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Tout ce qui a été posté par Titus K
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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Si tu as fini de lire le doc, je suis curieux de savoir s'ils identifient un bilan énergétique global incluant l'énergie dépensée lors de la construction, directement sur le chantier mais également pour la construction des machines utilisées, etc... et s'ils déterminent à quel moment (au bout de combien de fonctionnement) le dispositif finit de "rembourser" les gazs à effet de serre dégagés lors de sa construction. Bon je viens de vérifier et non ... C'est mentionné dans le papier, mais ils admettent eux memes qu'ils n'ont pas fait ce calcul. Sinon pour être honnête, le problème de ce concept que la zone est protégé Natura 2000 ... Sur cette carte sont indiqués : En pointillé jaune --> "Voordelta", la zone Natura 2000 ( dont la Maasvlakte actuelle fait deja partie). En pointillé rouge -->la zone dont les fonds sablonneux sont particulièrement protégés. Ceci dit une fois la Maasvlakte 2 terminée il va bien falloir trouver quelque chose a faire ... c'est la passion de beaucoup de monde ici de jouer avec l'eau et le sable -
C'est 2 bidons 1250 L + 2 bidons 2000 L qu'ont voit dans le reportage non ? C'est ce qu'ils appellent super nounou dans la marine il me semble.
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- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
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European "NEXT SPACE" mieux que "NEW SPACE" à la sauce US
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Engins spatiaux, Espace...
La flexibilité ? Je crois pas vraiment a leurs promesses, mais en soit ca permet de ne pas avoir à attendre d'avoir 10 tonnes a envoyer en orbite pour prévoir un lancement a prix compétitif. -
Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
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Allemagne
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
En plus l'AfD vient peut être de recevoir son cadeau de noel en avance ce soir ... Attaque contre le marché de Noël de Magdebourg --> https://www.bild.de/news/magdeburg-raste-auto-in-menschenmenge-grosseinsatz-auf-weihnachtsmarkt-6765b9fff0c2b32e8c26d02b Service de secours: 60 à 80 blessés Le service de secours de Magdebourg indique qu'il y aurait eu entre 60 et 80 blessés dans l'attaque. -
Allemagne
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Comme quoi tout ce qu'il fallait pour relancer le programme spacial américain c'était un nouvel immigré proche de l'extreme droite allemande ... -
(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
C'est marrant j'ai toujours eu l'impression que la France était quand même le gros driver du développement des programmes chez MBDA ... La France seule --> MICA / Mistral / ASMPA / MDCN / Exocet / AKERON MP Et la France en coopération --> Meteor (12%) / SCALP (40%) / Aster (60%) / FMAN-FMC (50%) J'avoue ne pas bien comprendre cette réorganisation ...- 227 réponses
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@Teenytoon contrat signé pour 25 EF en Espagne, 115 avions au total l’Espagne https://www.airbus.com/en/newsroom/press-releases/2024-12-spain-orders-25-additional-eurofighter-aircraft The agreement, which follows a previous contract signed in 2022 for a batch of 20 fighter jets, will see the Spanish Eurofighter fleet grow to 115 aircraft. With the first delivery due in 2030, these new aircraft will: boost Spain’s air-power capabilities and operations; reinforce its prominent position at the heart of NATO, and secure the programme’s industrial footprint.
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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Catherine MacGregor, directrice générale d’ENGIE Patrick Pouyanné, président-directeur général de TotalEnergies Luc Rémont, président-directeur général d’EDF -
Elle est vraiment bien cette chaine, c'est agréable de voir des Français faire du contenu sur les armes a feu sans être des giga-beaufs.
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Si j'avais encore le droit le décorer ma chambre de posters (), j'aurais sans scrupule glissé un Zumwalt entre une FLF et le Richelieu personnellement ... les gouts et les couleurs !
