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Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Titus K

    L'Inde

    J'avais pas vu ce message, tu te lance dans la littérature ?
  2. Titus K

    L'Inde

    Y’a une vraie source officielle ou c’est juste un gars sur Twitter ?
  3. @gianks je pense que les problèmes du A400M n’ont rien avoir avec le succès du C390, puisqu’ils ne se battent pas sur le même segment du marché. Le concurrent de l’A400M c’est le C-2 de Kawasaki, qui ne convainc pas non plus à l’export. L’A400M aurait à mon avis les même problème si le C390 n’existait pas, puisque les client du C390 achèteraient tout simplement du C-130J Pas sur que comparer un avion qui transporte 23 tonnes à un avion qui monte aujourd’hui à 40 tonnes soit très pertinent. Quand au C-17, Boeing voulait à l’époque minimum 10 livraisons par an pour maintenir sa ligne de production (8 pour l’A400M) … et à mon avis ils vont pas redémarrer la production pour 5 ans, donc il va falloir un paquet d’engagements d’achat.
  4. Lancé par les frégates existantes mais aussi les PHA peut-être non ? Sinon c'est typiquement le genre d'armement offensif qu'on pourrait installer sur des drones comme les MSS Néerlandais / ou des Seaquest de NG
  5. Titus K

    Marine Norvegienne

    Devenir partenaire en matière de frégates : Le chef de la marine norvégienne honoré de la Légion d’honneur française https://www.nrk.no/tromsogfinnmark/kontreadmiral-oliver-berdal-i-sjoforsvaret-hedret-av-det-franske-forsvaret-1.17457418 Quatre alliés proches, dont la France, se disputent un contrat géant avec les forces armées norvégiennes. Lundi, l’un des plus grands navires de guerre français était amarré à Tromsø. Dans très peu de temps sera prise ce qui deviendra probablement le plus grand investissement public de l'histoire de la Norvège – lorsque environ 125 milliards de couronnes seront utilisés pour cinq à six nouvelles frégates. En même temps, quatre alliés proches livrent une lutte acharnée pour obtenir le contrat géant. Lundi, le plus grand navire de guerre de la marine française, le PHA Mistral, est arrivé à Tromsø. Non seulement pour montrer la coopération étroite entre les Français et la Norvège, mais aussi pour nommer le chef de la marine norvégienne officier de la Légion d'honneur française. – Cela signifie beaucoup pour moi. C’est une distinction très prestigieuse, dont je suis incroyablement fier, déclare le chef de la marine, le contre-amiral Oliver Berdal, à NRK. Chef de la marine, et désormais officier de la Légion d'honneur française, le contre-amiral Oliver Berdal. La médaille a été remise par son collègue français, l’amiral Nicolas Vaujour. – La Légion d'honneur française est la plus haute distinction que nous puissions décerner à un partenaire. La principale raison pour laquelle nous honorons Berdal est son leadership à la tête de la marine norvégienne. La deuxième raison est que nous voulons montrer que nous dépendons les uns des autres, déclare Vaujour. Il précise que la raison de la remise de cette décoration est de montrer les liens forts entre les forces armées françaises et norvégiennes. La liste des exigences des autorités norvégiennes Les autorités norvégiennes recherchent des frégates : ayant la capacité de détecter et de combattre les sous-marins, et pouvant accueillir des hélicoptères maritimes dont la première livraison pourrait avoir lieu en 2029 ou 2030, et la dernière de préférence avant 2040, car on ne souhaite plus dépenser davantage pour l'entretien des anciennes frégates avec une possibilité éventuelle de rotation de l’équipage, la marine norvégienne souffrant depuis longtemps d'un manque de personnel dont l'argent investi par la Norvège doit revenir sous forme de revenus et d'emplois pour les entreprises norvégiennes. Cela peut concerner des composants des frégates, une construction partielle, la maintenance ou d'autres contrats profitant à l'industrie norvégienne. ... ...
  6. Titus K

