capmat

Vrai sujet. Je l'avais abordé dans le sujet FCTM (ou A200M) concernant un maillage logistique pour les "munitions précieuses". Je suppose que des gens sérieux travaillent sur la question et que des moyens maritimes et aériens sont progressivement structurés pour ces missions. Evidemment cela n'est pas dans le champs de la publicité ouverte.

Oups !!! Je me suis gaufré Je pensais au Soudan du Nord. Au moins, toi tu suis le sens du texte

Il suffit de regarder la situation géographique de l'Egypte et de l'Arabie saoudite pour comprendre que dans le contexte du vingt et unième siècle, leur destin est étroitement lié. L'Egypte et l'Arabie saoudite sont en vis à vis dans la partie Nord de la Mer Rouge. La partie Sud de la Mer Rouge est clairement revendiquée par le camp adverse (Iran-Russie) via le Soudan du Sud, l'Erythrée et la partie Houtis du Yemen. Cette histoire de chaîne de montage d'une arme stratégique n'entre pas dans le calendrier du problème posé.

Dans cette zone, ce ne sont pas les esquifs sentinelles qui manquent.

Ne pas perdre de vue que dans ce même temps il y a eu la mue de "l'Arsenal" en "Naval Group".

Merci pour cette approche sous l'angle du temps politique. - "La seule solution serait de les sortir à marche forcée"......... pour cette solution il faut que l'ensemble industriel de construction maritime national remonte en capacité : a noter l'apparition récente de "Kership" qui a permis de remettre en scène le chantier de Lanester et tout dernièrement la remise en service de la cale sèche de Calais par SOCARENAM, cette cale sèche était inactive depuis 20 ans. La remontée en puissance concerne aussi et surtout les ressources humaines avec le recrutement et la formation de "compagnons" spécialisés. Notre capacité industrielle dans le naval me semble encore être un facteur restrictif.

A côté d'une maquette de Rafale on pourrait évidemment mettre une maquette d'Edwy Plenel pour que le tableau soit complet.

L'Inde est une démocratie. On peut ouvertement accuser le gouvernement de corruption sans prendre le risque de tomber du balcon. Alors, autant en profiter. Mais est-ce la voie pour ouvrir de fructueuses coopérations futures ? Ah ! j'oubliais !!! dans une démocratie avérée il y a de vraies élections, alors la critique ostensible d'un gouvernement en place peut éventuellement favoriser l'élection d'un gouvernement d'opposition. L'article en question, qui sera évidement repris localement, est une composante d'une campagne bien plus vaste en vue "d'obliger" l'opposant éventuellement élu.

J'ignore si cela a déjà été publié :

Bon tableau sous l'angle des capacités opérationnelles. Je m'intéresse aussi au tableau des capacités industrielles : Il ne me semble pas que le contrat du renouvellement des chasseurs de mines soit passé, donc difficile de les introduire dans le tableau.......mais il s'agira de navires dans la catégorie de 2600 tonnes...voir plus ! Il semblerait qu'il s'agira d'au moins de six unités. Sans compter l'introduction (dans la même période ?) d'un ou deux navires de renseignements....

Ce tableau oublie les chasseurs de mines a venir pour la MN.

En avion récent, il est seul sur le marché dans sa catégorie. Pour l'instant l'A200M reste au stade de l'éventualité.

D'une génération de navire à une autre, le monde aura changé en modèle accélération permanente. Est ce que vous n'êtes pas émerveillé par des émissions de télévision en direct à partir de voiliers du Vendée-Globe, avec un seul marin à bord, lors de leur passage tout près de l'antarctique ? Pouvez vous imaginer la sommes d'évolutions techniques qui permettent cet exploit maintenant banalisé ? Un navire, où qu'il soit, n'est plus isolé. Il peut recevoir des informations rafraichies en permanence dans tout les domaines concernant sa situation tactique impliquant l'aérien, la surface et le sous marin. Les moyens en propre du navire servent au lever de doute et a limiter au plus possible la part de surprise. Et ce navire, éventuellement loin de tout, est via ses capteurs un émetteur de données enrichissant la bulle de connaissance de la situation globale. Tout les moyens mobiles du secteur de La Défense sont de plus en plus interconnectés, qu'ils soient de l'Air, de la Marine ou de la Terre.....ou surtout de l'Espace... L'armement embarqué est de plus en plus un armement "sur ordonnance", c'est à dire avec des munitions adressées proportionnés à la cible. Concernant "la cible", elle nécessite de plus en plus de discernement concernant sa caractérisation........qui est vraiment l'ennemi, qui est vraiment l'ami ?.....et "en face".....qui sont "nos" infiltrés ou ceux de "nos amis" ? C'est, je suppose, le sens "du pavillon" pour armement. Avant le tir létal, il faut "l'intelligence" c'est a dire une communication multi-faisceaux, une grosse base de données avec une puissante base de traitement. Sur une vue d'artiste de nouveau navire, tout cela n'est pas discernable, l'armement visible concerne La Défense basique.....le véritable armement létal concernant les navires de "troisième rang" c'est de plus en plus du plug and play....du moins, c'est ce que je suppose.

