Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Wallaby

Members
  • Compteur de contenus

    23 932
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    67

Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/05/19/joe-biden-revele-qu-il-est-atteint-d-un-cancer-de-la-prostate-en-pleine-relance-du-debat-sur-son-etat-de-sante-a-la-maison-blanche_6606980_3210.html Tandis que l’administration Trump et ses relais conservateurs prétendent depuis des années que la dissimulation de sa condition réelle a relevé d’une conspiration, avec la complicité des médias classiques, un livre enquête relance cette accusation. Rédigé par le présentateur de la chaîne CNN Jack Tapper et Alex Thompson, un journaliste du site Axios, Original Sin (« Péché originel ») revient sur la façon dont l’entourage de Joe Biden n’a pas tenté de le dissuader de se représenter, en 2023, puis l’a placé dans un cocon protecteur. Ce même soir, vendredi, un extrait audio de l’audition de Joe Biden menée en 2023 par le procureur spécial Robert Hur, révélé par Axios, a confirmé de façon glaçante ses pertes de mémoire sur des faits et des dates pourtant essentiels. Par exemple, le sort de son fils Beau, mort d’un cancer en 2015. Au terme de son enquête sur la gestion des documents classifiés retrouvés notamment au domicile de Joe Biden, le procureur Hur n’avait pas retenu de charges contre lui. Mais il avait qualifié le président de l’époque « d’homme âgé, sympathique et voulant bien faire, avec une mauvaise mémoire ». La Maison Blanche avait alors attaqué le magistrat pour ses commentaires supposément inappropriés et politiques. https://www.bbc.com/news/articles/c9q047dgvyno (17 mai 2025) Le président de l'époque avait répliqué en insistant sur le fait que « ma mémoire est bonne ». Un nouveau livre affirme que la Maison-Blanche a dissimulé l'état de santé de M. Biden, qui aurait été si mauvais l'année dernière que des collaborateurs ont envisagé de le placer dans un fauteuil roulant. Il était également incapable de reconnaître l'acteur hollywoodien George Clooney ou de se souvenir des noms de ses principaux collaborateurs, selon Original Sin, de Jake Tapper et Alex Thompson. https://www.axios.com/2025/05/16/biden-hur-tape-special-counsel-audio Les nouveaux enregistrements de Biden, qui montrent qu'il a du mal à se souvenir de ces détails, tout en marmonnant et en bafouillant parfois, expliquent pourquoi la Maison Blanche a refusé de les publier l'année dernière, alors que des questions sur son acuité mentale se posaient de plus en plus. L'enregistrement semble également valider l'affirmation de Hur selon laquelle les jurés d'un procès auraient probablement considéré Biden comme « un homme âgé sympathique, bien intentionné et doté d'une mauvaise mémoire ». C'est en partie sur cette base que Hur a décidé de ne pas poursuivre Biden pour possession indue de documents classifiés, ce qui a suscité la colère des républicains, car Trump faisait alors l'objet de poursuites dans le cadre de son propre scandale de documents classifiés. Les démocrates et la Maison Blanche de Biden ont critiqué Hur pour ses observations sur Biden. Ils ont insisté à maintes reprises sur le fait qu'il était « incisif » et que Hur avait des motivations politiques. Mais l'audio des plus de cinq heures d'entretien indique que lui et son co-instructeur Marc Krickbaum étaient respectueux et amicaux. Les avocats ont dû rappeler à Biden l'année de la mort de son fils Beau (2015) [1] et la date de la première élection de Trump (2016). Le tic-tac d'une horloge grand-père dans la salle des cartes de la Maison-Blanche, où se sont déroulés les entretiens, est également capté dans l'audio. Il ajoute une mesure métronomique au discours hésitant de Biden - en particulier lorsqu'il décrit son livre, Promise Me, Dad, sur la mort de Beau d'un cancer du cerveau à l'âge de 46 ans. [1] https://www.axios.com/2025/05/17/biden-hur-tape-special-counsel-beau-death À un moment donné, il demande : « Était-ce en 2015 qu'il est mort ? ». Robert Hur : Donc, à l'époque où vous viviez à Chain Bridge Road et où il y avait des documents relatifs au Centre Penn Biden, à l'Institut Biden, au Cancer Moonshot ou à votre livre, où conserviez-vous les documents relatifs à ces choses sur lesquelles vous travailliez activement ? Le Président Biden : Eh bien, euh... Je, je, je, je, je ne sais pas. C'est, quoi, 2017, 2018, cette zone ? Hur : Oui, monsieur le président. Biden : N'oubliez pas qu'à cette époque, mon fils a été déployé ou est en train de mourir, et c'était donc le cas, et d'ailleurs, à l'époque où j'ai quitté le Sénat, beaucoup de gens m'encourageaient