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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Si on rajoute à cette description de la configuration que "Le serveur de communication et le SPECTRA modernisé du F4.3 seront deux des systèmes les plus innovants de l'ensemble du F4." on commence à avoir une image un peu plus précise du standard F4.
  2. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Le Rafale porté au standard F4.3 a fait l’objet d’une première « campagne de revue d’aptitude à l’utilisation » https://www.opex360.com/2025/07/30/le-rafale-porte-au-standard-f4-3-a-fait-lobjet-dune-premiere-campagne-de-revue-daptitude-a-lutilisation/ Pour le développement du standard F4 du Rafale, la Direction générale de l’armement [DGA] a adopté une approche incrémentale, avec trois sous-versions. Ainsi, qualifié en 2023 et mis en service un an plus tard, le Rafale F4.1 présente plusieurs évolutions majeures par rapport au précédent [le F3R, ndlr], comme l’intégration du viseur de casque Scorpion, la possibilité d’emporter la munition AASM [Armement Air Sol Modulaire] « Hammer » de 1 000 kg à guidage GPS/laser, une connectivité accrue et une meilleure protection contre les menaces dites « cyber ». En outre, il possède une conduite de tir améliorée pour le missile air-air Meteor, laquelle ouvre la voie au combat collaboratif et de nouvelles fonctionnalités ont été ajoutées à la nacelle TALIOS, au radar à antenne active RBE2 et à l’OSF [optronique secteur frontal]. Conduits en même temps, les travaux portant sur la sous-version F4.2 visent à accroître les capacités du Rafale dans le domaine du combat collaboratif, avec l’intégration, entre autre, d’une capacité SATCOM [communication par satellite], de la Liaison 16 block 2 et des systèmes TRAGEDAC [pour la localisation passive de cibles grâce à une mise en réseau des avions d’une même patrouille] et CAPOEIRA [Connectivité améliorée pour les évolutions du Rafale]. Il s’agit également de doter son OSF d’une nouvelle « optique sur la voie infrarouge » [OSF-IRST pour « Infra Red Search and Track »] et de le doter d’un « émulateur » capable de simuler des adversaires lors des vols d’entraînement. Cette sous-version intègre également des aides à l’appontage pour les Rafale Marine, l’objectif étant de réduire la charge de travail du pilote lors de cette phase toujours délicate. Pour le moment, le Rafale F4.2 n’a pas encore été qualifié. Pour autant, le développement de la sous-version F4.3 est déjà bien avancé. C’est en effet ce qu’a annoncé la DGA, à l’issue d’une première campagne de revue d’aptitude à l’utilisation [RAU] de ce nouveau standard, réalisée par le Centre d’expertise DGA Essais en vol, à Istres. « L’objectif de cette campagne était d’effectuer un constat du développement du standard F4.3 en l’état actuel, avant sa définition définitive », a en effet indiqué la DGA, le 29 juillet. « Les avions ont été mis dans des situations de missions opérationnelles afin de couvrir un large domaine d’utilisation de l’appareil tout en analysant les performances de ses différents systèmes avec les éléments de mesures adaptés, notamment centrés sur la connectivité et les systèmes d’armes », a-t-elle expliqué. Ayant consisté à réaliser sept missions dans les domaines air-air, air-sol et air-mer, cette campagne a mobilisé de nombreux moyens, dont au moins huit Rafale [dont quatre pour tenir le rôle de plastron], la frégate de défense aérienne [FDA] Chevalier Paul, un avion de guet aérien E-2C Hawkeye, le système de défense aérienne SAMP/T « Mamba », des avions ravitailleurs et un E-3F AWACS. Mis au standard F4.3, le Rafale pourra emporter le missile air-air MICA de nouvelle génération [MICA NG] et sera équipé d’un système d’autoprotection SPECTRA rénové, de la radio logicielle CONTACT et d’une nacelle TALIOS qui, dotée d’algorithmes d’intelligence artificielle [IA], aura un mode « automatic target designation/recognition ». Quoi qu’il en soit, menée avec le concours des industriels [Dassault Aviation, Thales, MBDA] et avec l’appui du Centre d’expertise aérienne militaire [CEAM] et du Centre d’expérimentations pratiques et de réception de l’aéronautique navale [CEPA/10S], cette campagne d’essais a notamment permis de vérifier le « niveau de maturité des technologies essentielles aux dispositifs de connectivité et aux systèmes d’armes » et « d’établir un constat de performances du système du Rafale F4.3 sur lequel s’appuiera la suite du développement jusqu’à la qualification de ce standard », a conclu la DGA.
