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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. C'est pas un simple principe. C'est un fait geostratégique qui se prend dans le sang. Actuellement c'est le sang Ukrainien qui coule et qui va permettre a l'Europe de verouiller sa frontière est. Il appartient a VZ de dire où exactement. Non elle était hors champ. Elle ne l'est plus. Et ca commence aujourd'Hui.
  2. Les pétroliers US sont en train de se reinstaller en Russie.. Ca veut dire normalisation US/Russie. Donc l'Europe est maintenant seule. Dt assure le spectacle mais les US sont revenus sans les lauriers de la victoire d'Anchorage. Leur statut de super-puissance en Europe est de l'histoire ancienne puisque les européens ne sont pas prêt a laisser tomber les ukrainiens.
  3. Il y a passage de témoin et çà se fait aujourd'hui. L'Europe est dors et déjà en train de se substituer aux US. Il ne reste que le champ du rens pour lequel je ne sais pas où les européens en sont par rapport aux US. La vision européenne est simple. On aide VZ tant qu'il en a besoin et c'est lui qui dit pouce ou encore. Est-ce que VZ envisage encore de reprendre les 4 Oblast et la Crimée ? J'en sais rien mais vu la redéfinition de la géostratégie actuelle j'imagine qu'il va devoir donner ses objectifs. J'imagine que l'Europe a intérêt à une large défaite de Poutine mais pas à une humiliation de lu Russie. Le principe réaffirmer par Macron hier était le respect des frontières actuelles de chaque pays. Que Poutine et la Russie démontrent qu'ils ne sont pas en mesure d'aliéner ces frontières serait un très bon message urbi et orbi.
  4. Euh non çà va beaucoup plus loin que çà. La séquence qu'on vient de vivre avec Trump et le commentaire de Rubio vont tous les deux dans le même sens : les US ne peuvent plus peser dans la résolution de cette guerre. Je sais que c'est confortable de croire que c'est un problème de volonté mais c'est de plus en plus un problème capacitaire et industriel. Les US sont obligé de choisir qui ils veulent aider et ils ont choisi Israël ... pour l'instant. Les européens sont maintenant lancé. Ils affirment leur leadership à la place des US en Europe en allant procéder au passage de témoin aujourd'hui.
  5. Je crois que l'arrimage de Trump est un leurre. Le but est bien d'affirmer que rien ne se fera en Ukraine sans l'accord des européens. La réunion de cet après-midi est là pour montrer que les européens sont tous d'accord et avancent de façon commune pour soutenir VZ. Dans le lien ci-dessous on a quand l’aveu par Rubio que les US ne sont pas en mesure de faire bouger les lignes d'un côté ou de l'autre. Certe il prétend que la décision appartient aux ukrainiens mais elle appartient aux ukrainiens parce les européens sont derrière et alimentent les moyens ukrainiens. Les US ne sont plus en mesure de peser sur les décisions des ukrainiens. Ils ne sont plus indispensable à la résolution de ce conflit contrairement aux européens. Ce qu'il faut savoir avant la rencontre entre Trump et Zelensky https://www.latribune.fr/economie/international/ce-qu-il-faut-savoir-avant-la-rencontre-entre-trump-et-zelensky-1031242.html Donald Trump reçoit lundi à la Maison Blanche Volodymyr Zelensky, accompagné de plusieurs dirigeants européens. Une rencontre décisive, alors que les alliés de Kiev ont tenu dimanche une visioconférence pour affirmer leur position commune face au plan de paix défendu par le président américain. Publié le 17/08/25 à 17:20 Donald Trump a défendu à l'issue de son sommet en Alaska avec Vladimir Poutine un accord de paix sans trêve préalable. Evelyn Hockstein Après plus de trois ans et demi de guerre en Ukraine, les lignes diplomatiques bougent à grande vitesse. Le sommet en Alaska entre Donald Trump et Vladimir Poutine a relancé la perspective d'un accord global, mais sans cessez-le-feu préalable, un scénario qui inquiète Kiev et ses soutiens. Les Européens, qui redoutent un marché conclu au détriment de l'Ukraine, entendent afficher leur unité en accompagnant