encore à me présenter à cette période, à l'exception du président. Je ne suis pas - et ce n'est pas par méchanceté. Il pensait simplement qu'elle [Hillary Clinton] avait plus de chances que moi de remporter la présidence. Et donc je n'avais pas, je n'avais pas, à ce stade - même si je suis à l'université de Pennsylvanie, je n'avais pas abandonné l'idée que je pourrais me présenter à nouveau aux élections. Mais si je me représentais, je me présenterais à la présidence. Et, et donc ce qui se passait, c'est que - en quel mois Beau est-il mort ? Oh... mon Dieu, le 30 mai... Rachel Cotton (conseillère de Biden à la Maison Blanche) : 2015. Intervenant non identifié : 2015. Biden : C'est en 2015 qu'il est mort ? Intervenant non identifié : C'était en mai 2015. Biden : C'était en 2015. Bob Bauer (avocat personnel de Biden) : Ou je ne suis pas sûr du mois, monsieur le président, mais je pense que c'était l'année. Marc Krickbaum (conseiller spécial adjoint) : C'est exact, monsieur le président. Je ... Biden : Et ce qui s'est passé entre-temps, c'est que - et Trump a été élu en novembre 2017 ? Intervenant non identifié : 2016. Intervenant non identifié : 16. Biden : 16, 2016. D'accord, alors - pourquoi ai-je 2017 ici ? Ed Siskel (conseiller de Biden à la Maison Blanche) : C'est quand vous avez quitté vos fonctions, en janvier 2017. Biden : Oui, d'accord. Mais c'est quand Trump a prêté serment, en janvier. Siskel : C'est vrai. Bauer : Oui, c'est exact. Biden : D'accord, oui. Et en 2017, Beau est décédé et - c'est personnel - la genèse du livre et du titre « Promise Me, Dad » était un - je sais que vous êtes tous... proches de vos fils et de vos filles, mais Beau était comme mon bras droit et Hunt était mon bras gauche. Ils avaient un an et un jour d'écart et ils pouvaient finir les phrases l'un de l'autre, et Beau, j'avais l'habitude de rentrer à la maison en train, et pendant la période où j'étais encore au Sénat - de toute façon. Il y avait de la pression - pas de la pression. Beau savait à quel point je l'adorais, et je sais que cela semble - peut-être cela semble-t-il - que tout le monde savait à quel point nous étions proches. Il n'y avait personne au monde qui se demandait si oui ou non - de toute façon. Et donc... Hur : Monsieur, je me demande si c'est le bon moment pour faire une petite pause. Est-ce que ce serait .... ? Biden : Non, je... laissez-moi juste continuer pour que ce soit fait.
  2. [au début des années 1980] De temps en temps, je me rendais aussi à des manifestations, par exemple les « messes blues » avec Rainer Eppelmann, qui était pasteur à l’église des Samaritains à Friedrichshain et que je connaissais de loin par le collège pastoral de mon père. Les questions de paix et d’environnement y tenaient une place primordiale. J’y étais toutefois en minorité, parce que je pensais, à titre personnel, que l’équipement de l’Union soviétique en fusées SS20 aurait mérité une réponse de l’Ouest, et que je ne considérais pas non plus par la suite l’accident du réacteur de Tchernobyl comme un échec systémique de l’énergie nucléaire mais uniquement comme une conséquence de l’incurie soviétique. Angela Merkel, Liberté, Albin Michel 2024, p.97
  3. Je partis ainsi encadrer les enfants des collaborateurs dans le centre de vacances de l’Académie à Juliusruh, sur l’île de Rügen, et participai à un stage de russe de trois semaines en Union soviétique. Cette langue continuait à m’intéresser, mais dans le domaine scientifique, je n’avais guère d’occasions de la parler : ici, l’anglais était prédominant. Je ne peux malheureusement plus dire à quelle date précise se déroula ce stage, je me rappelle juste que c’était au début des années 1980. Ce que je n’ai pas oublié, c’est qu’il eut lieu à Donetsk, une ville située au cœur du bassin minier du Donbass, en Ukraine orientale, occupée par la Russie depuis 2014. Je me liai d’amitié avec l’un des participants. En 1983, sac au dos, avec sa compagne et lui, je partis visiter la Géorgie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan – un périple inoubliable. À l’époque, j’absorbais comme une éponge tout ce qui pouvait élargir mon horizon au-delà de la RDA, même si cette curiosité et cet appétit de savoir ne m’aidèrent pas à terminer rapidement ma thèse de doctorat. Angela Merkel, Liberté, Albin Michel 2024, p.92