  3. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Oui mais c'est Dassault qui a survécu plus de 80 ans comme la plus ancienne entreprise familiale aéronautique.
  4. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Quand un Gripen s'est planté à l'atterrissage du fait de ses FCS, SAAB a demandé l'aide de Dassault (ou Dassault est venu en aide de peur que cet épisode nuise à la réputation des FCS) la recommandation principale de Dassault a été de séparer les logiciels critiques des logiciels normaux pour qu'un bug dans les logiciels normaux ne se propage pas dans les logiciels critiques rendant inutile les précautions qui sont prises dans les dit logiciels. Par extension Dassault a montré le genre d'architecture logicielle qu'il employait et qui facilitait cette contrainte. Depuis Saab communique sur son savoir faire dans ce domaine alors que Dassault ne dit rien...
  5. Pays Bas: une crise de l’électricité à cause des renouvelables ! https://contrepoints.org/pays-bas-une-crise-de-lelectricite-a-cause-des-renouvelables/
  6. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Moi je comprend que le block4 est une modernisation et qu'il n'est pas prêt, c'est TR3 qui est prêt.
  7. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Oh! là tu es dur!
  8. La première fois ça a marché: les grecques n'ont jamais acheté de Typhoon alors que c'était annoncé en gros titre au moment où mon copain est intervenu. Je rappelle que le ministre et lui avaient fait les 400 coups ensemble quand ils étaient à l'école.
  9. Je vais dire à mon copain Grecque d'engueuler de nouveau son ministre de la défense en lui demandant pourquoi il veut acheter de F-35 merdiques alors qu'il est tellement plus simple d'acheter des UCAS pour faire masse avec les Rafale qu'ils ont déjà.
  10. Du coup avec nos 225 Rafale on peut faire masse avec pas mal d'UCAS, et même les vieux Rafale seraient considérablement valorisés par ces UCAS.
  11. Donald Trump va-t-il saborder l’accord des sous-marins avec l’Australie ? https://actu.capital.fr/entreprises-marches/donald-trump-va-t-il-saborder-laccord-des-sous-marins-avec-laustralie-1515100? Le réexamen de l’accord AUKUS par les Etats-Unis sème le doute sur l'avenir du partenariat stratégique avec l'Australie et pourrait laisser Canberra dans l’impasse stratégique. Après avoir tourné le dos à la France en 2021, l’Australie risque en effet aujourd’hui de se retrouver sans aucun sous-marin. En 2016, la France et l’Australie s'étaient mises d’accord sur la livraison de 12 sous-marins conventionnels de classe Suffren à partir de 2030 pour un total de 56 milliards d’euros. Mais ça, c'était avant. Car en 2021, l'Australie créait la surprise en rompant son contrat avec la France et Naval Group, préférant se tourner vers les Etats-Unis et le Royaume-Uni dans le cadre du pacte AUKUS. Ce revirement visait alors à renforcer les capacités navales australiennes dans l’Indo-Pacifique face à la Chine, grâce à l'acquisition de sous-marins nucléaires de classe Virginia dès 2030. Mais quatre ans plus tard, le vent tourne. Le 11 juin, le Pentagone a lancé un réexamen de l’accord pour en vérifier la compatibilité avec la doctrine «America First», indique le magazine Géo. La priorité pourrait donc être donnée aux besoins de l'US Navy, au détriment de l'Australie. Cette décision pourrait remettre en cause un contrat colossal de 208 milliards d’euros, incluant la vente de cinq sous-marins Virginia entre 2032 et 2040 et le développement conjoint avec le Royaume-Uni d’une nouvelle classe de sous-marins nucléaires. Mais les Etats-Unis peinent à tenir la cadence : selon un rapport du Congrès, la production annuelle réelle des Virginia n’atteint que 1,13 unité, loin de l'objectif de deux par an. Un pacte à 208 milliards d’euros sur la sellette Ces retards sont aggravés par des difficultés industrielles (main-d’œuvre, chaîne d’approvisionnement, matières premières stratégiques). Les livraisons à l'Australie semblent donc de plus en plus compromises à court terme. L'incertitude s'amplifie avec le retour de Donald Trump à la présidence depuis janvier. Le sous-secrétaire à la politique de Défense, Elbridge Colby, un des principaux dirigeants du Pentagone, se montrait déjà très sceptique sur l’accord l'an dernier. C'est lui qui pilote désormais son réexamen. «Si nous pouvons produire des sous-marins