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ARMEN56

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Tout ce qui a été posté par ARMEN56

  1. ET de plus près , çà donne ceci ; peinture "cramée" autour de marques oblongues ?
  2. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    Dans sa genèse n’aurait il pas subit qqes modernisations , y compris coté échappements de la propulsion ? Ces échappements cintrés devaient être la marque des PA Nippons , cf remarquablissime descriptif et illustrations du Shokaku dans LOS N°19. Des dispositions constructives et consignes devaient probablement éviter aux tribordais un faciès de « gueules noires » , je pense aux servants des tourelles, de plus les aspirations d’air neuf des hangars et locaux vie devaient se situer sur bâbord avec refoulement air vicié sur tribord . dsolé pour cette escapade HS , je recolle , je recolle ...... En tout cas avec du nuk CdG , on a pas cette problématique d’aérologie des gaz d’échappement
  3. Des récents liens ci-dessous on comprend que placer une antenne sous les tubes lance-torpilles l’expose moins au bruit ambiant et au bruit propre Alors dans le peu de volume qui reste je pense qu’il semble plus facile d’y intégrer une antenne cylindrique que sphérique …. https://www.udt-global.com/__media/libraries/platform-design/51---Honore-&-Lozach-Slides.pdf https://www.udt-global.com/__media/libraries/platform-design/51---Edouard-Honore-Paper.pdf
  4. Clichés un peu plus nets La brèche est visiblement encore plus petite ( se repérer par rapport à hauteur du bastingage 1.2 m je crois) Alors patchs de peinture à gauche plutôt ? , le petit trou circulaire à droite doit correspondre au débouché d’un dalot Sinon , ceci … Y a plus qu’à relever les empruntes https://www.theguardian.com/world/2019/jun/18/method-attack-tankers-remains-key-evidence-against-iran
  5. Le profil du thon ALBACORE ( forme ellipsoide ) est lié à la couche limites et la transition entre les écoulements laminaires et le turbulents , on en parle ici http://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.172.1954&rep=rep1&type=pdf La forme avant de BARRACUDA présente une dissymétrie imposée par l’intégration de l’antenne cylindrique
  6. Pour info la teneur en soufre du gazole marine national - F76 code OTAN, était de 0.2 % suivant norme début année 2000.
  7. Cas des attaques du 12 mai à FUJAIRAH Navires concernés Dégâts ; plus ou moins importants selon que localisation de l’impact - en partie arrière - petite brèche- dans structure coque bien maillée et renforcée ICE cas du A Victory - plein bordé - grande brèche- dans un partie moins renforcée mme si double coques des tanker et chimiquiers ; cas des Al Marzoqah, Amjad et A Michel Tailles des brèches approximées selon images probablement provoquées par les charges de contact sous marine A Victory = 6 x 3 m Al Marzoqah , trou moyen de 5 m Amjad , trou moyen 15 m A Michel, trou moyen 8 m https://www.khaleejtimes.com/news/general/uae-probe-of-tanker-attacks-points-to-state-actor Ces brèches de coque sont le fait du collapse de la bulle primaire dont le diamètre de la sphère dépend de la charge TNT, de la distance donc du facteur de choc ; le type de structure renforcée ou pas est bien sûr en rapport également ; cf page 17 du lien « Principal types of hulk damage and response » on parle de trou de 9 à 15 m . https://apps.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/268905.pdf Cas des attaques du 13 juin Kokuna Curageous ; C’est pas très net mais on devine cependant impact au dessus de la surface et faible brèche par rapport à celles observables lors attaque sous marine à FUJAIRAH dont haute probabilité mines . Alors ici pourquoi des mines au dessus de la surface, alors qu’en dessous de la surface à FUJAIRAH . Par ailleurs si éclats , alors possible projectiles balistiques , roquette ……etc sinon statistiques attaques ( missiles, mines , vedette suicides ….. ) des navires mili
  8. ARMEN56

    Marina militare

    Quelques gros plans objet du lien de G55 . Les bordés sont bien lissés je trouve , en tout cas on ne retrouve plus les fameux caches dalots qui marquaient bien la flottaison des FREMM IT . En revanche sur l’arrière on observe cependant des bittes d’amarrage encastrées pas très SER . SER ? un coup d’œil sur les vues extérieures du top side marquée de nombreux protubérances et appendices divers pose question sur ce niveau d’exigence …. Loupe sur les grands projets dont PPA http://www.nsweek.com/wp-content/uploads/2016/07/10.-Parapetto_Presentazione-NAPOLI_30_06-compressed.pdf