Volodymyr Zelensky à Washington. Le président ukrainien à la Maison Blanche accompagné de dirigeants européens Volodymyr Zelensky sera accueilli lundi après-midi dans le Bureau ovale, six mois après un premier rendez-vous marqué par une humiliation télévisée. Cette fois, plusieurs dirigeants européens l'accompagneront, parmi eux Emmanuel Macron, Friedrich Merz, le chancelier allemand, Giorgia Meloni, la Première ministre italienne, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Mark Rutte, patron de l'Otan. Leur présence vise à afficher l'unité européenne et à peser dans les discussions avec Washington et Moscou. Le président ukrainien a aussi participé dimanche à une visioconférence qui réunissait la « Coalition des volontaires » avec comme ordre du jour l'examen ce que pourraient être les contours d'un éventuel accord de paix entre l'Ukraine et la Russie. LaCoalition des volontaires veut«une paix robuste et durable» (Macron) « Nous voulons la paix, une paix robuste, durable, c'est-à-dire respectueuse du droit international qui est précédé par la restitution des prisonniers, des enfants et qui permet de s'installer dans la durée, c'est-à-dire qui respecte la souveraineté et l'intégrité territoriale de tous les pays » a déclaré Emmanuel Macron après deux heures d'un visioconférence qui a réuni dimanche la Coalition des volontaires, une trentaine de pays majoritairement européens. « Une paix qui en aucun cas ne saurait être une capitulation, une paix qui en aucun cas ne peut se faire au détriment de la sécurité des Européens. » » a insisté le chef de l'Etat, qui a aussi salué les efforts de Donald Trump pour parvenir à un accord. « Si nous sommes faibles aujourd'hui, nous préparons les conflits de demain et ils toucheront les Ukrainiens. Et ne nous trompons pas, ils peuvent aussi nous toucher au moment même où notre pays continue d'être de manière régulière attaqué sur le plan cyber, sur le plan de l'information ou dans des espaces contestés du maritime au spatial. Donc pas de faiblesse. » Il insiste : « Nous n'y allons pas seulement (à la Maison Blanche) pour accompagner Volodymyr Zelensky, mais aussi pour défendre les intérêts des Européens ». Les Etats-Unis menacent la Russie de nouvelles sanctions Donald Trump a défendu à l'issue de son sommet en Alaska avec Vladimir Poutine un accord de paix sans trêve préalable. Selon des diplomates européens, il soutient une proposition russe renforçant la présence de Moscou dans l'est de l'Ukraine et gelant le front à Kherson et Zaporijjia. « Le président russe demande dans les faits que l'Ukraine quitte le Donbass », confiait un responsable européen. « De grands progrès sur la Russie. A suivre ! », a posté Donald Trump sur son réseau Truth Social. « Les Russes ont fait certaines concessions concernant l'ensemble des cinq régions. Il y a une importante discussion sur Donetsk et ce qui se passera là-bas », a assuré dimanche l'émissaire américain Steve Witkoff. Sur CBS, le secrétaire d'Etat Marco Rubio a estimé de son côté que « les États-Unis ne sont pas en position d'accepter quoi que ce soit ou de rejeter quoi que ce soit, car en fin de compte, cela dépend des Ukrainiens ». Il a aussi menacé la Russie de nouvelles sanctions si un accord n'est pas conclu. Lié par la Constitution qui interdit toute concession territoriale, Volodymyr Zelensky a répété que l'absence de cessez-le-feu « compliqu(ait) la situation », tout en se disant « reconnaissant de l'invitation » à Washington. Sa priorité est d'obtenir des garanties concrètes de sécurité. Donald Trump a évoqué une clause de protection similaire à l'article 5 de l'Otan, mais hors du cadre de l'Alliance, que Moscou juge menaçante. Une guerre toujours active Sur le terrain, la Russie contrôle environ 20 % du territoire ukrainien. Dans la nuit de samedi à dimanche, Kiev et Moscou se sont mutuellement attaqués avec des drones, faisant plusieurs victimes. Le conflit, le plus sanglant en Europe depuis 1945, se poursuit donc sans relâche alors que les discussions diplomatiques s'intensifient.
