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Tout ce qui a été posté par Titus K
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Le deuxième prototype de l'Airbus H140 rejoint la campagne d'essais en vol https://verticalmag.com/news/second-airbus-h140-prototype-joins-flight-test-campaign/ Le deuxième prototype du H140, le nouvel hélicoptère bimoteur léger d'Airbus Helicopters, a effectué son premier vol dans les installations du constructeur à Donauworth, en Allemagne. Le vol, qui a eu lieu le 1er août, a duré environ 15 minutes, mais un porte-parole d'Airbus Helicopters a déclaré que la durée du vol avait été limitée en raison d'un orage imminent. L'appareil se serait comporté comme prévu. Le deuxième prototype (appelé PT2) sera utilisé pour des campagnes d'essais spécifiques, notamment pour tester ses performances par temps froid/neigeux et par temps chaud et en altitude. Airbus prévoit d'utiliser quatre prototypes pour la campagne d'essais en vol du H140, le PT3 devant rejoindre la campagne en 2026 et le PT4 à la fin de cette même année. Airbus a révélé l'existence du H140, qui devrait s'appuyer sur l'héritage et le succès des modèles H135 et H145, lors du salon Verticon plus tôt cette année. Ce modèle est développé à partir du H135, mais bénéficie d'améliorations significatives en termes de conception qui promettent des performances accrues, une cabine 20 % plus spacieuse et un confort amélioré. Les améliorations apportées à la conception comprennent le même système de rotor principal à cinq pales sans roulement que celui utilisé sur la dernière version du H145, un longeron de queue surélevé, un nouveau design Fenestron et un stabilisateur horizontal en « T ». À ce jour, Airbus a obtenu des engagements, y compris des commandes fermes, pour 74 H140. Parmi les clients figurent de grands opérateurs HEMS (hélicoptères médicaux d'urgence) aux États-Unis et en Europe, qui constituent le marché cible principal de ce modèle. La première livraison est prévue pour 2028.
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Pologne
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est vraiment très surprenant ... je suis sur le cul ! Il y aurait de la corruption dans une affaire impliquant des grandes entreprises Sud Coréennes ! -
Un chasseur britannique F-35B se pose d’urgence dans un aéroport japonais Texte : Dmitri Zoubarev Un chasseur britannique F-35B a effectué un atterrissage d’urgence dans l’aéroport civil de Kagoshima, sur l’île de Kyūshū, ce qui a entraîné une suspension temporaire du trafic. L’incident s’est produit dans l’aéroport civil de la ville de Kagoshima, sur l’île de Kyūshū, rapporte l’agence TASS. Selon l’agence de presse Kyodo, l’avion de combat britannique de cinquième génération F-35B a effectué un atterrissage d’urgence, provoquant l’arrêt temporaire des opérations sur la piste et des perturbations dans le programme des vols. D’après les premières informations, le chasseur appartient au groupe aérien du porte-avions Prince of Wales, actuellement dans les eaux japonaises pour mener des exercices conjoints avec la marine japonaise. Dans le cadre de ces manœuvres, les F-35B britanniques effectuaient également des atterrissages verticaux sur le pont du porte-hélicoptères japonais Kaga, en cours de transformation en petit porte-avions. Tokyo prévoit d’acquérir ou de produire sous licence plus de 40 de ces appareils de combat. Depuis juin, le groupe aéronaval britannique mené par le Prince of Wales effectue une mission dans l’océan Indien et le Pacifique, avec à bord jusqu’à 24 F-35B, 16 hélicoptères Merlin et Wildcat, ainsi que des drones. Comme l’a déjà rapporté le journal Vzglyad, le Japon a déployé ses premiers chasseurs F-35B destinés à être utilisés sur ses porte-avions. Le même jour, un chasseur F-2 s’est écrasé au Japon.
