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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    La Force aérienne suisse

    La partie haute sert de casernement temps de paix. La partie basse de chambre de combat. Et le sous sol d'abri lors des combat. Souvent c'est assez bien fichu. Les chalets suisses datent de 1930... Il faut l'intégrer aussi dans ma critique. Et évidement les maison forte ne sont pas la base du dispositif de fortifications. Ce sont des éléments additionnel que l'ennemi aura du mal a cibler s'ils n'arrivent pas a s'en approcher pour en comprendre le rôle. Utilise cette solution massivement sur des locaux "civil" ou industriel... c'est l'obligation pour l'ennemi de diluer largement ses feux par précaution. De toute façon la solution c'est ça pour dissimuler les entrée puis des cavernes pour de gros espaces protégés.
  2. Il y a aussi des résistances normale à des dépense militaire vue comme inutile après de grosse baisse d’impôt et une situation sociale qui ne fait rêver personne ... ... la France n'arrive plus à produire par exemple, les salaires sont bas, le quidam à du mal à se loger etc. Ce sont des priorité qui passe pour chacun bien avant des anticipations guerrière dont la plupart n'ont rien à foutre quand il n'arrive déjà pas à boucler leur fin de mois. Il suffit de voir les résultat des supermarché pour voir que le francais moyen y dépense moins, beaucoup moins. Et comme dans le meme temps le meme francais est tenu à l'écart de la défense ... à quel moment veux tu que les dépense de défense l'implique un minimum. C'était tout l'intéret du service militaire, tout le monde passait dans l'armée et donc conservait un lien avec, soit soi meme, soit via ses enfants ou petits enfants. Maintenant se lien n'existe plus et depuis longtemps, et l'armée est devenu une sorte de SP comme les autres pour la plupart des gens, qui ont déjà du mal à trouver un toubib à l'hopital pour les soigner, ou un prof pour leur gosse.
  3. g4lly

    La Force aérienne suisse

    Les suisses cachaient des bunker non seulement sous la montagne mais aussi sur la montagne. Je ne me souviens plus du terme exact, mais c'était de fausse locaux habitation ou agricole, mais de vrai fortification. Un masquage en trompe l'oeil ou en couvert classique - charpente, tuile etc. - dissimulait la fortification qui paraissait être un simple chalet, ou une simple grange. Il y a avait la meme chose avec des éléments naturels, comme des gros rochers, des parties de falaise, ou des parties d'ouvrage routier etc.
  4. Le souci c'est surtout que la menace sur le champ de bataille est tout azimut et pas seulement de l'avant. Les mines explosent dessous, les mines hors route, sur les coté ou l’arrière ... les drones par le dessus. A un moment le plus simple c'est de ne plus employé d'homme et de faire du travail de sape à coup de mule explosive. Un petit tout terrain robuste, peu sensible aux armes légère, qui approche de la position ennemi puis y explose lourdement. L'occupation de la position par l'infanterie intervenant dans un second temps. En gros de la meme manière ou l'on harcèle via des petits drones aérien, on sape via des drones terrestres. Ce sont des tactiques anciennes remise au gout du jour avec des moyens juste plus moderne.
  5. g4lly

