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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Eh bien écoutes ce que dit Macron. Le mot naïveté est prononcé plus d'une fois. Ne soyons pas naïf avec VP dit-il. Crois-tu vraiment que quelqu'un pourra/voudra le contredire sur un tel constat ? Et puis il y a maintenant carence des US sur le dossier ukranien. On le savait depuis un an sur le plan financier et militaire, mais on ne le savait pas encore sur le plan diplomatique. Il va bien falloir suppléer à cette carence. L'Europe ne peut pas ignorer cette carence. Il y a trop à perdre. Macron ne fait que préempter le regard de VP. Après on sait comment çà va se passer. Il va très vite associer les partenaires à ce discours qui est difficile à contredire si ce n'est de passer pour des naïfs.
  2. Celui qui est désavoué et ignoré actuellement c'est Trump. Ceux qui peuvent attirer l'attention de VP ce sont ceux qui mettent des moyens sur la table pour soutenir VZ. Les autres ne peuvent plus que faire du spectacle. Et pour cause on n'était pas impliqué dans le conflit.
  3. Ca c'est inattendu de la part des allemands. Là je dis bravo. L'Association allemande des réservistes est ouverte à l'envoi de troupes en Ukraine https://brusselssignal.eu/2025/08/german-reservist-association-open-to-sending-troops-to-ukraine/ L'Association des réservistes de l'armée allemande a déclaré qu'elle était ouverte aux soldats allemands participant à une éventuelle mission de maintien de la paix en Ukraine. Le président de l'association, Patrick Sensburg, a déclaré au journal allemand Rheinische Post le 18 août que si une telle mission se déroulait « dans des conditions raisonnables », alors l'Allemagne devrait aller de l'avant et contribuer « au plus grand contingent de troupes ». Sensburg a également mis en garde contre les conditions préalables nécessaires à une telle contribution : « Le débat sur le déploiement possible de soldats allemands en Ukraine est bien en deçà de ce dont nous avons besoin. Les conditions sont cruciales pour le déploiement d'une force de maintien de la paix. » Il a mis en garde : « Militaire, une telle mission n'a de sens que s'il existe une zone tampon démilitarisée entre les soldats russes et les forces de maintien de la paix. Cela est important pour détecter les déploiements russes à un stade précoce et être ensuite en mesure de les contrer en conséquence.» La Russie, cependant, n'était pas disposée à accorder une telle zone tampon. En l'absence d'une zone tampon, les forces de maintien de la paix devraient être plus nombreuses que l'armée russe. « Je considère que c’est impossible avec les forces européennes », conclut Sensburg. Actuellement, une participation allemande à une force européenne potentielle de maintien de la paix en Ukraine semblait loin, selon les médias allemands. Le ministre allemand des Affaires étrangères Johann Wadephul a déclaré le 17 août que l'Allemagne devrait jouer « un rôle important » dans le maintien d'une paix en Ukraine. Le député de l'Union chrétienne-démocrate a également laissé entendre que l'Allemagne n'était peut-être pas en mesure d'envoyer des troupes dans le pays. Wadephul a mentionné le déploiement d’une brigade allemande en Lituanie pour protéger le flanc oriental de l’OTAN, en disant : « Faire cela et aussi poster des troupes en Ukraine serait probablement trop pour nous. » Les commentateurs ont critiqué Wadephul pour avoir envoyé des messages mitigés sur la contribution de l'Allemagne au maintien de la paix en Ukraine. Lors d'une conférence de presse au Japon le 19 août, il a déclaré qu'un accord de paix exigerait de fortes garanties de sécurité pour l'Ukraine. « Nous et les Américains sommes prêts à les fournir », a déclaré Wadephul, mais nous nous sommes abstenus de détailler tout engagement concret de l’Allemagne lorsqu’il a été remis en question par des journalistes.
  4. D'ailleurs pour consolider mon précédent post il y a cette interview de Macron Il interpelle Poutine sans prendre de gans : je cite "Pour Emmanuel Macron, Vladimir Poutine est un «ogre» qui «a besoin de continuer à manger» pour survivre " pour bien attirer l'attention de VP sur lui et plus sur Trump. Et demande que la rencontre VP/VZ se fasse à Genève (et donc pas au USA). Tout çà pour montrer que le leadership sur ce dossier ne peut plus appartenir aux US ou à Trump. La nature ayant horreur du vide, la place étant vacante il la prend sans détours et contre détours.