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Pays-Bas
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Youpi .... "L'entreprise néerlandaise ASML a annoncé, ce jeudi, la nomination de l'ancien ministre de l'Economie en tant que conseiller du conseil d'administration du groupe." -
(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
MBDA, le projet de réorganisation qui fâche la France et la Grande-Bretagne https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/mbda-le-projet-de-reorganisation-qui-fache-la-france-et-la-grande-bretagne-1014168.html Paris et Londres s'opposent à un projet de réorganisation de MBDA, accueilli favorablement par Rome. En jeu dans ce projet, l'influence des États clients dans un groupe très stratégique pour les intérêts souverains de la France, de la Grande-Bretagne et de l'Italie. Jusqu'ici tout allait bien chez MBDA... Les contrats de ventes de missiles s'empilent les uns après les autres depuis la guerre en Ukraine et gonflent un carnet de commandes propulsé notamment par une méga-commande de six milliards d'euros signée en 2024 par MBDA en Pologne. Résultat, le missilier affiche un carnet qui va atteindre fin 2024 des altitudes stratosphériques, soit environ 35 milliards d'euros, selon nos informations. Mais depuis neuf mois, la situation en interne s'est progressivement et très nettement tendue et crispée avec un projet de réorganisation profond (dont La Tribune s'est procurée une copie) voulu par le PDG de MBDA, Eric Béranger avec le feu vert de son conseil d'administration. Interrogé par La Tribune, le missilier n'a pas souhaité faire de commentaires. Un dossier très irritant pour Paris et Londres Si l'objectif de rendre le groupe plus efficient en vue d'écouler son colossal carnet de commandes apparait légitime, cette réorganisation touche également à la gouvernance du missilier et impacte l'influence des pays fondateurs de MBDA (France, Grande-Bretagne et Italie). Et là, c'est le drame. Car ce sujet fâche aussi bien en interne qu'à l'extérieur du groupe, la France et la Grande-Bretagne. Cette entreprise européenne (détenue à 37,5% par Airbus, 37,5% BAE Systems et 25% Leonardo) doit effectivement composer dans sa gestion industrielle et managériale avec les intérêts souverains de trois nations qui ont créé cette entreprise en 2001 et pour lesquelles la filière missilière est extrêmement sensible et souveraine. Car cette industrie est souvent très décisive dans l'obtention de contrats à l'export de plateformes militaires (aéronefs, navires et véhicules blindés) développées en national. Et pour la France, MBDA va bien au-delà de ces considérations commerciales. La société représente un enjeu existentiel pour la défense française, le missilier faisant partie de l'écosystème de la dissuasion avec la production du missile nucléaire aéroporté ASMP-A, et puis plus tard, l'ASN4G. La réorganisation de MBDA mobilise beaucoup le ministère des Armées, qui se montre très vigilant sur ce dossier. Interrogé par la Tribune, le ministère n'a pas souhaité faire de commentaires. Ces derniers temps, les relations entre Eric Béranger et deux États fondateurs de MBDA (France et Grande-Bretagne) ont été animées, voire très animées. Le ministère, via la DGA (Direction générale de l'armement), a émis « un avis défavorable » à ce projet, selon un courrier du Délégué général pour l'armement (DGA) envoyé le 22 novembre à Eric Béranger et que La Tribune s'est procurée. Pour la DGA, la réorganisation n'est ni dans le bon timing, ni dans le bon tempo compte tenu du défi par MBDA de livrer en temps et en heure les missiles achetés par les pays pour reconstituer leurs stocks dans l'urgence. « Lancer une réorganisation d'ampleur aujourd'hui engendrerait à mes yeux une période d'instabilité contraire » à l'objectif d'une accélération des livraisons, explique Emmanuel Chiva à Eric Béranger dans son courrier. Interrogé par La Tribune, la DGA n'a pas non plus souhaité faire de commentaires. Par ailleurs, le ministère n'arrive pas à apprécier aujourd'hui en quoi la réorganisation, qui a été présentée par Eric Béranger, rendra la production plus efficiente pour permettre une hausse des capacités de production. Une influence de la France réduite « En outre, la réorganisation proposée me semble affaiblir la présence de la France