  4. https://www.lavie.fr/christianisme/eglise/paix-justice-verite-le-premier-discours-du-pape-leon-xiv-au-corps-diplomatique-en-integralite-99589.php (16 mai 2025) Premier discours du pape Léon XIV au corps diplomatique en intégralité Je voudrais également vous exprimer ma gratitude pour les nombreux messages de vœux qui ont suivi mon élection, ainsi que pour les messages de condoléances au décès du Pape François provenant aussi de pays avec lesquels le Saint-Siège n’entretient pas de relations diplomatiques. Il [le Saint-Siège] combat toute indifférence et rappelle sans cesse les consciences, comme l’a fait inlassablement mon vénérable prédécesseur, toujours attentif au cri des pauvres, des nécessiteux et des marginalisés, mais aussi aux défis qui marquent notre temps, depuis la sauvegarde de la création jusqu’à l’intelligence artificielle. D’une certaine manière, mon expérience de vie, qui s’est déroulée entre l’Amérique du Nord, l’Amérique du Sud et l’Europe, est représentative de cette aspiration à dépasser les frontières pour rencontrer des personnes et des cultures différentes. La paix se construit dans le cœur et à partir du cœur, en déracinant l’orgueil et les revendications, et en mesurant son langage, car on peut blesser et tuer aussi par des mots, pas seulement par des armes. Il est nécessaire de redonner un souffle à la diplomatie multilatérale et aux institutions internationales. Comme le rappelait le pape François dans son dernier Message Urbi et Orbi, « aucune paix n’est possible sans véritable désarmement [et] le besoin de chaque peuple de pourvoir à sa propre défense ne peut se transformer en une course générale au réarmement ». Le Saint-Siège ne peut s’empêcher de faire entendre sa voix face aux nombreux déséquilibres et injustices qui conduisent, entre autres, à des conditions de travail indignes et à des sociétés de plus en plus fragmentées et conflictuelles. Il faut également s’efforcer de remédier aux inégalités mondiales. Ainsi, la vérité ne nous éloigne pas, mais au contraire elle nous permet d’affronter avec plus de vigueur les défis de notre temps comme les migrations, l’utilisation éthique de l’intelligence artificielle et la sauvegarde de notre Terre bien-aimée. Un monde dans lequel chacun pourra réaliser son humanité dans la vérité, dans la justice et dans la paix. Je souhaite que cela puisse se réaliser dans tous les contextes, à commencer par les plus éprouvés, comme celui de l’Ukraine et de la Terre Sainte.
  5. https://desk-russie.eu/2025/02/10/pourquoi-etre-anti-poutine.html Par exemple, Kerstin Holm, correspondante culturelle de longue date du Frankfurter Allgemeine Zeitung à Moscou, voit en Navalny une « personnalité d’une curiosité, d’une capacité d’apprentissage et d’une créativité extraordinaires, qui a très tôt cherché à échanger avec des personnes en dehors de sa bulle (comme les nationalistes, ce pour quoi de nombreux démocrates l’ont critiqué) ». Cette dernière affirmation est tout simplement erronée. Navalny n’a pas cherché à dialoguer avec les nationalistes ; il était lui-même nationaliste et ne l’a jamais caché. Même s’il ne faisait pas partie de la scène militante organisée d’extrême droite, Navalny a attiré l’attention par des déclarations racistes extrémistes, en particulier au début de sa biographie politique. Un exemple est une vidéo publiée par le Mouvement de libération nationale russe en 2007, dans laquelle Navalny, un « nationaliste certifié » autoproclamé, traite les personnes non blanches, qualifiées d’ « étrangères » et de musulmanes dans la vidéo, de « mouches et de cafards », avant de « tirer » sur l’une d’entre elles. Dans l’Ostcast de l’hebdomadaire Die Zeit, les experts sur l’Europe de l’Est Alice Bota et Michael Thumann ont qualifié la vidéo, qui utilise un langage (image) de type fasciste, de « demi-plaisanterie » ou de « gag » et ont souligné que de telles déclarations étaient limitées à cette phase de la vie de Navalny. Il est sans aucun doute vrai qu’une évolution peut être observée dans la biographie de Navalny, en ce sens qu’il a fait de la lutte contre la corruption en Russie son thème principal. Mais il a continué à se considérer comme un nationaliste. Il a simplement atténué son ton au fil du temps, mais les revendications anti-migrants et la rhétorique xénophobe ont continué à faire partie de son programme politique, que ce soit en tant que candidat aux élections municipales de Moscou en 2013 ou dans sa tentative (infructueuse) d’être désigné comme candidat à la présidence en 2018. Il n’a jamais pris la moindre distance par rapport à ses déclarations les plus inhumaines. Il s’agissait d’une décision délibérée de la part d’un homme qui se considérait comme l’antithèse de Vladimir Poutine et qui voulait devenir président de la Russie. Comme le dit l’historienne Kimberly St. Julian-Varnon dans sa nécrologie de Navalny, « la Russie future de Navalny n’incluait pas tout le monde ».