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
https://www.arquus-defense.com/fr/newsroom/actualites/arquus-la-mobilite-du-caesar-c Grâce à sa légèreté et à ses choix de conception, notamment celui de la roue, le CAESAR © MK II offrira un coût de possession très maîtrisé, ainsi qu’une mobilité à toute épreuve. Son gabarit compact, permis par sa silhouette 6x6, lui permettra d’embarquer à bord d’appareils A400M avec une préparation minimale. A mon avis s'ils se sont emmerdés à faire ce petit enfoncement dans le toit du véhicule c'est pour gagner quelques cm afin qu'il puisse toujours passer dans un A400M sans démontage du canon ... -
[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
Titus K a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
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USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques
Titus K a répondu à un(e) sujet de rogue0 dans Politique etrangère / Relations internationales
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Dissuasion nucléaire française...
Titus K a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
--> https://ariane.group/systemes-de-defense/systemes-hypersoniques/ V-MAX : une première française et européenne Un premier démonstrateur de planeur hypersonique V-MAX a été lancé à l’aide d’une fusée-sonde, le 26 juin 2023, depuis une base de lancement dédiée construite par ArianeGroup pour le compte de la DGA sur le site DGA Essais de missiles (DGA-EM) de Biscarrosse. Ce premier vol de plusieurs centaines de kilomètres a permis de tester le véhicule et sa manœuvrabilité dans le cadre d’une rentrée atmosphérique, suivie de manœuvres dans le régime hypersonique. Réalisé dans des ambiances mécaniques et thermiques extrêmes, ce vol a permis de vérifier la bonne tenue des structures et le bon fonctionnement des équipements et des expériences embarquées. Le démonstrateur comportait de nombreuses innovations technologiques, notamment dans les domaines des protections thermiques et des capteurs inertiels. Cet essai au-dessus de l’Atlantique, particulièrement complexe, a été mis en œuvre par DGA-EM, ArianeGroup et l’Onera, avec l’aide de la Marine nationale. Il présente un intérêt scientifique majeur et constitue une première française et européenne. V-MAX2 : un pas de plus vers l’opérationnel Conformément à la feuille de route incrémentale V-MAX définie par la DGA, le programme de démonstration V-MAX2 permet de démontrer la capacité à concevoir, à réaliser et à piloter en vol à vitesses hypersoniques un véhicule de forme complexe équipé d’un nouveau système de pilotage. ArianeGroup conçoit et met en œuvre ce véhicule, dont la forme innovante, résistante d’un point de vue thermomécanique, est rendue possible grâce à des ruptures technologiques. Le démonstrateur V-MAX2 est technologiquement très proche d’un planeur opérationnel. Il embarque des expériences ambitieuses, indispensables pour tester dans des conditions représentatives des sous-systèmes critiques. Ces expériences visent à exploiter au mieux la logique d’essais en vol du projet V-MAX, tout en anticipant les évolutions des technologies d’interception adverses. -
co² Economie et climat. CO2 or not CO2?
