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Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Titus K

    A330 MRTT

    La Norvège fait déjà partie de la flotte. Le Danemark va probablement commander 2 MRTT La Finlande et la Suède vont également rejoindre la MFF ... probablement quelques avions supplémentaires. Le jeudi 5 juin 2025, les ministres de la Défense de la Finlande, de la Suède, de la Norvège et du Danemark ont signé une lettre d'intention concernant la participation à la flotte multinationale d'avions multirôles de l'OTAN dans le cadre de la réunion ministérielle de la défense de l'OTAN.
  2. Les États baltes intéressés par le même type de chasseurs de mines que les Pays-Bas https://marineschepen.nl/nieuws/Mogelijk-ook-Frans-exportsucces-in-Baltische-Staten-040625.html La Finlande, l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie s’intéressent aux navires de lutte contre les mines construits par le groupe français Naval Group, destinés aux marines néerlandaise et belge. C’est ce que rapportent Baird Maritime et Naval News. Les Pays-Bas et la Belgique travaillent depuis longtemps sur un projet commun pour la construction de nouveaux navires de lutte contre les mines. En 2019, un contrat a été signé prévoyant que Naval Group construirait douze navires. Cela signifie que chaque pays disposera de six nouveaux navires de lutte contre les mines. Ouverture au marché Le contrat prévoyait également que Naval Group pourrait commercialiser ce design à l’export, ce dont le chantier français semble aujourd’hui profiter. La Finlande, l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie seraient toutes en discussion pour également commander des navires auprès de Naval Group. C’est ce qu’indiquent Baird Maritime et Naval News, bien qu’il soit difficile de savoir exactement d’où proviennent ces informations. Le site Marineschepen.nl a posé des questions à Naval Group, mais n’a pas obtenu de réponse. L’intérêt pour ce produit français ne date pas d’hier. En 2019, le PDG de l’époque avait déjà déclaré que des discussions étaient en cours avec plusieurs pays. En 2023 également, le PDG de Naval Group déclarait à Marineschepen.nl qu’il y avait un fort intérêt international pour ces navires. Aucun contrat n’a cependant encore été signé. Du point de vue du chantier néerlandais Damen, la nouvelle pourrait avoir un goût amer si elle se confirmait. Le concept, le design, la production des nouveaux navires de lutte contre les mines et les améliorations de leur boîte à outils ont en partie été financés par des fonds néerlandais de la Défense, permettant ainsi au principal concurrent de Damen de proposer un produit d’exportation. À la connaissance générale, Damen n’a plus été actif dans ce segment depuis sa défaite à l’appel d’offres pour les navires néerlandais et belges en 2019. Détection des mines dix fois plus rapide La marine lituanienne serait, selon les informations disponibles, la plus avancée dans ses discussions avec Naval Group. Le pays est directement voisin de l’enclave russe de Kaliningrad, qui abrite la flotte russe de la mer Baltique. La Lituanie, confrontée à des eaux peu profondes, a depuis longtemps développé une spécialisation dans la lutte contre les mines. Ses navires participent régulièrement au Standing NATO Mine Countermeasures Group 1. En Finlande, l’intérêt repose surtout sur le remplacement des classes Kiiski et Kuha, désormais obsolètes. Dès 2022, le pays avait exprimé son intention de les remplacer, avec au départ un plan visant à installer des équipements existants sur de nouveaux navires. Ce projet a cependant été brusquement abandonné, rendant logique l’intérêt porté à Naval Group pour de nouveaux bâtiments. C’est notamment la promesse de Naval Group selon laquelle ses nouveaux navires et unités autonomes permettraient une détection des mines dix fois plus rapide que les méthodes traditionnelles qui semble séduire les quatre pays. Pendant ce temps, l’arrivée en service des premiers navires belges et néerlandais se rapproche : l’Ostende est attendue à la fin de l’été, et le Vlissingen devrait être mis en service d’ici la fin de l’année.
  3. Ca me semble être une condition difficile a remplir vu notre stock de SAMP/T non ? Bon ceci dit, mettre en competition le SAMP/T NG et Nasams c'est quand même assez curieux ... Le ministre Danois de la Défense a déclaré aujourd'hui qu'une décision concernant le premier système GBAD sera prise la semaine prochaine pour être opérationnel dès 2026. Cela signifie probablement qu'un pays offrira une ou deux batteries en prêt pour démarrer Norvège ou France ?
  4. Titus K

    CV90 : pourquoi tant d'amour ?