    Défense sol-air multicouches

    Quand l trajectoire de la cible est prévisible en défense de point pas besoin d'une munition particulièrement rapide... Et on sait faire des drones électrique qui vole a plus de 400 km/h ... Les bombes planantes pr définition ne vole pas vite.
  6. Frappes sur Damas : Israël impose ses lignes rouges au nouveau pouvoir syrien De la fumée s’échappe du bâtiment du ministère de la défense syrien, partiellement détruit lors de bombardements de l’armée israélienne. Au cours de ce raid mené en plein cœur de Damas, l’armée israélienne a également visé le palais présidentiel. Selon les autorités syriennes, l’ensemble des frappes israéliennes sur la capitale ont fait au moins trois morts et 34 blessés. Dans le contexte des violents affrontements qui opposent, dans la ville de Soueïda (sud de la Syrie), les forces gouvernementales et des combattants bédouins à des groupes armés druzes, Israël a multiplié les frappes contre des troupes et des convois de l’armée syrienne dans le sud du pays, ainsi que contre le ministère de la Défense et le palais présidentiel à Damas. Damas, Syrie, 16 juillet 2025. A la suite des bombardements israéliens sur le ministère de la défense et sur l’état-major syriens, les forces gouvernementales se sont retirées de la région druze de Souweïda. L’Etat hébreu veut interdire toute présence militaire syrienne dans le sud du pays. Des Syriens en état de choc, certains en larmes, sortent en courant des magasins et des immeubles de la rue qui longe le complexe de la défense syrienne, au cœur de Damas. Une double frappe israélienne vient de s’abattre sur cet ensemble de bâtiments en milieu d’après-midi, mercredi 16 juillet, projetant des débris de métal. Les sirènes des ambulances retentissent, mais, déjà, le bruit des avions de guerre annonce de nouveaux bombardements. Quatre frappes éventrent, dans un bruit fracassant, le ministère de la défense et le siège de l’état-major. Ceux qui ont connu les bombardements du régime d’Al-Assad durant la guerre civile retrouvent leurs vieux réflexes. Ils se jettent au sol, les mains sur le visage, pour se protéger des éclats métalliques. D’autres fuient vers les allées arborées du quartier chic de Mazzeh. Dans les immeubles donnant sur la place des Omeyyades, la poussière s’est insinuée à travers les vitres brisées, chargée d’une odeur de poudre. « En quatorze ans de guerre, on n’a jamais vu cela ici. Dans la Ghouta orientale [banlieue de Damas], oui, mais c’est loin. Les jets israéliens bombardent à leur guise, car on n’a pas de défense antiaérienne. Et ce sont les civils qui en paient le prix », déplore Mohammed Al-Hariri, un gardien d’immeuble. Les autorités font état de trois morts et de 34 blessés à Damas, dont de nombreux civils. Des frappes israéliennes ont également visé la zone du palais présidentiel, les environs de l’aéroport militaire de Mazzeh, et des cibles militaires dans l’ouest et le sud du pays. Le message envoyé au président de transition, Ahmed Al-Charaa, ne peut être plus clair. Israël exhorte le pouvoir syrien à « laisser tranquilles » les Druzes de Souweïda et à retirer ses forces de cette ville du Sud syrien où des combats entre factions druzes, combattants tribaux bédouins et forces gouvernementales ont fait, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, plus de 300 morts en trois jours. « Comme nous l’avons clairement indiqué, Israël n’abandonnera pas les Druzes en Syrie et imposera la politique de démilitarisation » dans le sud du pays, insiste le ministre de la défense israélien, Israel Katz. Il promet des « coups douloureux » si le message n’est pas compris, tandis que son armée annonce renforcer les troupes à la frontière syrienne. Lors des bombardements menés par l’armée israélienne sur le ministère syrien de la Défense, à Damas, le 16 juillet 2025. Confronté au risque d’une nouvelle guerre, Ahmed Al-Charaa n’a eu d’autre choix que de plier. Dans un message télévisé, diffusé dans la nuit de mercredi à jeudi, il a confirmé les termes du cessez-le-feu scellé, quelques heures plus tôt, avec les notables druzes de Souweïda. L’armée syrienne a déjà entamé un retrait de la ville dont la sécurité est transférée à « des factions locales et des cheikhs druzes », annonce M. Al-Charaa. Le président syrien a salué la médiation américaine, turque et de pays arabes, qui a « sauvé la région d’un sort inconnu ». Face à ce qu’il a dénoncé comme une tentative d’Israël de semer la division et le chaos en Syrie, il a adressé un message d’unité aux 700 000 Druzes syriens, leur promettant protection et justice pour les exactions dont ils ont été victimes durant les combats. Méfiance envers les sunnites au pouvoir Le président Al-Charaa n’avait pas d’autre option. Attelé à la restauration de la souveraineté de Damas sur l’ensemble du pays, et à la reconstruction de celui-ci, après quatorze ans de guerre, il n’a ni l’intention ni les moyens de se confronter à Israël. Depuis la chute du président Bachar Al-Assad, en décembre 2024, l’Etat