  6. Les S-400 indiens ont abattu un saab à 315 kilomètre de portée très largement à l'intérieur du territoire paki. Non seulement il faudra que les drones aient une portée importante mais en plus il faudra la profondeur stratégique pour les employer.
  7. herciv

    L'Inde

    Les indiens sont sur le qui-vive avec les paki. Ils le sont d'autant plus que la brouille avec les US atteint un niveau important au point qu'ils penses que les US poussent les paki à agir pour trainer modi dans la boue. Honnêtement jusqu'à maintenant je regardais çà d'un œil distrait prenant çà pour la brouille habituelle entre paki et indien sur les réseaux et avec quelques accrochages à la frontière. Le problème c'est que la brouille avec les US va croissante. Les discussion commerciales prévues en août entre l'Inde et les US ont été annulées sur des motifs qui semblent fallacieux. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/les-etats-unis-annulent-les-discussions-commerciales-prevues-avec-l-inde-en-aout-selon-ndtv-profit-ce7c51dfda8ff227
  8. herciv

    L'Inde

    A ce propos un bilan des kills sur L'armée de l'air Paki (sol ou air) par Tom Cooper. (je ne sais pas ce qu'il a mais son énonciation n'est pas fluide)
  9. Pour l'instant le fier matamore c'est Trump. Il parle, il fait la grande gueule mais il n'obtient rien ni de VZ ni de VP ... et pour cause. Il n'est plus le principal donateur. La casquette de matamore a changé de crâne.
  10. herciv

    L'Inde

    Les indiens ne lâchent pas beaucoup d'infos mais il semble bien que les frappes de précision sont principalement dues aux Rafales de l'escadron. Le reportage s'inscrit dans le marketing de l'IAF pour acheter plus de rafales.
  11. Oui totalement d'accord. Je viens également de voir un article qui montre que l'Europe est passé devant devant les US en terme d'aide militaire cette année. Mon point de vue est que l'Europe ne pouvait pas remplacer les US au pied levé en Ukraine. Elle est malgré tout en train de réaliser une réorganisation importante dans son industrie et dans on organisation militaire. Elle a encore besoin de temps pour tout mettre en place et ne peut donc pas trop brusquer Trump. Il n'empèche que le message de tous ces chefs d'états faisant le déplacement en appui à VZ est beaucoup plus lisible et ferme que ce qu'on a vu jusqu'à maintenant.
  12. Celui-là c'est pour rigoler : https://www.independent.co.uk/news/world/americas/us-politics/trump-sues-amazon-ebay-counterfeit-maga-merch-b2797634.html La société du président Donald Trump serait en train de poursuivre les commerçants en ligne qu’elle accuse de vendre des « imitations inférieures » non officielles de produits de marque Trump sur des marchés tels qu’Amazon, Walmart et eBay.
  13. EN rythme annualisé c'est calculé en trimestre glissant donc le titre n'est pas forcément mauvais, mais imprécis. En année calendaire ton interprétation est la bonne et c'est aussi la plus lisible. En gros la guerre aurait coûté 0,5 point de PIB sur 2025.
