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Salverius

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Tout ce qui a été posté par Salverius

  1. Salverius

    Nouveau menbres

    Bonjour B52. Ne soit pas timide et crée ton propre fil.
  2. Salverius

    Le successeur du CdG

    C'est quasiment sûr. Petite réflexion (sur laquelle je suis ouvert à la critique): Sachant que le CdG pèse 42.000 tonnes, mesure 261 mètres et développe une puissance de 83.000 cv. Sachant que chaque K22 devrait développer une puissance de 62.000 cv (50 % de plus que le K15 qui équipe le CdG) Sachant que chaque K15 occupe une tranche de 40 mètres sur le CdG. Sachant que le PANG devrait peser 75.000 tonnes et mesurer 40 mètres de plus que le CdG. De combien de réacteur K22 va t'on équiper le PANG? Je parie sur trois. Le PANG développerait une puissance électrique de 186.000 cv environ, soit 138 MW. Avec deux réacteurs, sa puissance serait trop basse, notamment pour un jour disposer d'arme laser.
  3. Salverius

    Le successeur du CdG

    Et les drones. Mais il va falloir garder de la puissance électrique...
  4. Salverius

    [Rafale Marine]

    Le PANG sera peut être opérationnel en 2040. Mais je doute que ce soit le cas du NGF: dans le meilleur des cas, il ne fera que démarrer sa carrière opérationnelle. Il est donc quasi certain que le PANG commencera sa carrière avec au moins quelques Rafale. Cela pourrait nécessiter de nouvelles commandes de Rafale M (vers 2030-2035?) pour éviter un trou capacitaire: en 2040, tous les Rafale M existant auront entre 30 et 40 ans de durée d'utilisation. Quant à l'impact des EMALS sur les cellules, il est un peu trop tôt pour se prononcer: sera t'il significatif ou s'agit il d'un argument marketing non déterminent? En revanche, l'utilisation de catapules de 90 mètres au lieu de 75 mètres devrait permettre de revoir à la hausse la capacité d'emport des Rafale M, qui reste inférieure à celle des Rafale C. beaucoup de conditionnels quand même...
  5. Salverius

