Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

g4lly

Administrateur
  • Compteur de contenus

    73 858
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    435

Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Si c'est urgent dès ce soir pourquoi le programme Patroller à végété 15 ans pourquoi les armés, toutes les armées étaient vent debout contre les drones puis contres les drones armée pendant 25 ans ... ... quand tu as affaires à une institution frapper d'une telle cécité et incapacité a anticiper, tu assumes, et du reprends ce qui marche ailleurs, doctrine et matériel, comme le fond les autres.
  2. C'est le jeu ma pauvre Lucette, mais vu de nous c'était de vulgaire conflit locaux dont tout le monde se foutait et se fout encore aujourd'hui.
  3. Les individus ne pense pas que c'est bien ... mais que c'est un probleme local, donc qui ne les concerne pas plus que ca. C'est un truc de privilégier que d'avoir du temps à passer sur twitter ... les mecs aux quatre coin du monde ils charbonnent toutes la journée le soir il rentre ils sont fatigués ils vont pas passer la soirée à essayer d'évangéliser d'autre gens à l'autre bout du monde pour le plaisir. C'est un plaisir typiquement occident privilégier que de passer son temps à donner son avis sur le reste du monde. Le reste du monde n'a pas que ca à faire. Et pour le reste oui partout la loi du plus fort est toujours la meilleure, c'est un peu une exception dans le monde l'occident "apaisé" ...
  4. https://www.lemonde.fr/campus/article/2025/09/19/le-debat-sur-changer-le-systeme-de-l-interieur-ou-deserter-n-en-est-pas-un-c-est-encore-un-clivage-d-opinion-sterile-jeanne-mermet-polytechnicienne-deserteuse_6641850_4401467.html Jeanne Mermet, ancienne élève de Polytechnique, appelle à la « désertion collective » Dans un ouvrage à paraître le 24 septembre, l’ingénieure de formation veut politiser sa désertion du marché du travail. Son récit éclaire certains des angles morts de ces bifurcations médiatisées ces dernières années, comme la lutte des classes, la question coloniale ou la guerre militaire. « C’est à quel sujet ? La désertion. La désertion de qui, de quoi ? La désertion comme acte politique, poétique, philosophique, pratique ? » Première page du livre, et le décor est placé. Dans Désertons (Les Liens qui libèrent, à paraître le 24 septembre), Jeanne Mermet, ingénieure passée par l’Ecole polytechnique, raconte sa rupture, à la fin des années 2010, avec une carrière prestigieuse. Dans un texte ample, intime, politisé, traversé par ses doutes et ses contradictions, elle invite à déserter « collectivement ». « Qui parle ? » C’est la question qui ouvre le livre, pourquoi ? Il me semblait important de me situer le plus honnêtement possible. Je ne pouvais pas raconter ma désertion sans passer par cette étape, parce qu’il est primordial de se situer socialement pour se rendre compte des choix qui nous sont accessibles. J’ai grandi dans le Sud-Ouest, à Tarbes, mais je viens aussi du Jura, où vivait ma grand-mère. Mes attaches familiales se trouvent dans ces montagnes. Ces territoires m’ont marquée : des petites villes en déclin, des centres qui se vident au profit des périphéries, des devantures fermées. Mon père était ingénieur chez Alstom, ma mère est psychologue. J’ai grandi dans un milieu aisé, ayant accès à diverses activités extrascolaires, et où il était évident pour mes parents que si je voulais faire des études supérieures, ils me soutiendraient financièrement. J’ai conscience des privilèges dont j’ai hérité. Si j’ai moi-même choisi de vivre dans une certaine forme de précarité, c’est aussi car je n’ai jamais eu à craindre pour ma sécurité financière, ce qui n’est pas donné à tout le monde. Vous avez choisi de ne pas exercer le métier d’ingénieur pour lequel vous avez été formée. Quelles en étaient les raisons ? La claque sur la crise écologique a eu lieu pendant mes années d’études au Danemark, où j’ai travaillé sur la modélisation de réseaux électriques pour la transition énergétique. J’ai pris conscience des contradictions de nos modèles : même dans les scénarios les plus ambitieux, la consommation d’énergie continuait d’augmenter jusqu’en 2050, tout en reposant toujours sur du charbon et du pétrole, et en