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Euh ... tu n'avais pas parlé du M01. Tu a donné des info sur le M1 (premier avion de (pré)série) et lui, il en donne sur le M01 (premier des 2 prototypes de rafale M) Le M1 est bien plus récent que les rafale A, C01, M01, B01 et même M02.
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Pour qu'un rafale B/C de l'armée de l'air puisse opérer d'un porte-avions, il faudrait déjà qu'on ait un porte-avions avec de la place. Actuellement on a un unique PA avec 24 places et la marine va recevoir le M37. Même si on en a perdu quelques uns, il en reste assez pour remplir le PA. Avant de réquisitionner l'armée de l'air, on pourrait sortir du cocon les 9MF1 puis on pourrait arrêter de prêter le M1 à Dassault, puis on pourrait réquisitionner le M02 (quasi opérationnel vu qu'il a servi à valider quasiment tous les armements) Ensuite si on avait un second PA pour ranger nos avions, il nous faudrait encore des pilotes. Très peu de pilotes de l'armée de l'air peuvent opérer sur un PA sans une longue formation. Déjà qu'on a du mal à former et maintenir les compétences de nos pilotes de l'aéronavale. Sinon en cas de besoin, je crois que Dassault pourra transformer des rafale C en M plus rapidement que l'on arrivera à former de nouveau pilotes. D'ailleurs les rafales B/C sont dotés d'une petite crosse d'appontage qui serrait probablement suffisante pour permettre un appontage. Et j'attends avec impatience le prochain exercice avec le porte-avions indien ou un de nos pilotes arrivera bien à démontrer que le rafale peut se poser puis redécoller (presque à vide dans un premier temps) du PA. En pratique, un rafale B doit pouvoir apponter sur le CdG (enfin pas trop souvent sinon la crosse risque de casser) et ensuite il doit même pouvoir décoller seul en utilisant toute la longueur du pont (presque 250m avec plus de 50 km/H de vent, ça vaut bien une piste de 400m sans vent, surtout que l'avion ne doit pas passer un obstacle de 15m après le décollage, mais seulement ne pas descendre 15m sous la piste)
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L'effet de série apporté par la commande de M à la place des C serra presque nul. Les rafale C sont déjà des rafales M dont on s'est contenté de changer les pièces les plus couteuses (et spécifique) par des pièces plus simple. Dassault a déjà fait l'économie du développement d'une nouvelle aile (qui n'aurait pas eu besoin d'être aussi protégé contre la corrosion et aurait donc pu être plus légère ou performante) et de la plupart des autres composants spécifiques ce qui aurait alourdi les rafale B/C de 0,5 tonnes. Après coup, le développement d'une version terrestre pour "seulement" 300 exemplaires (dont 200 pour la France au dernières nouvelles) ne se justifie peut-être pas. Mais à l'origine du programme, la version terrestre devait être amortie sur presque 1000 exemplaires et la marine n'aurait pas du avoir besoin de l'aide de l'armée de l'air pour remplir ses 2 PA et il n'était pas prévu d'exporter de version marine. Maintenant 3 des principaux clients du rafale accepteraient probablement un léger surpoids pour n'avoir que des versions embarqués. Dans ces conditions le développement d'une version terrestre juste pour les besoins des EAU, c'est peut-être un peu cher.
