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Tout ce qui a été posté par ARMEN56
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Les clims des FREMM à quai doivent cracher un max en ce moment.....mef aux angines.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Hé hé hé , chez un rhumatologue….. et sur le mur d’en face D’ailleurs cf traitement du mal de mer… http://lecami.eklablog.com/le-medecin-a-la-maison-p532701 Est-ce que sur un soum on a le mal de mer ? -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Lecture de « ca m’intéresse » dans une salle d’attente -
Autres angles télégramme
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Succession du CHARLES DE GAULLE : construction de porte-avions/drones légers?
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Salverius dans Divers marine
> à 40 nds donc critères NGV à froude élevé dont réponse à excitation de houle , RAO et tout et tout aboutissent à une tranquililisation et loi de commande propre à cette carène dont perf et amortissement orientés critères de risque de passagers malades « MSI» cf pages 72 à 76 . https://docplayer.fr/18822957-Theme-d-les-navires-a-grande-vitesse-ngv-presidence-monsieur-andre-combeau-ingenieur-general-des-ponts-et-chaussees.html -
Succession du CHARLES DE GAULLE : construction de porte-avions/drones légers?
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Salverius dans Divers marine
Oui « Ainsi, par leurs jeux réciproques, ils compensent la gîte, jusqu'à la rendre totalement négligeable, puisqu'inférieure à 3°. La stabilisation du PAN a été prévue de telle manière qu'il puisse continuer à mettre en oeuvre, mème avec trois tranches noyées. En situation d'extrème péril, le Charles de Gaulle est encore capable de frapper très durement l'adversaire » https://marine--nationale.skyrock.com/1189063170-1-2-Caracteristiques-principales.html En stabilité naturelle , la période de roulis propre est liée à la largeur B du navire, plus B est grand, plus la période est longue et plus elle est longue plus la plateforme est tranquille . A cela on rajoute des effets d’amortissement via quilles anti roulis et stabilisations actives ou passives Courbes toussa c’est expliqué ici https://www.usna.edu/NAOE/_files/documents/Courses/EN400/02.08 Chapter 8.pdf https://slideplayer.com/slide/3808106/ -
Ah , mince alors , je ne l’ai pas acheté celui là. Merci pour l’info .
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l'info n'est pas nouvelle puisqu'il s'agit de l'épave du HMAS SYDNEY coulé en 1941 et retrouvée en 2008 Naufrage du HMAS SYDNEY ( qqes extraits traduits du rapport d'enquête paru en 2009) "Le 19 novembre 1941, le HMAS SYDNEY, sous le commandement du CAPT Joseph Burnett RAN, revenait après avoir escorté le HMAT ZEALANDIA dans un lieu proche du détroit de Sunda. À environ 200 kilomètres des côtes de l’Australie occidentale, alors qu’ils se dirigeaient vers Fremantle, le SYDNEY a aperçu un navire et s’est écarté de son cap pour s’approcher. Le navire était le raid KORMORAN, converti en MV STRAAT MALAKKA. Le SYDNEY et le KORMORAN se sont alors engagés dans la bataille, et les deux ont coulé. Sur les 645 officiers et membres d'équipage à bord du SYDNEY, personne n'a survécu. Sur les 395 officiers et membres d’équipage à bord du KORMORAN, 318 ont survécu. Les rescapés du KORMORAN ont été interrogés mais, en l'absence de survivants australiens pour confirmer ou infirmer le récit des Allemands sur l'engagement, certaines personnes ont été incapables d'accepter leur version d’où controverse persistante Les questions qui se posaient donc était le lieu du naufrage , la raison pour laquelle le SYDNEY avait été coulé par le KORMORAN et pourquoi il n'y avait pas eu de survivants du SYDNEY. La localisation des épaves en mars 2008 a conduit à la découverte de nombreuses nouvelles informations, ce qui signifie que des réponses rationnelles peuvent désormais être données à de nombreuses questions soulevées dans la controverse. La coque principale de HMAS SYDNEY se trouve à environ 12 milles marins de l'épave de HSK KORMORAN et son étrave repose à environ 470 mètres de la coque principale. La