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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Je ne suis pas sûr que le Hamas envisageait que leur scenario prendrait cette ampleur. Je suppose qu'ils devaient s'attendre à une opposition plus robuste et donc des combats longs. Normalement les "colonies" installées dans les zones exposé sont particulierement bien défendue par les habitants eux même. Il est certain qu’Israël pour tout un tas de raison à sous estimé largement le Hamas, et ses ambitions dans la région. Dans ce cadre il est possible que beaucoup ait minimisé le sens des signaux d'alerte. Non seulement c'était un impensé, mais en plus le Hamas n'en était probablement pas capable politiquement. https://en.wikipedia.org/wiki/7_October_Hamas-led_attack_on_Israel#Israeli_intelligence_failure C'est évident qu'il y a eu un laissé faire, mais à mon sens de manière collectivement inconsciente. Une forme d'impensé collectif. D'un coté que le Hamas tente le coup, de l'autre que la résistance soit si modeste et que donc les "libérateurs" ne récoltent pas la gloire d'un long combat.
  2. A mon sens l'idée n'est pas une retraite calamiteuse. Mais plutôt une retraite qui économise la force au moins jusqu'au limite des Donetsk. A mon sens les ukrainiens ne semblent plus se battre pour Donetsk comme si on considéré déjà comme perdu lors de négociation possiblement imposé par l'étranger. Donc on fait ce qu'on peut pour tenir les positions les plus facile à tenir. Les grosse zone urbanisé par exemple. Et on s'économise à ou se serait trop couteux de s'accrocher comme des mords de faim. A priori Pokrosvk ne sera pas menacé de sitôt par exemple. Et perdre des bouts de plaines au sud ouest de Donetsk n'a rien de stratégiquement négatif, c'est une zone presque considéré comme étrangère par les combattants qui reprochaient aux populations locales d'aider les russes. En gros s'il y a un endroit ou on peut se permettre de reculer c'est bien là. En contraste on voit que les ukrainiens s'accroche bien dans ce qu'il reste de Toretsk, dans Chasiv Yar, Siversk ou Lyman. A priori la défense de Donetsk nord ouest semble plus intéressante. Elle est plus facile parce que tres urbanisé. Les russes s'y sont déjà cassés les dents, et ca représente symbolique de grosse agglomération sans lesquelles il est impossible de dire qu'on a conquis Donetsk. Et en l'absence de conquete de Donetsk les russes n'iront pas loin ailleurs. Politiquement il faut prendre le terrain annexé. Et en priorité Luhansk - c'est déjà occupé par les russe à 100% il me semble - et Donetsk ... Et à Donetsk il reste vraiment beaucoup à faire. C'est seulement après cette phase que les russes pourront essayer de concentrer des forces pour conquérir Zaporizhzhia. Si ca arrive un jour ... et que les russe controlent Kherson rive orientale, Zapo, Donetsk et Luhansk, la promesse de Vladimir sera réaliser, l'annexion sera concrète. On pourrait alors se diriger vers un cessez le feu ... acceptable pour les russes. Je doute qu'il espère vraiment conquérir dans la foulée le reste de Kherson, Mykolaiv et Odessa. C'est a mon sens intenable militairement et politiquement.
  3. Le texte est ici https://ihl-databases.icrc.org/fr/ihl-treaties/ccw-protocol-iii-1980/article-2 Si on utilise pas le lance flamme c'est parce qu'il ne lance pas loin et qu'il est lourd et d'une autonomie limité et expose beaucoup le "tireur". A la place on utilise des fusée incendiaire comme les https://en.wikipedia.org/wiki/M202_FLASH Et autre obus incendiaire - sous couvert de munition éclairante ou masquante, avec le phosphore blanc ou rouge -, et bien sur tout la panoplie thermobarique qui n'est autre que la combustion d'un carburant dans l'air produisant une déflagration et donc des flammes, même si elles sont rapide. Pareil pour les grenade incendiaire ... a base de Thermite ou de Phosphore, qui servent notament à détruire des engins abandonné par le feu. https://wescomdefence.com/product/live-systems/thermite-incendiary-grenade/
  4. Cette affirmation est fausse j'ai posté le protocole juste au dessus ... ce sont les civils que tu n'as pas le droit de traiter avec des armes incendiaire. Pareil pour le couvert végétal, sauf s'il abrite l'adversaire ou qu'il est une cible militaire en soit. C'est d'ailleurs l'argumentaire israélien puis américain quand ils bombarde au phosphore Gaza ou Fallouja. C'est une cible militaire valide, il n'y a que des combattants.