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Le problème c'est qu'il ne suffit pas de savoir faire un avion, il faut aussi savoir le vendre. Je ne crois pas que ce soit la même clientèle pour des Falcon ou des VLJ. Dassault a déjà de très mauvais souvenirs avec le mercure qui aurait du concurrencer les B737, DC9/MD80, Fokker F28 ou BAC 1-11 et même l'A320, même s'il est plus récent. Alors qu'il aurait du avoir des "marchés captifs" (partiellement construit en Belgique, au Canada, en Espagne, en Italie et en Suisse) et aurait légitimement pu équiper plusieurs compagnie aérienne nationale (à l'époque bien plus nationalisées qu'aujourd'hui) il n'a été vendu qu'à 10 (+1) exemplaires à air Inter. Concernant les avions civils, Dassault aura donc du mal à tenter de nouveaux marchés plus ou moins hypothétiques. Concernant le marché militaire, Dassault ne se lancera pas non plus dans un programme non soutenu par l'Etat. Il y a beaucoup trop d'exemples de prototypes de chez Dassault qui n'ont pas été commandés même s'ils étaient au moins aussi performant que la concurrence. Évidemment si la France prenait la peine de prévoir un remplaçant de l'Alpha-jet (et du zéphyr) et de le commander avant l’extrême limite, Dassault aurait probablement envie de développer un avion d'entraînement dont un dérivé civil pourrait être envisagé (ou un dérivé avion de combat supersonique suivant ce à quoi ressemble l'avion d'entraînement) En fait, Dassault pourrait même proposer un VLJ grâce à une commande militaire pour une vingtaine d'exemplaires pour un avion comme le Maverick (pour la formation initiale ou sur le système d'arme ou pour n'importe quoi d'autre ...) Ensuite avec la commande d'une trentaine d'avions d'entrainement avancé, Dassault pourrait proposer un avion de combat léger pour les pays pauvres. Le M346 qui fait partis des candidats crédibles pour le remplacement de l'Alpha jet a des moteurs plus lourds qu'un M88 donc un monomoteur légèrement supersonique (mach 1.4/1.6) comme les Mako, T50, LCA ... pourrait ne pas être plus cher qu'un avion subsonique pour des performances bien supérieures et avec une variante monoplace de combat. Et pour développer un jet d'affaire supersonique, il faudrait juste que la France commande quelques dizaines de "bombardiers" moyens supersoniques non furtifs qui serviraient d'avions de patrouille maritime ou de lance missiles ou même de simple bombardiers (vu que les B52 sont encore utilisés, un concorde avec SPECTRA serrait utilisable dans la plupart des conflits) -
Plus que le temps de vol du missile, c'est le temps de réaction de l'opérateur qui risque d'être long. Normalement, on ne tire pas sur tout ce qui bouge donc un écho qui apparaît brutalement à 50km (alors que le radar couvre un secteur de plus de 100 km de diamètre) ne serra peut-être pas traité dans la seconde (déjà le radar doit mettre presque 10 secondes pour faire un tour sur lui même donc si on attend une deuxième confirmation de l'écho, on risque de ne capter véritablement le rafale que 20 secondes après qu'il ait commencé sa montée) et le temps que l'opérateur obtienne l'autorisation de tir de son supérieur hiérarchique, le rafale risque de déjà commencer sa descente. Le missile aussi rapide soit-il risque d'être tiré trop tard et de devoir choisir entre les 6 AASM se dirigeront vers lui (en subsonique) et le rafale qui fuira en piqué (et probablement en supersonique) vers la basse altitude ce qui risque de réduire fortement l'autonomie du missile (ainsi que sa vitesse) et ça pourrait même permettre au rafale de se cacher. Bon évidement si l'adversaire nous attend et a déjà des retex sur les méthodes d'attaques française, ça risque d'être plus dur. Le missile pourrait être lancé dès le début de la montée du rafale et le rafale risque d'être abattu avant d'avoir largué ses AASM. Il ne restera plus qu'a utiliser des missiles de croisières. Enfin d'un autre coté, je ne suis pas sur qu'un F35 (même en lisse) ne puisse pas être détecté à 24 km de sa cible (portée des JDAM selon wiki) Sinon en faisant des recherches sur wiki, j'ai trouvé 110km de portée pour les bombes planantes GBU39, donc une variante de l'AASM pourrait en faire une bombes propulsé et planante de plus de 100 km de portée et servir d'intermédiaire entre les bombes et les missiles.
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Il peut aussi se faire couler dans une zone à haut fond. Des réacteurs même très polluants mais à plus de 5000m sous l'eau ne sont pas trop dangereux. Je crois qu'il y a déjà plusieurs précédents de SNA/SNLE au fond de l'eau.
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La défense anti-aérienne et antimissiles française est invulnérable vu qu'elle est basé sur quelques SNLE et ASMP. Pour la même raison, la menace sous-marine contre nos ferries reliant la Corse risque d'être ignorer (couler plusieurs ferries avec plusieurs milliers de civils à bord et faire un embargo contre un de nos départements) L'affrontement (s'il a lieu) devra être limité très limité géographiquement. Je ne suis même pas sur qu'on prendra la peine de déployer le CdG, on risque de préférer limiter le conflit aux détachements français en Afrique (au Mali, éventuellement celui du Tchad et peut-être même un nouveau en Libye) Et même si la France se permet de faire participer ces avions de métropole, ça risque de ne pas être suffisant pour donner le droit à l'Algérie de riposter sur le sol français.