séquence filmée du véhicule télécommandé (ROV) permet de dire avec certitude que SYDNEY a été gravement endommagée par une torpille touchée à l'avant, à environ 20 mètres de la proue du côté bâbord, et qu'il a encaissé au moins quatre-vingts sept obus de 15 centimètres frappant les côtés bâbord et tribord. On sait également qu'il a été touché par des tirs d'armes légères supplémentaires calibre 3,7 centimètres et de plusieurs mitraillettes de 20 millimètres. En outre, il y a eu de graves incendies, et on peut évaluer avec certitude que de nombreuses victimes ont été tuées au moment où la bataille a pris fin - probablement environ 70% de l'effectif total de SYDNEY. Des mesures de contrôle des dommages ont probablement été prises, restreintes en raison des inondations, du feu, de la fumée et des difficultés d’accès. Néanmoins, il est probable qu'il y avait encore des personnes en vie à SYDNEY alors qu'il s'éloignait de KORMORAN, bien que le nombre de personnes avant son naufrage ne puisse être déterminé avec précision. Les personnes à bord ne disposaient d'aucun moyen de sauvetage leur permettant de quitter le navire: les dommages observés indiquent très probablement que tous la drome de sauvetage et les flotteurs Carley qui n'avaient pas été jetés à la mer pendant la bataille étaient hors d'usage à cause des obus et des dégâts de l’incendie Ceux qui étaient en vie à bord après la fin de la bataille sont morts après son naufrage. Il est nécessaire de déterminer la manière dont SYDNEY a coulé. Certains ont suggéré qu'il a coulé parce que, pendant qu'elle fumait, l’étrave s'est séparé de la coque, provoquant des inondations et des naufrages incontrôlés » http://www.defence.gov.au/sydneyii/FinalReport/ https://fr.wikipedia.org/wiki/HMAS_Sydney_(D48) https://en.wikipedia.org/wiki/German_auxiliary_cruiser_Kormoran
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[Iran]
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
ET de plus près , çà donne ceci ; peinture "cramée" autour de marques oblongues ? -
Dans sa genèse n’aurait il pas subit qqes modernisations , y compris coté échappements de la propulsion ? Ces échappements cintrés devaient être la marque des PA Nippons , cf remarquablissime descriptif et illustrations du Shokaku dans LOS N°19. Des dispositions constructives et consignes devaient probablement éviter aux tribordais un faciès de « gueules noires » , je pense aux servants des tourelles, de plus les aspirations d’air neuf des hangars et locaux vie devaient se situer sur bâbord avec refoulement air vicié sur tribord . dsolé pour cette escapade HS , je recolle , je recolle ...... En tout cas avec du nuk CdG , on a pas cette problématique d’aérologie des gaz d’échappement
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Des récents liens ci-dessous on comprend que placer une antenne sous les tubes lance-torpilles l’expose moins au bruit ambiant et au bruit propre Alors dans le peu de volume qui reste je pense qu’il semble plus facile d’y intégrer une antenne cylindrique que sphérique …. https://www.udt-global.com/__media/libraries/platform-design/51---Honore-&-Lozach-Slides.pdf https://www.udt-global.com/__media/libraries/platform-design/51---Edouard-Honore-Paper.pdf -
[Iran]
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
Clichés un peu plus nets La brèche est visiblement encore plus petite ( se repérer par rapport à hauteur du bastingage 1.2 m je crois) Alors patchs de peinture à gauche plutôt ? , le petit trou circulaire à droite doit correspondre au débouché d’un dalot Sinon , ceci … Y a plus qu’à relever les empruntes https://www.theguardian.com/world/2019/jun/18/method-attack-tankers-remains-key-evidence-against-iran -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Le profil du thon ALBACORE ( forme ellipsoide ) est lié à la couche limites et la transition entre les écoulements laminaires et le turbulents , on en parle ici http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.172.1954&rep=rep1&type=pdf La forme avant de BARRACUDA présente une dissymétrie imposée par l’intégration de l’antenne cylindrique -
co² Economie et climat. CO2 or not CO2?
