les produits chinois, dans une diatribe publiée sur son réseau social Truth social. «Cela a été une vraie surprise» a réagi le président américain. «Je n’aurais jamais imaginé en arriver là, mais peut-être, comme pour toute chose, le moment est-il venu. En fin de compte, même si cela peut être douloureux, ce sera une très bonne chose pour les États-Unis. L’une des politiques que nous envisageons actuellement est une augmentation massive des droits de douane sur les produits chinois entrant aux États-Unis. De nombreuses autres contre-mesures sont également sérieusement envisagées. Merci de votre attention !», a écrit le 47e locataire de la Maison Blanche. Les terres rares étaient déjà un point de friction majeur dans les négociations commerciales sino-américaines, Washington accusant Pékin de ralentir délibérément l’approbation des autorisations d’exportation. Le géant asiatique est le premier producteur mondial de ces matériaux essentiels pour le numérique, l’automobile, l’énergie ou encore l’armement. Les nouveaux contrôles annoncés jeudi par Pékin concernent l’exportation des technologies liées à l’extraction et la production de ces matériaux, a indiqué le ministère du Commerce dans un communiqué. «Il n’est pas possible que la Chine soit autorisée à tenir le monde “prisonnier” mais cela semble être leur projet depuis un moment», a jugé Donald Trump. Chute de Wall Street Dans la suite de son message, le président américain accuse Pékin de vouloir imposer des contrôles à l’exportation sur les terres rares et d’adopter une attitude «hostile» envers les autres nations. Donald Trump a par ailleurs jugé qu’il «ne semblait plus y avoir de raison» de voir son homologue chinois Xi Jinping en Corée du Sud dans deux semaines, comme c’était prévu. Cette escalade verbale a ravivé les craintes d’un nouveau bras de fer commercial entre les deux puissances, faisant reculer Wall Street. À 15h12 GMT, l’indice Dow Jones reculait de 201,88 points, soit 0,44%, à 46.156,54 points. Le S&P 500 perdait 43,06 points, soit 0,64 %, à 6692,05 points, tandis que le Nasdaq cédait 223,54 points, soit 0,97 %, à 22.801,09 points.
  11. herciv

    Le F-35

    Pour le F-35 TR3 "Combat Ready" on attend toujours. LM avait dit en juin qu'ils avaient fait entamer des test à l'USAF. Depuis on a eu cet article en septembre mais rien de plus. Pour l'instant, il est toujours "presque" prêt. https://nationalinterest.org/blog/buzz/f-35-fighter-jets-tr-3-upgrade-package-almost-ready-ps-092425
  12. herciv

    La Composante Air belge

    Les F-16 belges volerons jusqu'à 2028. https://www.sudinfo.be/id1051166/article/2025-10-10/attention-vos-oreilles-les-f-35-debarquent-ce-lundi-en-wallonie-et-ils-seront
  13. herciv

    L'Inde

    L'inde revendique 9 chasseurs paki détruits dont 5 en vol et répond aux revendications Paki d'une manière fine et parfaitement assumée :
  14. Le shutdown pousse à bout certains américains. Pour certains c'est visible parce qu'ils sont essentiels au fonctionnement du pays par exemple les contrôleurs aériens : https://www.aerotime.aero/articles/natca-warns-controllers-sickouts-shutdown-delays
  15. herciv