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Je crois que les SR20 sont plutôt pour remplacer les TB10.
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Oui je suis un peu trop optimiste. Mais ça change pas grand chose à la donne. Il y a assez peu de système de DCA capable d'intercepter un rafale en haute altitude et à 50 km de distance surtout que l'avion peut voler en TBA (sous les radar) et remonter à 10 000 m en à peine une minutes pour larguer ses AASM à 50km de la cible et redescendre aussitôt en moins d'une minute. La DCA en face n'aura vraiment pas beaucoup de temps pour réagir. Les SCALP sont subsoniques, donc ils ne peuvent pas être largués en supersonique. Maintenant le pense que le rafale en haute altitude avec post combustion et sans bidon (ou juste les supersonique) peut quand même voler en supersonique avec 2 SCALP. Le rafale peut faire du supersonique avec un ASMP et des bidon supersonique, donc avec 2 SCALP ça doit aussi être possible.
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Légalement si le Mali nous demande de l'aide (quand je dis le Mali, ça peut vouloir dire n'importe quel capitaine un peu ambitieux qu'on va soutenir vu qu'on parle juste du Mali =)) on a parfaitement le droit d'intervenir et ni le conseil de sécurité ni l'Algérie n'a rien à dire. Donc je verrais bien un déploiement de quelques avions de combats au Mali (bien plus pour faire pression sur l'Algérie que pour soutenir le Mali) donc on devrait déployer des rafales (c'est ceux qu'on a en plus grands nombre, qui ont la meilleure autonomie et accessoirement qui ont les meilleures performances air-air même si l'objectif officiel est de bombarder des rebelles) Le détachement français qui pourra remplacer celui du Tchad (presque même région et on est de plus en plus mal vu au Tchad) serra donc composé de 4 à 6 rafale d'un ravitailleur et éventuellement d'un AWACS (E2C ou E3F) On est partis sur un détachement permanent (remplaçant celui du Tchad donc on peut se le permettre) avec de temps en temps (tous les 3/4 mois pour la relève) un doublement des capacité. Je verrais plus un premier tir par "accident". Depuis plusieurs semaines les rafales violent régulièrement les frontières algériennes (et se font suivre au radar et même de temps en temps raccompagner par les Su30) En même temps de leur coté les Algériens violent de temps en temps les frontières maliennes soit-disant pour poursuivre des terroristes islamiques aillant franchi la frontière. Les avions français sont chargés par le gouvernement malien de les raccompagner (faut dire que leurs mig21 ne sont plus trop au point) Les troupes maliennes (très motivés par l'aide française) poursuivent les islamistes et franchissent parfois la frontière algérienne. Avec en plus de grosses tensions entre les 2 camps (ils nous ont tué un président, on les a colonisé et ils ont indirectement envahi le Nord du Mali) on a beaucoup de risque d'accident surtout si les islamistes locaux se font de temps en temps passer pour d'autres. A ce niveau de tension, savoir qui commence n'a pas forcement beaucoup de sens. Le pilote de rafale qui fait un survol agressif d'un site de DCA se fait tirer dessus et riposte par réflexe justifiant à postériori l'action agressive de l'artilleur. Et les interceptions de chasseurs ennemis sont toujours assez risqués (on peut citer le F16 turc ou un chasseur chinois) Je verrais bien un conflit limité aux 2 bases aériennes (Tamanrasset et une base au Mali, probablement Bamaka aussi utilisé par l'armée malienne) Les 2 bases sont distantes de presque 2000 km donc ça limite très fortement les attaques directes. Mais en cas de pertes lors de combat aérien à la frontière, une riposte devient probable. Du coté français, c'est assez facile à organiser. 4/6 rafale se ravitaillent peu avant la frontière, traversent moins de 500 km et larguent leurs SCALP/APACHE/AASM qui détruisent presque totalement la base de Tamanrasset. Du coté Algérien, un raid serra beaucoup plus dur (à moins de passer au dessus du Niger et du Burkina Fasso, il y a 1500 km entre Bamako et l'Algérie) mais si on décide de baser nos rafales sur une autre base beaucoup plus proche de l'Algérie (par exemple Gao qui n'est qu'à 500 km de désert non contrôlé de la frontière Algérienne) on devient vulnérable à une attaque. Je pense qu'il faut vraiment rester dans un conflit localiser entre l'Algérie et un détachement français (plus ou moins renforcer) du Mali. Les Su30 ont peut-être les moyens de bombarder Marseille (en supposant qu'on n'arrive pas à les intercepter après les avoir détecter depuis la Corse) mais effectuer un bombardement stratégique/dissuasif en application des théories de Douhet quand on est une micro puissance militaire et qu'on affronte une des rares puissance militaire capable d'appliquer avec succès les théories de Douhet est d'une très grande stupidité risquant d'amener à la fin d'un pays.