Titus K a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Economie et défense
Quelques recherches néerlandaises qui viennent d'être publiées (en anglais) Une analyse cartographique de la capacité théorique de stockage de CO2 dans l'aquifère de Rotliegend de l'offshore néerlandais --> https://publications.tno.nl/publication/34644090/2OKy8q4r/TNO-2025-R10216.pdf Capacité de stockage de CO2 dans les champs de gaz épuisés au large des Pays-Bas --> https://publications.tno.nl/publication/34644091/N1lkCowc/TNO-2025-R10114.pdf La Commission européenne et le gouvernement néerlandais visent la neutralité climatique d’ici 2050. Pour le gaz à effet de serre CO₂, cela signifie réduire autant que possible les émissions et compenser celles qui subsisteraient en retirant le CO₂ de l’atmosphère. La capture du CO₂ issu de sources industrielles et son stockage permanent dans le sous-sol sont essentiels pour atteindre cet objectif. Les recherches de TNO montrent que les gisements de gaz épuisés situés sous la mer du Nord offrent une capacité de stockage suffisante pour plusieurs décennies. Des gisements de gaz vides et des aquifères porteurs d’opportunités En outre, les aquifères sous la mer du Nord présentent également un potentiel de stockage du CO₂. Un aquifère, aussi appelé formation aquifère, est une couche souterraine composée de roches ou de sédiments poreux, comme le sable ou le gravier. Un aquifère peut stocker et transmettre de l’eau (et parfois d’autres fluides ou gaz). Grâce à ces propriétés, un écoulement peut se produire à l’intérieur d’un aquifère. Aux Pays-Bas, le CO₂ peut être stocké dans des gisements de gaz épuisés ou dans des aquifères sous la mer du Nord. Le Service géologique des Pays-Bas (qui fait partie du TNO) a mené une étude pour le ministère du Climat et de la Croissance verte (KGG) afin d’estimer la capacité de stockage disponible. L’étude a pris en compte les développements récents en matière de stockage du CO₂ et d’infrastructures de transport aux Pays-Bas. Stockage du CO₂ dans des gisements de gaz épuisés et des aquifères Plusieurs projets néerlandais, tels que Porthos et Aramis, sont en cours de développement pour stocker du CO₂ dans des gisements de gaz épuisés sous la mer du Nord. Les Pays-Bas comptent environ 200 gisements de gaz offshore. Selon les calculs de TNO, entre 40 et 130 de ces gisements pourraient être adaptés au stockage du CO₂, avec une capacité potentielle de stockage d’environ 1 260 à 1 750 millions de tonnes de CO₂. Le CO₂ peut également être stocké dans des aquifères. Selon une estimation préliminaire de TNO, la roche Rotliegend, qui peut servir d’aquifère, pourrait potentiellement stocker entre 990 et 3 650 millions de tonnes de CO₂. Les aquifères Rotliegend sont principalement constitués de grès, ce qui leur confère la capacité de transmettre des fluides et des gaz, et donc de convenir au stockage. Pour exploiter cette capacité, l’aménagement de l’espace en mer du Nord est crucial. Si des zones sont attribuées à d’autres usages (par exemple, des parcs éoliens), la capacité totale de stockage diminuera. Demande internationale de capacité de stockage Les possibilités de stockage du CO₂ en Europe varient selon les pays. En Allemagne, en France ou en Belgique, le potentiel de stockage à grande échelle est limité par rapport aux Pays-Bas. La capture du CO₂ dans ces pays entraînera probablement une forte augmentation de la demande de stockage sous la partie néerlandaise de la mer du Nord. Dans ce cas, le stockage dans des aquifères pourrait offrir une solution en apportant une capacité supplémentaire pour répondre à cette demande. Service géologique des Pays-Bas L’étude de la capacité de stockage du CO₂ dans des gisements de gaz vides et des aquifères sous la mer du Nord a été réalisée par le Service géologique des Pays-Bas (TNO-GDN). Au sein du TNO, le GDN agit comme centre indépendant de connaissances et de recherche sur le sous-sol. Le TNO-GDN collecte des données sur la composition des sols, la structure géologique du sous-sol, les eaux souterraines, la portance des sols et l’exploitation minière, entre autres. Il informe et conseille également les gouvernements, l’industrie et la société sur l’utilisation du sous-sol. Enfin, il mène des recherches innovantes, par exemple sur l’énergie géothermique. De cette manière, le TNO-GDN contribue à apporter des solutions aux enjeux sociétaux tels que la transition énergétique, l’affaissement des sols et la rareté des matières premières. -
C'est qui le fabriquant du turbojet ?