    Grosse annonce aujourd’hui : la Suède, la Norvège, la Finlande, la Lituanie, les Pays-Bas et l’Estonie ont signé une déclaration d’intention (SoI) concernant une coopération autour du véhicule de combat d’infanterie suédois CV90. Cela inclut un achat coordonné de plusieurs centaines de CV90. La guerre menée par la Russie contre l’Ukraine pousse les États européens à se réarmer et à reconstituer leurs stocks militaires. Nous devons produire plus vite et à plus grande échelle. L’acquisition coordonnée de matériels comme le CV90 accélérera les livraisons, réduira les coûts et renforcera la capacité de production de l’industrie de défense. La coopération envisagée inclut l’acquisition et le soutien logistique coordonnés, ainsi que des efforts conjoints pour aider l’Ukraine avec le système CV90 et explorer les possibilités de renforcer cette coopération.
  5. Titus K

    Marine Norvegienne

    Si la Norvège choisit les FDI, Naval Group soutiendra leur maintenance avec le chantier CCB https://www.meretmarine.com/fr/defense/si-la-norvege-choisit-les-fdi-naval-group-soutiendra-leur-maintenance-avec-le-chantier-ccb Naval Group a signé un partenariat avec le chantier norvégien Coast Center Base (CCB), situé près de Bergen. L’industriel français y développera des compétences techniques et capacités industrielles pour assurer le maintien en condition opérationnelle (MCO) des futures frégates norvégiennes si l’offre de France, basée sur les FDI, est retenue par le royaume scandinave. L’annonce a été faite le 4 juin à l’occasion du salon Nor-Shipping d’Oslo, lors d’une réception à l’ambassade de France. Dans le cadre de la compétition internationale pour le programme des futures frégates norvégiennes, Naval Group a donc conclu un accord en vue d’un partenariat stratégique avec Coast Center Base. Travaillant historiquement pour le marché de l’offshore pétrolier et gazier, ce chantier est situé à Ågotnes, près de Bergen, la grande ville de l’ouest du royaume scandinave. Le Memorandum of Understanding (MoU) signé par Naval Group et CCB permettra, si la Norvège choisit les frégates de défense et d’intervention (FDI) françaises pour renouveler sa flotte, d’y développer un centre de maintenance, de réparation et de modernisation des bâtiments, pour lesquels l’industriel français s’engage sur un taux de disponibilité allant jusqu’à 80%. Un niveau analogue à celui des dernières frégates françaises, les FREMM, que les Norvégiens connaissent bien puisqu’elles naviguent très régulièrement dans leurs eaux afin de renforcer le flanc nord de l’OTAN face à la flotte russe. Les FDI, dont le premier exemplaire, l’Amiral Ronarc’h, a achevé avec succès ses essais en mer et doit rejoindre Brest en septembre pour y être livré à la Marine nationale, seront dans la même veine. Proximité avec la grande base navale de Bergen Coast Center Base a été retenue notamment en raison de sa proximité avec Bergen (30min), où se trouve la principale base navale norvégienne, Håkonsvern --> les futurs équipages seront proches de chez eux durant les périodes de maintenance. Bonne infrastructure industrielle liée à la maintenance des plateformes offshore & réserves foncières pour développer un pôle dédié à la MCO des frégates. La maintenance est un enjeu central du programme Développer un cluster d’entreprises et de compétences L’accord avec Coast Center Base constitue la première brique d’un dispositif plus vaste visant à structurer une solution complète pour la maintenance et la modernisation des frégates. Naval Group propose une coopération de long terme incluant transfert de savoir-faire, expertise, et engagements sur un taux de disponibilité très élevé. L’objectif est de créer un cluster industriel norvégien rassemblant plusieurs dizaines d’entreprises pour développer durablement compétences, capacités et expertise. Ce dispositif vise à garantir que les frégates restent au meilleur niveau technique et opérationnel tout au long de leur vie. Le projet générera de nombreux emplois de haute technicité, notamment dans les domaines du numérique et de la cybersécurité. Accompagner les Norvégiens dans la durée L'industriel sait que la Norvège est une grande nation maritime, avec un écosystème industriel et académique innovant et très compétent, qui pourrait même inspirer la France. Toutefois, dans le domaine des bâtiments de combat de premier rang, la Norvège a besoin d’un accompagnement extérieur. Naval Group se positionne comme un partenaire solide dans ce rôle, fort d’une expérience internationale (Brésil, Inde, Égypte, Émirats, Grèce, Singapour…) en matière de transfert de technologie. Un partenariat global La France propose à la Norvège un partenariat stratégique --> FDI + coopération élargies entre les 2 marines -->bien au-delà des seules frégates à construire. Cette