  5. Je pense que les européens sont bien conscients de cet difficulté. Je crois que le but est donc juste de gagner du temps tout en affichant des objectifs constants que Poutine ou Trump ne pourront pas contourner et que le reste de la communauté internationale peut accepter. L'Inefficacité de Trump est visible dans les média et elle est affiché de plus en plus clairement. Ce qui s'est passé hier c'est que les européens se sont déplacé en rangs serrés pour éviter que VZ ne se fasse humilier une fois de trop ce qui aurait pu avoir des conséquences dommageable en Ukraine. Cette mission là est un succès et a permis de conforter à nouveau VZ dans son rôle. Il distingue clairement maintenant ses alliés des US. Les US vont être doucement cantonnés dans un rôle d'organisateur de cérémonies protocolaires mais inutiles.
  6. Le tourisme au US souffre franchement depuis l'arrivée de Trump : https://wttc.org/news/us-economy-set-to-lose-12-5bn-in-international-traveler-spend-this-year
  7. Interessant l'auteur laisse passer l'idée que Trump est désormais contraint par ses promesses électorales alors qu'il a désormais connaissance de ses échecs à contraindre VP à faire la paix.
  8. La relation US/Inde durablement affectée par Trump :
  9. ENtendu ce matin sur France Info. L'impression génrale est qu'il n'y a pas grand chose de concret qui sort de ce sommet. Tout le monde a parlé la langue de DT mais il n'y a pas de certitude concernant par exemple une date de rendez-vous ou un cessez le feu dont DT ne veut pas entendre parler suivant en celà ce que veut VP. Pourtant Merz est revenu dessus. QUant à la petite phrase en aparté avec Macron DT est jugé très naïf de croire que VZ arrètera la guerre juste pour la couleur orange des cheveux de Trump.
  10. Les bresilien ont resolu le problème en mettant leur banque central en unique tier de confiance. Je ne vois pas mieux comme tier de confiance. Plus vite on y viendra mieux ca sera.
  11. Alleluia. Je n'ai jamais compris pourquoi je devais payer des "inyermėdiaires de paiement" compte tenu de l'absence de services et de la possibilité offerte d'avoir 36000 intermédiaires entre ma caisse et mon compte.
  12. Je vois personnellement un autre intérêt à ce forum que la lecture d'autres opinions. Je suis personnellement à la recherche de la rationalisation des mes pensées dans la confrontation avec d'autres rationalités que la mienne. Je m'ennuie quand tout le monde pense comme moi. Donc je n'hésite jamais à prendre un contre pied si çà peut sortir le débat d'une bien pensance insipide. Quand j'étais à l'école je faisais pareil avec mes profs quand ils étaient trop près des ouvrages qu'on devait connaitre. Ca m'énervais qu'ils n'aillent pas au-delà des info disponibles dans les ouvrages scolaires.
  13. Qui connait PIX ? Et surtout est-ce qu'il y a un equivalent européen ? Perso si l'argent est poussée directement sur le compte des commerçant avec comme seul intermédiaire de paiement la banque centrale, jeveux çà pour moi ASAP, çà va permettre au commerçant de ne plus dépendre de plateformes très chers (et je parle en connaissance de causes) PIX, le Twint brésilien qui défie les Etats-Unis https://www.rts.ch/info/monde/2025/article/pix-le-systeme-de-paiement-bresilien-qui-bouscule-l-hegemonie-americaine-28962023.html PIX, le Twint brésilien qui défie les Etats-Unis / Tout un monde / 7 min. / le 7 août 2025 Au Brésil, le système de paiement instantané PIX rencontre un immense succès. Il est désormais même davantage utilisé que les cartes de crédit, permettant au Brésil de se détourner des solutions bancaires américaines. De quoi courroucer Washington, qui dénonce des "pratiques déloyales". Sur les étals du marché du Largo do Machado, à Rio de Janeiro, il est devenu courant de voir se glisser entre les fruits et les légumes une affichette dotée d’un code QR. Grâce à l'application PIX, les clients peuvent régler leurs achats en un seul clic via leur smartphone. Instantanément, l’argent est transféré d’un compte à l’autre, sans coût supplémentaire. Alors que la monnaie vient à manquer dans le pays, ce Twint à la brésilienne est révolutionnaire pour André, qui fait partie des 42% de travailleurs et travailleuses qui vivent de l’économie informelle au Brésil. "Il n’y a plus de monnaie ici", affirme-t-il dans l'émission Tout un monde. "Maintenant, tu dois rendre la monnaie avec des pièces de 10 centimes. Les pièces de 50 centimes et d’un réal, c’est terminé." Rapidité et absence de commissions Commerces physiques ou achat en ligne, transfert