  9. https://www.meta-defense.fr/2019/06/14/une-video-met-en-cause-liran-dans-lattaque-des-2-petroliers-dans-le-detroit-dormuz/
  10. Je n'avais pas vu BAH je continu ici Dans les années 70/80 nous avions une excellente représentation française sur le diesel tout segment de puissance - BAUDOUIN , POYAUD faible puissance è prop petite barcasse et GE - SACM MGO AGO moyenne puissance 1000 à 1500 rpm è prop moyenne barcasse et frégate , GE - SEMT PIELSTICK ; forte puissance 500/1000/1500 rpm è tout prop frégates , tcd , pr et GE soum Et y compris les TAG puisque nous avions marinisé un turbo Atar 8 snecma pour l’intégrer à l’AE Balny . Aujourd’hui nos sommes bq moins représentatif en générateur prop marine c’est clair, et je ne vais pas refaire le film en me faisant ni une pleureuse ni un procureur de l’histoire ( en réaction à ce qu'on peut lire sur certains forums...) Pour revenir à la propulsion des GWD . Le déplacement et la vitesse donnent la puissance à installer , les différentes exigences de stabilité et de vulnérabilité donnent le compartimentage bref notre corvette Gwind EAU est bouclée sur ces gros postes . Pour ce qui est de la prop , je ne sais pas dire si c’est un CODAD Malaisie ou un CODLAD Egypte qui tous deux ont des MTU différents ; - Pour Egypte 2 x MTU 20V8000 de 10 Mw à 1100 rpm - Pour Malaisie 4 x MTU 20V1163TB93 de 7.4 Mw à 1300 rpm Alors remplacer un moteur par un autre en cours d’étude c’est gérable à CONDITION pour le substitut de rester dans les équivalences acceptables ; dimensions /puissance/masse /rpm ce afin de conserver la cinématique , réducteur , ligne d’arbre , hélice…ET dans le secteur motoristes ( hors Allemagne) existant on n’a pas tant que çà de solution répondant à la « fenêtre » technique précitée. Pour le projet DELTA nous avions les alternatives PIELSTICK * 20V PA6STC à 1050 rpm ou MTU 20V8000 à 1100 rpm , à signaler que MTU fournit aussi les GE. (*) Pielstick aujourd’hui MAN d'autres Wartsilae ? pas sûr , faut voir …. ABC ? pas sûr , faut voir …. Mak ? pas sûr , faut voir…. PIS moteurs X, Y ou Z ...... l'injection est allemande
  11. je poursuis ...... Les Émirats arabes unis ont signé la commande de deux corvettes Gowind auprès du français Naval Group « Seulement, le souci est que le système de propulsion de cette corvette est fourni par l’allemand MTU… Ce qui pourrait donner à nouveau lieu à des complications avec Berlin, qui a récemment prolongé son embargo sur les équipements militaires destinés aux pays impliqués dans la guerre au Yémen. » http://www.opex360.com/2019/06/11/les-emirats-arabes-unis-ont-signe-la-commande-de-deux-corvettes-gowind-aupres-de-naval-group/ bonne nouvelle donc , et pour le reste on verra .......avec en creux la problématique de l’internationalisation "De nombreuses dynamiques technologiques et industrielles concourent à une internationalisation accrue. En premier lieu, l’évolution des besoins militaires nécessite de développer et d’intégrer des technologies qu’il est de plus en plus difficile de maîtriser à l’échelle nationale. L’avènement de la guerre en réseau (network-centric warfare) qui implique d’échanger des informations entre différents systèmes et plateformes pour établir et partager la situation tactique, voire engager des cibles (Cooperative Engagement Capability), ne fait qu’accroître la part des technologies de l’information et de la communication dans les systèmes militaires. Or ces technologies électroniques et numériques sont justement celles dont les chaînes de valeur sont habituellement les plus internationalisées (données OCDE). Plusieurs rapports américains ont d’ailleurs révélé la dépendance des systémiers et équipementiers américains envers des fournisseurs de composants asiatiques et chinois, en particulier (US Senate). Cette internationalisation pourrait encore s’accentuer avec le recours à des technologies de stockage (cloud), de traitement et d’analyse de l’information (big data, intelligence artificielle) et d’interfaces homme-machine (assistants vocaux, réalité virtuelle/mixte/augmentée) sans doute davantage structurées et rythmées par leurs applications et débouchés civils (santé, automobile, par exemple) que militaires, et à une échelle plus globale que nationale. Indépendamment de ces nouvelles ruptures, les évolutions de la filière navale française au cours des dernières décennies, révèlent