coopération pourra inclure des opérations de modernisation conjointes et d’autres projets communs. L’accord entre Naval Group et Kongsberg illustre cette ambition : il porte sur le partage d’expertises, l’innovation, la production et la commercialisation à l’international. Quatre candidats en lice Quatre offres sont en finale pour le programme des futures frégates norvégiennes, qui seront au nombre de cinq à six. La FDI française affronte la Type 26 britannique de BAE Systems, la Constellation de Fincantieri pour l’US Navy, et la Meko A-400 de TKMS proposée à l’Allemagne dans le cadre du projet F127. Les Norvégiens souhaitent que le premier bâtiment soit livré en 2029. Les atouts d’un modèle compact et de l’étrave inversée La frégate française présente de sérieux atouts adaptés aux besoins norvégiens, notamment un taux de disponibilité inégalé malgré une forte activité. Sa taille compacte répond bien aux missions en combat littoral comme en haute mer, avec un design à étrave inversée offrant d’excellentes performances nautiques et une grande stabilité, particulièrement utile dans les conditions difficiles du Grand Nord. Plus légère que ses concurrentes (4500 tonnes contre 7300 à 10 000 tonnes), la FDI nécessite un équipage plus réduit de 125 marins, équipage aéronautique inclus, contre 160 à 200 pour les autres. Cela facilite la gestion des ressources humaines, d’autant que la marine norvégienne a déjà l’habitude d’équipages de taille comparable sur ses frégates Fridtjof Nansen. La possibilité d’un double équipage permettrait d’augmenter le temps de présence en mer tout en allégeant les contraintes sur la vie familiale des marins. Le programme français plus avancé que ses concurrents Seuls les Français proposent un modèle éprouvé, ce qui est crucial car les premiers de série rencontrent souvent des difficultés. La frégate Allemande n’a pas encore été commandée et reste un projet sur papier. Les Constellation américaines accusent un important retard, avec une livraison de la tête de série attendue seulement en 2029 et une FOC pas avant 2030. La britannique Type 26 est plus avancée : le HMS Glasgow a été mis à l’eau en décembre 2022 et baptisé en mai 2025, mais beaucoup de travail reste à faire avant son achèvement... Une première sortie en mer est prévue fin 2025, mais certains observateurs restent sceptiques. La capacité opérationnelle initiale (IOC) de la Type 26 ne serait pas prononcée avant 2028. En comparaison, la FDI française sera pleinement opérationnelle dès 2026 avec l’Amiral Ronarc’h, et au moins six unités auront été livrées en 2028, dont trois pour la France et trois pour la Grèce, qui prévoit une quatrième commande. Lorient en capacité de livrer deux frégates par an Seule la France semble capable de garantir une livraison d’une frégate par an, assurant à la Norvège de recevoir cinq frégates entre 2029 et 2033. Le lancement de la production a connu des retards, mais le chantier Naval Group de Lorient a désormais atteint un rythme de croisière avec 2 FDI produites par an. Les Britanniques construisent leur Type 26 à un rythme d’une unité tous les deux ans pour les trois premières frégates, avec un gain ensuite sur la quatrième unité mise sur cale 17 mois après la précédente -->Ce rythme reste bien inférieur à celui de la France. En Allemagne, la construction n’a pas encore commencé ... aux États-Unis, la deuxième Constellation n’a pas encore été mise sur cale. T26 vs FDI sur les capacités anti-sous-marines Le choix norvégien devrait se faire entre la T26 britannique et la FDI française... Sur les capacités opérationnelles, la frégate française est largement supérieure selon la plupart des experts. Contrairement à ce qui était cru, la T26 ne sera pas équipée du sonar remorqué à immersion variable Captas-4 de Thales, considéré comme le meilleur pour la lutte anti-sous-marine (ASM) --> Le sonar des T26 est un hybride entre le Captas-4 et des technologies britanniques d’Ultra, qui fournit aussi le sonar de coque. Le système de traitement du signal acoustique de Thales développé pour les FDI est probablement supérieur à celui de la T26 et plus performant que celui des FREMM Les T26 ont des emplacements pour tubes lance-torpilles, mais cette option n’a pas encore été activée, ce qui limite leur capacité d’autodéfense contre les sous-marins. La frégate française surclasse largement la concurrence en défense aérienne La défense aérienne est vraiment un point où la FDI surclasse la T26. Le Sea Fire permet par exemple d’utiliser en même temps radar et guerre électronique passive grâce à la numérisation des capteurs... L'Artisan 3D des T26 est bien moins performant. Ces capacités de la FDI seront encore améliorées avec les Aster 15 EC et Aster 30 Block 1NT... Des versions améliorées du CAMM sont en développement (CAMM-ER à 