    Le successeur du CdG

    C'est vrai, avec une juppe ça a tout de suite plus de gueule! Par contre, je n'ai pas vérifié pour les pods dessous...
  6. Les premières images du SCAF montrent des Remote Carrier largués de la soute d'un A400 M. Après quels Remote Carrier ? Une version récupérable? Une version Kamikaze ? Sans doute les deux. Je m'intéresse surtout à la version récupérable. Il faudra potentiellement le dimensionner pour en loger plusieurs dans la soute d'un A400M. Je pense faire un post particulier "la où vont les PA légers, les P-DR et autre PAD". Pour les A 380, j'ai longtemps cru en cet appareil... Pour un usage civil. Là, je crois qu'il faut le laisser dans le cimetière des fausses bonnes idées: @Bechar06 les modifications nécessaires à la transformation des A380 en porte-drones sont trop lourdes; en plus, l'avion va vite être retiré de la quasi totalité des flottes mondiales, la maintenance va vite devenir problématique. Quitte à prendre un modèle civil d'avion, autant prendre des béluga: la soute serait même plus large que sur un A380. Et transporter des Remote Carrier, c'est plus une question de volume que de masse.
  7. Et quand ton super PA de la mort qui tue est indisponible (en IPER par exemple) alors que la constitution du GAN et du GAE ont mobilisé l'essentiel des ressources de la Marine, comment défends tu les intérêts de la France ? Je rappelle que le taux de permanence d'alerte du CdG, et donc du GAN et surtout du GAE, c'est 63%. Bien entendu, l'idéal serait d'avoir deux super PA de la mort qui tue. Mais actuellement, on ne sait même pas si nous pourrons nous en payer un. Ce fil existe pour réfléchir à doter la France d'une permanence d'alerte de 100%, quitte à ce que la puissance de feu du GAN à un instant T n'atteigne jamais la puissance qu'il aurait eu avec un super PA de la mort qui tue.
  8. Quand je te lis, il me vient en tête le design de la classe San Giorgio: Un pont plat équipé d'un radier, avec un hangar de taille correcte. Le tout pour 7.000 tonnes à pleine charge. Néanmoins, je ne suis pas convaincu du process: il me fait trop penser au Porte-hydravions Commandant Teste, réputé pour le ramassage fastidieux des aéronefs.
  9. Faire apponter des drones à l'aide de parachutes? C'est une chose de piloter un parachute vers un point précis à terre et faire la même chose en mer, sur un navire qui file à 25 noeuds. Même si c'était possible, une fois l'apontage réussi, il faudrait trouver un système pour replier chaque parachute en très peu de temps pour ne pas encombrer le pont. Ou alors faut que le parachute soit jetable... En toute hypothèse, je ne vois pas comment faire cela d'une frégate. Seul un navire à pont plat permettrait ce genre de manœuvre.
  10. Le principal écueil de ces drones restent et demeure la récupération. À la rigueur, pour le décollage, une catapulte pneumatique d'une dizaine de mètres sur le pont de la frégate devrait suffire pour propulser des drones de moins de 700 kg. Je pense que ce serait plus adéquat que l'ensilage, dont le rechargement en mer est problématique et qui n'apporte aucune aide au décollage. Mais alors pour l'appontage... À part utiliser des brins d'arrêt, je sèche. Ou alors il faut utiliser des drones à voilure tournante. Peut être configurés comme un airbus Racer, pour gagner en vitesse et en endurance par rapport à un hélicoptère? Voire des autogires?