bien la difficulté croissante à maintenir des sources d’approvisionnement au niveau national. En témoignent l’intégration de turbines à gaz de General Electric - Avio (Etats-Unis et Italie), de moteurs diesels MTU (Allemagne), ainsi que le rachat du groupe Pielstick par Man (Allemagne). Cette internationalisation progressive de la filière « propulsion » dépasse d’ailleurs le cas des frégates et concerne plus marginalement la propulsion nucléaire (rachat de Thermodyn par General Electric). Même si les rachats d’entreprises françaises n’engendrent pas immédiatement une internationalisation de la chaîne de valeur, ils se traduisent souvent par la recherche de synergies de coûts et d’investissements pour supprimer les redondances et passent notamment par une spécialisation des sites et davantage d’échanges internationaux en intragroupe. A moyen terme, ces rachats tendent donc à renforcer le recours à des savoir-faire ou composants étrangers et favorisent ainsi l’internationalisation de la chaîne de valeur. Face à ces différentes évolutions (politiques d’acquisition, innovations technologiques, consolidations sectorielles), les entreprises de défense adoptent des stratégies d’internationalisation assez différentes et qui conduisent à des degrés d’internationalisation des chaînes de valeur très variables". https://www.frstrategie.org/publications/defense-et-industries/l-internationalisation-des-chaines-de-valeur-dans-l-industrie-de-defense-le-cas-du-naval-12-3
  12. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    Oui , j'ai trouve le lien dans une publication GICAN qu'on m'a ft suivre hier
  13. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    https://www.frstrategie.org/publications/recherches-et-documents/propulsion-nucleaire-et-souverainete-nationale-la-question-du-porte-avions-07-2018
  14. ARMEN56

    Navy quiz

    Oui maquette du Richelieu en expo vente chez « Havas Antiquité » rue Ecuyère à CAEN ( rue de toute une histoire) Tout à coté une autre maquette pour jojo
  15. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    Attention , l’indisponibilité d’une ligne propulsive est à considérer et qu’avec ce qui reste on doit faire le job en dégradé sous 19 nds et qqs. En ordre de gradeur si pour une plateforme de 70000 t il faut 2 x 40 Mw aux hélices pour du 27 nds , alors pour du 19/20 nds sur une LA il faudrait "cubiquement" du 20/25 Mw . En cas d’amputation quelconque , la solution hybride devra répondre à ce besoin , et perso je verrais plutôt un montage en dispersion de sources genre tout élec en production nuk et « fossile » , plutôt que de la symétrie mécanique complète . Voir aussi que la solution nuk offre de la latitude au placement de l’ilot , à l’écart des lobes acoustiques de 150 db et des contraintes d’échappements gros débits du « fossile » , or avec de l’hybride on se contraindrait sur ce point .
  16. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    Oups !!! oui en heure merci !
  17. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    « Évidemment, une taille plus importante signifie aussi une masse plus imposante. Ce qui pose la question du mode de propulsion. Étant donné qu’un porte-avions comme le Clemenceau consommait jusqu’à 800 tonnes de carburant par jour [pour un déplacement de 33.000 tonnes] » CVF/PA2 non nuk est bouclé dans les tiroirs depuis plus de 10 ans à 75000 tonnes. Alors qu’on ne se réveille pas aujourd’hui euréka il nous faut un plus gros que le CdG . Conso CLEM dépendait des allures ; à 32 nds l’ancien consommait 40 t /j 40t/h en activité avia haute . Avec un soutage de 4000 tonnes , un ram mazout s’imposait ts les 4/5 jours . « la propulsion nucléaire s’impose » Mais ce type de donnée avait été examinée de très près lors PA2 CVF non nuk , ainsi au format de 75000 tonnes , fallait plus de 5000 tonnes de GO conduisant à des autonomies de 7 jours ou le double selon activité avia , les ram s’effectuant avec des pompes au débit de 680 m3/h et toussa n'était pas rédhibitoire mais ok le monde change "Actuellement, le porte-avions Charles de Gaulle compte deux chaufferies nucléaires K-15 développant chacune une puissance de 150 MW [contre 700 MW pour chacun des deux réacteurs A1B des porte-avions américains de la classe Gerald Ford…" confusion entre puissance nuk et le nécessaire besoin de puissance aux hélices qui au neuvage était de 2 x 28 Mw et une conso vapeur aux turbines presque 200 t/h Pour le reste ; oui des questions sur la simultanéité opérationnelle et l'impact emals