45 km, CAMM-MR à 100 km), mais ils resteront moins performants que l'Aster. La T26 dispose d’un emplacement pour des lanceurs verticaux Mk41, mais leur intégration n’est pas encore confirmée. Pour la Norvège, de bonnes capacités ASM sont indispensables pour contrer les sous-marins russes proches de ses frontières, mais la défense aérienne est aussi fondamentale. Les frégates seront des cibles prioritaires pour l’aviation russe ... et avec des missiles comme l’Aster B1NT, les FDI pourraient aussi aider à défendre le territoire contre des missiles balistiques de moyenne portée. Autodéfense rapprochée et menaces asymétriques En autodéfense rapprochée, la FDI peut intégrer plusieurs systèmes : Un système surface-air américain RAM (développé notamment pour la Grèce), Un système d’artillerie de type CIWS (Rapidfire) Le nouveau lanceur modulaire polyvalent (LMP) que Naval Group souhaite vendre à la MN La FDI est la première frégate à disposer d’un poste de commandement (PC) dédié à la lutte contre ces menaces asymétriques La T26 ne dispose pas d’un équipement équivalent. Son autodéfense rapprochée repose sur 2 canons téléopérés de 30 mm. La Royal Navy a prévu des emplacements pour 2 CIWS Phalanx, mais ces systèmes n’ont pas encore été activés. Le 76mm est plus efficace en lutte anti-aérienne que le 127mm ... 120cps/min contre 20cps/min Des missiles antinavires NSM En capacités antinavires, la T26 et la FDI seront équivalentes. Les deux frégates pourront, selon la demande des Norvégiens, embarquer les missiles NSM de Kongsberg, dont la Royal Navy est déjà cliente. Naval Group a par ailleurs déjà étudié, à la demande d’un autre client, l’intégration du missile NSM sur ses frégates, ce qui est possible sans problème. Jusqu’à deux hélicoptères embarqués et une baie de mission pour la T26 En matière de capacités aéronautiques, la T26, plus grande, pourra embarquer 2 hélicoptères. Le hangar de la FDI est conçu pour accueillir 1 hélicoptère et 1 drone aérien à voilure tournante. Les frégates britanniques disposent également d’une baie de mission permettant d’embarquer des semi-rigides supplémentaires ou de déployer des drones de surface ou sous-marins. La FDI peut aussi accueillir ce type de matériels, mais sa capacité est limitée aux deux niches latérales, chacune pouvant abriter une embarcation de 9 mètres maximum. La propulsion Côté propulsion, la frégate française (FDI) sera un peu plus rapide que la T26 britannique : 27 nœuds pour la FDI 26 nœuds pour la T26 En matière d’autonomie, la T26 l’emporte grâce à ses volumes plus importants : 7000 nautiques pour 60 jours d’opérations pour la T26 5000 nautiques pour 45 jours sans ravitaillement pour la FDI La propulsion de la T26 est de type CODLOG (Combined Diesel-Electric or Gas) : Quatre moteurs diesels MTU Deux moteurs électriques de propulsion Une turbine à gaz Rolls-Royce MT30 pour les allures les plus rapides La propulsion de la FDI est plus simple, de type CODAD (Combined Diesel and Diesel) --> Quatre gros diesels MTU Entrainent les deux lignes d’arbres La propulsion diesel-électrique (comme sur la T26) est réputée plus silencieuse, un avantage pour la lutte anti-sous-marine. Les ingénieurs de Naval Group ont expliqué qu’avec les progrès technologiques et diverses techniques pour réduire bruits et vibrations, le niveau de discrétion acoustique des FDI serait satisfaisant. À l’issue des essais de l’Amiral Ronarc’h, les marins français confirment que la discrétion acoustique n’est pas un problème. Une décision à forte dimension politique A la lumière de cet état des lieux, la FDI parait donc assez clairement la solution la plus appropriée pour la marine norvégienne. Mais le choix ne se jouera pas uniquement sur des considérations techniques et opérationnelles. Il y aura aussi, dans la décision d’Oslo, une très importante dimension politique. Or, de ce point de vue, même si les Français ont accru sensiblement leur coopération navale avec les Norvégiens ces dernières années, ce qui est reconnu et apprécié, l’allié historique de la Norvège demeure le Royaume-Uni. Les deux pays travaillent étroitement ensemble et depuis longtemps, l’intégration actuellement d’une frégate et d’un ravitailleur norvégiens au sein du groupe aéronaval emmené par le HMS Prince of Wales vers Indopacifique étant un signal fort de ce point de vue. C’est pourquoi la frégate française semble plutôt être en position de challenger et la T26 dans celle de la favorite. D’un autre côté, toujours sur le plan politique et géostratégique, les Britanniques ne sont plus dans l’Union européenne, vers laquelle la Norvège, surtout dans le contexte actuel, a vocation à se rapprocher. J'ajouterais que la FDI nº3 en est à ce stade (F602 au premie plan) --> Tandis que la Type 26 Nº3 en est là (HMS Belfast à gauche) -->
  6. Titus K