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Economie et défense
Pour info la teneur en soufre du gazole marine national - F76 code OTAN, était de 0.2 % suivant norme début année 2000. -
[Iran]
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
Cas des attaques du 12 mai à FUJAIRAH Navires concernés Dégâts ; plus ou moins importants selon que localisation de l’impact - en partie arrière - petite brèche- dans structure coque bien maillée et renforcée ICE cas du A Victory - plein bordé - grande brèche- dans un partie moins renforcée mme si double coques des tanker et chimiquiers ; cas des Al Marzoqah, Amjad et A Michel Tailles des brèches approximées selon images probablement provoquées par les charges de contact sous marine A Victory = 6 x 3 m Al Marzoqah , trou moyen de 5 m Amjad , trou moyen 15 m A Michel, trou moyen 8 m https://www.khaleejtimes.com/news/general/uae-probe-of-tanker-attacks-points-to-state-actor Ces brèches de coque sont le fait du collapse de la bulle primaire dont le diamètre de la sphère dépend de la charge TNT, de la distance donc du facteur de choc ; le type de structure renforcée ou pas est bien sûr en rapport également ; cf page 17 du lien « Principal types of hulk damage and response » on parle de trou de 9 à 15 m . https://apps.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/268905.pdf Cas des attaques du 13 juin Kokuna Curageous ; C’est pas très net mais on devine cependant impact au dessus de la surface et faible brèche par rapport à celles observables lors attaque sous marine à FUJAIRAH dont haute probabilité mines . Alors ici pourquoi des mines au dessus de la surface, alors qu’en dessous de la surface à FUJAIRAH . Par ailleurs si éclats , alors possible projectiles balistiques , roquette ……etc sinon statistiques attaques ( missiles, mines , vedette suicides ….. ) des navires mili -
Quelques gros plans objet du lien de G55 . Les bordés sont bien lissés je trouve , en tout cas on ne retrouve plus les fameux caches dalots qui marquaient bien la flottaison des FREMM IT . En revanche sur l’arrière on observe cependant des bittes d’amarrage encastrées pas très SER . SER ? un coup d’œil sur les vues extérieures du top side marquée de nombreux protubérances et appendices divers pose question sur ce niveau d’exigence …. Loupe sur les grands projets dont PPA http://www.nsweek.com/wp-content/uploads/2016/07/10.-Parapetto_Presentazione-NAPOLI_30_06-compressed.pdf
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[Iran]
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.meta-defense.fr/2019/06/14/une-video-met-en-cause-liran-dans-lattaque-des-2-petroliers-dans-le-detroit-dormuz/ -
La famille/gamme Gowind DCNS/Naval Group.
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je n'avais pas vu BAH je continu ici Dans les années 70/80 nous avions une excellente représentation française sur le diesel tout segment de puissance - BAUDOUIN , POYAUD faible puissance è prop petite barcasse et GE - SACM MGO AGO moyenne puissance 1000 à 1500 rpm è prop moyenne barcasse et frégate , GE - SEMT PIELSTICK ; forte puissance 500/1000/1500 rpm è tout prop frégates , tcd , pr et GE soum Et y compris les TAG puisque nous avions marinisé un turbo Atar 8 snecma pour l’intégrer à l’AE Balny . Aujourd’hui nos sommes bq moins représentatif en générateur prop marine c’est clair, et je ne vais pas refaire le film en me faisant ni une pleureuse ni un procureur de l’histoire ( en réaction à ce qu'on peut lire sur certains forums...) Pour revenir à la propulsion des GWD . Le déplacement et la vitesse donnent la puissance à installer , les différentes exigences de stabilité et de vulnérabilité donnent le compartimentage bref notre corvette Gwind EAU est bouclée sur ces gros postes . Pour ce qui est de la prop , je ne sais pas dire si c’est un CODAD Malaisie ou un CODLAD Egypte qui tous deux ont des MTU différents ; - Pour Egypte 2 x MTU 20V8000 de 10 Mw à 1100 rpm - Pour Malaisie 4 x MTU 20V1163TB93 de 7.4 Mw à 1300 rpm Alors remplacer un moteur par un autre en cours d’étude c’est gérable à CONDITION pour le substitut de rester dans les équivalences acceptables ; dimensions /puissance/masse /rpm ce afin de conserver la cinématique , réducteur , ligne d’arbre , hélice…ET dans le secteur motoristes ( hors Allemagne) existant on n’a pas tant que çà de solution répondant à la « fenêtre » technique précitée. Pour le projet DELTA nous avions les alternatives PIELSTICK * 20V PA6STC à 1050 rpm ou MTU 20V8000 à 1100 rpm , à signaler que MTU fournit aussi les GE. (*) Pielstick aujourd’hui MAN d'autres Wartsilae ? pas sûr , faut voir …. ABC ? pas sûr , faut voir …. Mak ? pas sûr , faut voir…. PIS moteurs X, Y ou Z ...... l'injection est allemande -
La famille/gamme Gowind DCNS/Naval Group.