  14. Les irakiens tentent de contrôler leurs frontières et passe des memorandum d'accord avec les iraniens. Mais les US veillent pour que Israël continu à pouvoir voler au-dessus du territoire irakien. Bref les irakiens sont entre le marteau et l'enclume. Un nouvel accord de sécurité avec l'Irak pour assurer la stabilisation régionale, selon l'Iran https://www.iranintl.com/en/202508177184 Les gardes frontière irakiens sont vus à la frontière entre l'Irak et l'Iran après qu'il a partiellement rouvert le point de passage de la frontière de Chalamcheh, en Irak, le 7 juillet 2020. Le plus haut responsable de la sécurité de l'Iran a déclaré que le nouvel accord de sécurité signé par Téhéran et Bagdad la semaine dernière vise à empêcher les puissances étrangères de déstabiliser la région, tandis que l'Irak a minimisé le pacte comme un simple accord frontalier. « Nous ne devons pas permettre à d'autres de déstabiliser la région. Au lieu de cela, nous devrions préserver la stabilité sur cette voie. C’est pourquoi nous avons signé un important accord de sécurité avec l’Irak », a déclaré Ali Larijani, secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien, dans une interview télévisée sur sa récente visite à Bagdad et au Liban. L’accord comprend « un engagement mutuel visant à prévenir toute perturbation par des individus, des groupes ou des pays tiers de manière à ce qu’aucune partie ne puisse utiliser le territoire de l’autre partie contre l’autre partie ou créer des atteintes à la sécurité », a déclaré M. Larijani. Il a lié l'accord aux récentes tensions régionales, en disant que « même dans la guerre de 12 jours passées, cette question a été prise en considération ; une partie de la guerre a été soutenue par le ciel de certains pays », se référant aux nations, selon les nations, selon l'Iran, a soutenu les attaques israéliennes contre l'Iran. Mercredi, cependant, l'avis de sécurité nationale de l'Irak a publié une clarification rejetant les rapports d'un nouvel accord, soulignant au lieu de cela qu'un protocole d'accord sur la sécurité des frontières avait été signé. L'avis a déclaré que l'accord s'appuyait sur un protocole de 2023 concernant les groupes d'opposition kurdes iraniens. Il a souligné qu'« il n'y a pas d'accord sur la sécurité entre les deux pays; il s'agit plutôt d'un mémorandum d'accord sur la sécurité ». Washington fait part de l'opposition Le conseiller irakien à la sécurité nationale, Qassem al-Araji, a rencontré samedi le Chargé d'affaires américain Steven Fagin pour discuter de l'accord, auquel Washington s'est opposé. Au cours de leur réunion, Araji « a examiné les détails du mémorandum d'accord de sécurité signé entre l'Iraq et la République islamique d'Iran concernant le contrôle des frontières, qui contribue à soutenir la sécurité et la stabilité régionales, à prévenir la contrebande et l'infiltration », a déclaré son bureau. Washington, cependant, a fait valoir que l'accord sapait la souveraineté irakienne. « Nous nous opposons à toute législation incompatible avec les objectifs de notre aide et de notre partenariat bilatéraux en matière de sécurité et nous l’opposons pour renforcer les institutions de sécurité existantes de l’Irak », a déclaré mardi le porte-parole du Département d’État, Tammy Bruce. « Nous soutenons une véritable souveraineté irakienne, et non une législation qui ferait de l’Irak un État satellite iranien », a-t-elle ajouté.
  15. La guerre avec l'Iran est visible dans les chiffres de l'économie israélienne : L'économie israélienne a diminué de 3,5 % au deuxième trimestre https://en.globes.co.il/en/article-israels-economy-shrank-at-35-in-q2-1001519148 L'économie israélienne a été durement touchée par la fermeture de deux semaines en juin lors de l'opération en Iran, rapporte le Bureau central de statistique. L’économie israélienne a diminué à un taux annualisé de 3,5 % au deuxième trimestre, selon les estimations initiales du Bureau central de statistique. En termes trimestriels, il s'agit d'une diminution de 0,9 %. Le produit intérieur brut (PIB) par habitant a chuté de 4,4 % en termes annuels et le PIB des entreprises de 6,2 %. Toutes les composantes du PIB ont chuté au deuxième trimestre. La consommation privée a chuté de 4,1 %, la consommation publique de 1 %, les investissements en immobilisations ont chuté de 12,3 % et les exportations (à l'exclusion des start-ups et des diamants) ont chuté de 3,5 %. Les importations, en revanche, ont augmenté de 3,1 %. Le Bureau central de statistique note que les données "ont été considérablement affectées par l'opération en Iran, en particulier les dépenses de consommation privée et les investissements dans les immobilisations", qui ont diminué de 4,1 % et 12,3 % respectivement. Ces chiffres sont conformes à l'évaluation de l'économiste en chef du ministère des Finances il y a quelques jours, prévoyant un succès pour l'économie au deuxième trimestre de 2025, en raison de la fermeture de l'économie pendant environ deux semaines en juin pendant l'opération Iran. L'économiste en chef voit une compensation partielle au troisième trimestre, « basée sur l'expérience passée ». En effet, en juillet et août, il y a déjà eu une certaine indication de reprise dans certaines des données, avec la stratège en chef des marchés financiers de la Banque Hapoalim, Modi Shafrir, qui a déclaré que les achats de cartes de crédit à la consommation ont augmenté de 13,4 % en juillet et en août par rapport à la période correspondante de l'année dernière et de 3,7 % rien que la semaine dernière. À la suite du dernier scénario de guerre, le ministère des Finances a récemment revu à la baisse les prévisions de croissance pour 2025 de 0,5 %, passant de 3,6 % à 3,1 %.