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
https://www.starnav.fr/magellan/ De ce que je comprends, il y a une baie de calcul qui contient un "serveur temps", celui-ci est synchronisé sur un OCXO (Oven Controlled Crystal Oscillator) dont la dérive est inférieure à 10-8 --> https://fr.wikipedia.org/wiki/OCXO Ce qui donnerait une dérive inférieure à ~0,86 ms par jour sans recalage (ou 86ms en 100 jours) Sinon il peut aussi être synchronisé/recalé par PTP (réseau local) ou par PPS + ZDA (GNSS ?) -
(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
TKMS : Scission approuvée par rapport à la maison-mère thyssenkrupp https://www.hartpunkt.de/tkms-abspaltung-vom-mutterkonzern-thyssenkrupp-gebilligt/ Les actionnaires de thyssenkrupp AG ont approuvé aujourd’hui, lors d’une assemblée générale extraordinaire, la scission de l’activité navale du groupe, regroupée au sein de TKMS. Dans le cadre de cette opération, 49 % des actions de la nouvelle société TKMS AG & Co. KGaA seront directement attribuées aux actionnaires. Thyssenkrupp AG conservera 51 % du capital, restant ainsi actionnaire majoritaire afin d’assurer la direction stratégique et la stabilité de TKMS. Comme l’a expliqué le PDG de thyssenkrupp, Miguel Lopez, lors de cette réunion tenue virtuellement, le groupe n’a actuellement aucune intention de céder d’autres parts de TKMS. Thyssenkrupp souhaite rester actionnaire de référence et conserver une influence déterminante sur l’entreprise. Les représentants du groupe ont précisé que TKMS restera consolidée dans les comptes du groupe. Dans le cadre de la scission, les actionnaires recevront 1 action de la nouvelle TKMS AG & Co. KGaA pour 20 actions de thyssenkrupp AG. L’attribution se fera proportionnellement : la part détenue dans la participation minoritaire séparée de TKMS correspondra à la part déjà détenue dans thyssenkrupp AG. La cotation de TKMS AG & Co. KGaA sur le segment Prime Standard de la Bourse de Francfort est prévue pour cette année, possiblement dès octobre. Selon le professeur Siegfried Russwurm, président du conseil de surveillance de thyssenkrupp AG, l’un des éléments clés de la nouvelle structure est l’accès direct de TKMS au marché des capitaux. Cela permettra à TKMS de financer sa croissance par ses propres moyens, de développer de nouvelles technologies, et de mener à bien des partenariats ou des acquisitions ciblées. Comme expliqué lors de l’assemblée, les banques ont déjà accordé à TKMS une ligne de garanties (avals) de plus de 2,5 milliards d’euros. De plus, le constructeur naval bénéficiera, jusqu’en 2028, d’une ligne de crédit renouvelable de 300 millions d’euros octroyée par thyssenkrupp pour assurer sa liquidité à court terme. D’après le directeur financier Axel Hamann, TKMS n’a toutefois actuellement besoin d’aucun financement externe, ni de thyssenkrupp ni de tiers. Aucune participation de l’État fédéral dans TKMS n’est prévue pour le moment, mais le groupe s’est dit ouvert à des discussions plus approfondies si le gouvernement changeait d’avis. Selon la maison-mère, l’autonomisation de TKMS constitue une étape clé dans la réorientation stratégique de thyssenkrupp AG. Avec la cession d’une participation minoritaire de 49 %, le groupe cherche à passer d’un conglomérat industriel diversifié à une holding stratégique plus ciblée. À l’avenir, thyssenkrupp AG doit agir comme une structure de direction allégée, chapeautant des participations autonomes et responsables sur le plan entrepreneurial.- 287 réponses