impliquant une explosion des besoins en matières premières minérales et métalliques, dont l’extraction n’a jamais été et ne sera jamais écologiquement et socialement juste. A cette époque, je me suis engagée avec [le mouvement international de désobéissance civile] Extinction Rebellion. Ce fut un moment d’explosion intérieure : le jour, je développais des algorithmes pour verdir les réseaux dans un labo de recherche ; le soir, je participais à des actions de désobéissance civile, je me formais sur les enjeux climatiques, j’apprenais l’auto-organisation des mouvements sociaux. Cette dissonance est vite devenue intenable. En 2019, j’ai eu besoin d’une rupture, de comprendre les choses depuis d’autres angles. En France, j’ai rejoint des luttes locales contre des projets énergétiques. J’y ai découvert la critique de la transition énergétique, je me suis formée à l’intégration des questions coloniales, extractivistes, des questions de classes sociales et de systèmes de domination en général, qui sont à la racine des crises écologique et climatique. Le terme de « désertion » est apparu dans le débat public après la publication d’une vidéo dans laquelle de jeunes diplômés d’AgroParisTech en 2022 appellent à déserter les entreprises qu’ils jugent nocives. Comment l’avez-vous vécu ? Leur propos était sans détour, en assumant ouvertement des positions radicales et anticapitalistes. Je pense que cela a rendu audible un refus radical, peu entendu jusqu’alors dans ces milieux. Mais cette parole a aussi été glorifiée de façon ambivalente : certains y ont vu une preuve que les élites allaient sauver le monde, par leur simple changement de mode de vie ou de consommation, d’autres ont dénoncé un caprice de privilégiés qui ne veulent pas assumer leur rôle légitime d’élite. Or, la question centrale est : pourquoi les élites seraient celles qui seraient le mieux placées pour trouver des solutions aux crises, alors que leur rôle est d’entretenir le système qui les a engendrées ? Vous êtes aussi critique de la rhétorique réformiste, qui encourage les jeunes engagés à travailler à l’intérieur du système pour le transformer… Le débat sur « changer le système de l’intérieur ou déserter » n’en est pas un, c’est encore un clivage d’opinion stérile. Parce que si on s’enferme dans l’une ou l’autre des solutions, si on déserte en ignorant que la machine continue de tourner en notre absence, ou si on tente de changer de l’intérieur un système compromis en ignorant les impasses qu’il comporte, on n’arrivera à rien changer. Il nous faut multiplier les positions de résistance partout, tout le temps, de l’intérieur à l’extérieur, et surtout en étant conscients de nos positions, de leurs impacts, et de ce qu’il se passe ailleurs. Vous parlez du travail comme d’un « champ de bataille »… Parce qu’aujourd’hui nous en dépendons toutes et tous pour vivre. C’est là que se joue la reproduction des rapports sociaux, mais aussi la possibilité de les transformer. Si des ingénieurs, des ouvriers, des techniciens, des cadres se mettent ensemble à dire non, à se désengager de certains projets, à faire pression, alors peut-être que d’autres rapports de force pourraient émerger. Mais ça implique que les classes supérieures plus privilégiées se rendent compte des intérêts qu’elles servent vraiment, et décident de changer d’allégeance pour participer aux émancipations des personnes qui n’ont pas les mêmes réalités sociales qu’elles. Et si déserter ce n’était pas seulement quitter un emploi nuisible, mais s’organiser pour refuser de nuire, collectivement, à partir de différents métiers et réalités sociales ? En reconnaissance des contraintes et possibilités qui en découlent, bien sûr. Et si la désertion n’était pas une fuite, mais la possibilité d’ouvrir d’autres chemins ? Vous mettez en scène un dialogue fictif avec votre grand-mère, morte en 2022. Pourquoi inventer cette discussion ? Je suis très frustrée d’avoir peu discuté avec elle de mes choix. Ma grand-mère était institutrice dans les montagnes du Jura, et elle croyait avec ferveur à la méritocratie républicaine, à l’égalité des chances à l’école. Originaire d’un milieu modeste d’ouvriers artisans, elle a lutté pour que ses enfants fassent des études. Mon père a fait Centrale et