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Concernant la furtivité du rafale avec armement, la question qui doit se poser est surtout pourquoi faire. S'il s'agit de faire une mission vraiment dangereuse, on a le rafale (l'avion supersonique, le deuxième le plus furtif du monde) avec SCALP (2 et peut-être même 3 ou jusqu'à 5) ou APACHE (presque aussi furtif mais avec 10 "petites" charges) si la mission est un peu moins dangereuse on peut utiliser des AASM permettant une portée de 50km y compris pour un avion volant sous l'horizon radar. Mais s'il s'agit juste de casser du taliban, on utilise les bombes classiques qui dégradent la furtivité, mais ce n'est pas vraiment un problème. De toute façon, dans ces condition la furtivité du rafale serra équivalente à celle du F35 (si on suppose que la SER de l'armement vaut plusieurs fois celle de l'avion, des progrés sur l'avion ne sont pas très utile) Sinon en valeur numérique, la SER d'un rafale avec un gros chargement de bombes pas très discret pourrait tourner autour des 2m². En tout cas, c'est une valeur de SER donnée par Air&Cosmos et c'est aussi la plus forte donnée que j'ai trouvé.
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Ce que je vois c'est que pour l'instant, les armées françaises (armée de l'air et aéronavale) sont celles qui utilisent le 3eme avion de combat actuellement en service avec la SER la plus réduite. Seuls l'USAF avec ses 20 B2 et ses 180 F22 fait mieux que la France avec ses 100 rafale (répartis dans les 2 armée) Les Russes, les Chinois, les Japonnais, les Iraniens ... sont en train de construire des avions de combats "presque" opérationnels et bien plus furtif que tout ce qui existe, mais ça reste de com, de la propagande bien plus que la réalité. En France, on est nul pour la com, mais ce n'est pas le plus important. Le rafale n'est jamais décrit comme furtif (on a juste utilisé le terme de discret et une peinture noire pendant quelques années) on parle très peu du neuron alors qu'il s'agit probablement d'un des aéronefs les plus furtifs qui existe. On a l'impression que la France n'a aucune connaissance des engins furtifs, alors qu'on doit être un des pays les plus expérimenté. En 86, on met en service l'ASMP, depuis l'an 2000, on a mis en service les APACHE, les SCALP, les ASMP/A et évidemment on a aussi mis en service le premier avion de combat furtif et "rustique" (par rapport aux B2, F22 ou F117) et évidement on fait partis des pays qui ont des prototypes furtifs. Avec le Neuron, on en est déjà à notre 4eme prototype d'avion (ou drone) furtif. En fait après Lockheed, Dassault doit être l'entreprise la plus compétente sur les avions furtifs. Et la France doit aussi être le pays avec la plus grande expérience dans la furtivité après les USA.