d’argent entre particuliers ou encore règlement d’une facture: PIX est devenu le principal moyen de paiement des Brésiliens et Brésiliennes. Il a largement dépassé les transactions par cartes bancaires et argent liquide, représentant aujourd’hui 76% des interactions bancaires. Le système de paiement séduit clients et vendeurs grâce à la rapidité des paiements et l’absence de commissions sur les transactions. "Avec certaines cartes de crédit, tu ne reçois l’argent que dans 10 ou 15 jours et parfois, je perds 30 à 40 réais", témoigne Monica, qui vend des robes pour enfant sur le marché. L'application PIX est désormais plus utilisée que les cartes de crédit au Brésil. [Reuters - Pilar Olivares] Colère américaine Cet engouement révolutionnaire a cependant provoqué l’ire de Donald Trump. L'application PIX de la Banque centrale brésilienne est en concurrence directe avec les grandes entreprises américaines comme Visa et Mastercard, à tel point que la Maison Blanche vient de lancer une enquête au Brésil pour "pratiques déloyales". >> Lire aussi : Les Etats-Unis lancent une enquête contre le Brésil pour d'éventuelles "pratiques commerciales déloyales" "Le Brésil a régulièrement essayé de créer ou d'adapter ses technologies pour être autonomes sur des secteurs stratégiques. Et cela crée certaines frictions avec Washington", indique le politologue Gaspard Estrada, membre de l’unité du Sud global à la London School of Economics. "Cela a été le cas de PIX, mais il y a également, dans l'industrie automobile par exemple, l'adoption de l'éthanol comme une source d'énergie pour les voitures, une technologie propre au Brésil." Avec 410 milliards d’euros échangés rien qu’en avril 2025, PIX s’impose comme un pilier du système financier brésilien. L’ampleur du succès a d'ailleurs poussé l’entreprise WhatsApp à abandonner son projet de paiement local. Désormais, les Etats-Unis craignent que les pays des BRICS s’allient sur la technologie de PIX pour contrer l’hégémonie américaine. "Il y a deux choses qui incommodent beaucoup le gouvernement Trump et les intérêts américains: la régulation des Big tech et ce que PIX pourrait représenter en termes de dommages pour le système bancaire global", explique l’économiste Mauro Rochelin. "PIX pourrait être le prototype d’un système pouvant devenir international, de manière gratuite et à travers un système public."
  14. herciv

    L'Inde

    Fais également preuve de respect quand tu parles de quelqu'un fusse-t'il un pauvre twittos indien et on sera d'accord. Je fais des remarques sur l'élocution de Tom Cooper sans l'avoir écouté ??? Je fais comment ? Un détail dans l'interview Tom Cooper dit que la distance de 315 km est confirmée et que çà en fait le kill awacs le plus long jamais enregistré.
  15. herciv

    L'Inde

    Je ne parle pas de l'émetteur du tweet qui ne m'intéresse pas mais de Tom Cooper.
  16. herciv

    L'Inde

    Tu ne connais absolument pas ses sources donc le traiter de clown me parait très insultant. Ca serait comme traiter les gens de notre forum de charlot parce qu'ils ne citent pas des sources de leur connaissance. Je rappel qu'on parle de militaires dont la nature même du travail font qu'ils doivent rester discrets. Que tu le veuilles ou non n'y change rien. Il y a bien des experts militaires dans le monde, considéré comme tel par les militaires justement. Ces militaires profitent de ces experts pour faire passer des messages qui seront rarement vérifiables. Il n'empèche que leurs publications sont scrutées.
  17. Je te répond ici pour ne pas rester dans le hors sujet sur un autre fil. Mon avis sur le sujet est que Rome ne s'est pas faite en un jour. Tu fais remarquer à juste titre qu'on a encore du chemin à parcourir avant de pouvoir remplacer les US c'est le verre à moitié vide. Moi je pense qu'il faut aussi faire remarquer que le verre est à moitié plein et que la situation a très fortement évolué depuis 3 ans. Sur le plan financier : l'Europe a remplacé les US Sur le plan industriel : l'Europe a déjà bien comblée son retard et continue de convertir ses ressources industrielles Sur le plan de la population : l'Europe a toujours cet avantage stratégique très large sur la Russie Sur le plan politique : c'est en cours. Aujourd'hui l'Europe reprend la main sur sa géostratégie et constate sa divergence avec les US Et effectivement sur le plan militaire on manque encore de répondant. Mais puisque la politique semble devenir cohérente avec une indépendance avec les US je pense que les choses vont continuer à évoluer à bas bruit.