d'attaque en nombre et en vitesse suffisants, c'est parfait. Mais si nous ne le pouvons pas, [l'approvisionnement de l'Australie] devient un problème très difficile car nous ne voulons pas que nos militaires soient dans une position plus faible et plus vulnérable» a-t-il prévenu. Face à un conflit potentiel avec la Chine autour de Taïwan, l’administration américaine pourrait décider de conserver tous ses sous-marins pour ses propres opérations, au lieu d’en transférer à l’Australie. Pour Colby, fournir des Virginia à Canberra dans ce contexte serait «une mauvaise idée», tant ces engins sont essentiels pour défendre les intérêts américains dans la région. Canberra appelle à ne «pas surinterpréter» ce réexamen de l'accord Le gouvernement australien affiche pourtant une certaine confiance. L’ancien Premier ministre Scott Morrison appelle à ne «pas surinterpréter» le réexamen en cours. Mais en coulisses, Washington semble vouloir faire monter la pression sur Canberra pour la pousser à augmenter ses dépenses militaires, comme le suggère le Financial Times. Une stratégie de négociation, mais qui pourrait se retourner Canberra si elle débouche sur une renégociation ou une annulation pure et simple de l'accord. Si les États-Unis se désengagent, l’Australie pourrait être contrainte de prolonger la vie de ses vieux sous-marins Collins – certains en service depuis 1996 – jusqu’aux années 2050. Et ce, dans un contexte de renforcement de la marine chinoise. Possible que Canberra se morde aujourd'hui les doigts d'avoir coulé son partenariat avec Paris.
  12. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Le fabricant du F-35 Lockheed Martin voit son bénéfice fondre de 80% à cause de programmes "classés secrets" Le géant américain de la défense annonce un bénéfice net en forte baisse au deuxième trimestre, en raison de charges exceptionnelles liées à des programmes de défense. Le bénéfice net du groupe de défense américain Lockheed Martin a dégringolé au deuxième trimestre, plombé par des charges exceptionnelles d'environ 1,7 milliard de dollars. Sur un an, il a reculé de près de 80%, à 342 millions de dollars américains contre 1,6 milliard au même trimestre l'année passée. Le fabricant entre autre de l'avion de combat F-35 a reconnu que son résultat opérationnel a été miné par des éléments exceptionnels d'environ 1,7 milliard de dollars dans le cadre de certains de ses programmes, selon un communiqué publié mardi. Lockheed a identifié "de nouveaux développements qui nous ont amenés à réévaluer la situation financière d'une série de grands programmes hérités du passé", a détaillé le groupe dans son communiqué. "En conséquence, nous prenons un certain nombre de mesures ce trimestre pour faire face à ces risques nouvellement identifiés", poursuit l'entreprise. Le secteur de la défense en cause Le groupe a notamment connu des "problèmes" concernant des contrats aéronautiques classés secrets, engendrant une perte de 950 millions de dollars. "Les pertes sur ce programme classé sont importantes" et "prises au sérieux", a reconnu le patron de Lockheed Martin, James Taiclet, lors d'un appel avec les investisseurs mardi "La société est en pourparlers avec le client au sujet d'une restructuration potentielle de certaines conditions contractuelles et de l'élargissement de la portée du travail qui serait bénéfique pour les deux parties", a déclaré Lockheed à propos du programme. Les entreprises du secteur de la défense sont confrontées à des pressions croissantes en matière de coûts, l'inflation et les perturbations de la chaîne d'approvisionnement entraînant une augmentation des dépenses liées à des programmes à long terme dont le prix a été fixé il y a plusieurs années. Nombre de ces contrats - souvent à prix fixe - ont été négociés avant la flambée post-pandémie des coûts de la main-d'œuvre, des matériaux et des composants, ce qui a contraint des entreprises telles que Lockheed Martin à absorber les dépassements. Outre la charge de 950 millions de dollars sur le programme classifié, Lockheed a subi une perte de 570 millions de dollars sur son travail pour le gouvernement canadien concernant l'acquisition de ses hélicoptères maritimes CH-148 Cyclone. Sur les trois derniers mois de l'année, le chiffre d'affaires du groupe atteint 18,15 milliards de dollars, contre 18,12 milliards l'année passée, mais