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Ok donc il suffit de déclarer avant la guerre qu'on veut annexer une région pour en avoir légalement le droit ? La question à se poser est plutôt de se demander pourquoi on a attendu 35 et 55 (donc 17 et 10 ans après la fin de la guerre) pour accepter que cette région retourne en Allemagne. J'ai quelques doutes, il faudrait probablement un juriste spécialisé sur la question. Le traité (Diktat) promulgué en 1920 est-il plus juridiquement valable que la SDN créé en 1919 (mais dont la première réunion de la SDN aura lieu le jour de la promulgation du traité de Verssailles) et que le principe d'autodétermination ou du droit des peuple à disposer d'eux-mêmes. J'avoue j'ai surtout eu l'opinion d'Allemands ou d'alsaciens très pro allemand. Mais il faudrait nuancer la 3eme phase, l'Alsace Lorraine a eu le droit à de plus en plus d'autonomie et ils ont pu avoir un gouvernement. La création d'un Länder aurait probablement eu rapidement lieu en l'absence (ou en cas de succès) de la première guerre mondiale. Si le vote n'a pas eu lieu, c'est peut-être qu'on avait peur de son résultat. En 1918, l'Alsace Lorraine n'était pas complètement francophone. Je crois même qu'il y avait plus de germanophones (surtout si on compte les dialectes locaux comme une variante de l'Allemand) que de francophones. Évidemment ça doit dépendre de la date et il a du y avoir pas mal de mouvements de population (entre des familles qui "retournent" chez eux après 50 ans d'absence et celles qui fuient l'occupant) On peut aussi remarquer que même si on a intégré l'Alsace et la Lorraine à la France, il s'agit toujours (presque un siècle plus tard) de régions avec des spécificités par rapport aux autres régions et on a pas encore oser faire appliquer certaines réformes impopulaires. Un vote n'aurait probablement pas demandé un rattachement à l'Allemagne, mais une indépendance était presque plus probable qu'un retour en France.
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En 1870, les représentants "légitimes" de la France acceptent de signer un traité ou on cède l'Alsace et la Lorraine en compensation de guerre. En effet à cette époque on ne peut pas vraiment parler de légalité ou non. En 1918, la "loi" internationale demande d'appliquer le principe d'autodétermination des peuples. Une région ne peut légalement appartenir à un pays qu'après un vote. Ce vote a eu lieu dans presque toutes les zones contestées sauf en Alsace Lorraine, ou on s'est contenté d'une foule qui a applaudi nos soldats et ça a été considéré comme un plébiscite par les autorités françaises. En 1940, il n'y a évidement pas eu de votes, mais c'était juste une récupération "légitime" après un "vol" de 22 ans. En 1945, il n'y a toujours pas de votes et la France récupère l'Alsace et la Lorraine. Accessoirement en 1945, on essaiera aussi de d'annexer la Sarre. Mais vu qu'on n'a pas gagné la guerre seul, on a quelques compte à rendre et on devait avoir un vote favorable à l'annexion par la France. Quand on a vu que ce n'était pas possible, on a essayer d'en faire un micro pays indépendant avant d'accepter en 1957 de rendre la Sarre à la RFA.
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En fait pour que ce soit possible il faut déjà trouver le moyen d'une victoire de l'Allemagne donc d'une paix avec le reste du monde. Éventuellement si en juillet 40 Hitler meurt et qu'une démocratie (de droite dure, mais pas raciste) s'installe en Allemagne, cela pourrait se réfléchir. L'Allemagne propose une paix générale qui est accepté par (presque) tout le monde. Les français reperdent l'Alsace et la Lorraine (de toute façon on les a récupéré illégalement en 18) qui suite à un vote seront indépendant ou allemand. La Pologne, la Tchécoslovaquie, l'Autriche n’existent plus et font partie de la "grande Allemagne". En pratique on transforme la seconde guerre mondiale en une nouvelle guerre européenne comme celle de 1870. La France serra encore un peu plus traumatisé et on va se concentrer un peu plus sur notre empire (donc assez rapidement nouveau conflit avec les japonnais, mais au coté des américains et peut-être même des russes)
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Tu veux dire un APACHE dont les 10 sous-munitions auraient un guidage qui se rajouterait à celui du missile ? Une "simple" reprogrammation logicielle permettant de mieux gérer le largage des sous-munitions pourrait probablement suffire à atteindre la plupart des cibles.