    40 CTA

    Moi j'arrive a 90 000 munitions minimum sans compter celle de combat... puisque c'est bien précisé que ce sont des livraisons annuelles sur une période de 5 ans "Les premières livraisons annuelles prévoient ainsi 18 000 munitions d'exercice, et jusqu'à 30 000 par la suite. Donc déjà 18 000 en 2026 sont confirmé... Et pour 2027/2028/2029/2030 entre 18 000 et 30 000 munitions annuellement ... Ce serait logique que ca augmente puisque le parc de jaguar/rapidfire augmente aussi ... 30 000 munitions annuellement en 2030 pour 300 Jaguar/Rapidfire ca fait seulement 100 munitions par tourelle après tout. Donc minimum --> 5 * 18 000 = 90 000 = 1 650 € Avec un croissance vers 30 000 --> 18 000 + 21 000 + 24 000 + 27 000 + 30 000 = 120 000 = 1250 € Dans tout ca je compte pas les obus de combat (8 000 pour 2026) Une autre source, qui semble d'ailleurs indiquer que les 8 000 obus de combat sont également inclus ... --> https://www.navalnews.com/naval-news/2025/06/france-orders-40mm-ammunition-rounds-for-navy-and-army/ The French Procurement Agency order of 25,000 rounds will allow users to further integrate and master this breakthrough technology. The first annual deliveries will include 18,000 training rounds, increasing to up to 30,000 in the following years. An initial batch of 8,000 combat rounds completes this order.
  7. Moi je suspecte que @Patrick soit partit à Nagpur avec sa pioche et une bétonnière pour rattacher le hangar de Dassault au taxiway de l'aéroport et qu'on avance enfin avec cette histoire de make in india ! Plus sérieusement il a peut-etre perdu ses accès avec le changement d'identifiant ?
  8. Titus K

    La Force aérienne suisse

    10 k commentaires ... j'vais pas aller voir mais ca doit être quelque chose
  9. Titus K