  5. Ce n'est pas non plus interdit en temps de guerre ... 1. Il est interdit en toutes circonstances de faire de la population civile en tant que telle, de civils isolés ou de biens de caractère civil l'objet d'une attaque au moyen d'armes incendiaires. 2. Il est interdit en toutes circonstances de faire d'un objectif militaire situé à l'intérieur d'une concentration de civils l'objet d'une attaque au moyen d'armes incendiaires lancées par aéronef. 3. Il est interdit en outre de faire d'un objectif militaire situé à l'intérieur d'une concentration de civils l'objet d'une attaque au moyen d'armes incendiaires autres que des armes incendiaires lancées par aéronef, sauf quand un tel objectif militaire est nettement à l'écart de la concentration de civils et quand toutes les précautions possibles ont été prises pour limiter les effets incendiaires à l'objectif militaire et pour éviter, et en tout état de cause, minimiser, les pertes accidentelles en vies humaines dans la population civile, les blessures qui pourraient être causées aux civils et les dommages occasionnés aux biens de caractère civil. 4. Il est interdit de soumettre les forêts et autres types de couverture végétale à des attaques au moyen d'armes incendiaires sauf si ces éléments naturels sont utilisés pour couvrir, dissimuler ou camoufler des combattants ou d'autres objectifs militaires, ou constituent eux-mêmes des objectifs militaires.
  6. Le lance flamme n'a jamais été interdit, c'est même ne vente libre dans de nombreux pays ... Pour l'autodesactivation il existe une solution très simple basée sur la durée de vie de la pile l'alimentant. Il suffit de régler le controleur pour que l'alimentation soit coupé sous x volt ... ca reglera la vie de la mine pendant x semaines, mois, ou année ... Le surcout des solutions simple de l'autodestruction/autoneutralisation et autodésactivation c'est une dizaine de dollars. Ca existe sur les engins couteux, en général les plus gros. Mais ca devient compliqué à implémenté sur des engins basique et bon marché que sont les mines antipersonnelles. Autodésactivation L'autodésactivation est essentiellement un dispositif de secours, de sûreté intégrée. Il s'agit d'un processus automatique qui, selon les termes du protocole, rend une munition inopérante par l'épuisement irréversible d'un élément, par exemple une batterie, essentiel à son fonctionnement. C'est-à-dire que si le mécanisme d'autodestruction tombe en panne, l'autodésactivation garantit que la mine ne fonctionnera pas comme telle. Les batteries, comme chacun sait, se déchargent irréversiblement avec le temps. Si la batterie est essentielle au fonctionnement de la mine, cette dernière ne fonctionnera plus lorsque, inévitablement, la batterie cessera de fonctionner. Par essence, la mine cessera de fonctionner car sa batterie interne sera épuisée.
  7. A priori la vidéo semble filmé depuis une zone largement tenue par les ukrainiens et le cadrages semble fait expres pour filmer la destruction du barrage par minage. Ca laisserait supposer une opération ukrainienne - les russes n'ont pas acces physiquement à l'installation selon la ligne de front encore assez éloignée -. Je ne vois pas bien l'avantage obtenu par les ukrainiens pour le moment. Peut être qu'il anticipe que plus tard les russes pourraient faire pareil et ça générerait les ukrainiens qui défendent les villages suivant. Donc vider le barrage maintenant empêchera les russes d'utiliser cette "armes" de l'inondation de l'ennemi. Si c'est bien ça c'est que les ukrainiens anticipent de reculer largement ... avant que les russe ne puissent réparer et remplir le barrage - quelques mois probablement -.
  8. L'avance Russe commence à menacer Zelene Pole, et donc la O0510 qui va d'est en ouest à permet de ravitailler Velyka Novosilka. Certes la petite ville pourra toujours etre ravitailler par le nord mais la route est moins roulante.
  9. g4lly

    Marina militare

    C'est quoi ce systeme silencieux? La torpille sort sur son moteur électrique ? Elle est chassé par mouton hydraulique ? Par refouloir mécanique ? Pour les TLT il n'y en a pas 8 ? 4 de chaque coté du bloc sonar ? les 4 a bâbord sont juste pas représentée non ? Il me semble qu'à la base le 212 à 6 tube, 4 à bâbord 2 à tribord. Le gros cylindre c'est les réservoir d'eau qui servent à la chasse.