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
On pourrait les installer dans les lacs artificiels construit pour nos plus gros barrages hydrauliques. En avantages, on n'a plus de problème de protection contre des forces navales étrangères et c'est même plus facile à protéger qu'une simple centrale nucléaire. Et en plus on a même déjà branché sur le réseau et on peut faire varier la puissance fournit en régulant la production électrique dans le barrage (qui peut même se remplir pendant les période de très basse consommation) Le défaut, c'est qu'en concentrant (encore plus) nos sources de productions d'énergies, on risque d'augmenter les risques en cas d'accident. Une simple panne sur le câble électrique déconnecterait du réseau à la fois la centrale nucléaire et le barrage hydraulique. Et "accessoirement" on risque d'avoir un très gros problème pour amener les réacteur sur place, et si on les construit sur place, on perd l'avantage d'une production "à la chaine" chez DCNS (qui a ou aura déjà de l'expérience avec 22 SNA/SNLE de produit ou commandé) -
A une époque il était envisagé que le remplaçant du mica soit un missile polyvalent air-air et air-sol léger. Sa forte énergie cinétique compenserait sa faible charge explosive. Le surcoût du missile pourrait être compensé par une production plus importante et surtout une facilité d'utilisation qui permettra de mieux gérer nos stock de missiles et d'avoir un avion vraiment omnirôle (actuellement nos rafale sont chasseur pur ou chasseur/bombardier suivant leur armement, un rafale avec des missiles polyvalent sera véritablement omnirôle) Le problème de l'ASMP anti-radar est le même que pour l'ASMP air-mer, air-air ou air-sol en conventionnel. Notre missile serrait trop performant (et cher) pour le peu de cible à moins de vouloir dire que nos alliés sont aussi des cibles potentiels. En air-mer, les seuls cibles "autorisées" valant un ASMP sont les PA russes et chinois (2 ou plutôt 1,5 vu que le chinois n'est pas vraiment opérationnel) et quelques (4 ?) croiseurs lourds. Pour les autres cibles "autorisées" (donc on ne compte pas les CVN ou LHA américains, ni même les PA indiens) le missile exocet est largement suffisant. Vu qu'une attaque des navires amiraux russes ou chinois risque de nous rapprocher d'une frappe nucléaire, ce n'est peut-être pas utile d'avoir un vecteur dédié. En air-air, en cible "autorisé" (hors allié et hors Chine ou Russie) et en valant la peine (plutôt qu'un météor bien plus maniable et rapide) on doit avoir moins d'une vingtaine de cibles (tanker ou AWACS) valant un ASMP air-air. En air-sol, le nombre de cible justifiant un ASMP plutôt qu'un SCALP (donc nécessitant un missile furtif et supersonique) et acceptant une charge offensive assez réduite (probablement pas plus de 100 ou 200 kg à comparer avec les 400 kg du SCALP) risque d'être vraiment réduite. Vu le petit nombre de cible, je crois qu'on pourrait se contenter de risquer un peu plus la vie de nos pilotes. En l'absence de besoin pour notre armée, on risque de vouloir l'exporter et dans ce cas on risque d'avoir des problèmes. Un pays anciennement allié à qui on aurait vendu des armes air-air capable de détruire nos AWACS et ravitailleur ainsi que des armes anti-navires capables de couler nos PA sans oublier les missiles de croisières capable de franchir nos défense aérienne et de toucher notre capitale. Déjà qu'on n'ose toujours pas affronter l'Iran qui a pu acheter les meilleurs avions et missiles air-air longue portée il y a plus de 30 ans, je préfère ne pas imaginer comment on réagira en cas de changement de camp d'un pays à qui on aurait vendu des ASMP conventionnels. Sachant qu'on n'est toujours pas capable d'intercepter les ASMP de 1986 (qui ont failli exister en version anti-navire) j'ai peur qu'il faille attendre longtemps avant de pouvoir gérer la menace représenté par des ASMP conventionnel même à un standard export.