    Marine Grecque

    Donc A70 NG polyvalent ... et FMC ? C'est vrai que ce dernier devait arriver vers 2030. Les navires seront construits avec les modifications nécessaires dès l’origine, afin de permettre l'installation future de silos A70, en combinaison avec un "nouveau" missile NCM, avec la possibilité qu’ils puissent également tirer l’ASTER 30 si un accord est conclu. Les questions sont : quel est le plan prévu pour les A50 qui seront retirés, et quand cette installation des A70 pour la nouvelle configuration Standard (Std) sera-t-elle réalisée ?
  7. Titus K

    Marine Grecque

    Donc si je comprend bien les 926 Millions € : 809 Pour la FDI 4 avec ses brouilleurs 54 Pour la MCO de la FDI 4 60 Pour les brouilleurs des 3 premières FDI Il reste en revanche à financer MBDA pour l'armement de la FDI 4 ... D'ailleurs, par rapport aux 983 millions que j'avais évoqué au-dessus ca laisse 57 Millions pour 8 Exocet, 8 Scalp et 24 Aster ... un peu court je pense ?
  8. Titus K

    Marine Grecque

    En Francais la traduction donne ca "le cout unitaire pour 2 navires s'élève à 480 millions €" @GR_Silent aide nous !
  9. Titus K

    Marine Grecque

    Oui j'avais posté ca en page 55. 983 Millions dont 80 à 100 millions € ( 4x 20-25 ) pour les 4 sets de bouilleurs Virgilius des 4 FDI. D'ou les ~900 millions pour la FDI 4
  10. Titus K