  10. Ils sont devenu sionistes chrétiens parce qu'ils haïssent plus les arabes qu'ils n'aiment les chrétiens d'orient - qui sont arabe la plupart du temps -. La stratification raciale a dépassé la stratification religieuse.
  11. On ne peut pas remplacer une passerelle avia vu directe par un systeme CCTV ?
  12. https://allemagne-energies.com/2024/02/05/bilan-2023-de-leolien-en-allemagne/ la part de la production éolienne à la production totale s’élève à environ 28% sans toutefois apporter une contribution durable à la sécurité d’approvisionnement car la production est variable au cours de l’année. ... En 2023, 423 éoliennes d’une puissance totale de 534 MW ont été mises hors service, soit 50% de plus qu’en 2022. L’âge moyen des éoliennes mises hors service en 2023 était de 22 ans dont la plupart avait déjà cessé de bénéficier du mécanisme de soutien prévu pendant 20 ans. 7.624 éoliennes (7.807 MW) sans droit au mécanisme de soutien étaient encore en service fin 2023, soit presque 13% de la puissance totale installée. A partir de 2024, une puissance totale de 2.497 MW (1.615 éoliennes) entrera en phase d’exploitation sans droit au mécanisme de soutien. Tant que ces anciennes installations ne sont pas arrêtées définitivement pour des raisons techniques ou économiques ou remplacées par de nouvelles éoliennes dans le cadre d´un repowering elles peuvent poursuivre leur exploitation. En 2023, dans le cadre du repowering, 225 éoliennes (1.076 MW) ont été remplacées, soit 30% de la puissance brute raccordée en 2023, cf. figure 2.
  13. Non c'est bien les conditions de marché qui font que tu plus tu produis en ENR parce que les cout marginaux sont nuls... produire plus ne coute rien. Apres si tu implante ton site n'importe ou n'importe comment tu ne vas pas gagner d'argent. Mais pour avoir participer à ce marché il y a longtemps juste après ma sortie de l'école, les implantations ne se font pas à la va comme je te pousse les sites sont soigneusement choisi pour leur exposition particulièrement favorable, avec des essais préalable pendant des mois ou des année parfois. On sait aussi bien modélisé le vent dans les basse couche maintenant et les effet des éolienne entre aile sur les filets d'air, pour optimiser leur positions relatif les unes les autres etc. C'est une science assez exacte, globalement on sait à l'avance combien on produira sur la vie du parc ... par contre on ne sait pas ce qu'on produira à chaque instant. Mais c'est bien la production sur la vie du parc qui fait la viabilité économique du bidule.
  14. En concernant les kWh injecté sur le réseau et facturé tout simplement ... c'est une activité commercial comme une autre, tu trouves des clients à qui vendre et tu produits tout ce que tu ne fournis pas ils l’achète ailleurs. Au USA les centrale PV ou éolienne sont souvent associé à un ou deux gros client industriels locaux qui achètent l'essentiel de la production bien meilleur marché que celle racheté ailleurs sur le réseau. C'est d'ailleurs pour ça qu'on trouve pas mal de site éolien ou PV abandonné, parce que d'autre avec du matériel plus moderne produise encore meilleur marché et qu'ils ont piquer les clients.
  15. Une installation éolienne c'est assez bon marché et il n'y a pas moult certifications à avoir comme dans le nucléaire. Le plus dur c'est d'avoir l'accord pour installer la ferme, après c'est du TP basique, assez bon marché avec des tarifs de rachat très avantageux. C'est d'ailleurs pour cela que tout un tas d'investisseur un peu rapace et étrangers investissent dedans, c'est super rentable dans les conditions économiques actuelles. Niveau personnel c'est peanuts, ça tourne tout seul, c'est télépiloté à distance, il y a de la maintenance préventive à faire mais à terre ça ne nécessite pas de gros moyen. Après si tu intègre des externalité comme le financement de l'intermittence, la fin de vie de l'installation etc. ça peut charger un peu la mule, mais l'intermittence est financé par le client final en pratique ... via les taxes réseaux, et le démantèlement ... on verra plus tard. Certains envisage comme avec les site nucléaire de ne pas démanteler mais de remettre à neuf avec des éoliennes plus moderne par exemple. En gros le cout marginal est nul ... plus tu produits moins c'est cher. Meme en mer selon le site, on peut avoir des installations parfaitement concurrentielles. C'est la cas au danemark dans des conditions de hauts fonds et de sol facile pour l'installation des fondations sur pieux.