  16. EH ben la présidente danoise n'y va pas par quatre chemin : Netanyahou est devenu un «problème», déclare le Premier ministre danois, veut que l’UE évalue les sanctions https://www.timesofisrael.com/netanyahu-has-become-a-problem-says-danish-pm-wants-eu-to-weigh-sanctions/ La dirigeante du centre, Mette Frederiksen, affirme son soutien à l'État hébreu, mais dit qu'il est allé «trop loin»; la France fait exploser un plan de colonisation de l'E1 en tant que «colonisation», «violation grave» Par AFP et Personnel de l'aide à l' 16 août 2025, 19h58 20 Le Premier ministre danois, Mette Frederiksen, prononce son discours alors que le Danemark assure la présidence tournante du Conseil de l'Europe, le 8 juillet 2025 au Parlement européen à Strasbourg, dans l'est de la France. (AP Photo/Pascal Bastien) Le Premier ministre danois, Mette Frederiksen, a déclaré samedi que son homologue israélien Benyamin Nétanyahou est devenu un « problème », ajoutant qu’elle tenterait de faire pression sur l’État hébreu au cours de la guerre de Gaza, son pays assurant actuellement la présidence de l’Union européenne. Les commentaires s’inscrivent dans un contexte de pression internationale croissante sur la part de l’État hébreu pour la guerre avec le Hamas dans la bande de Gaza, en particulier de la part des alliés européens d’Israel et de l’UE elle-même. « Netanyahou est maintenant un problème en soi », a déclaré Frederiksen dans une interview au quotidien de Jyllands-Posten, notant que le Danemark se tient depuis longtemps à côté d’Israel, et qu’elle est personnellement déterminée à poursuivre ce soutien. La Premier ministre danoise a déclaré qu'elle pensait qu'il serait mieux loti sans que Netanyahou soit responsable, affirmant que le gouvernement actuel agit contre les intérêts du pays, bien qu'elle ait précisé qu'il s'agissait d'une question pour les Israéliens. Le dirigeant danois de centre-gauche a également décrit la situation humanitaire à Gaza comme « absolument effroyablement et catastrophique ». Get The Times of Israel's Daily Edition par courriel et ne manquez jamais nos meilleures histoires Adresse électronique de la lettre d'information En vous inscrivant, vous acceptez les conditions Le gouvernement israélien va « trop loin », a-t-elle ajouté, condamnant également la violence des colons et le nouveau plan de colonisation pour construire plus de 3 000 logements dans la zone E1 de la Cisjordanie, que le ministre des Finances Bezalel Smotrich a annoncé mercredi. Le Premier ministre danois, Mette Frederiksen, prononce son discours alors que le Danemark assume la présidence tournante du Conseil de l'Europe, le 8 juillet 2025 au Parlement européen à Strasbourg, dans l'est de la France. (AP Photo/Pascal Bastien) « Nous sommes l’un des pays qui veulent accroître la pression sur l’État hébreu, mais nous n’avons pas encore obtenu le soutien des membres de l’UE », a-t-elle déclaré. Frederiksen a ajouté qu’elle voulait envisager « la pression politique, les sanctions, que ce soit contre les colons, les ministres, ou même l’ensemble de l’État hébreu », se référant aux sanctions commerciales ou à la recherche. « Nous n'excluons rien à l'avance. Tout comme la Russie, nous concevons les sanctions pour cibler les domaines dans lesquels nous pensons qu’elles auront