    L'artillerie de demain

    Pour moi plus on se rapproche de la ligne de front plus il faut avoir des véhicules compacts pour être vu le plus tard possible par les drones. L'intérêt du 105 c'est qu'il est embarquable sur un chassis 4 x 4. L'un des gros avantage du CAESAR c'est justement son chassis 6 x 6.
  16. Exemple de retour au réalisme humaniste dans les médias : https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/gaza-israel-menace-de-devenir-un-etat-paria-2190413 Une hypothèse parmi d'autres mais qui amène au même constat que le soutien US à Israël n'est pas (plus) inconditionnel : https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/10/09/le-raid-d-israel-sur-le-qatar-fut-une-grosse-bourde-qui-est-peut-etre-a-l-origine-du-plan-de-paix-pour-gaza_6645439_3232.html
  17. Si c'est le prix à payer pour que ces gens aient enfin le droit de vivre çà me semble acceptable.
  18. Et puis il faut quand même s'interroger sur ce qui est arrivé dans tellement d'ėtats capables de passer d'une politique de soutients assumés (livraison d'armes et de pièces détachées) aux refus d'un tel soutien deux ans plys tard voir à la reconnaissance de l'état palestiniens pour au moins une douzaine. Je soupconne l'agitation populaire d'être de plus en plus visible et le comportement des états incompréhensibles sur le sujet humanisme. La crainte de déconnexion des états avec les peuples auraient-elle jouée un role, même aux US ? Je propse l'étude de cas néerlandais autour du changement d'attitude sur la livraison de pièces F-35 pourtant jugée acceptable par la justice néerlandaise mais non suivie par le gvt.
  19. Sans l'inconditionnalité de l'aide US, Israël est un confetti géopolitique. Et actuellement ce confetti est soumis aux changements d'humeurs de Trump. Et ce changement arrive au plus mauvais moment de l'offensive.
  20. Très exactement. La politique US sous Trump ne s'inscit plus dans une continuité maintenue vivante pas le département d'état quel que soit le président. Là c'est Trump et uniquement lui qui décide éventuellement avec l'aide des maga. Mais si il y a instabilité du comportement US ça veut dire la fin de l'inconditionnalité de l'aide US à Israëel qui était une condition nécessaire à Harretz Israël. Nul part dans le monde Israël ne pourra retrouver un tel soutien. Israël va être obligée de rentrer dans le concert des nations pour chercher un soutien conditionnels.
  21. Tu croyais bibi capable de signer un cessez-le-feu en pleine offensive et après avoir ordonné un tel massacre ? Le mec il signe alors qu'il sait qu'il signe sa fin à lui. Tu crois franchement qu'il n'a pas une énorme épée qui plane au-dessus de lui ? Il n'a pas le choix.
  22. Israël n'a plus aucun soutien fiable nul part. Ca réduit fortement son champ des possibles.
  23. Cette soudaineté doit également être un sujet dans toute les chancelleries. Le soutien US n'est une évudence pour personne même pas Israël, malgré sa capacité énorme de lobbying a Washington. Ca veut dire aussi qu'aucune volonté politique continue n'est a l'oeuvre actuellement aux US concernant le Moyen-Orient. Ce ne sont que des voltes-faces non réfléchies dictées par un seul homme avec un département d'état réduit à un rang de figurants.
  24. Bon le cessez-le feu est accepté par tout le monde. Les Gazaoui vont pouvoir souffler. Perso je pense qu'il tiendra parce que je ne vois pas bibi le signer de gaieté de coeur sans une énorme menace sur Israël. Trump en tant que dernier supporter d'Israël a probablement menacé de couper les appros. Ca montrerait encore une fois sa fiabilité et la fragilité stratégique évidente d'Israël sans soutien extérieur. Cette fragilité a été occulté par bibi tant qu'il pouvait mais vu l'isolement croissant des US et d'Israël sur la scène internationale, Trump s'est probablement décidé à agir en menacant bibi. Dans tous les cas on comprend que Israël ne peut plus poursuivre son assaut sur Gaza pourtant en pleine réalisation et malgré la volonté plusieurs fois affichées du gouvernement Israélien de raser l'intégraliré de Gaza et de déporter / décimer tous les gazaouis. C'est soudain. Et cette soudaineté montre la force des arguments de Trump. https://www.lefigaro.fr/international/israel-hamas-les-dessous-de-l-accord-historique-conclu-sous-l-egide-de-donald-trump-20251009