en deçà des 18,57 milliards attendus par le consensus des analystes de Factset. Exploitation de terres rares Lockheed Martin a revu à la baisse une partie de ses prévisions pour l'exercice en cours. "Nous avons mis à jour nos attentes concernant les perspectives financières de Lockheed Martin pour 2025 afin d'intégrer l'impact de plusieurs éléments, y compris les charges (...) de ce trimestre", a déclaré le directeur financier du groupe lors de l'appel avec les investisseurs. Les prévisions de chiffre d'affaires annuel restent, elles, inchangées par rapport au premier trimestre: autour de 73,75 à 74,75 milliards de dollars. Le groupe a déclaré lors de l'appel aux investisseurs s'attendre à "des avantages fiscaux" grâce à la "grande et belle loi" budgétaire de Donald Trump, promulguée début juillet. Le patron du groupe s'est aussi félicité du soutien de l'administration américaine dans les activités d'exploitation minière des fonds marins de l'entreprise. "Ce partenariat (...) garantira l'approvisionnement en terres rares nécessaires aux F-35", un avion militaire monoplace construit par le groupe, ainsi qu'aux "missiles de croisière", a-t-il précisé
  13. Au lieu d'acheter 40 Rafale ils achèteraient 15 Rafale et 60 UCAS.
  14. Mais il y a des difficultés, il y a toujours des difficultés, personne n'a dit qu'être un bon avionneur était facile. Mais comme Dassault est un bon avionneur il surmonte les difficultés et la preuve c'est qu'il livre ce qui doit être livré par contrat et qui dépend des commandes d'il y a trois ans. Et si il est à cadence 4 en amont c'est parce que dans trois ans il devra livrer 4 avions par mois. La France, l'Indonésie, l'Inde et les EAU sachant qu'il y aura peut être un reliquat d'Egypte.
  15. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Faster induction of fighters, refuellers in top panel’s recommendations for IAF Accélération de l'intégration des chasseurs et des ravitailleurs dans les recommandations du comité supérieur pour l'IAF https://www.hindustantimes.com/india-news/faster-induction-of-fighters-refuellers-in-top-panel-s-recommendations-for-iaf-101753123518128.html L'accélération de l'intégration des avions de combat, des ravitailleurs en vol et des systèmes de détection et de contrôle aériens (AEW&C) figure en tête des recommandations formulées par un comité spécial chargé d'améliorer les capacités de l'armée de l'air indienne, ont déclaré lundi des personnes proches du dossier, ajoutant que le gouvernement était sur le point d'attribuer un contrat de 67 000 crores de roupies à Hindustan Aeronautics Limited pour 97 avions de combat légers Mk-1A supplémentaires. « Le comité a examiné tous les éléments du développement des capacités et a suggéré des mesures visant à renforcer la préparation opérationnelle de l'IAF dans un délai déterminé. Les nouveaux avions de combat, les avions ravitailleurs et les systèmes AEW&C figurent parmi les principales priorités. Ces plateformes se trouvent à différents stades du cycle d'acquisition », a déclaré l'une des personnes citées ci-dessus, qui a demandé à rester anonyme. Le secrétaire à la Défense, Rajesh Kumar Singh, qui présidait le comité, a remis le rapport classé « secret » au ministre de la Défense, Rajnath Singh, en mars, quelques jours après que le chef d'état-major de l'armée de l'air, le maréchal AP Singh, ait admis que l'armée de l'air était « très mal lotie en termes d'effectifs », ajoutant qu'elle devait acquérir 40 avions de combat chaque année pour rester prête au combat. Le comité était composé du vice-chef d'état-major de l'armée de l'air, du secrétaire (production de défense), du chef de la DRDO et du directeur général des acquisitions, le chef adjoint de l'état-major de l'armée de l'air en étant le secrétaire. Le comité a recommandé une série de mesures à court et à long terme visant à renforcer les capacités de l'IAF, qui est confrontée à une pénurie d'escadrons de chasseurs, soulignant qu'il était essentiel de renforcer l'autonomie du secteur aérospatial grâce à une participation accrue du secteur privé afin de combler les lacunes critiques. « Le comité a recommandé un rôle plus important pour le secteur privé. Le secteur public a ses atouts et l'avantage du précurseur. Mais le pays doit construire une base de défense plus importante pour répondre aux besoins croissants de l'IAF », a déclaré une deuxième personne, qui a également demandé à rester anonyme. Après la remise du rapport du comité, le ministère de la Défense a dévoilé en mai son plan tant attendu visant à accélérer le développement d'un avion de combat furtif de cinquième génération, ou avion de combat moyen avancé (AMCA), annonçant que le modèle d'exécution serait compétitif et offrirait des chances égales aux entreprises des secteurs public et privé de participer à l'un des projets militaires les plus importants du pays. Les recommandations du comité sont mises en œuvre à un moment critique, alors que l'IAF recherche 114 avions de combat polyvalents qui seront fabriqués en Inde par un équipementier étranger et un partenaire local. Les recommandations sont en cours de mise en œuvre dans le cadre de l'opération Sindoor, l'attaque menée par l'Inde contre des installations terroristes et militaires au Pakistan et au Cachemire occupé par le Pakistan, en réponse à l'attaque terroriste de Pahalgam. L'armée de l'air indienne a joué un rôle central dans cette opération. « L'IAF prévoit de présenter le dossier pour les 114 nouveaux chasseurs. Le programme MRFA sera accéléré une fois que le modèle d'exécution aura été finalisé. De plus, la commande supplémentaire de 97 LCA Mk-1A sera passée prochainement », a déclaré la première personne. L'armée de l'air dispose d'environ 30 escadrons de chasseurs, contre 42,5 autorisés. Le ministre de la Défense a ordonné aux hauts fonctionnaires de veiller à la mise en œuvre en temps voulu des recommandations générales du comité habilité. Les offres technico-commerciales pour six ravitailleurs en vol supplémentaires devraient être ouvertes prochainement, a déclaré le deuxième responsable, ajoutant que des entrepreneurs européens, russes et israéliens se disputaient la commande. L'IAF exploite une flotte de six ravitailleurs Ilyushin-78 d'origine russe qui sont en proie à des problèmes de maintenance et la force a besoin de toute urgence d'au moins six ravitailleurs supplémentaires. En février, le conseil d'acquisition de la défense a approuvé plusieurs propositions clés d'une valeur de 84 560 crores de roupies afin de renforcer la préparation opérationnelle de l'armée, notamment l'achat de nouveaux avions ravitailleurs en vol. L'acquisition de ces avions ravitailleurs, qui intervient après plusieurs tentatives infructueuses d'achat de nouveaux avions-citernes, est poursuivie à un moment où un comité hautement influent du ministère de la Défense, chargé de mener un examen complet des règles d'achat d'armes de l'Inde, envisage de réduire les délais d'acquisition réels de sept à huit ans actuellement à moins de deux ans afin d'accélérer la modernisation des forces armées. Le comité, présidé par le directeur général (acquisitions), a identifié trois domaines clés qui expliquent les retards dans l'acquisition d'armes et de systèmes critiques, notamment la préparation de l'appel d'offres, les essais d'évaluation sur le terrain et les négociations contractuelles. En outre, le comité du Cabinet sur la sécurité, présidé par le Premier ministre Narendra Modi, devrait approuver la construction de six systèmes AEW&C basés sur la plate-forme Airbus 321, comme l'a rapporté HT le 19 juillet. Le maréchal de l'air AP Singh a publiquement fait part de ses inquiétudes concernant une érosion préoccupante des capacités et a appelé à prendre des mesures urgentes pour y remédier. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  16. Mais la fin de 2024 a bieb été à cadence 3 non? 6 avions livrés au premier semestre et 15 au deuxième or le deuxième n'a que 5 mois puisque le mois d'Aout est en vacances, donc 15/5 = 3. Et pour cette année le deuxième semestre sera à 18/5 = 3,6.... on se rapproche de 4 ! En fait il y a plein d'avion qui sont presque prêts, mais où il manque une petite finition.
  17. Une frappe russe massive dévaste un camp d'entraînement du renseignement militaire ukrainien https://www.intelligenceonline.fr/renseignement-d-etat/2025/07/22/une-frappe-russe-massive-devaste-un-camp-d-entrainement-du-renseignement-militaire-ukrainien%2C110493050-art?did=109653022 Survenue lundi 21 juillet, une frappe russe sur un camp d'entraînement du GUR, le renseignement militaire ukrainien, aurait fait plusieurs dizaines de morts et des dizaines de blessés, a appris Intelligence Online.