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Coopération Pologne-Slovaquie-Hongrie pour le déploiement de SMR Américains en Europe --> La Slovaquie envisage la technologie américaine pour accroître sa capacité nucléaire https://www.world-nuclear-news.org/articles/slovakia-looking-to-us-tech-for-new-nuclear-capacity Slovenské elektrárne et Synthos Green Energy ont signé un protocole d’accord pour étudier le possible déploiement des petits réacteurs modulaires (SMR) BWRX-300 de GE Vernova Hitachi – et le Premier ministre Robert Fico a indiqué qu’une unité Westinghouse de 1 250 MW était prévue sur le site de Bohunice. Le protocole d’accord « vise à combiner les forces des deux entreprises et à analyser les possibilités d’investissement, de licences et de développement conjoint de projets de SMR en Slovaquie, en République tchèque et dans d’autres pays européens. Le protocole crée également un cadre pour le développement de chaînes d’approvisionnement régionales et le renforcement de la sécurité énergétique ». Branislav Strýček, président-directeur général de Slovenské elektrárne, a déclaré : « Nous considérons les petits réacteurs modulaires comme une option prometteuse pour une production d’électricité future stable, sûre et sans émissions. Le partenariat avec Synthos Green Energy nous permettra d’analyser en détail la technologie SMR BWRX-300 de pointe et d’évaluer son potentiel pour la Slovaquie de manière qualifiée. De plus, nous souhaitons utiliser nos nombreuses années de savoir-faire dans la construction et l’exploitation de centrales nucléaires pour soutenir le développement des SMR dans notre région. » Synthos Green Energy, société polonaise, est développeur de projets de SMR BWRX-300 dans la région et a également signé la semaine dernière une lettre d’intention avec la société hongroise Hunatom pour le développement potentiel de projets allant jusqu’à 10 SMR BWRX-300 de GE Vernova Hitachi. Le BWRX-300 est un SMR de 300 MWe refroidi à l’eau, à circulation naturelle, doté de systèmes de sûreté passifs, et qui s’appuie sur la conception et la base de licences du réacteur à eau bouillante ESBWR de 1 500 MW de GE Vernova Hitachi Nuclear Energy. Westinghouse En mai 2024, le gouvernement slovaque a officiellement approuvé des plans pour une unité de 1,2 GWe près de la centrale nucléaire existante de Bohunice, la Corée du Sud, les États-Unis et la France étant alors envisagés comme partenaires potentiels. Dans un message vidéo publié sur les réseaux sociaux, le Premier ministre Robert Fico a déclaré dimanche : « Autre information importante, chers amis : la Commission européenne a évalué positivement le contenu du projet d’accord entre les gouvernements de la République slovaque et des États-Unis sur la coopération dans le domaine de l’énergie nucléaire. Conformément aux règles internes de l’Union européenne, de tels accords interétatiques avec un pays non membre de l’UE, et portant sur la coopération dans le nucléaire, doivent être examinés au niveau de la Commission européenne. » Il a indiqué que le gouvernement américain avait déjà approuvé la proposition, et que cet accord constituait une condition préalable à la conclusion d’un autre accord intergouvernemental concernant la construction d’une nouvelle unité Westinghouse à Bohunice, d’une puissance de 1 250 MW, qui, a-t-il précisé, « appartiendra entièrement à la République slovaque ». Actuellement, la Slovaquie dispose de cinq réacteurs nucléaires – trois à Mochovce et deux à Bohunice – qui produisent la moitié de son électricité, et un autre est en construction à Mochovce. Les deux centrales sont exploitées par Slovenské elektrárne. -
KIMON : Dernier passage en cale sèche pour la frégate grecque avant sa livraison à la Marine https://www.onalert.gr/eksoplismoi/kimon-sti-dexameni-gia-teleytaia-fora-i-elliniki-fregata-prin-paradothei-sto-polemiko-naytiko/635065/ La première frégate FDI HN grecque, la « KIMON », entre dans la phase la plus critique avant de hisser le pavillon grec et d’intégrer la flotte. Pendant les huit prochaines semaines, elle restera en cale sèche dans le cadre d’inspections intensives et d’essais techniques, avec pour objectif de reprendre la mer début octobre pour la phase finale des essais en mer, destinée à confirmer que tous les systèmes du navire