hébreu a mené plus de 800 frappes aériennes en Syrie pour en détruire les sites et l’arsenal militaires. L’armée israélienne, qui a pris pied dans la zone syrienne démilitarisée au pied du plateau du Golan qu’elle occupe, est à 50 kilomètres des portes de Damas. Disposé à trouver un règlement sécuritaire, voire politique, avec Israël, M. Al-Charaa a accepté, à la demande de Washington, de retirer son armée de Souweïda pour désamorcer la situation, après que l’administration américaine a échoué à faire cesser les attaques israéliennes. L’accalmie qui régnait, depuis plusieurs semaines, entre Israël et le nouveau pouvoir syrien, engagés dans des pourparlers discrets, a volé en éclats, lundi. Israël a commencé à bombarder les forces syriennes pour les empêcher de prendre pied dans Souweïda. L’Etat hébreu justifie son intervention sous prétexte de la protection des Druzes syriens. Des responsables druzes en Israël exercent un lobbying en ce sens auprès du gouvernement de Benyamin Nétanyahou. Des factions druzes syriennes, qui refusent de renoncer à leur autonomie pour intégrer les forces nationales, se sont rapprochées d’Israël, avec qui elles partagent la même méfiance envers les groupes islamistes sunnites au pouvoir à Damas. « Il est possible que cette préoccupation israélienne pour les Druzes syriens coexiste avec ce que l’on pourrait considérer comme un objectif plus cynique : à savoir que la Syrie devrait être un Etat faible, effectivement divisé en enclaves sectaires et ethniques autonomes », souligne Aymenn Al-Tamimi, analyste anglo-irakien spécialiste de la Syrie. L’ingérence israélienne a creusé le fossé entre les Druzes syriens et le pouvoir de Damas, et entre les Druzes eux-mêmes. Mercredi, alors que l’influent chef religieux druze, Hikmat Al-Hijri, appelait de nouveau Israël et les Etats-Unis à l’aide et refusait l’accord de cessez-le-feu avec Damas, d’autres chefs religieux ont rejeté toute ingérence de l’Etat hébreu. Des civils fuient la place des Omeyyades après les frappes israéliennes ayant partiellement détruit le bâtiment du ministère de la Défense syrien, à Damas, le 16 juillet 2025. Un jeune syrien se protège derrière une camionnette garée sur la place des Omeyyades, après les frappes israéliennes ayant partiellement détruit le bâtiment du ministère de la Défense syrien, à Damas, le 16 juillet 2025. L’autre objectif d’Israël est d’empêcher toute présence militaire dans le sud de la Syrie, qui pourrait représenter une menace à la frontière nord. Le traumatisme de l’attaque du Hamas sur son territoire, le 7 octobre 2023, et le sentiment de toute-puissance que lui ont laissé ses victoires contre l’Iran et le Hezbollah libanais, l’ont d’abord poussé à une approche très agressive envers le nouveau pouvoir syrien. Celle-ci s’est traduite par une vague de frappes sur des sites militaires syriens dans les jours qui ont suivi l’entrée d’Al-Charaa dans Damas, en décembre 2024. Arrestation de cadres palestiniens Puis, au printemps, un rapprochement à pas feutrés s’est amorcé. Des contacts ont été noués sous la médiation des Emirats arabes unis. Cette amorce de pourparlers s’est traduite, côté israélien, par une réduction des frappes et un discours moins belliqueux à l’égard du président intérimaire syrien. Ce dernier, tout en modération et retenue vis-à-vis d’Israël, a fait des gestes de bonne volonté, servant les intérêts des deux pays, comme l’affaiblissement de l’Iran et de ses alliés régionaux. Il a ainsi procédé à l’arrestation de cadres palestiniens du Hamas et du Jihad islamique. Il a multiplié les efforts pour stopper le transfert d’armes vers le Hezbollah au Liban. En parallèle, un dialogue s’est engagé entre Israël et la Turquie, après des frappes israéliennes contre des bases en Syrie où la Turquie comptait établir une présence militaire. Un mécanisme de déconfliction a été mis en place avec Ankara, qui a permis à Israël de conserver sa liberté d’opération aérienne dans le ciel syrien, notamment lors de la guerre qui l’a opposé à l’Iran, en juin. Les contacts entre Israël et la Syrie se sont intensifiés après la rencontre entre le président américain, Donald Trump, et Ahmed Al-Charaa, en mai, à Riyad. Convaincu par ses alliés golfiens de donner une chance au nouveau pouvoir pour stabiliser la Syrie, le président républicain a annoncé la levée des sanctions américaines. Impatient de renouer le dialogue avec la communauté internationale, le président syrien s’est dit prêt à envisager une normalisation de ses relations avec Israël. Le maintien par Israël d’une ligne dure a été compliqué par l’insistance de Washington à mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza et à finaliser un grand « deal » régional après la victoire d’Israël sur l’Iran. Les dépouilles de 4 hommes gisent sur le bord d’une route à Al-Mazraa dans le gouvernorat de Souweïda (Syrie), le 16 juillet 2025. Fin juin, le président du Conseil de sécurité nationale israélien, Tzachi Hanegbi, a révélé qu’il menait un dialogue direct avec le régime