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Tout ce qui a été posté par g4lly
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Personne n'a proposé l'école à distance comme pendant le Covid, je suis assez surpris d'ailleurs.
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Les ukrainiens ont fait usages des mines anti-personnel qu'ils avaient ou de celle qui leurs ont été ensuite données - moins que les russes, mais probablement en partie parce qu'ils en avaient beaucoup moins en stock et n'en produisent pas -. Ici c'est de la reprise de production locale dont il est question avant tout. A noter aussi leur emploi lors du conflit 2014 ... et sur la ligne de démarcation qui s'était installé ensuite.
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Depuis l'épisode des fraudes fiscale d'UBS https://en.wikipedia.org/wiki/UBS_tax_evasion_controversies La Suisse est dans le collimateur des USA qui disposent sur les différents dossiers bancaires et fiscaux de très gros leviers.
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- Force aérienne suisse
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Il n'y a plus d’élèves aujourd’hui voyons ... on accueille des apprenants - dont une bonne partie ne souhaitent pas qu'on leur apprenne d'ailleurs -. Et oui effectivement le college - ca déborde meme au lycée, et partiellement en primaire - est devenu un putain de zoo je te le confirme, meme de soit disant bon établissement.
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Bah maintenant les bons élèves - ou ce qui peuvent - se cassent ... et les autres se plaignent. Bienvenu dans le monde d'aujourd'hui ou la mobilité, la transparence et la médiatisation ont éveillé les masses endormies ... et leurs ont permis de comprendre qu'il serait probablement bien plus confortablement installé ailleurs.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
S'il est taské par un réseau radar sol ou un guet aéroporté, et qu'il emporte une ou deux nacelle de targeting intégrant un IRST je ne vois pas le souci. On lui indique un vecteur et un vitesse, et il attend que l'IRST trouve la cible puis engagement rocket laser. -
J'ai relevé 34° dans un gymnase vide dans lequels il devait y avoir cours d'EPS, j'imagine meme pas apres le cours d'EPS. C'est un gymnase sans ouvrants du tout, "parce que c'est comme ca" ... et quand tu discutes avec les services technique des communes tu as peur ... le niveau de compétence au mieux c'est "master urbanisme" genre j'ai jamais rien construit mais je vais vous montrer comment on fait, et les collectivité locale - meme les départements - délègue tout à un maitre oeuvre qui souvent se retrouve un vulgaire cabinet d'archi qui n'a jamais rien construit non plus ... qui délègue à un mec qui délègue à un autre etc.
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Je participe à la construction de tout un tas de bâtiment public destinés à recevoir entre autre des enfants, notament des équipements sportif ou à usage duale ... et à AUCUN moment on ne veut adresser le probleme de la chaleur "en été". C'est un absolu non sujet ... tout simplement parce qu'avant meme d'abordé le sujet, on a déjà pas d'argent pour la moindre mesure le concernant. Résultat on se retrouve avec des investissement de 10 à 20 Millions d'euros ... absolument inutilisable 4 mois de l'année. On y fourre juste les gosses des cas sociaux le matin l'été pour les faire cuire qu'il fasse pas chier l'aprem'. C'est un niveau de gaspillage d'argent publique délirant. Résultat personne ne veut venir y faire de compétition un peu sérieuse, à l'international on passe pour les pires des crevards. Et à chaque compétitions un peu visible - diffuser à la télévision - on se retrouve obligé de monter une structure de toute piece from scratch ce qui coute encore plus cher. C'est un niveau de ridicule qui auparavant me désolait ... je suis passé au delà ... maintenant j'en suis au mépris et quand on me demande d'organiser une compet' j'annonce un prix délirant pour qu'on me foute la paix. En plus c'est bien dans l'environnement concurrentiel qu'est l'Union les athletes peuvent librement adhérer à une autre fédé et passer le plus clair de leur temps en compet' à l'étranger la ou on les acceuille dans des condtions correctes. C'est exactement la meme choses pour les élèves, dans l'enseignement supérieur il suffit d'aller