Un article des Echos sur le sujet : https://www.lesechos.fr/idees-debats/en-vue/venezuela-nicolas-maduro-en-mode-conquistador-2038791

Il ne me semble pas que le contrat des nouveaux chasseurs de mines français ait été passé : https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/la-france-rejoint-les-pays-bas-et-la-belgique-dans-la-guerre-navale-contre-les-mines-1871869 Il faut, bien entendu, prendre en compte ce contrat encore a venir pour se construire une image du plan de charge à moyen terme de notre écosystème "construction navale de navires de moins de 100 mètres de longueur". Cet écosystème semble sous traité en dehors des capacités de production de Naval Group.

Il me semble que c'est l'aveu des Grands Bretons que la solution F35B n'est pas en mesure de hisser leur force aéronaval au niveau qu'il espéraient.

J'aimerais comprendre le sens du partage du marché des PO entre trois chantiers navals différents. As tu des lumières sur les objectifs de ce montage ?

La dictature des priorités en budget contraint C'est encore fromage ou dessert......ou feuille d'impôt "en planche a clous"

Juste une petite remarque : Le Portugal et les Pays Bas ont commandé l'Embraer C390. Les Açores portugaises sont à mi chemin sur la route maritime (surtout pour des sous marins à propulsion classique) entre les Pays Bas et leurs îles des Caraïbes. Ce navire polyvalent de 7000 tonnes, commandé par le Portugal aux Chantiers "Damen" des Pays Bas sera un bon domino entre leur deux marines.

Ce qui n'est pas de cinquième génération c'est pas beau, c'est pas bien....le F16 est plombé par cette sentence pour ceux qui ont les moyens de se payer "le must". Donc dans la liste, qualifié de must, il reste le F35 ou le F35 a moins de proposer aussi le F35.........mais c'est réservé aux "amis" domestiqués.

Ce que tu désigne "stabilité" que je traduis en "sensibilité aux turbulences" est directement lié à la charge au mètre carré ailaire des avions. Charge élevée moins sensible que charge faible.....a vitesse adaptée correspondante donc domaines de vol différents. Je n'ai pas de comparaison disponible entre les charges au M2 entre l'A320 et le 10X. J'observe que le 10X a des ailes bien plus en flèche que celles du 320, ce qui différencie la réaction des appareils aux turbulences....à l'avantage de l'aile en flèche. Ensuite il faut comparer les dispositifs hypersustentateurs.... La turbulence traduit un changement plus ou moins rapide de l'angle du vent relatif au plan de référence de l'aile. Ce n'est pas l'avion qui est plus ou moins stable, c'est l'état de la masse d'air. Je ne vois pas de raison de vraiment différencier le 320 ou le 10x quand à leur aptitude et qualité concernant la basse altitude. La ou se trouve peut être une différence se situe au niveau des moteurs. La patrouille suppose un régime moteur à mi chemin entre le plein ralenti et la pleine puissance et j'ignore comment les moteurs du 320 ou du 10X encaissent le moyen régime sur du temps long. La notion de transit pour un PATMAR n'est pas surfaite, je précise qu'il s'agit de la vitesse de transit sur de la longue distance. Si la zone de patrouille se trouve à une distance éloignée de la base de départ, une haute vitesse de transit réduit la consommation du potentiel de l'équipage, de même qu'une grande autonomie réduit le besoin d'escale lors des vols de mise en place (par exemple des zones ou se trouve un GAN ou vers des outre mer), cette grande autonomie est aussi un gain de temps et de potentiel pour l'avion et l'équipage.

Effectivement, des supply ship, c'est pas ce qui manque et ce serait bien adapté au besoin. Merci Scarabé.

As tu une information sur le type de remplaçant ?

J'ai trouvé la seule explication rationnelle : les membres du gouvernement Allemand investissent dans des actions "Dassault Aviation".

Serions nous un jumeau numérique du Quai d'Orsay, de la DGA et de la direction de Dassault Aviation ?