  18. Avec la configuration actuelle c'est à dire TR3 quand il marchera avec le block 4 tu supportes le Block 4 qui est logiciel mais tu ne peux pas mettre tous les équipements en marche en même temps. Tu peux donc faire des "modes" où tu as un ensemble d'équipements calibrés pour pouvoir marcher ensemble, mais c'est pas pratique: c'est là où les simulateurs seront utiles. 20% de moins? ça ferait 1,2 milliards juste le surcoût qu'ils ont calculé jusqu'à maintenant et les F-35 restant reviendraient à un nombre d'heures de vol "normal".
  19. Il n'y a pas eu échec du Rafale, il y a eu échec de la Suisse à prendre du Rafale. On voit bien que tous les disfonctionnements sont en Suisse.
  20. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    India mulls Russian proposal to supply and make Sukhoi Su-57 fighter jets ahead of Putin visit https://www.financialexpress.com/business/defence-india-mulls-russian-proposal-to-supply-and-make-sukhoi-su-57-fighter-jets-ahead-of-putin-visit-3906975/ L'Inde examine la proposition russe de fournir et de fabriquer des avions de combat Sukhoi Su-57 avant la visite de Poutine Ces développements interviennent également alors que des rumeurs circulent selon lesquelles le Pakistan voisin s'apprêterait à acquérir des avions de combat chinois de cinquième génération. Le ministère indien de la Défense pourrait bientôt collaborer avec la Russie pour la fabrication et la fourniture d'avions de combat Sukhoi Su-57 dans le cadre des efforts visant à renforcer la préparation militaire. Des responsables ont confirmé que New Delhi était actuellement en pourparlers avec plusieurs alliés et partenaires clés afin d'étudier la possibilité d'acquérir des avions de combat de cinquième génération à titre de solution provisoire. Parallèlement, le programme national Advanced Medium Combat Aircraft (AMCA) continue d'avancer, avec un calendrier estimé à 10 ans. Ces développements interviennent également alors que des rumeurs circulent selon lesquelles le Pakistan voisin s'apprêterait à acquérir des avions de combat chinois de cinquième génération. Le secrétaire à la Défense, Rajesh Kumar Singh, a déclaré à CNBC-TV18 que des discussions étaient en cours avec des partenaires internationaux, mais qu'elles en étaient encore à un stade préliminaire. La Russie et les États-Unis ont tous deux publiquement fait part de leur volonté de fournir des avions de combat de cinquième génération à l'Inde. Ces collaborations potentielles sont considérées comme une solution à court terme pendant que l'Inde poursuit son programme AMCA. Selon un rapport publié le mois dernier par Firspost, l'accord russe comprend un transfert de technologie et s'aligne largement sur l'initiative « Make in India ». L'offre ne se limiterait pas à la production d'avions existants tels que le Su-30MKI, mais inclurait également le transfert de technologie et la production conjointe de plates-formes plus récentes et nettement plus avancées. « Make in India » et la prochaine visite de Poutine La Russie aurait proposé un transfert complet de technologie et la coproduction du Su-57 en collaboration avec Hindustan Aeronautics Limited. La production conjointe du Su-57E (la variante d'exportation du Su-57) aurait lieu dans les installations de HAL Nashik, où le Su-30MKI est déjà assemblé. La proposition a fait l'objet d'un examen plus approfondi ces derniers jours, alors que le président russe Vladimir Poutine se prépare à effectuer une visite très médiatisée en Inde dans le courant de l'année. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  21. Le malentendu https://1dex.ch/2025/07/le-malentendu/ « Fonce, sur un malentendu, ça peut marcher ! » On ne peut s’empêcher de penser à la réplique burlesque de Michel Blanc dans les Bronzés quand on nous annonce que le contrat d’achat des F-35 a été mal interprété et qu’il ne va pas en coûté 6 milliards mais au moins un milliard de plus. C’est gênant car les Suisses se sont prononcés sur 6 milliards, et ils ont approuvé l’achat de justesse. C’est gênant car le Conseil fédéral ne cesse de dire que c’est un prix fixe qui a été négocié. Mais le constructeur Lockheed Martin explique qu’il ne s’engage jamais sur un prix fixe, sachant