  6. https://www.politico.eu/article/george-simion-romania-presidential-election-profile-ukraine/ (15 mai 2025) M. Simion s'efforce rapidement de dissiper les craintes qu'il fasse tanguer le bateau. Il insiste sur le fait qu'il sera un dirigeant pro-UE et pro-OTAN, plus directement aligné sur le Premier ministre italien Giorgia Meloni - une droitière pro-Ukraine - que sur Orbán ou Fico. Il présente son alliance avec le mouvement MAGA de Donald Trump comme un moyen de maintenir l'engagement des troupes américaines en Roumanie. Selon le sondage des sondages de Politico, il n'a que 3 points de pourcentage d'avance sur Dan à l'approche de la dernière ligne droite. L'AUR - et en particulier Simion - s'est fait connaître en 2019 lors de conflits houleux concernant des tombes militaires dans le village de Valea Uzului en Roumanie, où de nombreux soldats hongrois sont enterrés. « Les Hongrois ont été battus, et les tombes ont été profanées... Depuis lors, ils attaquent notre peuple, notre région et nos écoles chaque semaine », a déclaré à Politico Botond Csoma, porte-parole et chef du groupe parlementaire de l'Alliance démocratique des Hongrois de Roumanie.
  7. https://responsiblestatecraft.org/trump-greenland-2671938452/ (13 mai 2025) Selon un article paru la semaine dernière dans le Wall Street Journal, la directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, a demandé aux agences de renseignement américaines d'accroître la collecte d'informations sur le Groenland. Le gouvernement danois a convoqué l'ambassadeur des États-Unis à Copenhague pour lui demander des explications. Le premier ministre nouvellement élu du Groenland, Jens-Frederik Nielsen, a déclaré que la collecte de renseignements signalée était « totalement inacceptable », « tout à fait anormale » et « irrespectueuse à l'égard d'un allié ». En bref, il est difficile d'imaginer quoi que ce soit au Groenland qui servirait la sécurité ou les intérêts économiques des États-Unis que les États-Unis ne peuvent pas déjà obtenir, simplement en travaillant harmonieusement avec les Danois et les Groenlandais. L'acquisition de la souveraineté américaine sur l'île ne servirait pas mieux ces intérêts. Un récent sondage a montré que 85 % des Groenlandais sont opposés au rattachement aux États-Unis. Le premier ministre groenlandais, avant les élections du mois dernier dans le territoire, a reflété ce sentiment en déclarant « nous ne voulons pas être américains ».
  8. Tiens, tout d'un coup la paix n'est plus un gros mot : https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/4153575-20250515-direct-guerre-ukraine-russes-ukrainiens-attendus-istanbul-poutine 20h18 Emmanuel Macron a parlé paix en Ukraine et à Gaza avec Léon XIV Emmanuel Macron a indiqué jeudi avoir « échangé pour la première fois avec le pape Léon XIV » par téléphone, avec lequel il a « abordé les efforts à mener pour faire taire les armes partout où les conflits sévissent dans le monde, en particulier pour une paix solide et durable en Ukraine et à Gaza ». Donc l'agenda "guerroyer jusqu'à ce qu'il y ait un "regime change" à Moscou et que la Russie devienne la "Suisse" de l'Eurasie" n'est plus à l'ordre du jour. Oder ?
  9. https://fr.wikipedia.org/wiki/Place_Rouge Le nom de la place ne vient ni de la couleur des briques rouges environnantes ni du lien entre cette couleur et le communisme. Une traduction plus exacte de son nom russe serait la « Belle Place » : en russe ancien krasny (красный/-ая) signifie à la fois rouge et beau et doit ici être compris dans ce dernier sens, aujourd'hui archaïque (beau devient krassivy (красивый/-ая) en russe moderne)[1]. L'adjectif fut d'abord appliqué à la basilique de Basile-le-Bienheureux, la place elle-même étant alors appelée Pojar (en russe de l'incendie) jusqu'au XVIIe siècle, en référence au fait que sa création résulte de l'incendie qui ravage Moscou en 1493, Ivan III décidant alors pour prévenir tout nouvel incendie de faire détruire les nombreuses constructions de bois situées sur ce qui allait devenir la place Rouge. Plusieurs anciennes villes russes, comme Souzdal, Ielets, et Pereslavl-Zalesski, ont aussi leur « place Rouge ». https://en.wikipedia.org/wiki/Red_Square#Origin_and_name Les places principales des villes russes, comme celles de Suzdal, Yelets et Pereslavl-Zalessky, sont souvent appelées Krasnaya ploshchad, ou Belle Place. Archaïquement, le mot russe красная (krasnaya) signifiait « beau », mais il signifie aujourd'hui « rouge ». Le mot actuel pour « beau » est красивая (krasivaya), qui en est dérivé. À Moscou, le nom de Place Rouge désignait à l'origine le petit espace situé entre la cathédrale Saint-Basile, la tour Spasskaïa du Kremlin et la plate-forme du héraut Lobnoye Mesto. Le tsar Alexei Mikhailovich [1629-1676] a officiellement étendu le nom à l'ensemble de la place, qui s'appelait auparavant Pozhar, ou « place brûlée », en raison de l'incendie des précédents bâtiments qui occupaient le site.