syrien et Ahmed Al-Charaa. D’autres canaux sont ouverts. Ils impliquent côté israélien, le ministre des affaires stratégiques, Ron Dermer, et des militaires, et, côté syrien, le chef de cabinet du président Al-Charaa, Ali Keda, et le gouverneur de Kuneitra, Ahmed Al-Dalati. Des rencontres régulières se tiennent en Azerbaïdjan. La dernière a eu lieu la veille de l’embrasement de Souweïda, le 13 juillet, en marge de la visite du président Al-Charaa à Bakou. Le lendemain, le chef de la diplomatie syrienne, Assad Hassan Al-Chibani, assistait, aux côtés de son homologue israélien, Gideon Saar, à la cinquième réunion ministérielle entre l’Union européenne et les pays du sud de la Méditerranée. Le différend du Golan L’intervention israélienne à Souweïda a grippé cette dynamique de dialogue. « Les Israéliens montrent qu’ils sont prêts à camper sur leurs positions maximalistes tant qu’ils n’ont pas obtenu ce qu’ils veulent d’Ahmed Al-Charaa, estime Laure Foucher, spécialiste du Proche-Orient à la Fondation pour la recherche stratégique. C’est une impasse stratégique. » Malgré l’empressement de Donald Trump à ajouter la Syrie à la liste des pays signataires des accords d’Abraham, M. Al-Charaa et M. Nétanyahou savent que la normalisation n’est pas à portée de main. Fin juin, Gideon Saar avait clarifié le consensus israélien sur la question du plateau du Golan, territoire syrien occupé par Israël depuis 1967 : « Dans tout accord de paix, le Golan restera une partie de l’Etat d’Israël. » Or, pour Ahmed Al-Charaa, il n’est aucunement question de renoncer aussi facilement à la revendication historique de la Syrie sur ce territoire. Une normalisation hâtive avec Israël serait, par ailleurs, un suicide politique, alors qu’il est déjà la cible de critiques de groupes radicaux pour sa politique de modération. Les Saoudiens s’y opposent aussi, tant que se poursuit la guerre dans la bande de Gaza. Les négociations portent désormais sur la conclusion d’un accord de non-agression entre les deux pays, qui ouvrirait la voie à une discrète coopération en matière de renseignement. Damas exige le retrait de l’armée israélienne des territoires qu’elle occupe depuis la chute d’Al-Assad et le respect de l’accord de désengagement de 1974 sur le Golan occupé. « Les discussions butent sur le Sud syrien. Les Israéliens disent vouloir conserver une capacité de frapper tant que le gouvernement syrien ne contrôle pas son territoire, et le gouvernement syrien dit ne pas pouvoir contrôler son territoire si les frappes israéliennes se poursuivent », souligne Mme Foucher. Un point au cœur de la confrontation entre l’armée israélienne et les forces syriennes à Souweïda. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/07/17/frappes-sur-damas-israel-impose-ses-lignes-rouges-au-nouveau-pouvoir-syrien_6621725_3210.html
  7. C'est directement le ministère de la défense et d'autre bâtiments publics qui ont été bombardé. https://www.aljazeera.com/news/liveblog/2025/7/16/live-israel-bombs-gaza-syria-as-alarm-grows-over-malnourished-children
  8. Jusqu'à récemment travailler en étant pensionné était "puni" en France... Il fallait faire des montages douteux pour ne pas se faire amputer ta retraite au pro rata de tes revenus "du travail" une fois pensionné. C'est un peu moins pire maintenant mais ce n'est pas encore super motivant.
  9. What Trump's new weapons plan for Ukraine might mean | AP News WASHINGTON (AP) — President Donald Trump has endorsed a plan to have European allies buy billions of dollars worth of U.S. military equipment that can be transferred to Ukraine as Kyiv looks for way to better defend itself against intensified Russian attacks. Trump announced the effort Monday during an Oval Office meeting with NATO Secretary-General Mark Rutte, who has been working with European countries to coordinate the purchase of U.S. weapons. The plan is designed to allow the U.S. to funnel more firepower to Ukraine to combat invading Russian forces during their summer military offensive while easing Washington’s financial burden. Increased weapons shipments, combined with possible new penalties Trump has promised if a halt to the fighting isn’t reached in 50 days, could push Russian President Vladimir Putin into peace talks that Trump has championed for months — so far with little to show for it. Here’s a look at what Trump promised and what it might mean: What’s the new Ukraine weapons deal Trump announced? The U.S. plans to sell Patriot missile batteries — systems ideal for shielding territory against incoming missile attacks — and other weapons to European allies that would be transferred to Kyiv. “We’re going to supply weapons to NATO at a large amount,” Trump said. Rutte said Germany, Finland, Canada, Norway, Sweden, the United Kingdom and Denmark would be among the buyers to supply Ukraine, and noted that “speed is of the essence here.” Later Monday, during a meeting with his administration’s faith office and business leaders, Trump said, “They’re going to deliver the weapons, and