  18. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    Arrch !! EELV ont fait plus 17 % à ST NAZ ……
  19. Trouvé ce lien évoquant un contrat prévu à cet effet https://centraledesmarches.com/marches-publics/detail-topdf/Bagneux-dga-sca-92-deploiement-de-bossoirs-de-nouvelle-generation-permettant-la-mise-en-oeuvre-de-deux-nouvelles-embarcations-ecume-ng-edo-ng-sur-les-fregates-de-surveillance-de-la-Marine-Nationale-a-Bagneux/1395593?mar_arch_id=1457171 Ceci dit ECUME non qualifié ( pour l’instant ?) FS ne me surprendrait pas vu la hauteur de l’affalage > 10 m . Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’écrire ici , le design tassé en longueur des FS imposait un bau de 14 m , un tirant d’air assez important et donc un dispositif bossoir d’ETN haut plein milieu . Bossoir d’origine ACEBI bi-bras spécifié marmar (*) revu et corrigé en fin de programme, pas facile d’affaler vu cette hauteur et le synchronisme des bras Avec un monobras et une barcasse de 6 tonnes proche de 10 m long , sais pas ce que çà pourrait donner une mise à l’eau safety en SST5 voire plus. (*) très faible usage annuel , drome de sauvetage Pour nos nouvelles unités classe Seine et Dumont ….projets dont gestation une dizaine d’années , il été prévu des ECUMEs en pontée et manip par grue. Maintenant des bossoirs dédiés parce qu’opérationnellement plus rapide j’imagine. Alors sur le nouveau Dumont on a un petit PALFINGER sur bd et un gros sur Td qui pourrait être un NPDS 6000H avec niche relativement basse cohérente en enveloppe avec de l’ECUME et dont vitesse de hissage semble adaptée à l’approche dynamique car vmax de 48 m/mn ou 0.8m/s ( c’est qd mme bq ) > à 0.36 m/s http://www.duwelgroup.com/sites/306/content/docs/Palfinger/ProductCatalogue2017.pdf
  20. Beaucoup de navires WW2 conçus « state of art » mériteraient la palme dont les cuirassés Nippons Yamato , US type BB, Allemand Bismark …., nos Strasbourg et Dunkerque bien sûr. Ceci dit mon ADN ( double hélices) va pour nos contre torpilleurs dont le MOGADOR ; sa propulsion , sa vitesse et son design ayant relancé le style de nos escorteurs d’après guerre. Dans ce flotteur ont y trouvait les coups de patte ou de génie de nos ; Joessel, Le Besnerais, Barillon, Bertin , Pommelet et autres illustres ingénieurs concepteurs de notre flotte d’alors https://fr.wikipedia.org/wiki/Mogador_(contre-torpilleur)
  21. sans doute ceci dit c'est un peu déboussolant car le cliché plus haut semble avoir été pris sur VENDEMIAIRE https://www.colsbleus.fr/articles/9677 donc 2 ECUMES en ponté et un sur bossoir
  22. D’autant que d’origine il était spécifié un stockage ECUME sur ber en pontée et manip par grue ….. Extrait article MM « Projection d’une force armée et opérations spéciales Les B2M sont, aussi, conçus pour la projection « intra-théâtre » d’une petite force avec son matériel (l’armement pouvant être stocké dans la vaste soute à munitions) et ses véhicules légers. Il peut s’agir d’un détachement de l’armée de Terre ou d’un renfort de gendarmes, par exemple dans le cadre d’une opération de maintien de l’ordre suite à des troubles sur une île. Mais ils pourront aussi servir de support aux opérations spéciales. Lors des expérimentations menées à Brest cet hiver, le pont du D’Entrecasteaux a été qualifié pour pouvoir accueillir trois ECUME (manutentionnées avec la grue). En cas de besoin, les nouvelles embarcations de 9 mètres des commandos marine et leur personnel pourraient rejoindre un B2M déployé Outre-mer par avion de transport et être récupérés en mer suite à un aéro-largage » Pareil pour BSAH dont extrait programme focntionnel ( Ber de stockage pour l’accueil en pontée de l'embarcation ECUME NG (hors bossoirs)
  23. Eau très turbide , en principe on est sur prise d'eau de mer haute de la traverse . Le sondeur indique quels niveaux de profondeur sur ce parcours EDIT . ; n'avais pas lu l'article ok
  24. Epaisseur de blindage selon formule Jacob de Marre et d’autres ainsi que pénétration dureté on en parle ici http://dl.booktolearn.com/ebooks2/engineering/mechanical/9781482238297_armour.pdf L’acier de blindage ARMOX 500 a une dureté de 500 Brinell https://www.oblibene.com/userdata/shopimg/gamaocel/file/datasheet/armox/Data_sheet_195_Armox_500T_2016-04-22_49_371857150_en.pdf comparatif autres matériaux dont alliage titane et alu 7075 Les céramiques c’est 1500/2000 Brinell
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