  10. Citant Yaroslav Trofimov : Medinsky a été jusqu'à demander que les noms de rues nommées d'après les héros nationaux ukrainiens hostiles à la Russie retournent à leur ancien nom soviétique. Il y a un vrai problème. Je rappelle l'intervention d'Arno Klarsfeld : En France, on célèbre certes en Napoléon un héros hostile à l'Angleterre qui est un pays voisin avec la gare d'Austerlitz ou la statue de Napoléon à Montereau-fault-Yonne. Mais les Anglais nous le rendent bien avec la gare Waterloo. Et puis cela fait plus de deux siècles et l'eau a coulé sous les ponts. Mais on n'a pas à ma connaissance d'Avenue Maréchal Pétain, ou de Place Pierre Laval. Donc c'est quand même assez bizarre ce que font les Ukrainiens.
  11. Cette vidéo, publiée le 10 mai 2025, cite des archives non datées, mais intéressantes pour le profane, dans lesquelles Yann Lecun exprime son scepticisme sur les LLM (grands modèles de langage) pour représenter le monde physique : robots, vidéos, etc. Bref le monde réel et non le monde des idées. Les LLM fonctionnent avec un dictionnaire, font de la prédiction de mots qui appartiennent à un ensemble fini de possibilités - typiquement 10 000 mots - et on ne passe pas comme ça à l'univers infini des pixels ou des positions du bras d'un robot.
  12. Le point soulevé par Bernhard Clasen ne semble pas être la judiciarisation des infractions mais la convocation "par le service secret intérieur SBU", qui ne paraît pas être l'instance normale pour traiter d'infractions d'ivresse publique.
  13. https://www.eurotopics.net/fr/338640/ukraine-opportunite-de-negociations-ou-simple-bluff Bernhard Clasen, correspondant du quotidien taz [Tageszeitung] à Kyiv, salue la disposition du gouvernement ukrainien de se rendre à Istanbul (12 mai 2025) : « Par cette décision, il fait des concessions significatives à plusieurs égards. Un certain nombre de revendications russes restent inacceptables pour l'Ukraine : elle ne peut pas faire cadeau aux Russes de villes clés comme par exemple Zaporijia, que la Russie réclame. En revanche, la demande de la Russie que l'Ukraine cesse de discriminer la langue russe est une revendication qui mérite l'attention. Il est inadmissible que des adolescents soient convoqués par le service secret intérieur SBU pour avoir écouté de la musique en russe dans la rue, comme cela s'est produit en avril à Kyiv ».
  14. https://la1ere.franceinfo.fr/nouvellecaledonie/cette-revolte-du-13-mai-on-l-attendait-depuis-longtemps-en-nouvelle-caledonie-des-jeunes-entre-colere-et-sentiment-d-exclusion-1585721.html (14 mai 2025) Ce déracinement d'une partie de la jeunesse kanak, l'anthropologue et chercheur au CNRS Benoît Trépied l'analyse dans son dernier essai Décoloniser la Kanaky-Nouvelle-Calédonie, publié en mars 2025. "Les Kanak urbains ont été un peu les oubliés des accords. À cela s’ajoute aussi un discours dominant, y compris chez les Kanak, qui tend à délégitimer le fait d’être Kanak en ville."
  15. https://www.politico.eu/article/ukraine-eu-fast-track-donald-trump-kyiv/ (12 mai 2025) C'est en 2023 que l'ancien président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a fait remarquer que l'Ukraine n'était pas prête pour l'adhésion en raison des problèmes liés à l'État de droit et à la corruption : « Quiconque a eu affaire à l'Ukraine sait que c'est un pays corrompu à tous les niveaux de la société. »
  16. https://www.eurotopics.net/fr/338648/bulgarie-le-president-s-oppose-a-l-introduction-de-l-euro (12 mai 2025) La Bulgarie pourrait intégrer la zone euro début 2026. Le 4 juin prochain, il est attendu en effet que la Commission européenne présente un rapport de convergence positif, confirmant que les critères d'adhésion ont été remplis et donnant son feu vert. Or le président bulgare, Roumen Radev, s'y oppose : il s'est dit favorable à la tenue d'un référendum, susceptible de stopper l'introduction de l'euro.
  17. Moi non plus je ne comprends pas Obama. Je ne comprends pas pourquoi Obama qui a une vision claire de l'absurdité de la guerre d'Irak, a pourtant embauché une néoconservatrice, Victoria Nuland, pour s'occuper des affaires européennes. Il y a un mystère Obama. Ma seule hypothèse, c'est qu'Obama est un homme du Pacifique, voire de l'Océan Indien, né à Hawaii, et qui a vécu en Indonésie, dont le père est Kenyan. L'Océan Atlantique et donc l'Europe est l'océan et le continent qu'il connaît le moins bien, et donc il a fait n'importe quoi, par ignorance et par négligence. On ne peut pas être bon sur tous les sujets. Le sujet sur lequel Obama a choisi d'être mauvais, le sujet sur lequel il a choisi de faire l'impasse, c'est l'Europe.