le plus grand effet », a ajouté M. Frederiksen. Lorsqu'on lui a demandé si le Danemark envisageait de rejoindre ses voisins scandinaves et d'autres pays européens pour reconnaître un État palestinien, la première ministre danoise a déclaré que son pays ne le ferait pas tant que le Hamas contrôlera toujours de grandes parties des territoires revendiqués par les Palestiniens pour un futur État. Le Danemark ne veut pas « récompenser » le Hamas, a-t-elle déclaré, après que le groupe terroriste eut déclenché la guerre à Gaza avec son invasion israélienne le 7 octobre 2023, tuant quelque 1 200 personnes et prenant 251 otages. Le ministère de la santé à Gaza, dirigé par le Hamas, affirme que plus de 61 000 personnes dans la bande de Gaza ont été tuées ou sont présumées mortes dans les combats jusqu'à présent, bien que le nombre de victimes ne puisse pas être vérifiée et ne fasse pas de différence entre les civils et les combattants. Les Palestiniens déplacés traversent un camp de fortune le long de la plage de Gaza, le 10 août 2025. (AP Photo/Jehad Alshrafi) La France lance des plans E1 comme «ccolonisation» S’ajoutant aux récentes condamnations du nouveau plan de règlement E1, la France a qualifié samedi le projet de « grave violation du droit international ». Un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a déclaré que Paris « condamne avec la plus grande fermeté » le plan. La France a déclaré qu'elle « réitérait sa condamnation de la colonisation » et a déclaré qu'elle « reste mobilisée aux côtés de ses partenaires européens pour accroître la pression sur Isra-l pour qu'il mette fin à la colonisation, y compris par le biais de nouvelles sanctions contre les individus et entités responsables de la colonisation ». Plusieurs pays, ainsi que l'ONU, ont condamné vivement le projet E1, affirmant qu'il sape les espoirs d'un futur État palestinien d'un seul tenant avec Jérusalem-Est pour capitale. Le ministre des Finances Bezalel Smotrich assiste à une conférence de presse annonçant son intention d'approuver plus de 3 000 unités d'habitation dans le cadre du projet de colonisation de la E1 entre Jérusalem et Ma'ale Adumim le 14 août 2025. (Yonatan Sindel/Flash90) La construction potentielle du nouveau quartier de Ma'ale Adumim dans la zone dite E1 est depuis longtemps une cause d'inquiétude au sein de la communauté internationale. Elle diviserait la Cisjordanie en régions du nord et du sud et empêcherait le développement d'une métropole palestinienne qui relie Jérusalem-Est à Bethléem et Ramallah, ce que les Palestiniens espéraient depuis longtemps servir de fondement à leur futur État. Au cours de la guerre des Six Jours de 1967, il s'est emparé de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est de la Jordanie, ainsi que la bande de Gaza, en Israel. Les Palestiniens veulent les trois zones pour un État. La plupart des membres de la communauté internationale considèrent les colonies comme illégales et constituent un obstacle au règlement du conflit de longue date. Il a annexé Jérusalem, mais s'est abstenu de prendre la marche en Cisjordanie. Les dirigeants de l'extrême droite, y compris Smotrich, ont également fait pression pour qu'il rétablisse les colonies de peuplement à Gaza dans le contexte de la guerre en cours dans ce pays.