    Marine Grecque

    beaucoup de photo et de vidéo dans les articles, ca vaut le coup d'aller jeter un oeil OnAlert.gr à Lorient : Images impressionnantes des trois frégates grecques Belharra – L’équipage de la frégate “Kimon” sur le pont. https://www.onalert.gr/eksoplismoi/to-onalert-gr-sta-naypigeia-tis-lorian-oi-treis-ellinikes-fregates-belharra-demenes-i-mia-dipla-stin-alli-pics-vid/626481/ Les chantiers navals de Lorient ressemblent désormais à une base navale grecque, puisque les trois frégates grecques Belharra, connues aussi sous le nom de FDI HN, se trouvent désormais amarrées sur les quais des installations de Naval Group, à quelques mètres les unes des autres. Sur la troisième frégate Belharra, la F-603 «Formion», bien connue de la Marine grecque, le mât PSIM a déjà été installé avec tous les capteurs de dernière génération, tandis que juste en face se trouvent la frégate F-601 «Kimon» et à côté d’elle la deuxième Belharra F-602 «Nearchos», qui ressemble encore à un chantier. Les travaux d’installation des systèmes d’armes sont en cours, notamment le canon OTO Melara de 76 mm, le système de défense rapprochée RAM et les 8 missiles mer-mer Exocet MM40 block 3C. Les 32 cellules pour les missiles antiaériens Aster 30 sont déjà installées à bord du navire. La frégate «Kimon» est désormais un navire entièrement achevé, comme l’a montré son tout premier essai en mer, au cours duquel elle est sortie en mer ouverte pendant 24 heures, atteignant même une vitesse de plus de 27 nœuds. Aujourd’hui, l’équipage de la frégate «Kimon» est monté à bord : 22 des 36 membres d’équipage ont embarqué, les 14 autres étant en cours de formation. Les premiers essais en mer ont été jugés totalement réussis, les tests se poursuivant intensivement dans les mois à venir, probablement en trois phases. L’étape suivante sera le transfert de la frégate à Brest, où son armement sera embarqué, avec une livraison prévue à la Marine grecque d’ici la fin de l’année. Les essais en mer de la deuxième frégate grecque Belharra, la «Nearchos», devraient déjà avoir commencé. Sa livraison à la Marine grecque est prévue pour la mi-2026, suivie de celle de la frégate «Formion» d’ici la fin de la même année. Pour rappel, la construction de la frégate «Kimon» a débuté en mars 2022, suivie un an plus tard par celle de la frégate «Nearchos», tandis que les premières tôles de la frégate «Formion» ont été découpées à l’été 2023. Lancement à la mer de la FDI HN « Phormion » – Dendias : Avec les 3 Belharra et la 4e en négociation, nous constituons une force navale de dissuasion [photos, vidéo] https://www.onalert.gr/eksoplismoi/kathelkystike-i-fdi-hn-formion-dendias-me-tis-3-belharra-kai-tin-4i-poy-diapragmateyomaste-sygkrotoyme-naytiki-dynami-apotropis-pics-vid/626526/ Avec tous les honneurs, la 3e frégate FDI grecque a été lancée aux installations de Naval Group dans la ville de Lorient. Comme l’a déclaré dans son discours le ministre de la Défense nationale, Nikos Dendias, la frégate porte le nom de l’amiral athénien Phormion, qui a dirigé victorieusement la flotte athénienne lors de plusieurs batailles navales. Comme l’a rapporté plus tôt OnAlert.gr, la présence des trois frégates FDI grecques à Lorient était impressionnante, donnant l’opportunité aux membres de la Marine de guerre, mais aussi aux journalistes – parmi lesquels Kostas Sarikas – de suivre minute par minute les évolutions. Dendias : Avec les frégates de type FDI, nous élargissons l’empreinte géostratégique de notre pays en Méditerranée orientale « Le lancement à la mer de la frégate FDI “PHORMION” constitue un événement majeur dans le processus de modernisation de notre Marine de guerre. Il fait suite au lancement des F/G KIMON et NEARCHOS. Il ne s’agit pas simplement du lancement d’une autre unité ultramoderne de notre flotte. Il s’agit d’une confirmation de notre engagement national en faveur de la dissuasion, de la sécurité et de la sauvegarde de la souveraineté de notre Patrie », a déclaré dans son discours le ministre de la Défense nationale, Nikos Dendias. Et il a poursuivi : « La Marine de guerre grecque est en première ligne pour la défense de nos droits souverains. Elle incarne la continuité de la vertu navale des Grecs à travers les siècles. La Grèce continue d’investir dans des alliances stratégiques et des coopérations interétatiques. L’alliance stratégique avec la France – concrétisée par la signature de l’Accord d’Assistance Défensive Mutuelle, que j’ai eu l’honneur de négocier et de signer, au nom du Gouvernement, le 28 septembre 2021 – constitue un gage de stabilité. Comme je l’ai dit, il s’agit d’un “accord de référence, qui contient une clause d’assistance défensive mutuelle et protège nos pays – ainsi que l’Europe – contre toute menace extérieure”. Avec les frégates de type FDI – “KIMON”, “NEARCHOS” et maintenant “PHORMION” – nous constituons une force navale de dissuasion qui élargit l’empreinte géostratégique de notre Pays en Méditerranée orientale, et confirme ce que j’ai à plusieurs reprises déclaré : la Grèce est un fournisseur de sécurité – non un facteur d’instabilité. Deux jours avant le très important anniversaire du Débarquement en Normandie, auquel ont participé des corvettes de la Marine de guerre grecque, je saisis l’occasion pour dire, depuis le territoire français, que telle est la tradition et l’histoire de la Grèce : se tenir du côté du Droit et contre toute tentative révisionniste. La valeur ajoutée des frégates FDI est encore renforcée grâce à l’intégration de systèmes d’armes stratégiques, comme le missile SCALP Naval. Dans le même cadre stratégique et avec une perspective de renforcement ultérieur, la Grèce a déjà entamé des négociations pour l’acquisition d’une quatrième frégate de type FDI. Hier encore, j’ai informé la Commission des Programmes et Contrats d’Armement de l’état d’avancement des négociations pour l’acquisition de la 4e Belharra. Parallèlement, nous promouvons la participation substantielle de l’écosystème de défense grec au programme des frégates FDI. Naval Group, par lettre officielle, a accepté la participation active d’entreprises grecques, à hauteur de 25 %, à la construction de la quatrième frégate. Il s’agit d’un engagement qui constitue une étape stratégique pour le renforcement de l’industrie de défense nationale. Cela sera recherché pour tous les programmes d’armement du Plan de Programmation à Long Terme des Équipements de Défense (ΠΑΑΕ). Il ne s’agit pas d’une simple acquisition de programmes d’armement. Cela s’étend à la coproduction, au transfert de savoir-faire et à la synergie productive. Cela reflète concrètement la transition de la Grèce d’un pays-client à un pays-partenaire dans l’industrie de défense européenne. Et cela rend clair que la puissance de nos Forces armées est renforcée en parallèle de la base productive nationale. Pour conclure, je voudrais remercier tous les membres des Forces armées pour leur dévouement. Les membres de la Marine de guerre, qui participent aux essais opérationnels de la FDI “KIMON”, en vue de sa réception en 2025. Naval Group. Tous ceux qui rendent ce moment possible. La Grèce doit disposer de la Puissance qui lui revient. Non pour menacer, mais pour protéger. Non pour provoquer, mais pour garantir. «La prochaine fois que je serai ici pour réceptionner la frégate KIMON, il y aura ici quatre frégates grecques Belharra», a déclaré il y a peu le ministre de la Défense Nikos Dendias…
  11. Titus K