  18. L'Allemagne pose les bases de sa présence dans l'Indo-pacifique et de sa relation géostratégique avec la Chine. Ce faisant elle débloque un verrou pour pouvoir intervenir au côté d'autres puissances européenne dans cette région. Pour Berlin, le « comportement de plus de plus agressif de la Chine » peut avoir des « répercussions en Europe » https://www.opex360.com/2025/08/18/pour-berlin-le-comportement-de-plus-de-plus-agressif-de-la-chine-peut-avoir-des-repercussions-en-europe/ par Laurent Lagneau · 18 août 2025 FacebookXLinkedInGoogle TranslateEmailCopy Link Partager Il n’y a pas si longtemps encore, l’Allemagne entretenait de bonnes relations avec la Chine, son premier partenaire commercial, avec environ 250 milliards d’euros de marchandises échangées en 2023. Et cela alors que l’Otan avait affirmé que Pékin posait un « défi systémique » à la sécurité euro-atlantique. Ainsi, dans ses lignes directrices pour l’Indopacifique, publiées en 2021, Berlin avait dit vouloir nouer de nouvelles relations commerciales avec les pays de la région partageant une « même compréhension de la démocratie » tout en prônant le dialogue pour résoudre les conflits territoriaux, en particulier en mer de Chine, dont la quasi-totalité est revendiquée par Pékin. En clair, il s’agissait d’être ferme sur les principes tout en évitant de froisser la Chine pour des raisons économiques. Cependant, l’Allemagne a commencé à infléchir sa position en envoyant la frégate « Baden-Württemberg » et le navire-ravitailleur « Frankfurt am Main » dans le détroit de Taïwan en septembre 2024. Chose qu’elle s’était gardée de faire lors des précédents déploiements de la Deutsche Marine en Indopacifique. La réaction de Pékin ne s’était pas fait attendre. « Le principe d’une seule Chine est une norme fondamentale dans les relations internationales, qui fait l’objet d’un consensus international dominant. La question de Taiwan ne concerne pas la liberté de navigation mais la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Chine », avait affirmé le ministère chinois des Affaires étrangères, avant d’exhorter Berlin à éviter « toute ingérence » pouvant « mettre en péril le développement sain et stable des relations bilatérales ». Avant les élections fédérales anticipées de février dernier, celui qui allait succéder à Olaf Scholz à la tête du gouvernement allemand, Friedrich Merz, avait prévenu. « La décision d’investir en Chine est une décision à haut risque. […] Si vous prenez ce risque, faites-le de manière à ne pas mettre en danger l’ensemble du groupe, si vous devez amortir cet investissement d’une année sur l’autre », avait-il dit, lors d’un échange à la Fondation Körber, à Berlin, avec les milieux économiques d’outre-Rhin. « La Chine n’est pas un État de droit » et « sa situation économique est plus plus difficile que ce que nous pouvons en voir en ce moment de l’extérieur », avait-il insisté. Puis, en juillet, alors que le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, venait de se féliciter d’avoir eu avec son homologue allemand, Johann Wadephul, un dialogue « pragmatique, franc et constructif » ayant permis de « renforcer la compréhension mutuelle et d’élargir le consensus entre les deux parties », la Bundeswehr accusa un navire de l’Armée populaire de libération [APL] d’avoir pointé un laser vers l’un de ses avions de renseignement alors engagé dans l’opération EUNAVFOR Aspides, en mer Rouge. Quoi qu’il en soit, les relations entre l’Allemagne et la Chine ont désormais changé de nature… Ce 18 août, après s’être entretenu avec son homologue japonais, Takeshi Iwaya, le chef de la diplomatie allemande a accusé Pékin de « modifier unilatéralement » les frontières de la région indopacifique, en adoptant un comportement « de plus en plus agressif ». « La Chine menace régulièrement, plus ou moins ouvertement, de modifier unilatéralement le statu quo et de déplacer les frontières en sa faveur », a en effet affirmé M. Wadephul. « Toute escalade dans cette plaque tournante sensible du commerce international aurait de graves conséquences pour la sécurité et l’économie mondiales », a-t-il insisté. Vingt-quatre heures plus tôt, le ministère allemand des Affaires étrangères avait publié une déclaration pour dénoncer la « remise en question des principes du droit international » par Pékin. La Chine « affirme de plus en plus sa suprématie régionale et, ce faisant, remet également en question les principes du droit international » et son « comportement de plus en plus agressif dans le détroit de Taïwan et en mers de Chine orientale et méridionale a également des implications pour nous en Europe : les principes fondamentaux de notre coexistence mondiale sont en jeu », a-t-il fait valoir. Par ailleurs, M. Wadephul a également critiqué le soutien apporté par la Chine « à la machine de guerre russe » en Ukraine. Et d’ajouter : « Sans ce soutien, la guerre d’agression contre l’Ukraine ne serait pas possible. La Chine est le plus grand fournisseur de biens à double usage de la Russie et son meilleur client pour le pétrole et le gaz ». Encore une fois, la diplomatie chinoise n’aura pas tardé à réagir. « Nous exhortons les parties concernées à respecter les pays de la région, à résoudre les problèmes par le dialogue et la consultation, et à préserver les intérêts communs de paix et de stabilité, plutôt que de susciter des confrontations et d’exagérer les tensions », a fait valoir Mao Ning, l’une de ses porte-paroles, lors d’une conférence de presse. « La question de Taïwan fait partie des affaires intérieures de la Chine », a-t-elle insisté.