  18. Deux hommes expriment l'importance qu'ils accordent aux relations bilatérales, c'est Xi Jinping et Vladimir Poutine, qui ont passé 7 heures ! ensemble. https://asiatimes.com/2025/05/hardening-lines-signal-ukraine-peace-process-collapse/# (10 mai 2025) Bien qu'elle ait été planifiée longtemps à l'avance, la dernière rencontre de M. Poutine avec le président chinois Xi Jinping à Moscou a sans doute pris la forme d'une réponse de la Russie, puisque les deux hommes ont passé sept heures à discuter ensemble. À côté de ça, Merz choisit de bâcler à la fois sa relation avec la France et sa relation avec la Pologne, de sacrifier la substance au bénéfice de la forme, en choisissant de visiter les deux pays le même jour, bref d'exprimer un double mépris pour les deux pays en faisant une pierre deux coups. C'est très fort ! https://www.france24.com/fr/info-en-continu/20250507-merz-se-rend-en-chancelier-allemand-fragilisé-à-paris-puis-varsovie Au lendemain de son élection au forceps, Friedrich Merz a rencontré Emmanuel Macron à Paris, avant un autre déplacement prévu à Varsovie. https://www.euractiv.com/section/politics/news/germanys-merz-only-offers-poland-train-talk-after-paris-gets-defence-pledge/ (7 mai 2025) Le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz a entamé son mandat par des visites éclair à Paris et à Varsovie mercredi, dans le but de raviver l'alliance du Triangle de Weimar, longtemps en sommeil. Il est clair que la priorité de M. Merz est l'une ou l'autre de ces deux villes. Mardi, après un faux départ embarrassant de son mandat de chancelier, M. Merz a promis un conseil de défense conjoint avec le président français Emmanuel Macron. En comparaison, il n'a émis qu'un vague engagement à construire des liaisons ferroviaires avec la Pologne lors de la deuxième étape, en fin d'après-midi, d'une tournée en dents de scie. « Il était important pour moi d'être le même jour à Paris et à Varsovie », a déclaré M. Merz lors d'une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre polonais Donald Tusk. Malgré l'importance symbolique d'un voyage à Varsovie le premier jour de son mandat, rien n'indique que M. Merz souhaite faire une percée dans la capitale polonaise. [À Varsovie] Merz a promis la construction rapide d'un monument aux victimes de l'agression nazie à Berlin, ainsi que des liaisons ferroviaires plus rapides. « Je suis heureux que cinq minutes nous aient suffi aujourd'hui pour nous dire que le train à grande vitesse doit relier nos pays et, plus largement, l'Europe », a déclaré M. Tusk. Tout juste sorti de sa rencontre avec M. Merz, M. Tusk a souligné que les résultats obtenus par le Triangle de Weimar étaient maigres et dépendaient souvent de l'état des relations bilatérales respectives. « Il est temps d'y mettre fin », a-t-il déclaré, ajoutant que les deux parties chercheraient à renforcer la coopération en matière de sécurité et d'infrastructures, et à inclure le Royaume-Uni dans un partenariat à quatre. Les contrôles à la frontière germano-polonaise sont en vigueur depuis octobre 2023 et constituent depuis lors un point de discorde entre les deux gouvernements. M. Merz a déclaré que l'Allemagne travaillerait avec la Pologne pour trouver une solution à « l'objectif commun de réduire considérablement l'immigration irrégulière ». Cependant, Berlin a annoncé mercredi qu'elle renforcerait les contrôles aux frontières afin de refouler les migrants illégaux aux frontières du pays, ce qui aurait un impact considérable sur la Pologne et l'Autriche. Varsovie ne sera pas ravie, car cette mesure intervient au beau milieu d'une campagne électorale tendue. Bien que les deux parties aient convenu qu'elles considéraient la protection des frontières de la Pologne avec la Biélorussie et la Russie comme une tâche commune, M. Tusk n'a pas manqué de souligner que « l'entière responsabilité de la protection de cette frontière » incombait à Varsovie. Le gouvernement de M. Tusk a également demandé à Berlin de prolonger jusqu'à la fin de l'année le déploiement d'un système de défense aérienne Patriot qui protège l'aéroport de Rzeszów, une plate-forme logistique polonaise essentielle utilisée pour acheminer l'aide à l'Ukraine.