    40 CTA

    C'est pour 5 ans les 150 millions € "les premieres livraisons annuelles " sont de 18 000 d'entrainement (jusqu'à 30 000 "par la suite") + 8 000 de combat
  10. Armées et ESA : double coup de boost pour l’avion spatial Vortex de Dassault https://www.challenges.fr/entreprise/aeronautique/vortex-lavion-spatial-de-dassault-va-t-il-decoller-en-2028_606384 Le ministère des Armées et l’Agence spatiale européenne ont signé coup sur coup deux lettres de soutien au projet d’avion spatial Vortex de Dassault, présenté au salon du Bourget. Un prototype pourrait voler dès 2028, avant une entrée en service en 2031, assure le groupe… à condition de trouver les financements. Vortex va-t-il décoller plus vite qu’escompté ? Cinq jours après la présentation de l’avion spatial de Dassault Aviation au salon du Bourget, le ministère des Armées et l’Agence spatiale européenne (ESA) ont donné un coup de boost indéniable au projet, en signant deux lettres de soutien ce vendredi 20 juin, en marge de la visite d’Emmanuel Macron. Côté armées, le document est une « convention de soutien » au développement d’un premier démonstrateur, un engin de 4 m de long et 2,5 m d’envergure que Dassault assure pouvoir faire voler dès 2028, qui permettra de « valider les performances critiques liées à la configuration d’un avion spatial, en particulier la maîtrise du vol hypersonique, les technologies avancées de protection thermique et le contrôle du vol ». L’ESA a quant à elle signé une lettre d’intention pour soutenir le projet, dans le cadre de sa stratégie Explore2040 dédiée à l’exploration spatiale. « Avec Vortex, Dassault contribue à renforcer les capacités européennes et à garantir un accès souverain à l’espace dans un secteur spatial concurrentiel et en forte croissance. Nous sommes impatients de combiner nos expertises et travailler main dans la main pour une Europe spatiale plus forte », estime Josef Aschbacher, directeur général de l’ESA, cité dans un communiqué. Développer Vortex, une urgence pour l’Europe En quoi consiste exactement Vortex ? L’idée est simple : Dassault propose de doter l’Europe d’un avion, ou plutôt d’une navette spatiale, capable d’atteindre l’orbite pour des missions de surveillance spatiale, de transport de fret et d’astronautes, mais aussi d’action dans l’espace. Cette navette, qui rappelle un peu le projet avorté de navette européenne Hermès, serait mise en orbite par une fusée, et retournerait sur Terre en atterrissant comme un avion. L’éventail de missions possibles est large : desserte de stations spatiales, retrait de débris spatiaux, mise en orbite de petits satellites. D’autres missions, non évoquées par Dassault, sont envisageables côté militaire : neutralisation de satellites espions (aveuglement, voire désorbitation), interceptions électromagnétiques, protection des satellites stratégiques… Le développement d’une telle capacité est une urgence, estime Dassault. « On voit bien actuellement que le champ de bataille est en train de se porter dans l’espace », assurait Éric Trappier le 11 juin dans une interview à Challenges. « Certaines puissances pourraient militariser l’espace avec des capacités défensives mais aussi offensives. » Les Etats-Unis disposent déjà d’une navette de ce type, le X-37B de Boeing, qui a mené à bien, depuis 2010, sept missions en orbite, dont la dernière de 14 mois jusqu’en mars 2025, sans qu’on ne sache exactement les tâches effectuées. La Chine s’est aussi invitée au club en 2020, avec un avion spatial expérimental qui a effectué trois missions en orbite, dont la dernière a atterri en septembre 2024. Une navette de 15 tonnes en 2031 Pour développer son appareil made in Europe, Dassault propose une approche progressive. Un premier démonstrateur de 4 m de long et 2,5 m d’envergure, Vortex D, pourrait être lancé dès 2028, en suborbital (vol qui n’atteint pas l’orbite), puis en orbite. Ce prototype, d’un poids d’une tonne environ, pourrait atteindre 120 km d’altitude et la vitesse de 15 000 km/h. Vortex D serait suivi d’un engin plus grand, Vortex S, probablement autour de 5 tonnes et 8 m de long. Une troisième version d’une quinzaine de tonnes et de 12 m de long, Vortex C (pour cargo), serait la première navette vraiment opérationnelle en orbite. Elle pourrait être lancée en 2031. Une éventuelle version habitée, Vortex M, encore plus grosse, pourrait être développée dans la foulée. « Nous y allons par étapes, avec un démonstrateur que nous testerons en suborbital, puis en orbital, puis avec un équipage », expliquait Éric Trappier dans Le Figaro le 16 juin. « Nous aurons besoin d’un petit lanceur très flexible pour le lancer. » Intérêt en France, mais… Ce petit lanceur, qui correspond assez bien au profil du lanceur Maia de MaiaSpace, sera suffisant pour mettre en orbite le premier démonstrateur. Mais pour lancer la version définitive de 15 tonnes, un lanceur lourd, comme Ariane 6, serait nécessaire. Dassault, plus connu pour ses compétences en avions de combat et en jets d’affaires, n’a pourtant rien d’un néophyte du spatial. « Qui contrôle l’espace contrôle ce qu’il y a en dessous », assurait déjà Éric Trappier en 2018. Dassault était pilote du projet de navette européenne Hermès, qui devait embarquer sur Ariane 5 mais a été stoppé en 1992. Le groupe français avait aussi participé au développement du prototype de navette spatiale X-38 de la Nasa, abandonné en 2002 du fait de coupes budgétaires, avant de désigner le démonstrateur européen IXV, lancé en 2015. L’Europe va-t-elle accepter de financer un tel projet ? « Les Américains sont sur ce segment, les Chinois aussi, l’ESA (Agence spatiale européenne) est intéressée », soulignait Éric Trappier le 11 juin. « A la France et l’Europe de dire si elles veulent y être. » Les signatures de l’ESA et du ministère des Armées sont un signal positif, qui montre qu’un tel engin, par essence dual (civil et militaire), figure bien sur la feuille de route de la France et de l’Europe. Mais le plus dur commence maintenant. Au-delà des lettres d’intention, un tel projet va nécessiter des centaines de millions d’euros, voire des milliards, alors même que l’enveloppe financière du ministère des Armées et de l’ESA peine déjà à financer tous les projets actés. Les militaires eux-mêmes ne semblent pas mettre le projet au niveau le plus élevé de leurs priorités. « Un avion spatial ? Oui ça nous intéresse, c’est probablement le futur », assurait le général Philippe Adam, Commandant de l’espace (armée de l’air), interrogé au Bourget par Challenges le 19 juin. « Mais la question est : quel est l’intérêt immédiat ? A court terme, nous n’avons pas forcément besoin d’un design aussi compliqué. Nous avons des priorités plus urgentes. Mais il ne faut pas insulter l’avenir : des études commencent, nous allons y participer. » Vers un programme en coopération ? Le vrai juge de paix sera la capacité de transformer Vortex en un vrai programme de coopération européenne. Pour cela, il devra être soutenu par plusieurs États membres de l’ESA. L’Italie pourrait être intéressée : elle a été en première ligne sur les projets de démonstrateur IXV et du programme de petite navette Space Rider, un engin expérimental de l’ESA, développé par Thales Alenia Space, qui doit voler en 2027. Elle dispose d’un outil industriel de premier plan sur le sujet de l’exploration spatiale, avec l’usine Thales Alenia Space de Turin, qui assemble des éléments de cargos spatiaux (Cygnus) mais aussi de stations spatiales. Les autres grands pays contributeurs de l’ESA (France et Allemagne) n’ont, jusqu’à présent, pas fait preuve d’un enthousiasme similaire sur le sujet. Le nouveau contexte géopolitique peut-il faire bouger les lignes ? La prochaine conférence ministérielle de l’ESA, en novembre à Brême, permettra d’y voir plus clair.
  11. Le spatial est la jauge des puissances. Pour garantir la place de la France et de l'Europe au sein de celles-ci, nous devons faire plus vite et plus fort, en particulier sur le volet militaire. C'est le cap réaffirmé par le Président de la République au salon du Bourget. Pour soutenir l'innovation de rupture dans le domaine spatial, nous financerons donc à hauteur de 30 millions d'euros le projet d'avion spatial Vortex deDassault_OnAir Un programme ambitieux, développé de façon agile pour qu'un premier démonstrateur puisse être produit en quelques années. Il permettra un accès rapide, manoeuvrant, peu coûteux et réutilisable à l'espace, pour y mener aussi bien des missions civiles que militaires.
  12. Apparement il y a eu une signature cet après-midi ?
  13. Soutient de l'export à gros sabots du coté de la présidence ...
  14. Titus K