they’re going to pay for 100% of the weapons.” The president had earlier teased the announcement, but the details of the transfers — exactly what munitions they would include, the specifics of their delivery and their timing— were unclear. Other parts of the administration deferred to the White House, where officials said details were still being worked out. On a call with the other foreign ministers of the Quad grouping — India, Japan and Australia — Secretary of State Marco Rubio “underscored that it remains a priority of President Trump to bring the war to an end through a durable negotiated settlement,” State Department spokesperson Tammy Bruce said. German Defense Minister Boris Pistorius met with Defense Secretary Pete Hegseth at the Pentagon to discuss some details — particularly related to the Patriot batteries — and noted greater defense spending. “We are determined to assume greater responsibility for Europe’s deterrence and defense,” said Pistorius, whose government has offered to finance two additional Patriot systems. In addition to Germany, Greece and Spain are among the NATO members believed to have spare Patriots to send to Ukraine, as long as they are eventually replaced. U.S. officials said that anything to be supplied to Ukraine in the short term will have to come from existing stockpiles and that it will take several years to replace whatever is sent to Kyiv. What does Ukraine need from the U.S.? Russia has pounded Ukrainian cities with hundreds of drones and cruise and ballistic missiles that its air defenses are struggling to counter. At the same time, Russia’s bigger army is making a new effort to drive back Ukrainian defenders on parts of the 620-mile (1,000-kilometer) front line. Trump announced last week that the U.S. planned to send more defensive weapons to Ukraine, following a prior pause in some deliveries during a review of U.S. stockpiles. Still, the president expressed frustration about U.S. resources going to Ukraine, reiterating Monday that “this is not Trump’s war. We’re here to get it finished and stopped.” During the meeting with Rutte, he also praised European leaders for being willing to take on a larger responsibility for arming Ukraine — a far cry from once criticizing Europe for failing to spend more on defense. “I have to tell you, Europe has a lot of spirit for this war,” Trump said. “When I first got involved, I didn’t think they did, but they do.” Why is Trump threatening tariffs to punish Russia? Trump again vented his frustrations about stalled negotiations to end the war, saying the U.S. will impose steep trade penalties if Moscow doesn’t reach a peace deal with Kyiv in the next 50 days. “Tariffs at about 100% — you’d call them secondary tariffs,” Trump said without providing details. Secondary tariffs would target Russia’s trading partners in an effort to isolate Moscow in the global economy — potentially including nations that rely on Russia for oil and natural gas. Commerce Secretary Howard Lutnick later clarified that Trump was actually referring to economic sanctions, rather than tariffs. Separately, some Republicans close to Trump, including South Carolina Sen. Lindsay Graham, are promoting a bipartisan sanctions package targeting Russia that is working its way through Congress. Trump said Monday that “I’m not sure we need it” given his threat for economic consequences if the fighting continues. But, he added, “it could be very useful, we’ll have to see.” An emboldened Russia has ramped up military offensives on two fronts in Ukraine, seeking an advantage before the fighting season wanes in the fall. Trump’s 50-day deadline will allow Kremlin forces to further expand into the strategic eastern logistics hub of Pokrovsk, the capture of which would hand them a major battlefield victory and bring them closer to acquiring the entire Donetsk region. Russia’s forces also have been pushing into Ukraine’s northern Sumy region, where Putin hopes to create a “buffer zone” to protect Russia’s Kursk and Belgorod regions and defend against the possibility of surprise Ukrainian incursions. Why has Trump changed his tone toward Putin? Trump long boasted of his friendly relationship with Putin, repeatedly asserting that Russia was more willing than Ukraine to reach a peace deal. At the same time, Trump accused Zelenskyy of prolonging the war and called him a “dictator without elections.” But Russia’s relentless onslaught on civilian areas of Ukraine has worn down Trump’s patience. In April, he urged Putin to “STOP!” launching deadly barrages on Kyiv, and the following month he said in a social media post that the Russian leader “has gone absolutely CRAZY!” Trump said Monday that he remains in frequent contact with Putin but questioned how much those talks have gotten him. “My conversations with him are very pleasant, and then the missiles go off at night,” Trump said. https://apnews.com/article/trump-ukraine-russia-nato-patriot-misses-sanctions-a77b90143f2a3c667fde57884e6d3558
  10. g4lly