dans l'instance dirigeante de MBDA, l'équilibre actuel se justifiant d'une part par les investissements réalisés par la France depuis la création de MBDA et d'autre part par le poids que représente l'entité française dans le chiffre d'affaires de MBDA et dans ses effectifs », écrit également le Délégué général pour l'armement. Et c'est là le cœur des mécontentements de la France mais aussi de la Grande-Bretagne. Dans le projet de réorganisation présenté au ministère des Armées, l'influence de la France est affaiblie par rapport à ce qu'elle est aujourd'hui tandis que celle de l'Italie monte en puissance. Si la réorganisation était mise en œuvre telle qu'elle a été présentée aux trois pays, Leonardo placerait deux Italiens à des postes clés, susceptibles de guider la stratégie et les investissements présents et à venir de MBDA : la direction des opérations et celle de la stratégie et de la croissance. Inacceptable pour Paris et Londres. La France serait ainsi marginalisée avec une seule direction, celle des programmes (au lieu de deux actuellement : opérations et programmes). Cette réorganisation réduirait également le rôle de Stéphane Reb, d'un des hommes forts au sein de MBDA et auquel la France tient tout particulièrement pour gérer les programmes de la dissuasion aéroportée, selon nos informations. D'ailleurs, les relations déjà fraîches entre Eric Béranger et l'actuel directeur des programmes de MBDA et directeur général MBDA France, se sont très nettement refroidies ces derniers mois. La Grande-Bretagne aurait quant à elle trois directions (finances, ventes et ressources humaines). Un calendrier suspendu Pour toutes ces raisons, Emmanuel Chiva a demandé à Eric Béranger de « suspendre » cette réorganisation et « de concentrer ses efforts à la pleine réalisation des objectifs industriels qui vous sont assignés, en particulier dans notre contexte d'économie de guerre ». Poussé par Airbus et Leonardo, notamment, le patron de MBDA semblait vouloir aller très vite en dépit des messages très négatifs de Paris et de Londres, déjà très irrités d'avoir été averti au dernier moment par MBDA et qu'une fois le feu vert du conseil d'administration acquis. Pour la France, il y a donc à la fois un problème de forme (tempo et calendrier) et de fond (remise en cause des équilibres entre les nations et de perte souveraineté). Aujourd'hui, il semblerait, selon des sources concordantes, que pour Eric Béranger, il est urgent d'attendre et de lancer une concertation avec la France et la Grande-Bretagne, notamment, de façon à ce que MBDA prenne en compte leur avis et leurs exigences. D'ailleurs, les groupes de travail au sein de l'entreprise, qui a déjà des coûts sur ce dossier, ont été arrêtés, selon nos informations. Et le projet de réorganisation est aujourd'hui présenté comme un document de réflexion et non plus comme un projet sur le point d'être lancé. Selon nos informations, MBDA prévoit au mieux un lancement de cette réorganisation pas avant la fin du premier semestre, si elle est effectivement lancée. Ce qui est certain, c'est que MBDA a besoin de se réformer pour être plus efficient dans la production industrielle, changer de dimension et donc accompagner ce monde nouveau qui a surgi depuis la guerre en Ukraine. A Eric Béranger de trouver un équilibre entre la volonté de ses actionnaires et les exigences de ses clients nationaux, qui devront quant à eux continuer à acheter des missiles et lancer des programmes pour peser sur le groupe. est une ligne de crête par nature instable pour Eric Béranger.- 227 réponses
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https://www.rid.it/shownews/7016/il-rinascimento-del-programma-eurofighter-parola-all-rsquo-ad-giancarlo-mezzanatto S'il y a bien un pays ou tu peux te permettre un peu d'hérésie, de blasphème et de sorcellerie ... profites-en Et puis tu va voir, le message va être bien reçu "Nous sommes à un tel point qu'aujourd'hui nous pouvons considérer l'Eurofighter TYPHOON, né comme un chasseur de supériorité aérienne, comme le meilleur swing role européen, grâce à une série de paquets d'amélioration (Phase Enhancements) développés par le Consortium dans le cadre d'une feuille de route de capacité fondamentale à la fois pour les Nations Partenaires, aux fins de la planification des fonds nécessaires, et