ARMEN56 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
je poursuis ...... Les Émirats arabes unis ont signé la commande de deux corvettes Gowind auprès du français Naval Group « Seulement, le souci est que le système de propulsion de cette corvette est fourni par l’allemand MTU… Ce qui pourrait donner à nouveau lieu à des complications avec Berlin, qui a récemment prolongé son embargo sur les équipements militaires destinés aux pays impliqués dans la guerre au Yémen. » http://www.opex360.com/2019/06/11/les-emirats-arabes-unis-ont-signe-la-commande-de-deux-corvettes-gowind-aupres-de-naval-group/ bonne nouvelle donc , et pour le reste on verra .......avec en creux la problématique de l’internationalisation "De nombreuses dynamiques technologiques et industrielles concourent à une internationalisation accrue. En premier lieu, l’évolution des besoins militaires nécessite de développer et d’intégrer des technologies qu’il est de plus en plus difficile de maîtriser à l’échelle nationale. L’avènement de la guerre en réseau (network-centric warfare) qui implique d’échanger des informations entre différents systèmes et plateformes pour établir et partager la situation tactique, voire engager des cibles (Cooperative Engagement Capability), ne fait qu’accroître la part des technologies de l’information et de la communication dans les systèmes militaires. Or ces technologies électroniques et numériques sont justement celles dont les chaînes de valeur sont habituellement les plus internationalisées (données OCDE). Plusieurs rapports américains ont d’ailleurs révélé la dépendance des systémiers et équipementiers américains envers des fournisseurs de composants asiatiques et chinois, en particulier (US Senate). Cette internationalisation pourrait encore s’accentuer avec le recours à des technologies de stockage (cloud), de traitement et d’analyse de l’information (big data, intelligence artificielle) et d’interfaces homme-machine (assistants vocaux, réalité virtuelle/mixte/augmentée) sans doute davantage structurées et rythmées par leurs applications et débouchés civils (santé, automobile, par exemple) que militaires, et à une échelle plus globale que nationale. Indépendamment de ces nouvelles ruptures, les évolutions de la filière navale française au cours des dernières décennies, révèlent bien la difficulté croissante à maintenir des sources d’approvisionnement au niveau national. En témoignent l’intégration de turbines à gaz de General Electric - Avio (Etats-Unis et Italie), de moteurs diesels MTU (Allemagne), ainsi que le rachat du groupe Pielstick par Man (Allemagne). Cette internationalisation progressive de la filière « propulsion » dépasse d’ailleurs le cas des frégates et concerne plus marginalement la propulsion nucléaire (rachat de Thermodyn par General Electric). Même si les rachats d’entreprises françaises n’engendrent pas immédiatement une internationalisation de la chaîne de valeur, ils se traduisent souvent par la recherche de synergies de coûts et d’investissements pour supprimer les redondances et passent notamment par une spécialisation des sites et davantage d’échanges internationaux en intragroupe. A moyen terme, ces rachats tendent donc à renforcer le recours à des savoir-faire ou composants étrangers et favorisent ainsi l’internationalisation de la chaîne de valeur. Face à ces différentes évolutions (politiques d’acquisition, innovations technologiques, consolidations sectorielles), les entreprises de défense adoptent des stratégies d’internationalisation assez différentes et qui conduisent à des degrés d’internationalisation des chaînes de valeur très variables". https://www.frstrategie.org/publications/defense-et-industries/l-internationalisation-des-chaines-de-valeur-dans-l-industrie-de-defense-le-cas-du-naval-12-3 -
Oui , j'ai trouve le lien dans une publication GICAN qu'on m'a ft suivre hier
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https://www.frstrategie.org/publications/recherches-et-documents/propulsion-nucleaire-et-souverainete-nationale-la-question-du-porte-avions-07-2018
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Oui maquette du Richelieu en expo vente chez « Havas Antiquité » rue Ecuyère à CAEN ( rue de toute une histoire) Tout à coté une autre maquette pour jojo
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Attention , l’indisponibilité d’une ligne propulsive est à considérer et qu’avec ce qui reste on doit faire le job en dégradé sous 19 nds et qqs. En ordre de gradeur si pour une plateforme de 70000 t il faut 2 x 40 Mw aux hélices pour du 27 nds , alors pour du 19/20 nds sur une LA il faudrait "cubiquement" du 20/25 Mw . En cas d’amputation quelconque , la solution hybride devra répondre à ce besoin , et perso je verrais plutôt un montage en dispersion de sources genre tout élec en production nuk et « fossile » , plutôt que de la symétrie mécanique complète . Voir aussi que la solution nuk offre de la latitude au placement de l’ilot , à l’écart des lobes acoustiques de 150 db et des contraintes d’échappements gros débits du « fossile » , or avec de l’hybride on se contraindrait sur ce point .
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Oups !!! oui en heure merci !