  25. L'Europe est au pied du mur. Il n'y a rien à négocier avec Trump. Il en veut toujours plus. Trump exige que les entreprises américaines soient exemptées de nombreuses règles européennes https://www.lesechos.fr/monde/europe/trump-exige-que-les-entreprises-americaines-soient-exemptees-de-nombreuses-regles-europeennes-2190976 Dans un courrier envoyé début octobre, l'administration américaine réclame pour les entreprises américaines des exemptions aux règles de l'UE. La Commission et les Etats membres se consultent ce mercredi soir. Par Karl De Meyer, Solveig Godeluck Publié le 8 oct. 2025 à 15:57Mis à jour le 8 oct. 2025 à 18:52 Comme s'y attendaient de nombreux experts européens dès l'été dernier, les Etats-Unis reviennent à la charge pour réclamer des exemptions à plusieurs législations clés de l'Union européenne. Ce qui jette une ombre sur la stabilité du nouveau cadre transatlantique formalisé en août dernier dans une « déclaration commune » entre Washington et Bruxelles. L'administration Trump, comme l'ont révélé le « Financial Times » et l'agence Bloomberg ce mercredi, a envoyé une nouvelle lettre à la Commission européenne, au début du mois, pour exiger que les entreprises américaines ne soient pas incluses dans le champ de plusieurs textes emblématiques. Parmi eux, la directive sur le devoir de vigilance, qui oblige les grandes entreprises à mesurer l'impact social et environnemental de leurs chaînes d'approvisionnement. Information des ambassadeurs Son objectif est de traquer les pratiques inacceptables de certains fournisseurs. Washington dénonce « la dimension extraterritoriale » du texte, les surcoûts qu'il implique pour les entreprises américaines, dont certaines menacent de se retirer du marché européen par peur des amendes ou des poursuites juridiques. Autres législations dans le viseur des Etats-Unis : les textes contre la déforestation ou le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières. Selon nos informations, la Commission doit informer les représentants permanents des Etats membres de l'UE en soirée, ce mercredi. Les ambassadeurs ne seront pas surpris : la déclaration conjointe d'août dernier ouvrait la porte à de telles revendications. Elle précisait en effet que « l'Union européenne s'engage à tout mettre en oeuvre pour que la directive sur le devoir de diligence en matière de durabilité des entreprises (CSDDD) et la directive sur le reporting en matière de durabilité des entreprises (CSRD) n'imposent pas de restrictions excessives au commerce transatlantique ». Une source du Parlement européen indique aux «Echos» ne voir «pas de nouveauté sur le fond ou la méthode, cela reste de l'idéologie assumée et du chantage permanent». La même personne estime que l'UE doit répondre «à la fois par l'affirmation de notre politique industrielle et la poursuite de notre diversification». Véritable casse-tête Les nouvelles demandes américaines n'en représentent pas moins un nouveau casse-tête. D'abord, elles réintroduisent une dose d'incertitude, alors qu'Ursula von der Leyen avait vendu son deal commercial avec Washington comme une base certes asymétrique, mais au moins solide, sur laquelle les exportateurs des deux côtés de l'Atlantique pourraient se reposer. Ensuite, si l'UE acceptait finalement d'accorder certaines exemptions et dérogations aux Etats-Unis, les autres grandes puissances commerciales demanderaient très probablement les mêmes. De nombreux pays du Sud dénoncent depuis des années une forme d'impérialisme réglementaire aux accents néocoloniaux dans les exigences environnementales de l'Europe. Ce qui est en jeu, c'est donc la capacité de l'UE à adopter des normes qui, par capillarité, s'imposent dans de nombreuses régions du monde, grâce au levier que représente le marché intérieur de 450 millions de consommateurs parmi les plus aisés du monde. C'est ce qu'on appelle le « Brussels effect ». La Commission s'est contentée, mercredi, de déclarer qu'elle est « concentrée sur la pleine mise en oeuvre de la déclaration commune, essentielle pour préserver notre commerce transatlantique sans équivalent, protéger les entreprises et les emplois ». Instrument anti-coercition Du côté français, on ne s'inquiète pas excessivement de la lettre à la Commission européenne et de la remise en question des normes environnementales. Ces escarmouches idéologiques fragilisent certes l'accord commercial bilatéral, mais elles ne sont pas prioritaires pour l'administration américaine. Et le département américain du Trésor veille à ce que le «deal» résiste, même si le président Trump fait des déclarations qui paraissent le condamner. Les principaux points de fragilité résident plutôt dans le risque d'invalidation par le Parlement européen d'un accord commercial très déséquilibré, et dans les pressions répétées des géants de la tech contre les taxes sur le numérique, en France et ailleurs. Donald Trump y est sensible. Du coup, les législations de régulation d'Internet, qu'il s'agisse d'interdire les contenus illégaux en ligne ou de limiter le pouvoir de marché des plus grandes plateformes numériques, sont dans le collimateur de Washington. Au cours de l'été, la Commission en avait fait une ligne rouge absolue. Les Etats membres avaient fait comprendre que si Washington continuait à chercher à les démanteler, ils étaient prêts à déclencher l'instrument anti-coercition de l'UE. Il s'agit de l'outil de représailles le plus puissant des Européens. Les Vingt-Sept ont déjà approuvé, à titre préventif, des hausses de droits de douane sur des marchandises américaines représentant un volume de 95 milliards de dollars. Ces mesures n'ont jamais été appliquées, puisque est intervenu l'accord de Turnberry de juillet dernier, formalisé par la déclaration conjointe au mois d'août.
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