moi, Polytechnique. Elle en tirait une énorme fierté. J’aurais voulu lui expliquer pourquoi je ne suis pas devenue ingénieure, pourquoi j’ai refusé la position sociale à laquelle elle a pu faire accéder ses enfants. Elle était aussi engagée dans la vie politique de sa ville, j’aurais voulu parler avec elle du fait que refuser ce métier, c’était aussi pour pouvoir m’engager autrement pour une société plus juste. Et puis ce dialogue fictif m’a permis de déployer plein de sujets, comme l’élitisme, l’histoire des écoles d’ingénieurs et leur rôle dans la société de classes, ou d’autres sujets qui, je pense, cristallisent des débats entre les générations, par exemple les effets du progrès des « trente glorieuses ».
  5. Oui, vu d'ailleurs ca ressemble à un conflit loco-régionale genre guerre d'indépendance. D'ailleurs ca a plus ou moins commencé comme ca en 2014, avec un pays à deux logique, l'une voulant s'accrocher à l'ouest l'autre s'accrocher à l'est, et le clivage et devenu guerre civile, puis action étrangère. La suite est essentiellement une conséquence de cette situation aux marches de ce qu'il reste de l'empire russe, et la plupart des pays un peu puissant pense pareil, profondeur stratégique, aire d'influence etc. ajoute à ca les décolonisation ou balkanisation mener un peu à la va comme je te pousse, et tu as partout des sujets de conflits qui peuvent paraitre semblable, et qui n'attire pour autant quasi jamais l'attention sauf des locaux. Si nous on se focalise autant dessus c'est avant tout parce que beaucoup de monde trouve utile d'instrumentaliser le conflit pour alimenter leur agenda, politique, économique, idéologique etc.
  6. Molkine c'est à l'est de Krasnodar ... très loin du front.
  7. En plus la vitesse de croisiere est modeste M0.6, mais effectivement l'engin est sensé décoller "court" - une piste de 1800m même un peu sommaire -.
  8. J'ai vu 310t. Pour l'autonomie il faudrait savoir dans quel condition... payload max ... fuel max ... et combien on troque de fuel pour du cargo. Il n'est pas impossible qu'il ait limité la capacité d'emport de fuel pour limiter la MTOW par exemple et construire plus "léger" L'An-124 est à plus de 400t MTOW par exemple, par contre il est à 120t de cargo "ou" 200t de fuel - 180t vide -. --- A la base le wind runner est sensé être dédié à l'industrie éolienne pour transporter de long objet mais pas forcément très lourd ni très loin. Pales ou mat de grande éolienne notament. Les pales ne sont pas dissociable... le mat si plus ou moins mais c'est plus simple s'il y a moins de morceau quand meme.
  9. A priori il est assez influençable notamment parce qu'il adore les chaînes d'info a la télé. En gros le dernier abrutis qui a fait le buzz est digne d'intérêt. On le remarque a ses changements radicaux de position sur tout un tas de sujet ou l'occasion fait le larron. C'est typique des personnes qui n'ont pas d'idées et qui se raccrochent à celles des autres de manière opportuniste. Mais je ne suis pas sûr que les infos qu'il ait en plus de nous... Lui permette de mieux juger. Parce qu'à mon sens il ne juge pas. Il saute sur des occasions. La bonne nouvelle c'est que son audience aussi. La dictature de l'immédiateté convient bien à ce genre de profil, et son côté caméléon lui permet d'endosser n'importe quel discours.
  10. Ce que tu appelles le besoin réel ... c'est le concret aujourd'hui ... qui se regle avec les moyens d'hier. Rien ne sert de vouloir régler les probleme d'aujourd'hui avec les moyens d'apres demain. On sait déjà que ce sera obsolete. C'est la meme approche que l'approche législative, un fait divers une loi ... --- Depuis fin 2023 les TB2 sont très discret en Ukraine
  11. Et il n'ont pas trop de probleme d’accès au foncier, la densité aux abord des villes n'est pas énorme, ca évite trop de probleme d'expropriation etc. C'est un gros probleme pour des infra pénétrante, il faut qu'il y ait de la place pour les mettre, et souvent il n'y en a pas. La moindre place dispos en ville dense est souvent rapidement réutilisé pour y coller des bâtiments. Pour le moment c'est plus de 800km qui se font en presque 9h de trajet en train - plus de 8h par autoroute - ... Le TGV doit réduire le temps de trajet par deux environ - 4h30 -.
  12. g4lly