  16. Tout est "faisable" la question c'est quels sont les contreparties/conséquence de ce genre de choix d'architecture. Sur A321 MPA pour équilibrer la masse de l'armement on penserait naturellement installer un réservoir à l'avant du CG. En remplissant ou vidant plus ou moins ce réservoir on équilibrerait le centre de masse à mesure qu'on charge ou décharge la soutes armement. Une sorte de FCT ... Front Centre Tank. On peut aussi imaginer un réservoir de soute conforme qui prendrait la place des armement en soute pour le ferry. Accessoirement la soute cargo peut etre occupé par des "ACT" qui ressemble au conteneur bagage mais plein de kero pour la aussi faire du ferry ou augmenter la portée au détriment du cargo en soute etc. Ici l'A321 non XLR avec les 3 ACT optionnels
  17. Qui te dis que tu as toujours le choix ?
  18. Il n'y a pas qu'une question d'émission, il y a aussi une question de cout, de diversification, et d'engagement européen. Il est possible de faire de l'éolien tres bon marché par exemple. Moins cher que le nucléaire. De la même manière produire toute notre énergie - puisqu'on veut aller vers une électrification totale de notre mode de vie - de la même manière c'est pas forcément robuste. Enfin on s'est engagé via l'Union à développer du renouvelable à hauteur de x pourcent.
  19. Visiblement la certification avec 3 ACT - donc conteneur en soute - est passé sans aucun problème ... alors qu'un réservoir structurel au même endroit à posé problème ... ... pourtant en cas d’atterrissage sur le ventre les ACT doivent prendre autant que le RCT ... puisque c'est au même endroit. Et comme il est pas courant de mettre du kero dans la cabine de meme qu'il n'est pas courant de mettre un réservoir structurel dans le ventre de la bete, ca sent la certification compliqué. Je sais que pour les hélicos la certification est limité au ferry même si c'est utilisé hors standard par les FS ...
  20. Mettre du kero dans la cabine c'est mort pour la certification ... ... la certification du RCT "conforme" à déjà été compliqué à obtenir.
  21. C'est pas juste un cosplayer qui s'est laché sur les accessoires ?
  22. Concernant l'émigration et le Kosovo https://shs.cairn.info/revue-outre-terre2-2017-3-page-139?lang=fr ... Mais c’est surtout durant les années 1980 et 1990 que l’émigration des Albanais de l’ex-Yougoslavie connut une nette augmentation. La répression brutale des manifestations estudiantines de 1981, s’ajoutant aux effets de la grave crise économique et à la très forte inflation, fut le déclencheur de cette vague d’émigration. Le 11 mars 1981, les étudiants de l’Université de Prishtina refusèrent d’assister aux cours pour manifester contre les mauvaises conditions de vie au sein de l’établissement. Ils se rendirent à pied au siège du Conseil exécutif de la province où eurent lieu des affrontements avec les forces de l’ordre. On passa très vite aux revendications politiques, soit l’élévation du Kosovo au rang de république de plein droit résumée dans le slogan Kosova Republikë ; à partir de la fin mars, les tensions s’étendirent à toute la province, la situation se dégradant. Il y a là un moment clé de l’émigration des Kosovars avec un plus grand nombre de citadins et de personnes éduquées. Avdullah Hoti [15] avance les chiffres de 27 000 personnes qui auraient émigré jusqu’en 1981 en Europe occidentale et de 50 000 pour la période 1981-1987. La tendance s’accentua au début des années 1990 avec la suppression progressive de l’autonomie de la province en 1989-1990. Ce changement du statut juridique se traduisit en termes économiques et sociaux par la suppression des emplois albanais dans l’administration, les hôpitaux et les écoles. En réaction, l’indépendance du Kosovo fut proclamée le 2 juillet 1990 par les députés albanais de la province. Dans le contexte de crise de la Fédération yougoslave qui en annonçait la désintégration, il n’était plus question pour les jeunes Albanais d’effectuer leur service militaire dans l’armée yougoslave. Dans ce contexte de 300 000 à 350 000 Kosovars, pour la plupart des jeunes hommes, émigrèrent de 1981 à 1993 selon les estimations d’Ibrahim Rugova qui fait état d’environ 250 