pour l'industrie, à des fins de la planification des activités et des ressources." Il y en a 3 et ils sont très solides : La première, l'avion joue un rôle opérationnel avec des résultats très importants. Il suffit de dire qu'au cours des 2 dernières années, 80% des missions opérationnelles des flottes de chasse des pays partenaires ont été réalisées par l'Eurofighter TYPHOON, avec un engagement allant des missions de défense aérienne sur le flanc oriental de l'OTAN aux missions au Moyen-Orient - comme, par exemple, au Yémen pour défendre le trafic naval dans la mer Rouge ou pour lutter contre les attaques de missiles de l'Iran contre Israël. La seconde, un plan de développement des capacités clair et bien défini. Enfin, la troisième raison concerne le fort impact économique du programme. Sur les ventes --> Exactement. Je peux confirmer à cet égard une perspective de marché d'environ 150-200 nouveaux avions. Oui, exactement : il s'agit d'une perspective qui comprend à la fois de nouvelles commandes des pays partenaires - HALCON 2 en Espagne (25 exemplaires), la nouvelle commande de l'armée de l'air en Italie (24 exemplaires) et les soi-disant tranches allemandes 5 (20 exemplaires) annoncées par le chancelier Scholtz - ainsi que les opportunités qui émergent des campagnes d'exportation en cours. En outre, les signatures sur les contrats HALCON 2 et pour les nouveaux TYPHOON italiens sont imminentes. Nous sommes actuellement engagés dans 4 pays : le Qatar, l'Arabie saoudite, la Turquie et la Pologne. Dans l'ensemble, nous parlons d'environ 130 nouveaux avions. Dans les 3 premiers pays, le premier est BAE Systems, tandis qu'en Pologne, comme on le sait, Leonardo l'est.
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Le K-564 "Arkhangelsk"
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Dommage qu'il soit a 4000 mètres de fond, ca aurait pu faire un bon spot de plongée -
C'est quoi l'emport sous le Tu-22 ?
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Hum, ça change pas mal de choses ouais. Bon ça semble mal barré cette affaire si même eux s'y mettent. La vision d'horreur de l'Eurofighter ne leur a pas suffi? Ils veulent "rejoindre" le GCAP? Acheter des F-35? Ils se sentiraient moins "seuls" en même temps en étant si bien entourés... Hahaha quand on parle du loup ... https://www.idaero-plus.com/articles/interview-d-eric-trappier-sur-le-theme-de-la-souverainete/ Extrait : Pouvez-vous préciser les apports de la dissuasion pour votre industrie ? La mission de dissuasion aéroportée étant particulièrement exigeante, elle a obligé les forces aériennes et les industriels à développer de nouvelles compétences et de nouvelles technologies. À titre d’exemple, les FAS ont été les premières à utiliser le ravitaillement en vol, qui est aujourd’hui commun à toutes nos opérations. Elles ont aussi acquis des aptitudes spécifiques en planification et en conduite des opérations aériennes, qui ont été utiles dans des environnements conventionnels denses et hostiles, comme en Libye ou en Syrie. L’autonomie d’emploi requise pour la mission de dissuasion a, de même, conduit au développement des systèmes de contre-mesures électroniques, des moyens de navigation de bord et de pénétration en suivi de terrain automatique, qui ont pu être ensuite déclinés sur d’autres avions. La souveraineté « à la française » exclut-elle la coopération en matière de programmes militaires ? Non. D’ailleurs, Dassault Aviation a réalisé plusieurs avions en coopération : ATL, Alpha Jet, Jaguar, nEUROn. Ces expériences montrent que la coopération est possible à condition de respecter certains principes. D’abord, les spécifications technico-opérationnelles communes, arrêtées entre les partenaires d’un programme en coopération, ne doivent pas faire d’impasse sur les missions militaires considérées comme essentielles à leur souveraineté par les différentes parties prenantes. Par exemple, lors des discussions sur le projet d’avion européen, dans les années 80, il est vite apparu que nos partenaires potentiels ne souhaitaient pas que l’avion soit capable d’opérer depuis un porte-avions. Plus généralement, la polyvalence leur semblait superflue ou inaccessible, et leur besoin se situait uniquement au niveau d’un appareil spécialisé dans les missions de supériorité