voir l'herbe ailleurs elle est souvent beaucoup plus verte. Et dans le coin - grand Est - meme dans les petites classe maintenant les parents qui peuvent scolarise leur gamin ailleurs, on trouve de très belle et bonne écoles au Luxembourg, et on peut dorénavant meme y faire une bonne partie de sa scolarité post bac. --- Tu peux te plaindre qu'on apprend rien à l'école ... c'est un fait, mais le niveau des gamins qui y rentre, et donc de leur parent, est si bas qu'on ne transforme pas un âne en un cheval de course non plus. Mais m'expliquer qu'on apprend mieux quand il fait 30° dans la classe, et que ca va nous aider à attirer les meilleurs élève ... c'est du pur sabotage dans l'univers actuel de l'enseignement. Parce que ce que subissent les gamin à la maternelle on le fait subir aussi aux doctorants. C'est un état d'esprit ... pas un probleme conjoncturel ... le francais n'a vraiment rien compris, souffrir de la chaleur chez soit - parce qu'on a pas de climatisation alors qu'on a foutu 500k dans une baraque -, ou du pollen - parce qu'on a pas de filtre sur la VMC double flux alors qu'on a mis 500k dans la baraque - c'est significatif d'un mode de vie particulier ... qui veut de l'étranger ne fait vraiment mais alors vraiment pas rêver.
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https://www.globalsecurity.org/military/library/policy/navy/nrtc/14310_ch4.pdf https://www.tecnicaindustrial.es/thermodynamic-analysis-of-the-c-13-1-steam-catapult-for-aircraft-launching-from-an-aircraft-carrier/
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C'est pas un probleme de progressivité mais de pic de contrainte. Avec une catapulte électrique tu peux appliquer la meme contrainte - force - tout le trajet, et donc maximiser l'énergie transféré pour un contrainte admissile donnée. Avec une catapulte à piston il n'est pas possible de maintenir la meme pression dans le cylindre tout le temps, c'est facile au début quand le volume est faible, et de plus en plus difficile quand le "débit de volume" s'accroit. Plus le piston avance vite, plus le volume augmente vite, donc plus il faut envoyer de vapeur pour maintenir la pression. Or dans le meme temps dans le réservoir de vapeur - et d'eau surchauffée -, la pression va nécessairement baisser, meme si l'eau suchauffée va se vaporisée à mesure que la presssion baissera il y a nécessaire une consommation d'énergie pour compenser la chaleur latente de vaporisation, et donc une perte de température dans l'eau surchauffée. Si le réservoir était un infiniment gros on aurait pas le souci mais ce n'est pas le cas. L'autre souci c'est la regulation du débit de vapeur ... il faut que le début augmente à mesure de la vitesse du piston, ce qui rend la régulation pas évidente. En gros il n'y a pas de raison que la poussée puisse etre maintenu égale tout le trajet, en général comme dans un canon on aura un pic de contrainte au début, et une baisse graduelle. C'est ce pic de contrainte le probleme, c'est lui qui fixe le design des objets à envoyer.
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C'est aussi une forme de soft power, imposer un standard, une dépendance logistique et développement sur des dizaines année ... plus l'investissement est lourd plus la dépendance est grande. C'est loin d'etre juste un avantage économique de produire plus donc de répartir les efforts fixes sur plus de monde ou de produits ... inonder le marché, c'est aussi une forme de domination de fait, sur l'opérabilité du matériel en question.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Tous les points doivent pouvoir emporter un pod rocket ... donc il suffit de tirer des RGL ... de toute évidence ca marche et ce n'est pas cher pour engager des drones meme relativement rapide. -
A priori il sera navalisé à minima, dans le sens ou la version navale semble être la meme que la version tout cours, probablement à quelques équipements prêt. Il n'est pas impossible qu'il soit possible d'envoyer le drone depuis une catapulte vapeur de 95m ... Le probleme avec le CdG c'est la course de 75m qui impose une contrainte nettement plus forte. Pour comprendre la différence d'énergie développé, et la maniere dont elle l'est ... l'une envoie 36t à 140kts l'autre 27t à 140kts ... pour une pression pic probablement très semblable. Pour envoyer 17t le pic de contrainte sur 95m risque d'etre relativement modeste.