    Défense sol-air multicouches

    Pour la télémétrie optique il y a deux méthode principale. Soit on observe le meme objet avec deux optique différente, et on mesure l'angle, c'est comme cela que faisait les croiseur et autre cuirasser pour se mettre sur la gueule à 20km ... sauf que les deux optiques était éloigné de plusieurs metre, voir dizaine de metre. L'incertitude sur l'angle, provoquant rapidement une erreur en centaine de metre sur la distance de la cible. On utilisait aussi cette méthode pour les télémetre de forteresse, et les télémetre d'artillerie de campagne. Soit on observe une objet dont on connait les dimensions, et on compare une dimension connu et l'angle apparent qu'elle fait dans notre optique. Ici aussi c'est de la vulgaire trigo, sinus de l'angle et dimension du segment opposé... Dans le premier cas il faut un écart entre les deux caméra assez important pour réduire l'erreur sur le distance, et il faut bien sur étalon très proprement le système d'écartométrie qui lie les deux caméras. Il faut aussi que le systeme arrive à comprendre automatiquement quel l'objet sur une caméra et le meme que sur l'autre, histoire que les deux pointent bien le meme objet de manière automatique. A l'époque c'est le cerveau humain qui faisait le rapporchement et les réglagles, mais aujourd'hui pour intervenir rapidement en sol air il faut que ce soit automatique et rapide. Dans le second cas il faut une banque de donnée d'identification qui permet au systeme d'interpréter ce qu'il voit et d'en connaitre les dimensions, et de pouvoir comparer avec l'angle apparent. Avant - les sous marinier par exemple - disposait d'un beau livre d'image avec les silhouettes des navire, leur dimension etc. et donc il pouvait en mesurant la largeur de la silhouette dans le viseur, déduire la distance du navire. Aujourd'hui on attend que ce soit fait automatiquement. Donc il faut une banque de silhouette de drone, et un automate qui apprenne à identifier ce qu'il voit et à l'étiqueté avec les dimensions probable ... reste plus qu'a rapprocher l'angle apparent et les dimensions supposées pour avoir un estimation de la distance. Au delà on peut faire du TMA - Target Motion Analysis - ici au delà de la forme on se base sur le mouvement de la cible pour estimer son déplacement. On effectue régulièrement des relèvements, et on fait des hypothèse sur sa course et ou sa vitesse - en sous marinade c'est connu par le nombre de tours de l'hélice -, et la trajectoire - idéalement en ligne droite. Rapidement si on fait ca bien et que la cible est pas très agité on déduit des relèvement la position, la route, et la vitesse de la cible, en gros on a uns "piste", plutôt qu'un simple "écho". Si on mélange les deux approche télémétrie optique sur forme, et TMA dans un automate de machin learning on peut avoir des résultats intéressant.
  13. g4lly

    Marine allemande

    C'est pour mettre suffisamment d'ASROC au cas ou ...
  14. En général on préconise une prise en charge psychiatrique - c'est le psychiatre qui diagnostique de toute façon -ET une prise en charge psychothérapeutique - il y a toujours un terreau fertile à la survenu de la maladie qui n'était souvent que latente - , voir des médecine complémentaire type hypnose, thérapie comportementale etc. en fonction du probleme. Certaine thérapie complémentaire marchent bien sur les addiction ou les phobie par exemple. Idéalement c'est un travail d'équipe entre professionnel en institution ou en médecine de ville ... mais avec la mode des n'importe quoi qui soigne n'importe quoi ... je me retrouve avec des patients qui viennent après avoir vu un énergéticien un coach mental ou je ne sais quel autre "spécialiste"... que de temps perdu.
  15. Et nous on dépense des fortunes pour une armée temps de paix c'est ca ?
  16. Je m'adapte au temps de l'armée ... vu le temps infini que mettent à aboutir ses programmes ... 15 ans pour le Patroler, et un fail ... ... en Ukraine tout les 6 mois tu as une nouvelle problématiques, un nouveau concept, et une nouvelle série de drone. Je ne parle meme pas de l'Eurodrone le machin est déjà obsolete avant d'avoir quitté la planche à dessin.
  17. Une simple catapulte à air comprimé doit suffire ... le machin pèse 600kg tout mouillé. Le plus compliqué à mon sens c'est la récupération, une barrière?
  18. g4lly