sont parfaitement opérationnels. Selon le calendrier, la cérémonie de levée du pavillon grec et la livraison officielle devraient avoir lieu avant la fin décembre. Les responsables du constructeur Naval Group soulignent qu’il s’agit d’essais « extrêmes », conçus pour pousser au maximum la résistance de la plateforme et de ses systèmes. Le radar Sea Fire 500, capable de détecter simultanément des centaines de cibles, le système avancé de gestion de combat SETIS, les systèmes de guerre électronique et de communications, ainsi que le sonar de coque et à immersion variable, sont soumis à des contrôles stricts. La « KIMON » sert de modèle pour les deux autres navires de la classe, le « NEARCHOS » et le « PHORMION », déjà à flot et amarrés aux quais du chantier naval à différents stades de construction. Les conclusions tirées des essais de la « KIMON » seront utilisées pour apporter des améliorations avant que les deux autres frégates ne commencent leurs propres essais. Ainsi, la Marine gagne un temps précieux et s’assure que les unités suivantes intégreront immédiatement les enseignements validés en pratique. Après la fin des inspections en cale sèche, la « KIMON » reprendra la mer pour la dernière phase des essais, comprenant des vitesses élevées, des manœuvres d’urgence, l’évaluation des systèmes de combat en conditions « opérationnelles » et la vérification de la résistance de la plateforme à des conditions météorologiques défavorables. Ensuite, le navire retournera au chantier naval pour les derniers réglages, l’armement complet et la préparation du voyage vers la Grèce. Dans la dernière étape, il mettra le cap sur Brest pour y recevoir son armement. Ce sera la première nouvelle unité principale reçue par la Marine grecque depuis près de vingt ans. L’adaptation » grecque fait la différence Ce n’est un secret pour personne : la Marine grecque ne s’est pas contentée de la configuration « standard » des frégates FDI. Dès le début du programme, des modifications ont été apportées pour doter le navire de capacités supplémentaires, de systèmes d’autoprotection renforcés et d’une puissance antiaérienne accrue. Parmi les caractéristiques remarquables : Système antimissile RAM pour la défense rapprochée. Systèmes de lancement de contre-mesures électroniques pour tromper les missiles guidés. Système de conduite de tir STIR et optronique longue portée PASEO XLR. Capacité de lancement de missiles Aster 30 avec une portée de plus de 120 km. Intégration d’une suite complète de lutte anti-sous-marine. Ces changements n’ont pas échappé à la Marine nationale française. Les Français envisagent déjà d’équiper leurs propres FREMM et FDI avec des systèmes choisis par la Grèce, tirant des enseignements de la mer Rouge et du front ukrainien. Les yeux de la Marine tournés vers l’équipage de la « KIMON » Aucun essai n’est effectué sans la présence de membres de la Marine grecque. À Lorient, un détachement permanent d’inspection est présent, et 48 membres d’équipage sont déjà à bord. Ils apprennent et s’entraînent sur chaque système du navire afin que, le moment venu, ils puissent l’exploiter au maximum de ses capacités. Les frégates FDI HN se distinguent par leur capacité à faire face simultanément à de multiples menaces : Neutralisation d’attaques aériennes massives. Protection dans le cadre d’escortes navales. Détection et destruction de sous-marins en grande profondeur. Capacité de frappe à longue distance avec des armes guidées. La livraison de la « KIMON » ne constitue pas un événement isolé, mais le début du renouvellement complet du noyau de la flotte. Combinée aux programmes de modernisation des MEKO, des vedettes lance-missiles et des sous-marins, la Marine grecque se dote d’un réseau de navires capables d’opérer dans un environnement centré sur le réseau, échangeant des données en temps réel avec l’armée de l’air et le système de défense aérienne du pays.