    40 CTA

    Si je comprends bien, des livraisons annuelles à partir de 2026 de : 18 000 à 30 000 munitions d'entrainement 8 000 à ------ munitions de guerre Pour 5 ans c'est un contrat de 150 M d'€
  15. Titus K

    A330 MRTT

    Y aurait-il déjà un client pour le MRTT+ ? --> https://www.flightglobal.com/defence/airbus-to-boost-a330-mrtt-tanker-output-as-demand-soars/163449.article Le premier MRTT+ est déjà en production pour une livraison en 2028, mais ils refusent de divulger le client. Ils étudient une augmentation de la cadence de production pour le MRTT+ (4-5/an pour le MRTT standard) car la demande est très élevée. La flotte MFF de l'OTAN va s'agrandir et d'autres clients vont aussi augmenter leur flotte de ravitailleurs.
  16. Je pense que le l'Oostende est a Concarneau pour des réparations du coup ...
  17. Titus K

    Marine suédoise

    Bon par curiosité je suis passé voir 15 minutes sur un forum Suédois quelles étaient les reaction aux rumeurs de FDI ... et agréable surprise la reception est excellente. Evidement sont évoqués l'integration de radars suédois, du canon 57mm Bofors, de la Torpille TP47 et du missile anti-navire suédois. Ils se posent aussi des questions sur l'integration du CAMM (commandé pour les visby) dans les cellules Sylver ... un classique Sinon un info que j'ai glané au passage : Dans une interview accordée à Dagens Industri (malheureusement derrière un paywall), à l’occasion de l’annonce par la France de son intention d’acheter le GlobalEye de SAAB, le Ministre de la Défense confirme également que l’Aster 30 est l’option principale comme missile sol-air de moyenne portée pour le Luleå.
  18. Au delà des développements du T-REX (pour atteindre 9 tonnes de poussée, via modif de 6 modules sur 21 de l'actuel M88), SAFRAN développe une famille de moteurs en s'appuyant sur des modules existants pour les drones de combat (1,5, 3 et 5 tonnes de poussée pour M15, M30 et M50) M15 --> 1,5 tonnes M30 --> 3 tonnes M50 --> 5 tonnes
  19. https://x.com/ForcesOperation/status/1935694159563894865 "Si vous signez aujourd'hui vous serez livrés en 2028", assure EUROSAM Environ 36 mois pour livrer une section SAMP/T NG complète, un délai qui devient incompressible au vu de la complexité du système
  20. Titus K

    A330 MRTT

    Et de 13
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