    Défense sol-air multicouches

    Pour le mortier je pense que c'est pour l’interception en dernier recours. Viser directement la cible c'est du temps gagné et donc une capacité à attendre le dernier moment. Ca permet de baisser le consommation d'intercepteur, et de moins se dévoiler. Pour la taille de la cible je ne vois pas de limite - du moins raisonnable - ... si tu percute l'aile de n'importe quel engin il va voler infiniment moins bien, meme un Predator, pareil si tu tape l'hélice ou un des plan aéro, l'optronique etc. Tout est fragile sur un drone.
  19. g4lly

    Le successeur du CdG

    Comme à Gaza ... ... en vrai pour un NEMP il n'y a pas de retombé puisque il n'y a pas d'activation secondaire des matériaux environnent et que les modele atmosphérique n'échange que très peu avec la haute altitude. --- Pour le raz de marée ... à part tuer les poissons, normalement à 300km des cotes ca laisse un peu de marge. Certes l'explosion activera les sels contenu dans l'eau mais à mon sens c'est peanuts par rapport à une explosion au dessus du sol, ou c'est tout le terre en dessous qui s'active. De plus l'eau vaporisé va se dissipé sur une grande étendue, et par dilution les retombés vont être très faible. Reste que j'ai une petit préférence pour la NEMP en premiere intention. --- Le volume de matière fissible dans une bombe atomique est infiniment inférieur à celui dans le cœur d'une centrale nucléaire. Un ASMP en mer c'est de la rigolade à coté de Fukushima coté pollution.
  20. g4lly

    Défense sol-air multicouches

    Un autre drone intercepteur. https://www.nordicairdefence.com/ --- Pour le moment l'Ukraine semble encore utiliser des quadcopter ogivaux comme drone intercepteur, mais les chose pourrait encore évoluer vers des engin qui ressemble plus à des missile électrique comme le Kreuger.
  21. g4lly

    Le successeur du CdG

    L'un n’empêche pas l'autre tout dépend ou tu tires l'ASMP ... sur la flotte d'invasion qui est dans ta ZEE ... que peut dire l'envahisseur?
  22. En quoi ca change que la vente est libre que que la principal raison de l'achat et de la consommation soit le traitement de la douleur ... et que ce soit devenu la mode de faire des TS avec.
  23. Tu fais souvent le tour de classe ? Et tu as conscience que pédagogiquement beaucoup de chose ont changé aussi ? Donc oui c'est différent mais non ce n'est pas la faute à pas de chance, ou au paracétamol, c'est la responsabilité de la collectivité dans lesquelles sont bercés les enfants... Entre gros notre faute à tous. On a voulu jeter bébé avec l'eau du bain concernant l'éducation conservatrice, puis la psychopédagogie des année 60 ... pour l'éducation positive ... maintenant on le paie. --- Pour le reste c'est du conditionnement. S'il n'existe pas de PAP tu fermes ta gueule et tu apprends à bosser plus vite, ou tu vas faire coiffeur. S'il existe des PAP tu fous le dawa dans les écoles et tu rends dingues les profs. Résultat aujourd'hui chaque gamin à un PAP, parce que les profs sont submergés et qu'il n'arrivent plus a adresser le probleme avant qu'on en ait besoin. Résultat les parents sont obligés d'imposer le PAP, de passer par la médiation du rectorat pour le faire appliquer, voir de changer d'établissement. Ca dénoté autant les problemes organisationnel de l'éduction nationale que le reste. Avant on avait dans les école élémentaire un Groupement d'Aide Psycho-Pédagiogique ... tu en vois encore, pourtant c'était magique, ca prenait le probleme au tout début des la maternelle, et ca mettait à disposition à l'école des psychologue - des vrais clinicienne, pas les mytho de l'EN qui n'ont rien de psychologue, des psychomotricienne, médecin scolaire etc. etc. - ... Maintenant tu sais comment fonctionne les "RASED". http://felix.gentili.free.fr/etap_histo.html
  24. La plupart du temps la prise de paracétamol est pour l'action anti douleur, ou une TS ... de moins en moins pour faire baisser une fièvre. Concernant la douleur il n'est pas forcément indispensable de s'en dispenser ... et il existe aussi d'autre moyen que le paracétamol que certain prennent comme des dragibus.
  25. Tu parles de fondeurs? De concepteurs? ou de fabriquants?
×
×
  • Créer...