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L'avion d'attaque au sol pur : en voie de disparition ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Divers air
La question ne serrait pas plutôt est-ce que les avions de combat vont être remplacé et est-ce que ce type d'avions garde encore son intérêt. Actuellement en Europe, il y a presque plus de projet d'avion de combat "civils" que militaire. En plus des A400M lance SCALP (avion civil vu qu'il a une homologation civil, il manque juste d'un client civil comme FedEX), il y a les A320 et Falcon de patrouille maritime avec un armement air-mer plus ou moins complet sans oublier les C295 de patrouille maritime et les Airbus ravitailleurs. La marine anglaise s'entrainent (ou s'entrainaient ?) à résister à des attaques de falcon porteur d'exocet, un E3F équipé de météor ou guidant des drones (type prédator) équipés de mica serrait très redoutable en air-air. J'ai l'impression qu'on est actuellement dans une période de paix ou on se contente d'une production très réduite pour maintenir notre niveau technologique. On développe des avions multirôle (ou même des chasseurs qui vu leurs besoins air-air sont très performant en air-sol) pour se permettre le nombre le plus réduit d'avions. Mais si un jour on a à nouveau besoin d'avions d'attaques, on va découvrir que nos avions d'entraînement moderne sont plus performant que les anciens avions d'attaque. Un SuE, un AMX ou même un jaguar peuvent avantageusement être remplacé par des M346 ou équivalent. Pour les Tornado, F111, mirage IV ... on doit pouvoir dire qu'ils sont remplacés par des avions un peu plus polyvalent comme les F35 et rafale. -
Mais arrêtez de critiquer la taille d'un avion. On s'en fout de sa taille, ce qui compte ce sont ses performances (charge utile, rayon d'action, SER, coût ...) Et dans ce cas le rafale fait presque aussi bien voir mieux que le F15. Évidemment pour avoir la même autonomie que des F15E avec CFT, il faudra au moins installer des CFT sur nos rafales. Bon dans l'absolu, c'est vrai que pour l'autonomie le rafale fait un peu moins bien que le F15E, mais le F15E est quand même presque 50% plus gros (et plus cher surtout en entretien et il doit consommer 50% de plus) et vu que les Canadiens n'ont que deux petits ravitailleurs, l'autonomie avec ravitaillement sur A310 pourrait même être plus importante pour une flotte de rafale que pour une flotte de F15.
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Tourelles double/triple/quadruple pourquoi abandonnées ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de stormshadow dans Divers marine
Parce qu'un unique canon plus gros est plus performant (à masse égale et surtout à masse égale de munitions) que 2 petits canons. Vu la taille de nos navires et le petit nombre de canons qu'on a, on n'est pas limité par la taille de nos canons. Plutôt que 2 canon de 127, on ferrait mieux d'en avoir un de 150. Vu que le Surcouf de 3/4 000 tonnes avait une tourelle double de canons de 203 mm, on pourrait même avoir plus qu'un canon de 200 sur les FREMM. -
Le pire c'est que le NX-01 de Starfleet n'avait que 80 passagers pour 80 000 tonnes. Ce sont les Enterprise suivant qui en auront autour de 1000 mais ils auront aussi une masse plus proche du million de tonne.
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Le problème c'est que sans la possibilité de passer en vitesse supraluminique, le vaisseaux perd beaucoup de son intérêt. Avec une accélération maximale de 0,0001 g (j'ai peut-être lu trop rapidement et il y a aussi une accélération de 0,002 g mais ça ne change pas grand chose) on est assez loin d'un vaisseau suffisamment réactif pour être vraiment utile ou pour explorer assez loin. J'ai aussi quelques doutes sur la réalisation de la gravité artificielle et il manque un système pour se rejoindre les planètes à proximité (j'ai des doutes pour la mise au point de la téléportation) 1 000 Md$ en 20 ans, ça ne fait que 50 Md$ par ans. Ce n'est que 3 ou 4 fois le budget de la NASA ou juste le budget militaire français, si on considère qu'il s'agit d'une commande de l'armée de l'espace américaines (ou OTAN ou ONU) c'est financièrement réalisable. Une fusée capable de mettre 500t en orbite, ce n'est que 4/5 fois plus que les Saturne V ou Energia, c'est parfaitement crédible technologiquement. 200/300 lancements en 20 ans pour la construction, ça ne fait qu'un lancement par mois. C'est encore technologiquement faisable. Et même pour le prix, si on se base sur les Ariane V on tourne autour de 30 Md$ par ans pour les mises en orbite, ça laisse 20 Md$ par ans pour 10 blocs de 500 tonnes de vaisseaux. C'est peut-être une estimation financière crédible (4 million la tonne) Enfin ça fait cher pour avoir une maquette à l'échelle 1 du NX-01 de Starfleet avec presque un siècle d'avance. Parce que d'un point de vue opérationnel, j'ai l'impression qu'on pourrait faire d'autres type de vaisseaux au moins aussi performant.
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Je pense que c'est plus bas en temps de guerre. Enfin le suivi de terrain est aussi défini par le nombre de G utilisé pour éviter un obstacle. Et je crois que pour le rafale, on peut aller jusqu'à 3 ou 4,5 G en suivi de terrain.