  11. J'avoue faire mal la distinction entre les "drones ensolités" non récupérables et un MdCN évolué. De votre côté, comment voyez-vous les choses ? Quelles sont les distinctions ? Quel emploi de ces frégates P-DR? @g4lly, je suis entièrement d'accord. Le concept de Remote Carrier est encore très flou. Mais c'est normal: lorsque les plans du CdG ont été dessinés, le Rafale n'était même pas une idée... Aujourd'hui, lorsque les ingénieurs Naval Group réfléchissent au successeur du CdG, ils ont deux options: Soit ils imaginent une grande plateforme selon le concept "qui peut le plus peut le moins", faisant abstraction du coût du navire Soit ils se livrent à de la prospective et imaginent une plateforme qui serait adaptée à des besoins futurs, même si ceux-ci sont mal définis, en intégrant une logique de coût J'ai toujours regretté que l'option 1 soit la seule réellement explorée ces dernières années. Au stade des études, toutes les options devraient être sur la table. Je rappelle que pour le CdG c'est l'option 2 qui la emporté, notamment avec des solutions innovantes de tranquilisation de la plateforme.
  12. A la lecture de ton dernier post je comprends que je n'avais manifestement pas compris ta pensée.
  13. Quel intérêt de prendre de la Kro si c'est pour prendre un pack de 6? Le Rafale c'est comme la Kro, ça se vend pas paquet de 36, avec 4 gratuits! La Grèce a juste partagé son pack avec son copain Croate et Al Sissi, à qui il manquait quelques euros, vient chercher le reste lundi.
  14. Pas tout à fait. Le chef d'état major de l'armée de l'air, le général Lavigne, a notamment déclaré en 2019 (morceaux choisis): « La diminution continue des flottes occidentales depuis le début des années 2000 devient problématique dans un contexte où les espaces aériens peuvent être beaucoup plus durement contestés », souligne le CEMAA. Et ses homologues font tous le même constat : « la masse fait partie des axes qui doivent structurer nos réflexions pour la prochaine décennie afin de garantir la capacité à durer au combat. Il faut être résilient, pouvoir encaisser des coups, mais tenir les espaces aériens conquis ». Et, fait-il valoir, « cela nécessitera probablement que nous repensions nos formats, le moment venu ». "S’il n’est pas possible d’augmenter significativement le nombre d’avions de combat [ce qui sera toujours plus compliqué à l’avenir, au regard du coût des appareils de nouvelles générations], la solution passe par les drones, l’intelligence artificielle et une connectivité accrue entre les plateformes. « Cela ouvre la voie au déploiement prochain de nouvelles plates-formes non pilotées [remote carriers, loyal wingman] qui, tout en fournissant de la masse facilitant la pénétration, permettront de multiplier les senseurs et les effecteurs » ainsi que de « réduire les risques encourus par les équipages dans certaines phases de vol particulièrement exposées », explique en effet le général Lavigne. http://www.opex360.com/2019/08/18/le-general-lavigne-veut-que-larmee-de-lair-reprenne-de-la-masse-pour-renforcer-sa-resilience/ A lire le CEMAA, la France devrait s'orienter vers des drones réutilisables, mais sacrifiables. Ce type de drones est est assez proche du Remote Carrier présenté par Airbus au Salon du Bourget et assez proche du concept de de "Loyal Wingman" présenté par Boeing de Boeing. A lire le CEMAA, employer le NGF sans drone c'est l'exposer à des risques trop élevés. Le PANG déploiera aussi bien des NGF que des drones. Pour moi c'est une certitude. C'est ce qui pose problème pour dimentionner un PAD (Porte Aéronefs Dronisés, désolé @wagdoox je préfère ce sigle que le P-DR). Les RC d'Airbus me semble toutefois plus proche du Drone décrit par le CEMAA que le NEURON par exemple. En effet: une petite dimension (j'ai dit 12 m de long, mais cela pourrait être moins) est plus conforme avec la notion de "sacrifiable" développée par le CEMAA le NGF devant être déployé sur PA et devant être accompagné d'effecteurs pour être efficasse à 100 %, la solution à ailes pliables du RC d'Airbussemble plus adaptée qu'une aile volante Néanmoins, quitte à dispose d'un pont plat doté de catapultes et de brins d'arrêt, autant que le PAD puisse accueillir quelques NGF. Le ponpon serait de pouvoir accueillir des Hawkeye... Sinon, on peut revenir à à celui-ci: Pas mal comme forme de base pour le PAD.
  15. Salverius