    Marine Néerlandaise

    On remet ca cette année : Échanger des données en temps réel entre navires de guerre pour anticiper les menaces extérieures. https://nl.linkedin.com/posts/naval-group_wijzijncommit-marine-innovatie-activity-7335939534276251649-MDJA Chaque seconde compte dans des situations de combat. Comme lors de la détection de menaces aériennes et maritimes. Les limites d’un seul système de détection rendent difficile le suivi précis des menaces. C’est pourquoi, lors de l’exercice maritime international « At Sea Demo/Formidable Shield 2025 », une nouvelle technologie a été testée : Plot Level Data Exchange and Fusion (PLDEF). Pendant l’exercice, des avions de chasse britanniques ont volé selon des schémas complexes dans les airs, difficiles à suivre pour un seul radar. Mais grâce à la technologie PLDEF à bord des navires de guerre français et néerlandais, il a été possible de suivre ces cibles avec précision. PLDEF permet aux unités d’échanger en temps réel des données de plots sur les positions et les trajectoires des objets. Cela est nécessaire face aux menaces modernes et futures. C’est pourquoi la technologie PLDEF est en cours de développement pour la frégate de lutte anti-sous-marine (ASWF) et le remplaçant de la frégate de défense aérienne et de commandement (LCF). Ce progrès technologique est le résultat de collaborations internationales étroites. Le département Systèmes Maritimes de COMMIT a joué un rôle de coordination aux Pays-Bas, en travaillant en étroite collaboration avec la Marine royale néerlandaise et le Commandement interarmées des systèmes d’information. L’installation de test actuelle a été développée par Thales et TNO. Et une collaboration a eu lieu avec la France , où la DGA – Direction générale de l’armement, COMMIT France et le partenaire industriel NAVAL GROUP ont été étroitement impliqués dans le développement et les tests. Cet exercice souligne l’importance des collaborations internationales et d’une armée qui peut compter sur les données et l’innovation.
  12. Titus K

    Marine Grecque

    Ah je pensais que c'était la radio ou la TV Merci Le MinDef est à Lorient : « Avec mon ami, l’ancien ministre des Affaires étrangères de la France et envoyé personnel du Président français au Liban, Jean-Yves Le Drian, avec qui nous avons co-signé l’accord de coopération en matière de défense entre la Grèce et la France en 2021 à Paris. À l’occasion de ma visite à Lorient, nous avons discuté de la situation sécuritaire au Liban et en Méditerranée orientale, ainsi que de questions relatives au secteur de la Défense dans l’Union européenne. » « Au détachement naval de la Marine grecque en France, à Lorient, où j’ai été informé par son Commandant de l’évolution du programme de construction des frégates FDI HN. »
  13. Titus K