    Le F-35

    Ce n'est pas ce qu'ArmaSuisse à déjà fait ?
  11. g4lly

    Corps Franco-Britannique

    https://youtu.be/TGis9zv5c40?t=46
  12. g4lly

    Ici on cause MBT ....

    Lerclerc XLR est équipé de T2 Hornet Lite, 7.62 uniquement ... a priori beaucoup moins cher. 140kg. C'est un armement "tertiaire" presque avec le 120 et la doucette coax. Griffon du Hornet T1 intermédiaire, doucette et 40mm mais 300kg avec la couronne mobile - la ou l'on peu placer des fumigène ou un radar etc. -. C'est l'armement principal ici. Jaguar du Hornet T3 haut de gamme, mais léger, 7.62 seulement, mais optique et pointage armement dissocié notament etc. etc. 165kg On peut regarder d'un coté sans avoir à y pointer une arme par exemple. Ca semble en faire autant un moyen d'observation relativement "profil bas" qu'un moyen d'intervention sérieux jusqu'à ~1200m. Accroché à 25t de ferraille et sur un asservissement correct avec un calculateur balistique pas pourri on peut meme faire du tir de zone beaucoup plus loin avec du 7.62.
  13. Le bois de Vincennes est une foret naturelle sérieusement ?! A un moment il faut arrêter d'utiliser des mots dont on ne maitrise pas le sens ... l'immense majorité des forets françaises n'ont rien de naturelles elle sont exploité depuis toujours, et donc ont absolument toutes été modifié par l'homme pour ses besoins ne bois énergie, bois construction, bois d'agrément, besoin en gibier, en chasse loisir etc. D'ailleurs la plupart des endroits qu'on appelle foret n'en sont pas ce sont des bois dans lesquels on élève des arbres de manière plus ou moins autoritaire. Le bois énergie et tout les connerie "écolos" de planter des "millions d'arbre subventionné après coupe franche" renforce encore cette exploitation. Pire encore ... et meme si seulement la "foret" - encore faudrait il qu'il y en ait - était l'apothéose de la biodiversité, c'est une purge bioclimatique. Les forets de feuillus dans nos contré deviennent rapidement émettrice de GES ... parce qu'elle respirent plus qu'elle ne mange à cause de la sécheresse et de la chaleur, et que les feuilles mortes sont grandes émettrice GES via le CH4, et le couvert feuillu empêchent les autres espèces de coloniser fortement les sols.
  14. g4lly