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Un exemple qui pourrait aller dans le sens de @gianks c’est le NH90 qui aurait apparemment une excellente disponibilité en Nouvelle-Zélande… meilleure que chez la plupart des gros utilisateurs européens qui participent pourtant à son développement & industrialisation
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2023 Guerre de Soukhot
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Entendu a la radio, l'Allemagne s'apprêterait a bloquer l'export d'armement en direction d'Israel ? -
Ce pourrait être la nouvelle frégate de la Norvège – avec des systèmes israéliens https://www.vg.no/nyheter/i/yEP19a/dette-kan-bli-norges-nye-fregatt-med-systemer-fra-israel Quatre pays sont en compétition pour fournir les nouvelles frégates de la Marine royale norvégienne. La frégate britannique Type 26 compte parmi ses sous-traitants clés des entreprises israéliennes. Points essentiels Quatre pays se disputent le contrat pour les nouvelles frégates de la Norvège, dont le Royaume-Uni avec sa Type 26. La candidate britannique utilise des systèmes de défense israéliens. Le gouvernement est sous pression après les investissements du Fonds pétrolier norvégien dans des entreprises israéliennes. Le ministère de la Défense n’a pas répondu aux questions de VG sur ces fournisseurs israéliens. Le Parlement norvégien a décidé que le pays achètera au moins cinq nouvelles frégates. Le coût total de cette flotte pourrait atteindre 125 milliards de couronnes. La décision du gouvernement est attendue cet automne. Le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et les États-Unis sont en lice pour ce contrat majeur. Favorite La frégate britannique est considérée comme l’une des favorites. BAE Systems construit actuellement la nouvelle flotte britannique de frégates Type 26 dans son chantier naval de Glasgow, en Écosse. L’entreprise a signé d’importants contrats avec au moins deux sociétés israéliennes pour la fourniture de systèmes de défense et de protection des Type 26, selon des recherches dans les médias spécialisés en défense. Actuellement, le gouvernement norvégien est sous pression, car le Fonds pétrolier détient des actions dans des entreprises israéliennes qui soutiennent l’effort de guerre d’Israël à Gaza et en Cisjordanie. « Mon conseil au gouvernement serait de rester très loin des composants israéliens pour les nouvelles frégates norvégiennes », déclare Raymond Johansen, secrétaire général de Norwegian People’s Aid (Norsk Folkehjelp), à VG. Entreprises israéliennes impliquées Le plus grand fournisseur de défense d’Israël, Elbit Systems, doit fournir des technologies pour la guerre électronique des nouvelles frégates. Elbit livrera également un système de surveillance pour détecter les navires ennemis pouvant menacer la frégate. Selon Janes, le contrat a été signé en 2021. En 2009, Elbit a été exclu du Fonds pétrolier norvégien. L’entreprise devait alors fournir un système de surveillance pour le mur de séparation en Cisjordanie, ce qui, selon le Conseil d’éthique du Fonds, représentait un « risque inacceptable de contribuer à de graves violations des normes éthiques fondamentales ». Elbit fournit aussi des drones à l’armée israélienne. Le Fonds pétrolier a par ailleurs investi dans la société israélienne Next Vision Stabilized Systems, qui fabrique des caméras utilisées notamment sur les drones d’Elbit. Une autre entreprise israélienne, Plasan, fournit des plaques de blindage en composite pour les frégates britanniques, un élément clé de la protection contre les missiles et autres armes. Le premier contrat avec BAE a été signé en 2018, et, selon Israel Defence, il a été étendu en 2022 à plusieurs frégates en construction. Plasan fabrique également des chars et véhicules blindés pour l’armée israélienne (IDF). Avant la guerre de 2023, l’IDF a reçu gratuitement plusieurs dizaines de véhicules blindés dans le cadre d’une « mobilisation d’urgence ». Selon les recherches de VG, aucun fournisseur israélien n’est impliqué dans les projets de frégates des autres pays candidats. Pressions politiques Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, espère que la Norvège choisira la frégate britannique. En mai, il est venu à Oslo rencontrer son homologue norvégien, Jonas Gahr Støre. Cette semaine, VG a posé au ministère de la Défense plusieurs questions sur les évaluations faites concernant les fournisseurs israéliens et sur un éventuel impact sur la sélection des frégates. Jeudi, le ministère a indiqué ne pas avoir la capacité d’y répondre pour l’instant. Faut-il chercher d’autres fournisseurs ? Raymond Johansen mène une campagne pour exclure du Fonds pétrolier les entreprises israéliennes impliquées dans des violations du droit international. « Nous ne demandons pas un boycott total des produits israéliens. Mais Elbit et Plasan fournissent directement à l’armée israélienne. Le gouvernement doit au minimum vérifier si ces entreprises et ce matériel de guerre participent à un possible génocide ou à des violations du droit international », dit-il. À la question de savoir si cela doit exclure la frégate britannique, il répond : « De toute façon, il est évident que le gouvernement doit chercher des alternatives et voir s’il existe d’autres fournisseurs pour ces systèmes. » Identiques ou pas ? Pour Ståle Ulriksen, chercheur à l’École de guerre navale, la Type 26 britannique est l’une des deux options les plus probables pour la Norvège, l’autre étant la frégate française. « Si le gouvernement ne veut absolument pas de pièces israéliennes, il est toujours possible de trouver d’autres fournisseurs d’électronique et de blindage. Mais alors, les frégates ne seraient plus totalement identiques, et on perdrait des avantages comme la maintenance commune », explique-t-il. « Faut-il éviter d’acheter des frégates avec du matériel produit en Israël ? » « À mon avis, ce serait aller trop loin », conclut-il.