000 départs seulement pour la période de 1989-1990 à décembre 1993 [16]. Cette migration du début des années 1990 consécutive de la fin de la Fédération yougoslave eut au moins trois conséquences. L’installation permanente d’un plus grand nombre de personnes dans les pays où ils travaillaient, le regroupement familial à une plus grande échelle et systématique ; l’extension de la migration à des familles qui ne l’avaient pas connue jusque-là. En 1992, la Commission centrale du Kosovo pour l’enregistrement des étrangers estimait à 217 132 le nombre d’Albano-Kosovars vivant à l’étranger [17]. Une nouvelle vague d’émigration atteignit l’Europe occidentale consécutivement au déclenchement de la guerre au Kosovo en 1998-1999, 100 000 personnes quittant la province. La campagne de bombardement de l’OTAN à partir du 23 mars 1999 accéléra le mouvement puisque quelque 800 000 personnes furent contraintes de quitter le pays. Elles se dirigèrent dans un premier temps vers les pays voisins (Albanie, Macédoine, Monténégro), puis certains décidèrent de rejoindre l’Europe occidentale ou l’Amérique du Nord. Mais nous savons aussi qu’une grande partie de ces personnes retournèrent au Kosovo après les affrontements [18]. Les gouvernements occidentaux établirent un programme d’aide humanitaire pour permettre l’accueil temporaire des ressortissants de l’ex-Yougoslavie [19]. Les Albano-Kosovars arrivés en 1997 et en 1998 étaient des réfugiés bénéficiant du statut de résident temporaire pour des raisons humanitaires [20]. En 1999, l’Allemagne accueillit 1,2 million d’ex-Yougoslaves et la France 50 000 [21]. La dernière vague d’émigration des années 2000 fut la plus importante en nombre. La proclamation d’indépendance du Kosovo en février 2008 n’arrêta pas le départ des Albanais-Kosovars lesquels trouvèrent de nouveaux pays d’accueil comme le Royaume-Uni, la France, l’Italie ou les pays Scandinaves. En effet, 27 % des Kosovars de la diaspora ont émigré dans la période 2005-2009. Et 22 % durant la décennie précédente. De 1969 à 2011, ce sont 550 000 personnes qui ont émigré du Kosovo toutes origines confondues [22]. Le recensement organisé en 2011 révèle que 35 % des Albano-Kosovars ont émigré en Allemagne, 23 % en Suisse et 7 % en Italie. En termes de sexe des migrants de ces dernières années, la composition de l’immigration se rapproche de celle des pays d’Europe centrale et orientale. Alors que les Albano-Kosovars se caractérisaient par une migration majoritairement masculine contrairement aux autres migrations de l’Europe de l’Est, ce n’est plus le cas ces dernières années [23]. De plus, l’une des tendances observées dans la demande d’asile depuis 2014 est l’augmentation du nombre de familles qui prennent la route comparativement aux périodes précédentes, ce qui peut s’expliquer en partie par la diminution du coût du transport en direction de l’espace Schengen. ...
  23. La rumeur d'une attaque éclair depuis l'est sur Velyka Novosilka se renforce, les combats auraient lieu dans l'est de la ville. Coté Kurokhove on attend les détails des inondations lié à destruction du barrage qui pourrait couper les approvisionnement. Coté Kupiansk certaines sources racontent que les russes seraient rentré dans Kupiansk par le nord au niveau du stade. Pas mal d'activité au sud de Chasiv Yar, meme si on ne sait pas qui fait quoi exactement. Attaque russe ou contre attaque ukrainienne ... selon la source. Mais il se passe quelques chose alors que le front y était figé depuis plusieurs semaines. Coté saillant Koursk, la situation est plus ou moins figé avec un léger momentum russe ... les deux camps semble faire des raids dans un sens et dans l'autre pour se tester depuis un moment, tout ça dans un mouchoir de poche. Mais l'Ukraine y engage toujours des bonnes forces, notament des unité mécanisé avec Bradley et Leo2.
  24. Ils le font parce qu'ils ne veulent pas vivre avec eux ... les même sont très content d'aller en vacances au Maroc. Mais tu ne fais pas les poches des touristes japonais parce que tu les considère inférieur, ou qu'ils te gênent ... mais parce qu'elle sont pleine et que tu le peux.
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