  17. Perso çà me conforte dans mon opinion que les européens sont beaucoup trop suiveurs des US. Le problème c'est d'accepter que la norme viennent des US. L'OTAN va réévaluer le plan d'acquisition de l'E-7A Wedgetail après les États-Unis Retrait du programme https://militarnyi.com/en/news/nato-to-reevaluate-e-7a-wedgetail-acquisition-plan-following-u-s-withdrawal-from-program/ L'OTAN prévoit de reconsidérer sa décision concernant l'achat d'avions d'alerte et de contrôle aériens aéroportés de Boeing E-7A Wedgetail après que les États-Unis ont annoncé leur retrait du programme. Selon Opex360, l'OTAN avait l'intention d'acquérir 14 E-7A Wedgetail pour remplacer la flotte vieillissante de E-3 Sentry, qui est en service depuis plus de 40 ans. L'achat et l'exploitation du nouvel avion AEW-C devaient être financés grâce aux efforts conjoints de huit pays de l'OTAN, dont les États-Unis, qui étaient la principale partie et prévoyaient d'acquérir 26 appareils de ce type pour son armée de l'air. Cependant, en juin 2025, le Pentagone a annulé le programme d'acquisition de l'E-7A pour les États-Unis. L'armée de l'air, citant le coût élevé, qui est passé de 588 millions de dollars à 724 millions de dollars par avion, et des doutes quant à leur capacité de survie dans des environnements de combat modernes. Au lieu de cela, les États-Unis prévoient d'utiliser des avions E-2D Hawkeye et des systèmes de surveillance spatiaux, y compris le projet Golden Dome. En cas de retrait final des États-Unis du programme, une autre solution à envisager est l'avion suédois Saab GlobalEye AWA-C, qui a déjà été commandé par la Suède et la France, le Danemark le considérant également comme un remplacement potentiel. Les analystes notent que la décision des États-Unis pourrait conduire à une flotte mixte d'avions AEW-C au sein de l'OTAN, ce qui compliquerait la normalisation et l'interopérabilité entre les forces. Par exemple, le Royaume-Uni a déjà commandé trois avions E-7A, la Turquie possède quatre avions E-7T, et la Suède est en train de passer au GlobalEye, qui est activement proposé pour l'exportation en tant qu'alternative aux avions américains. À l'heure actuelle, le débat se poursuit aux États-Unis. Congrès concernant la renaissance potentielle du programme E-7A, car certains législateurs pensent que son annulation pourrait affaiblir la disponibilité des États-Unis. L'armée de l'air d'ici la fin des années 2020. Militarnyi a précédemment rapporté que Saab et la Direction générale des Armements (DGA) de la France avaient signé une lettre d'intention pour acheter des avions d'alerte rapide et de contrôle de GlobalEye. Selon le communiqué de presse de Saab, l'accord prévoit l'achat de deux avions, avec une option pour deux autres. Il couvre également un ensemble complet de soutien, y compris le matériel au sol, la formation de l'équipage et l'assistance technique
  18. Je rebondissais sur le lien de @Ciders : https://www.npr.org/2025/08/16/nx-s1-5504196/trump-putin-summit-documents-left-behind
  19. Eh ben on peut comprendre çà de plein de façon mais globalement Xi continue à mettre la pression sur Taïwan. Peut-être que l'heure n'est pas encore venue.
  20. VZ à Washington lundi accompagné de Macron, Starmer, UVL et toute la clique. Il sera difficile de lui refaire le coup de l'engeulade. https://news.sky.com/story/eu-commission-president-among-european-leaders-to-accompany-zelenskyy-to-trump-talk-13413375 Pourquoi zelenskyy apporte-t-il un groupe de dirigeants européens aux États-Unis pour des pourparlers de paix? La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré qu'elle se joindrait à la conférence "à la demande du président zelenskyy", ajoutant qu'elle "et d'autres dirigeants européens" se réuniront à la Maison Blanche lundi. À partir de février 2025 : Donald Trump a crié à Volodymyr zelenskyy alors que la rencontre tant attendue entre les deux dirigeants est tombée dans la colère et l'acrimonie Une troupe de dirigeants européens se joindra à la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr zelenskyy à Washington. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré qu'elle se joindrait à la conférence "à la demande du président zelenskyy", ajoutant qu'elle "et d'autres dirigeants européens" se réuniront à la Maison Blanche lundi. Le chancelier allemand Friedrich Merz, le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre italien Giorgia Meloni, le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte et le président finlandais Alexander Stubb, sont également appelés à s'y associer. L'amitié de M. Stubb avec M. Trump aurait fleuri depuis que la paire s'est liée à son amour du golf lors d'un tournoi à Mar-a-Lago en mars. Suivre les derniers développements concernant la guerre en Ukraine M. Stubb a précédemment déclaré que M. Trump était "la seule personne qui peut négocier un accord affirmant que le président américain était "le seul dont Poutine a peur". L'introduction d'une bande de dirigeants pourrait être une tentative de M. zelenskyy d'empêcher une répétition de la tristement célèbre épreuve de force Oval Office avec M. Trump et le vice-président, JD Vance, en février. Ils devaient discuter d'un éventuel cessez-le-feu avec la Russie et d'un accord minier entre l'Ukraine et les États-Unis, mais leur réunion est tombée dans le chaos lorsque M. Vance a réprimandé le dirigeant de l'Ukraine pour son de gratitude pour l'aide américaine - devant les médias. Il a mené une embuscade à M. zelenskyy en se moquant de lui pour ne pas porter de costume, M. Trump ajoutant que l'Ukrainien n'avait pas "haut les cartes maintenant avec nous". La réunion désastreuse s'est terminée par le fait que M. zelenskyy quittant prématurément la Maison Blanche. Plus tard, il a déclaré que le bust-up n'était « pas bon pour les deux côtés ». Lors du sommet américano-russe de vendredi, M. Trump (quite littéralement) a déployé le tapis rouge pour M. Poutine et a même laissé le dirigeant russe faire un tour avec lui dans la limousine présidentielle surnommée The Beast. L'atmosphère pourrait être plus pragmatique avec des dirigeants européens comme M. Stubb dans le coin de M. zelenskyy, et leur inclusion en tant que médiateurs pourrait aider à éviter une répétition de l'affrontement Oval Office. M. Stubb a exprimé à plusieurs reprises son soutien à l'Ukraine, et la Finlande, ainsi qu'avec d'autres pays nordiques et les trois États baltes, ont été parmi les plus fervents partisans du pays. L'invasion de 2022 a incité la Finlande, qui partage une frontière de 1 340 km avec la Russie, à rejoindre l'OTAN il y a deux ans, en renonçant des décennies de non-alignement. Deux jours avant le sommet de l'Alaska, M. zelenskyy, M. Trump et les dirigeants européens, dont M. Stubb, étaient en conférence téléphonique, à la suite de quoi le dirigeant finlandais a écrit sur X: "Excellente rencontre avec Potus et les dirigeants européens, y compris l'UAl. Vues alignées et unité. Nous travaillons ensemble en faveur d'un cessez-le-feu et d'une paix durable. Nous sommes là pour l'Ukraine à chaque étape. Les prochains jours et semaines pourront être décisifs." La question de savoir si d'autres dirigeants européens accompagneront M. zelenskyy sera probablement confirmée tard dimanche à la suite d'une conférence téléphonique entre les membres de la "coalition des volontaires".
  21. SI Xi l'a dit alors ... Trump aurait obtenu l'assurance de XI qu'il n'envahirai pas Taïwan sous la présidence de Trump. http://timesofindia.indiatimes.com/articleshow/123329503.cms?utm_source=contentofinterest&utm_medium=text&utm_campaign=cppst
  22. On avait le manque de fiabilité par manque de concertation, par une vision très solitaire du monde et maintenant par amateurisme.
  23. Un militaire par sa nature même fait du renseignement en permanence. Dis autrement accuser un militaire de chercher du renseignement c'est juste un pléonasme .. une accusation facile politiquement parlant.
  24. Trump fait une nouvelle proposition mais il vallait mieux la faire avant le sommet : Via le figaro Washington a proposé à Kiev des «garanties de sécurité» similaires à celles de l’Otan, sans adhésion Les États-Unis ont proposé samedi à l’Ukraine une garantie de sécurité similaire à celle de l’article 5 de l’Otan, mais sans adhésion formelle à l’Alliance atlantique, a rapporté une source diplomatique requérant l’anonymat. «Comme une des garanties de sécurité pour l’Ukraine, la partie américaine a proposé une garantie de type article 5, hors de l’Otan, avec l’accord a priori de (Vladimir) Poutine», a indiqué cette source. Elle ajoute que cette proposition a été faite à Kiev samedi lors de l’appel téléphonique entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky et «réitérée» ensuite lors de la poursuite de cet appel avec des dirigeants européens.
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