    Chenille Vs Roue

    Les passages de roues des VBCI ne permettent pas de "bander" les pneus ... il ya des élément qui me semblent inamovible et qui servent à la fois de coffre et de garde boue. En plus les essieux directement n'accepte pas le bandage, et il me semble que sur les dernier modèle au delà des deux essieux avant l’essieu arrière est aussi directeur non? J'ai un doute. Au delà de ca bander le VBCI ca serait admettre son erreur ... et ca c'est très compliqué dans un milieu aussi conservateur que nos armées.
  15. Pendant ce temps là sur le front. Kamianske. Les russes controle le village, et quasiment tout Plavni aussi, l'attaque se poursuit vers le nord dans la localité le long du Dniepr. Huliaipole. A l'est les russes controle Malynivka et semblerait continuer leur attaque vers l'ouest direction l'est d'Huliaipole, pour attaquer ce gros point d'appui. Mais les russe pourraient aussi poursuivre au nord vers Poltavka, ce qui à terme pourrait débloquer la situation de Zelene Pole aux trois fontieres - Zapo, Dnipro, Donetsk -. Komar. Le front semble temporairement en pose, apres des avancées notable, et l'entrée dans Dnipro. Peut etre qu'ils sont en phase de consolidation du front. Pokrovsk. Au nord est les défenses semblent débordées. Elles ont tenues des semaines devant Novoekonomichne, mais assez brutalement elle semble ne plus pouvoir tenir les positions ni vraiment freiner, du moins dans les parties rurales, ou les petites localités. Des éléments russes sont à "Krasnyi Lyman", moins de 4km au nord de Pokorvsk meme. Ca n'a probablement rien de définitif mais ca souligne que les russes arrivent à s'infiltrer loin à l'intérieur du dispositif ukrainiens, pourtant les positions préparées ne manquent pas dans le coin. S'il ne sont pas chassé rapidement du coin ils risquent de pouvoir combattre dans le dos des ukrainiens. A l'ouest, désormais les russes tiennent assez fermement Kotlyne de sorte qu'ils pourrait commencer une sorte d'encerclement de la ville. Je doute qu'ils aient assez d'hommes pour, mais il est possible qu'ils tentent le bluff et provoquent les ukrainiens en mimant une début de pince. Dans tous les cas meme si aucun pincement totale n'est possible pousser vers le nord depuis Kotlyne permet de couper par le feu les route d'approvisionnement de Pokrovsk. Ce qui compliquera forcément les releves, l'évacuation de blessé, le ravitaillement. Et meme si Pokrovsk a du accumuler des ressources et des moyens pour vivre en autonomie un moment ca risque de peser à terme. Les russes sont à 4km de la M-30 et de la O0525, et à 3km de la T-05. On peut imaginer bricoler d'autre itinéraire à travers champ mais c'est souvent moins rapide. Tout ca donne l'impression que Pokrovsk est devenu une cible assez prioritaire dans l'agenda militaire russe. Plus que Kostinatynivka par exemple. Kleban-Byk Yablunivka. Les russes sont toujours coincé à Yablunivka. Ils semble réorienté leurs attaques vers Stepanivka au nord. Shchernynivka. Les russes auraient lancé une grosse attaque sur la localité presque encerclée. Mais à l'est du lac, Kleban-Byk tient toujours sans etre semble t il trop attaqué. De là à penser que les russes préfèrent la retraite de ukrainiens à un affrontement il n'y a pas loin. Sinon dans le coin on a vu des nouveau tank-tortue, encore plus blindés qu'avant, et encore plus lent, mais visiblement les drones FPV équipé de PG7V ou d'obus de mortier n'arrivent pas a en venir à bout. Il semble que le petit raid fut stopper par des mines que n'ont pas fait péter les rollers. Accessoirement ca souligne un peut plus l'importance des mines anti char dans ce ce conflit, qu'elles attaquent par le dessous ou par le coté, elle font terriblement mal à toutes forces mécanisé, sans exposer du tout le défenseur. Siversk, Lyman, Kupiansk rien de neuf Velikiy Burluk. L'action à la frontière à l'est est toujours active, autour du village de Milove. On ne sait pas trop si les russes cherchent à employer des troupes au repos gardant la frontière pour soutenir le front Kupinask bloqué depuis un moment, ou si c'est juste pour tester les défenses. Soumy, au nord c'est toujours pareil. Des combats mais pour pas grande chose. Yunakivka est toujours à moitié tenu par les deux camps ceux qui donnent lieux à des combats rue par rue ... En gros c'est toujours la meme musique depuis des semaines les militaires russes trouvent des moyens de vendre leur progrès, et pour le moment ca fonctionne. Les ukrainiens n'ont pas grand choses à vendre à par leur capacité à freiner sérieusement les russes. Seul coté réjouissant pour les ukrainiens les russes n'avancent pas ... du moins pas à une échelle stratégique. On continue depuis 3 ans à se battre pour au mieux quatre Oblast et demi ... La moitié de Kerson, Luhansk, peut être Donetsk, et au mieux du mieux Zapo.
  16. Les milieux ouverts naturels ne sont pas naturel dans l'immense majorité des cas ce sont des milieux exploité... C'est souvent ça l'incompréhension de base... L'ensemble du paysage y compris les forêt d'Amazonie sont des milieux exploité. Plus ou moins intensément certes mais exploité quand même. C'est pourquoi la notion de "naturel" est une mythologie voir pire une idéologie... Source de malentendu parce que comme toute notion branlantes elle est ouverte a toutes les radicalités. L'exemple c'est ma réintroduction d'espèce dans les parc naturel... Réintroduction ça n'a rien de naturel... Et tout le reste est a l'avenant.
  17. Il y a des projets de ballon plus ou moins guidé qui utilise les différents régime de vent en fonction des altitudes pour se déplacer ... mais à ma connaissance ca n'a pas déboucher sur des développement industriel à proprement parlé. Ca reste un truc vraiment de niche. Souvent les projets visent plutôt la zone 20km d'altitude que 40km d'ailleurs meme si on sais monter à 40km en ballon - c'est l'altitude de référence pour les ballon sonde notament -.
  18. Chose intéressante les CB90 sont les successeurs de ca ... les TPBS 200
  19. Chose intéressante les CB90 sont les successeurs de ca ... les TPBS 200 ... avec une double rampe en V ...
  20. Philippine et Malaisie on choisi globalement le meme design https://en.wikipedia.org/wiki/KMC_Komando https://en.wikipedia.org/wiki/Multipurpose_Assault_Craft Les ukrainiens ont copié aussi https://en.wikipedia.org/wiki/Centaur-class_fast_assault_craft Et les finlandais aussi https://en.wikipedia.org/wiki/Jehu-class_landing_craft
  21. g4lly