aérienne. L’air-mer et l’air-sol n’entraient pas dans leurs priorités pour ce programme. Sans même parler du nucléaire. Dès lors, la coopération n’était plus possible, et la France n’avait d’autre solution que de faire seule son avion, le Rafale. Avec le recul, nous constatons que ce choix était le bon, tant au point de vue budgétaire qu’au point de vue performances. Enfin, Dassault Aviation milite depuis les débuts du programme nEUROn, il y a 20 ans, pour que les coopérations adoptent certaines règles d’efficacité : associer les meilleurs talents sous la direction d’une unique maîtrise d’œuvre, avec un partage clair des tâches en fonction des compétences démontrées par chacun des partenaires, et non pas en fonction du « juste retour » territorial. La pertinence de ces règles a été démontrée par le total respect des performances et des budgets du nEUROn. Un programme qui s’écarte de ce modèle débouche souvent sur un matériel cher et sous-optimisé qui grèvera le budget de la défense et in fine, n’accomplira pas les missions attendues. La souveraineté est aussi une question d’efficacité. Aujourd’hui, nous travaillons avec les industriels allemands et espagnols dans le cadre du Système de combat aérien futur (SCAF). Nous avons négocié fermement pour préserver les savoir-faire de Dassault Aviation et obtenir la maîtrise d’œuvre du NGF, pièce centrale du SCAF. Pour que ce programme réussisse, il faut que les règles et principes que je viens d’évoquer soient respectés. Le NGF doit avoir la capacité Marine et la capacité dissuasion nucléaire. Nous sommes mobilisés pour définir un démonstrateur qui devrait voler vers 2029. Ce démonstrateur suppose de nouvelles étapes contractuelles pour lesquelles le partage des tâches reste encore à négocier, en particulier sur les aspects de la fabrication. En attendant, et jusqu’au-delà de 2060, le Rafale restera le cheval de bataille de l’armée de l’Air et de la Marine. Nous le faisons évoluer régulièrement, notamment en développant un drone de combat prévu avec le standard F5. En termes de puissance aérienne, le Rafale demeure l’ultima ratio de la souveraineté française.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
18 F-16 pour l'EFTC en Roumanie + 24 F-16 pour l'Ukraine --> 42 F-16 Néerlandais Les F-16 néerlandais reçoivent une nouvelle destination en Roumanie pour la formation des pilotes https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2024/12/13/nederlandse-f16s-krijgen-een-nieuwe-bestemming-in-roemenie-voor-training-van-vliegers Les Pays-Bas veulent transférer officiellement 18 F-16 restants à la Roumanie. Les avions de chasse sont déployés pour le centre européen de formation F-16 (EFTC) dans ce pays. Entre autres choses, pour former des pilotes ukrainiens. Les Pays-Bas n'utilisent plus les appareils eux-mêmes après être passés au F-35 moderne. Le ministre Ruben Brekelmans et son collègue roumain ont signé hier à La Haye une lettre d'intention pour le transfert. Brekelmans : « Le maintien d'un endroit où l'Ukraine peut former de nouveaux pilotes est très important. Ici, ils apprennent à défendre leur pays contre les attaques aériennes russes impitoyables avec l'appareil de chasse. En plus des avions que nous livrons directement à l'Ukraine, nous soutenons à la fois notre allié roumain de l'OTAN et l'Ukraine avec ces F-16. L'EFTC joue un rôle clé dans notre détermination à fournir à l'armée de l'air ukrainienne la capacité du F-16. C'est bon pour la sécurité de l'Ukraine, de la Roumanie, de l'OTAN et donc aussi des Pays-Bas. » Centre de formation L'EFTC de la base aérienne de Fetesti forme les futurs pilotes F-16. Par exemple, en juillet de cette année, les premiers pilotes roumains ont terminé leur formation. Ils sont utilisés pour protéger l'espace aérien de l'OTAN. En septembre, les soldats ukrainiens ont commencé leur formation sur le F-16. En plus des F-16 pour le centre de formation, les Pays-Bas en fournissent également 24 à l'Ukraine. Avec le Danemark et les États-Unis, les Pays-Bas mènent les efforts de capacité du F-16 pour l'Ukraine. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Titus K a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est le "on" tres inclusif ... aka "Occident" aka en fait "USA" ? Parcque si tu parles de ces gens la, pense que tu les surestimes grandement...