  19. Oui mais avoir des ordres de grandeur en tête permet aussi de se faire une image des possibilités stratégiques de chacun. 300 km c'est la moitié de la plus petite largeur du Pakistan.
  20. C'est inhérent à un blog comme AD.net travaillant sur des sujets militaires de natures souvent secrète. On est obligé de faire dans le plausible. En gros les awacs ont possiblement causé des difficulté à la chasse indienne et ukrainienne. Mais ces AWACS ne sont pas invulnérables particulièrement contre une DSA à très longue portée et fonctionnant en maillage redondant par nature. La portée de ces solutions rend les opérations d'AWACS très risquées. Ce n'est pas à nous d'en définir les portées exactes mais par contre de comprendre que les AWACS ne peuvent opérer si ils n'ont pas la portée et la profondeure stratégique pour le faire.
  21. On n'aura jamais ces preuves. Mais on voit bien que cette capacité pose un problème aux pakis. Elle a aussi probablement posé un problème au A-50 russe et surtout pourrait poser un problème à tous déploiement de AWACS dans le rayon d'action très profond de ces DSA à longue portée. D'une certaine manière çà explique les difficultés avec le wedgetail aux US et pour l'OTAN et le passage à des constellations satellitaires.
  22. Le principal moteur de ces partis ce sont les financements et avec les USA qui lèvent le pied sur toute forme d'aide les financements et donc l'alignement sur les positions du financeur vont être plus compliqué.
  23. Ah tu penses aux nationalismes européens. Mais que valent ces nationalismes avec des US aux abonnés absents ? Qui va les financer maintenant ? Les russes ? Les chinois ? A part un soutien orale qui ne coûte rien que peut faire DT avec eux ? Il a coupé les aides avec la fin de "USA Aids". Qui pour croire que les US sont encore un modèle à suivre ? Marine ? Méloni ? Que je sache Méloni s'aligne sur la position européenne, elle fait parti du voyage. Les nationalisme prospéraient tant que les européens avaient conscience qu'ils ne trouveraient leur salut que dans un deus ex machina non européen. Ce deus a maintenant démontré qu'il a des pieds d'argile et chaque européens va maintenant constaté que l'Europe ne trouvera de solution que dans l'unité géostratégique.
  24. herciv

    L'Inde

    Il semble avoir vérifié lui-même certaines données mais oui on n'y a pas accès. Tout çà a commencé quand Trump a fait venir les pakis aux US. Modi a compris que la relation avec les US ne pourrait pas être équilibrées. A partir de là la brouille s'est installée. Elle s'est d'autant plus installée que les US ont très fortement redéfini leur rôle dans le monde. Ce qui est dors et déjà le cas en Europe. Partant de là Modi ne peut plus compter sur l'hyperpuissance qu'étaient les US et doit donc repenser sa géostratégie dans la région.
  25. Tout ce que je voulais dire c'est que l'hyperpuissance US n'est plus. Ils perdent leur hyperpuissance en Europe puisque leur géostratégie n'est plus alignable sur la géostratégie européenne. Je me demande également si l'Inde ne prend pas ses distance avec les US en constatant l'aide US trop affirmé avec le Pakistan.
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