    Défense sol-air multicouches

    Il ne peut pas engager plusieurs drone simultanément donc va vite etre saturé et détruit. Mais le probleme de base c'est la détection. Moi j'ai toujours été fan des ballon captif ... mais je ne sais pas ce que ca vaut pour observer un BA en permanence.
  22. C'est à ce moment qu'on mesure le ridicule de l'écologiste... Contenu scientifique néant... Mythologie à son maximum... Idéologie simpliste voir rétrograde... Et rapidement on se demande si c'est pas lui le plus néfaste pour la nature...
  23. C'est des bulles produite et remplies à la construction elle se déforme avec la pression. Soit tu crée pour une bande de profondeur donnée et une bande de fréquence donnée une seul structure/taille de "bulles" ... soit tu multiplie les tailles de bulles et les arrangement pour étendre la bande de profondeur et de fréquence auxquels ca fonctionne. Le reste c'est de la tactique. L'équipage sait comment optimisé le fonctionnement du revêtement en se présentant sous telle attitude, à telle pression etc. face à telle menace - fréquence -. Certains revêtement sont assez complexe avec tout un tas de taille de bulles différent et des arrangements compliqué, pour consommer voir dévier les ondes mécaniques qui y passent. On observera aussi la forme des coques externe avec de plus en plus de facette pour facilité le travail des solutions acoustique, et sacrifier certaines direction au profit des autres. https://en.wikipedia.org/wiki/Sturgeon-class_submarine#Noise_reduction https://en.wikipedia.org/wiki/Special_Hull_Treatment
  24. C'était connu bien avant mais le besoin n'était pas exprimé en occident, et les technologies soviétiques souvent méprisées. En gros c'était vu comme une cautère sur une jambe de bois parce qu'il était incapable de faire des sous marin silencieux alors il les mettait dans un boite anéchoïque. https://en.wikipedia.org/wiki/Anechoic_tile
  25. Puis des satellites, pendant longtemps on ne parlait quasiment pas d'arme ASAT.
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