que le coût des matériaux et l’inflation peuvent évoluer. Il sait de quoi il parle, il a vendu un millier de F-35 jusqu’ici. Peut-être eût-il été sage de le lui demander précisément ce qu’il en était lors de la commande, en 2021. Un contrat à 6 milliards, et le Département fédéral de la défense nous explique qu’il y a un point du contrat qui n’est pas tout à fait clair. Les juristes du Palais ne sauraient-ils pas l’anglais, ou n’auraient-ils pas analysé le texte paragraphe par paragraphe ? N’a-t-on pas consulté des avocats d’affaire indépendants à Bethesda, siège de Lockheed Martin ? Pour le moindre contrat de quelques centaines de francs, les juristes nous incitent à bien lire les notes en bas de page, vous savez bien, celles qui sont imprimées en petits caractères. J’ose croire que sur un contrat à 6 milliards, on a lu et relu, jusqu’à la dernière ligne. Ou alors pas ? Troublant, les mises en garde de rares parlementaires ou du Contrôle fédéral des finances ont été délibérément ignorées lors du débat parlementaire. Aujourd’hui, tout le monde joue la surprise. Le malentendu. Tous coupables à leur insu, personne responsable. En victime expiatoire, opportunément choisie, l’ancienne conseillère fédérale Viola Amherd. Elle n’est plus là pour répondre de ses actes. Décidément, il fallait non seulement lire le fameux contrat mais aussi le publier. Car on apprend que l’appareil ne sera livré qu’avec un équipement de base, bien insuffisant pour les exigences d’une bataille aérienne, sans missiles adéquats, sans munitions suffisantes, et que ce ne serait pas très raisonnable de faire voler le supersonique ainsi, tout nu. De quoi jeter un peu plus le discrédit sur un Département en plein chaos dont la Cheffe du département et les principaux responsables de l’armée ont déjà démissionné avant la révélation du pot aux roses. Le nouveau conseiller fédéral qui entre en fonction et découvre l’ampleur de la catastrophe, a tout loisir de décréter un reset. Il n’y est pour rien. Il fera au mieux. Le journal Le Monde nous épingle et ose le terme d’affaire d’État, et il a raison. En Suisse, on tente une inspection, peut-être une commission d’enquête, mais il faut bien dire que la classe politique a suivi le Conseil fédéral sur ce dossier, discuté doctement de l’achat au Parlement, écouté sagement les explications des chefs de l’armée. On préférerait presque que ce soit le fruit d’une malversation plutôt que le résultat d’une telle incompétence. La guerre hybride Tout aussi inquiétant, l’acquisition des F-35 ne s’inscrit pas dans une conception globale de la défense. Sans doute, craint-on de devoir préciser nos intentions au sujet de l’OTAN ou de l’Union européenne. La guerre en Europe montre que même un grand pays comme l’Ukraine a peu de chance de sauvegarder son indépendance tout seul. Surtout, la défense ne se résume pas aux avions. Il y a les drones, les systèmes de défense anti-aériens, la guerre informationnelle, la récolte de renseignements, tout ce que l’on désigne sous le label guerre hybride. Autant de domaines où nous devrions investir mais les avions prestigieux accaparent les budgets et les esprits. Le ciel ne peut pas attendre. En Suisse, les citoyens sont ipso facto désignés experts en jets comme ils le sont sur tous les sujets sur lesquels on sollicite leur vote. Disons-le autrement : ils ont droit à la transparence la plus absolue, et il n’y a rien de plus exécrable que de leur cacher des données essentielles sous un quelconque prétexte. Tout mensonge nuit à l’exercice de la démocratie directe, et ceux qui ont œuvré à cette opération de désinformation portent une très lourde responsabilité. La réplique de Michel Blanc a fait rire, et dans le film le malentendu n’a pas fonctionné bien sûr. Parier sur l’ami américain n’aura pas été plus probant.
  22. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Pas plus croustillant que les autres, et en plus on l'aura en 2026, la plupart des informations seront déjà connue.
  23. Picdelamirand-oil

    Le C-27J Spartan.

    Oui tu sous estime l'époque.
  24. Picdelamirand-oil

    Le C-27J Spartan.

    Avec des FCS Dassault c'est faisable.
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