    Marine Grecque

    @GR_Silent Si jamais tu trouves un peu de temps, pourrais tu nous rendre compte des informations partagées dans cette émission ?
  14. Si seulement il y avait une alternative Européenne ... ah non apparement en Espagne on percute pas encore : L'alternative à cette licence israélienne est le Javelin FGM-148F américain, développé par Raytheon Missiles & Defense et Lockhedd Martin.
  15. Titus K

    Marine Grecque

    Marine de guerre : le Parlement approuve l’acquisition de la 4e frégate FDI avec une participation accrue des entreprises grecques https://defencereview.gr/polemiko-naytiko-i-voyli-egkrinei-tin/ Le ministre de la Défense nationale (ΥΕΘΑ), Nikos Dendias, présentera demain matin (mardi) à la commission des programmes d’armement du Parlement grec la proposition d’acquisition d’une quatrième frégate FDI pour la Marine de guerre. Selon les informations disponibles, le coût de cette 4e frégate FDI s’élèverait à 900 millions d’euros, avec une participation industrielle grecque renforcée à hauteur de 25 %. Il est prévu que le ministre de la Défense nationale, Nikos Dendias, fasse des annonces officielles depuis les chantiers navals de Lorient le mercredi 4 juin, à l’occasion de la cérémonie de mise à l’eau de la troisième frégate FDI destinée à la Marine grecque. Parallèlement, les essais en mer de la première frégate grecque, la frégate « KIMON », progressent à un rythme soutenu. Celle-ci devrait rejoindre la base navale de Salamine d’ici fin 2025 ou début 2026. Il ne fait aucun doute que le programme de construction des frégates FDI HN avance avec un succès total, la Marine grecque devant recevoir ces frégates ultramodernes en un temps record de trois ans, suite à la signature du contrat en mars 2022. Dans le même temps, le gouvernement grec et le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis étudient la proposition de Naval Group concernant la construction de trois frégates FDI supplémentaires en Grèce, avec une participation de l’industrie de défense et navale grecque dépassant les 30 %. À noter que le mercredi 4 juin, les autorités politiques et militaires du ministère de la Défense seront présentes aux chantiers navals de Lorient, en Bretagne, pour assister à la cérémonie de mise à l’eau de la frégate « FORMION ». Ensuite, le ministre Nikos Dendias fera des déclarations officielles.
  16. Titus K

    Luftwaffe

    Ca fait 8 ans que c'est plus a l'ordre du jour. C'est en Avril 2017 que le MinDef Allemand annonce que les 13 avions initialement destinés à la revente seront finalement intégrés dans la flotte de la Bundeswehr. Selon ces sources, Markus Grübel, secrétaire d'État parlementaire au ministère de la Défense, a informé le comité budgétaire que la revente des 13 A400M excédentaires n'avait pas abouti. Il a indiqué que le stockage de ces avions en attendant une éventuelle vente future serait "extrêmement risqué" en raison des coûts élevés, des besoins en personnel et du manque d'expérience dans le démantèlement d'avions aussi complexes. Par conséquent, il a été décidé d'intégrer ces appareils dans la flotte de la Bundeswehr, ce qui entraînerait des coûts supplémentaires estimés à au moins 505 millions d'euros.
  17. Titus K

    Luftwaffe

    Ils viennent de recevoir leur 49ème, les 50 et 51 sont en vols d'essais.
  18. Titus K

    Marine Grecque

    "L’achat sera annoncé mercredi. Les deux « secrets » de la 4e Belh@rra"
  19. Titus K

    Marine Britannique

    En tout cas ils se fixent des objectifs ambitieux, c'est louable. Il ne reste plus qu'à se donner les moyens ! Même s'il n'arrivent "que" à 9 SNA, ca leur fera déjà une belle flotte !
  20. Apparement ce serait 1 Patriot pour 10 Nasams en Belgique ... aux Pays-Bas c'est 4 Patriot pour 6 Nasams.
  21. Ca semble se confirmer pour la 3ème frégate ASWF Par contre pas d'info sur des NH90 supplémentaires pour la lutte ASM.
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