  19. https://stanfordreview.org/investigation-uncovering-chinese-academic-espionage-at-stanford/ (7 mai 2025) Après avoir interrogé de nombreux professeurs et étudiants anonymes de Stanford, ainsi que des experts de la Chine, nous pouvons confirmer que le PCC orchestre une vaste campagne de collecte de renseignements à Stanford. En bref, « il y a des espions chinois à Stanford ». Dans le cadre de son plan « Made in China 2025 », la Chine vise à détrôner les États-Unis en tant que force dominante dans le domaine des technologies d'avant-garde. Un tel plan nécessite d'importants transferts de technologie en provenance des instituts de recherche américains. Compte tenu de sa position dominante dans le domaine de l'intelligence artificielle, Stanford est la cible universitaire numéro un. L'ancien directeur du FBI, Christopher Wray, a qualifié ce vol de la recherche universitaire de « l'un des plus grands transferts de richesse de l'histoire de l'humanité ». Le but des collecteurs non traditionnels n'est pas nécessairement de voler des documents classifiés, mais plutôt d'extraire discrètement le savoir-faire qui sous-tend l'innovation américaine. Il s'agit notamment des conclusions des projets de recherche de Stanford, des méthodologies, des logiciels, des flux de travail des laboratoires, des structures de collaboration et même des canaux de communication. Des membres de la faculté de Stanford s'exprimant sous le couvert de l'anonymat ont déclaré que cette collecte non traditionnelle de technologies sensibles est largement pratiquée à Stanford, en particulier dans les domaines de l'intelligence artificielle et de la robotique. Un expert de la Chine, familier de Stanford, qui a souhaité garder l'anonymat, a confirmé que sur les quelque 1 129 étudiants internationaux chinois présents sur le campus, un certain nombre d'entre eux rendent compte activement au Parti communiste chinois (PCC). La loi chinoise de 2017 sur le renseignement national exige que tous les citoyens chinois soutiennent le travail des services de renseignement de l'État et coopèrent avec eux, quel que soit l'endroit où ils se trouvent. Un ressortissant chinois de Stanford nous a parlé de cette question sous le couvert de l'anonymat : "De nombreux [ressortissants] chinois ont des officiers traitants ; ils [le PCC] veulent savoir tout ce qui se passe à Stanford. C'est tout à fait normal. Ils se contentent de relayer les informations dont ils disposent". Le Chinese Scholarship Council (CSC), qui finance environ 15 % des étudiants chinois dans les universités américaines, est considéré comme un moyen privilégié de collecte d'informations. Des experts chinois s'exprimant sous le couvert de l'anonymat ont confirmé qu'il exigeait des étudiants qu'ils soumettent régulièrement des « rapports de situation » aux missions diplomatiques chinoises au sujet de leurs recherches. Radio Free Asia corrobore cette affirmation en signalant que les étudiants chinois financés par la CSC étaient tenus de signer des engagements de loyauté envers le Parti communiste chinois (PCC), les garants (souvent des membres de la famille) s'exposant à des sanctions financières si les étudiants ne respectaient pas ces engagements.
  20. Ce qui est intéressant à propos d'Adriana, c'est son mari, Karembeu, qui a donné un visage kanak à l'équipe de France.
  21. En fait cette idée de pourparlers directs n'est pas une initiative russe, mais une préconisation américaine : https://www.lemonde.fr/international/article/2025/05/07/washington-appelle-a-des-negociations-directes-entre-l-ukraine-et-la-russie_6603841_3210.html Les Etats-Unis appellent à des négociations directes entre l’Ukraine et la Russie https://edition.cnn.com/2025/05/07/politics/vance-russia-ukraine-talks La prochaine étape, a souligné M. Vance, consiste à amener la Russie et l'Ukraine à se parler directement. « Nous aimerions que les Russes et les Ukrainiens se mettent d'accord sur des lignes directrices de base pour s'asseoir et se parler », a déclaré M. Vance. "Il est évident que les États-Unis sont heureux de participer à ces conversations, mais il est très important que les Russes et les Ukrainiens commencent à se parler. Nous pensons que c'est la prochaine grande étape que nous aimerions franchir". Il a ajouté : « Nous pensons qu'il est probablement impossible pour nous de jouer un rôle de médiateur sans au moins quelques négociations directes entre les deux parties ».