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Au passage, ca ne signifie absolument pas qu'ils veulent du Rafale, c'est une évidence bonne a rappeler. Ce serait d'ailleurs intéressant de pouvoir comparer le % de Suisses qui voudraient spécifiquement du Rafale avec les 19% toujours en faveur de l'achat de F-35 malgré les attaques de Trump ... à mon avis ca risquerait d'en décevoir certains ici.
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- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
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S'il leur faut un stop-gap, vu que les indiens ont déjà une ligne d'assemblage C-295 et commandé 56 appareils, autant prendre quelques Persuader ...
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C'est marrant l'UCAV semble avoir un angle de flèche similaire à celui du Mirage 2000, ~ 58° Pour le Neuron, c’était plutôt aux alentours de 52° il me semble. Bon Trappier avait déja fait la comparaison avec le M2000 dans challenges en juin
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je pense que c'est juste pour le transport Ils ont changé la configuration du pare-brise, avant c'était comme ca --> -
Par un ravitailleur Polaris Canadien à Guam https://www.opex360.com/2023/07/25/un-a400m-francais-et-un-avion-ravitailleur-polaris-canadien-impliques-dans-un-incident-au-sol-sur-lile-de-guam/
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Dissuasion nucléaire française...
Titus K a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
Super reportage sur les essais Canopus et Procyon Sympa d'avoir l'image du bateau Anglais qui rôdait dans les environs juste avant le test Aussi le Vice-Amiral Lorain 10 secondes avant le 1er Tir : "où sont les américains ? ... bon je donne l'autorisation" -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Arrivée des 6 derniers CAESAR commandés en Estonie -
Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
Dans ces cas autant ne compter que 3 Mogami puisque le contrat d'une valeur de ~5,6 Milliards € ne couvre que : la livraison des 3 premieres Mogami assemblées au Japon l'armement de ces 3 premières frégates la mise en place de l'outil industriel pour construire les 8 suivantes en Australie. Les 8 Mogami supplémentaires ne sont à ce jour ni contractualisées ni budgétisées... --> https://www.abc.net.au/news/2025-08-05/australia-japan-navy-frigates/105613688 The initial contract for the first three vessels is worth $10 billion, although that money will also help provide the workforce, ship-building facilities and missiles the whole fleet will need. It is not yet clear how much it will cost taxpayers to build the rest of the warships in Australia. D'ailleurs il me semble que le Mindef Autralien n'envisage pas vraiment de SM-2 puisqu'il évoque 128 missiles par frégates, donc uniquement ESSM Quad-Pack --> https://www.minister.defence.gov.au/media-releases/2025-08-05/mogami-class-frigate-selected-navys-new-general-purpose-frigates It will take our general purpose frigates from being able to fire 32 air defence missiles to 128 missiles, giving our sailors the cutting‑edge weapons and combat systems they need to prevail in an increasingly complex environment.