    Drone aérien

    Je ne suis pas responsable de la dénomination des produits de Thales. Difficile de généraliser. http://www.opex360.com/2019/03/08/pouvant-evoluer-parmi-des-chasseurs-bombardiers-le-drone-xq-58a-valkyrie-a-effectue-son-premier-vol/ Je site au sujet du démonstrateur XQ-58A Valkyrie: " Selon les spécifications données à l’époque par l’AFRL, ce drone devait avoir une autonomie de 1.500 nautiques [environ 2.800 km], être capable d’évoluer aux côtés d’avions « habités », à basse comme à haute altitude, tout en étant « extrêmement agile » pour éviter les missiles adverses », de voler à Mach 0,9 pendant de courtes périodes et d’emporter deux bombes GBU-39. Et le tout pour 3 millions de dollars l’unité [pour les 99 premiers, 2 millions dans le cas où plus de 100 seraient commandés]."
  16. Salverius

    Drone aérien

    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/le-drone-patroller-sera-arme-l-armee-de-terre-le-souhaite-chef-d-etat-major-de-l-armee-de-terre-833107.html Selon La Tribune, le patroller devrait être armé de roquettes guidées laser de 68 MM.
  17. Avant de revenir sur les porte-avions légers, je voulais parler du projet de PA2. S'il avait été construit, le PA2 aurait sans doute été mis en service vers 2018 et retiré du service en 2058 environ. Durant la seconde moitié de sa carrière opérationnelle, Il aurait été contemporain du SCAF qu'il aurait sans nul doute déployé. Sachant que l'on a une idée assez claire de l'aspect et des dimensions du PA2 grâce à la classe Queen Elizabeth, je me suis demandé quel nombre d'aéronefs auraient pu emporter le PA2 dans le cadre du SCAF. Attention: je ne me suis pas livré pas à un concours d'empilement de NGF... Le but est de présenter une configuration réellement opérationnelle et proche de ce que le SCAF pourrait être. A cette fin, j'ai retenu les idées suivantes: le SCAF devrait être composé de NGF, de Remote Carrier Airbus et de Remote Carrier MDBA kamikaze; j'ai négligé les RC "kamikaze" car je pense qu'il doivent être traités comme des munitions. Pour être conforme au concept, j'ai pensé que chaque NGF devait être accompagné d'au moins 2 RC AIRBUS comme Loyal wingman le porte-avions peut déployer un GAE équivalent à deux fois sa capacité de hangar le Hangar doit rester fonctionnel, c'est à dire conserver des espaces de circulation permettant la maintenance et le déplacement de chaque aéronef J'arrive à l'illustration suivante: Avec cette configuration, le PA2 aurait déployé 40 aéronefs: 12 NGF, 24 RC AIRBUS, 2 Hawkeye et 2 H160M Guépard Pouvez-vous me dire si cela vous semble cohérent? Merci!
  18. Je parlais bien entendu des militaires français. Je ne peux pas m'empécher de penser que notre chapelet de bases serait parfaitement complété par une présence militaire en Indonésie pour couvrir tout l'Indo-pacifique. Quoi de mieux pour sceller un accord de défense qu'une présence permanente?
  19. J'aimerais bien une base aéronavale permanente française près des détroits de Malacca et/ou de la Sonde. C'est la seule zone stratégique internationale où les français ne sont pas présents. Une idée d'Offset?
  20. Faut noter qu'il y a manifestement quelques choses qui fait hésiter notre Président. Et ce n'est pas que la Covid. Il est d'ailleurs anormal que les Sénateurs, lorsqu'ils souhaitent établir un rapport sur le PANG, n'aient pas pu avoir accès aux études diligentées par Naval Group et autres (même un résumé succint). Il est également anormal que les industriels aient refusés de recevoir les parlementaires. Sans tomber dans les travers de l'Allemagne avec autorisation du Bundestag pour le SCAF à chaque étape du projet, nos parlementaires (qui restent les garants de notre démocratie) devaient a minima être informés sur le contenu des études payées par la France. Sans doute que si ce travail avait pu être fait, je serai moins vindicatif que je ne le suis parfois. Il n'informe même pas les parlementaires... Alors les avis sur AD.NET...
  21. La résultante de cette évolution, c'est la disparition des portes-avions CATOBAR de la quasi totalité des flottes mondiales. Coincée entre les USA et la Chine, la France fait de la résistance... Mais pour combien de temps ? Pourtant, un CATOBAR, même petit, aurait son utilité. En effet, lorsque l'armée de l'air installe une base opérationnelle avancée, elles déploie rarement plus de 6 Rafale, et pas 24.
  22. Il est probable que cela finisse comme la dernière fois : je présente tout fier un ou plusieurs schémas, toi, @true_cricket ou autres pointaient assez facilement de grosses incohérences, je baisse la tête et je prends deux ans pour comprendre ce qui cloche... Et ce ne serait que normal: je ne suis pas ingénieur naval. Néanmoins, l'objectif de la démarche est avant tout d'engager une réflexion par un autre prisme que celui qui nous est présenté comme l'unique chemin possible. Si la France avait eu une telle approche réductrice fin 70-début 80, le CdG n'aurait jamais existé. Bref, je veux que l'on sorte de la pensée unique, quitte à finalement construire un PANG de 280m de long pour 80.000 T à pleine charge. Au moins ce sera en connaissance de cause. Sauf que le CdG a été conçu pour accueillir des F18... À l'origine il ne devait même n'être équipé que de catapultes de 50 m et être CATAPO. Il en porte encore les "traces". La prospective n'était pas plus facile en 1979 qu'elle ne l'est en 2020.
  23. De ce qui a filtré au Bourget: 19 m de long, 14 m d'envergure, poids de 30 à 35 tonnes. C'est pour cela que j'ai pris un F22 pour illustrer le NGFcar les caractéristiques sont proches(en plus du caractère furtif). Les catapultes de 90 m sont imposées par ces dimensions, de même que l'espace pour le parking. Je peux matérialiser ces paramètres. Ce que je ne maîtrise pas, c'est l'impact de la masse du NGF sur le système de brins d'arrêt. Deux points pour lesquels je suis dans le brouillard: Quel est l'impact de la "largeur" du brin tendu en phase d'appontage , qui oscille entre une vingtaine de mètre sur les anciens PA légers à plus de 40 m sur classe Nimitz? Je ne sais pas comment le dire et je m'exprime sans doute mal, mais j'ignore si c'est un point négligeable ou fondamental J'ignore comment la masse du NGF impacte le déroulé du brin; J'avais en tête 80 m de déroulé (pour le Rafale) , soit une fois la longueur de l'aéronef intégrée, il faut disposer d'une bonne centaine de mètre après le dernier brin. Pour le NGF, cela doit être plus, mais je n'ai pas idée de combien.
  24. Salverius

    Le successeur du CdG

    Il est un des rares "piliers" à ne l'avoir jamais dit...
  25. Curieusement, parmi les aéronefs que j'ai listés, le plus dimensionnant reste et demeure le Hawkeye. Pour qu'il puisse apponter dans de bonnes conditions, j'estime qu'il faudrait une piste de 200/210 mètres de long et de 34 mètres de large (envergure de 24,58 m + 4 mètres de part et d'autre + arrondis). Le NGF ne nécessite en sus "que" des catapultes de 90 m (ce qui ne pose réellement de problèmes que si le PA est CATAPO). Avec le CdG, nous savons qu'à 42.000 Tonnes, propulsé par deux K-15, c'est faisable. Les questions sont: avec les contraintes posées, un PA léger peut il être plus petit que le CdG? Si le PA "léger" fait la dimension du CdG, aura t'on les ressources pour en construire deux?
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