  22. Hollande et Merkel ont plutôt honorablement fait le travail de négociation et de suivi de l'application de l'accord Minsk II quand ils étaient au pouvoir. Le problème c'est leurs déclarations d'après le 24 février 22, où l'un comme l'autre se dédisent et affirment qu'ils n'ont pas travaillé sérieusement à l'application et que leur seul but était de gagner du temps pour permettre le réarmement de l'Ukraine. Pour Hollande ce n'était pas une vraie déclaration officielle mais il s'est fait piéger au téléphone par un humoriste, mais cela révèle quand même un aspect peu reluisant de son attitude. Je pense que ces déclarations sont fallacieuses et que les diplomaties française comme allemande ont bien travaillé. Et non, cela ne tient pas "au moins tout autant à la Russie". Il y a eu la formule Steinmeier, acceptée par Zelenski fin 2019. https://www.auswaertiges-amt.de/fr/newsroom/2254214-2254214 (9 octobre 2019) Étape essentielle dans le conflit dans l'est de l'Ukraine : les parties se mettent d'accord sur la « formule Steinmeier ». La formule porte le nom du président fédéral M. Steinmeier. C'est lui qui l'a proposée en 2015 quand il était encore ministre fédéral des Affaires étrangères. Elle concerne un volet des accords de Minsk dont l'interprétation ne faisait pas jusqu'ici l'unanimité entre les parties. Ce volet concerne la question de savoir si la loi sur le statut spécial pour les territoires des régions de Louhansk et Donetsk dans l'est du pays qui ne sont pas contrôlés par le gouvernement doit entrer en vigueur avant ou après la tenue des élections. La formule prévoit que la loi sur le statut spécial entrera en vigueur provisoirement à la date des élections locales et définitivement après l'évaluation positive de ces élections par la mission d'observation électorale de l'OSCE. Ensuite il y a eu des manifestations de droite et d'extrême droite exigeant de Zelenski qu'il fasse marche arrière. Et Zelenski a fait marche arrière sous la pression des manifestants. ( https://regard-est.com/ukraine-oppositions-a-la-formule-steinmeier 17 février 2020) https://sciencespo.hal.science/hal-03578860v1/document (Emmanuel Dreyfus. Les perspectives de résolution du conflit du Donbass. Les Études du CERI, 2020) L’automne 2019 a également été marqué par l’annonce de l’acceptation par Kiev de la formule dite Steinmeier, préconisée lors du sommet en format Normandie d’octobre 2016. Elle prévoit que des élections seront organisées dans le Donbass sous contrôle séparatiste mais dans le cadre de la loi électorale ukrainienne et sous contrôle de l’OSCE, conjointement à l’obtention d’un statut spécial pour le Donbass. Cette formule, qui ne correspond pas à un accord ni à un plan rédigé, mais essentiellement à une simplification des accords de Minsk, était soutenue par Paris et Berlin et présentée par Moscou comme la condition sine qua non à la tenue d’un nouveau sommet en format Normandie. Dans les faits, l’assentiment de Kiev ne change pas grand-chose, mais elle témoigne du capital politique que le président Zelensky est prêt à investir pour régler le conflit. Pour rappel, la dernière tentative d’adoption d’un statut spécial pour le Donbass, discutée en août 2015 par le Parlement ukrainien, s’était soldée par de très violentes manifestations à Kiev et le retrait du projet de loi. Mais l'éléphant dans la pièce, comme toujours, c'est les États-Unis. Mais quel rôle ont joué les États-Unis ? Ont il apporté un soutien clair et massif à la formule Steinmeier ? Ont-ils fait pression sur Zelenski pour qu'il ne cède pas aux manifestants ? Ou au contraire ont ils soutenu les manifestants ? Quel a été le rôle de la presse pseudo-indépendante téléguidée par les subventions américaines ? Tout porte à croire que les Américains ont pesé de tout leur poids pour torpiller les accords de Minsk : http://www.lopinion.fr/edition/international/ukraine-guerre-peut-elle-repartir-98998 (28 mars 2016) Les autorités ukrainiennes jouent la montre – des diplomates français parlent, en privé, de « manœuvres dilatoires » – et réinterprètent les documents signés. C’est notamment le cas en ce qui concerne le contrôle de la frontière avec la Russie, dont Kiev fait un préalable à l’organisation d’élections dans le Donbass alors qu’il doit être restauré au lendemain du scrutin selon les termes de l’article 9 des accords de Minsk. A l’automne dernier, le sherpa de François Hollande, Jacques Audibert, a appelé son homologue américain Susan Rice à la Maison Blanche pour lui faire part du mécontentement de Paris face aux messages, jugés déloyaux, que ferait passer Victoria Nuland à Kiev sur les accords de Minsk.
  23. C'est du pur French Bashing qui adopte la narration de l'ennemi. Déclarer la guerre et se retrancher derrière la ligne Maginot, c'est pas rien quand on voit les conséquences que cela déclenche. Compare avec la Suisse, par exemple. La France a perdu 472 000 morts dans la Seconde Guerre mondiale. Elle fait partie des vainqueurs de cette guerre qui au terme de la guerre ont restitué à la Pologne sa souveraineté. Ne pas oublier aussi que la Pologne était une dictature, et qu'elle a participé au dépeçage de la Tchécoslovaquie.
  24. https://www.lefigaro.fr/conjoncture/guerre-commerciale-les-etats-unis-et-la-chine-vont-suspendre-pour-90-jours-une-partie-de-leurs-droits-de-douane-punitifs-20250512 Les États-Unis et la Chine vont suspendre pour 90 jours une partie de leurs droits de douane punitifs.
×
×
  • Créer...