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Ce n'est pas spécifique à l'EN mais ca montre le niveau d'inadaptation de notre société au monde d'aujourd'hui et probablement encore plus au monde de demain. Et en creux notre incapacité à investir pour s'adapter, lié à l'inadéquation entre notre production de richesse et les besoins "forcés" par nos choix de mode de vie. https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/06/30/canicule-l-education-nationale-a-nouveau-depassee-par-la-chaleur-dans-les-ecoles_6616663_3224.html Canicule : près de 200 écoles fermées en début de semaine, l’éducation nationale dépassée par la chaleur dans les salles de classe Elisabeth Borne s’en remet à une « gestion au cas par cas » de la forte montée des températures dans les salles de classe, tandis que 200 écoles seront fermées totalement ou partiellement en ce début de semaine sur décision des municipalités. Les fortes chaleurs vont une nouvelle fois perturber la fin de l’année scolaire, alors que Météo-France a déclenché la vigilance orange canicule dans 84 départements, avec des températures entre 34 °C et 40 °C attendues entre lundi 30 juin et mercredi 2 juillet. Près de 200 écoles seront fermées partiellement ou totalement en ce début de semaine, sur décision des municipalités. Mais pour Elisabeth Borne, pas question d’avancer pour autant la date des vacances scolaires prévue le 5 juillet. La ministre de l’éducation nationale a plaidé, dimanche 29 juin sur France 3, pour une « gestion au cas par cas » selon les territoires, avec les recteurs et les préfets en première ligne. « Ce n’est pas une circulaire depuis la Rue de Grenelle qui va régler le sujet », estime l’ancienne première ministre. Elisabeth Borne, qui prône le prône le « pragmatisme » et la « souplesse », a néanmoins envoyé une instruction aux recteurs dimanche pour « rappeler les consignes » en vigueur en cas de fortes chaleurs. Les élèves de primaire ont encore une semaine d’école, tandis qu’il n’y a quasiment plus cours en collège et en lycée en raison de la tenue des examens ou de leurs corrections. Les élèves de première passent leur oral de français jusqu’au 4 juillet, les lycéens de terminale ont encore leur grand oral jusqu’au 2 juillet. Pour les examens, le ministère demande « d’utiliser, dans la mesure du possible, des salles à l’ombre » ou « de s’assurer que les candidats disposent d’eau potable », notamment. Pour les écoles, les directeurs doivent « adapter leur organisation et l’utilisation des lieux en fonction de l’exposition au soleil », tandis que « les activités physiques et les sorties sont réduites ou supprimées aux heures les plus chaudes ». Le ministère rappelle en outre d’« appeler le SAMU » en cas de malaise. Face à cette vague de chaleur, des municipalités – en charge des bâtiments des écoles et du périscolaire – ont néanmoins pris les devants afin de « garantir la sécurité et le bien-être » des enfants, comme l’écrit la mairie de Tours dans son communiqué du 27 juin. Les élèves de cette ville d’Indre-et-Loire n’auront pas cours les après-midi de lundi et mardi et la mairie « recommande fortement aux parents de garder leurs enfants ». Les enfants de Melun ne seront pas accueillis ni à l’école ni au centre de loisirs mardi et mercredi. Plusieurs villes du Vaucluse, dont Le Thor, Cavaillon ou Carpentras, font de même pour le début de la semaine. Environ 200 écoles sont concernées. « S’il y a un problème, il faut à la fois permettre à des parents qui le peuvent de pouvoir garder leurs enfants à la maison, et en même temps avoir des solutions pour ceux qui ne le peuvent pas », a prévenu Elisabeth Borne sur France 3. Colère Chez les enseignants et les parents d’élèves, la colère monte face à ce qu’ils considèrent comme un manque de préparation voire un déni du ministère de l’éducation nationale. Vendredi 27 juin, la FCPE demandait déjà que « des dispositifs » soient pris « de toute urgence », alors que cette fédération de parents d’élèves plaide depuis longtemps pour un « bâti scolaire repensé face au changement climatique ». Le SNES-FSU a interrogé le ministère sur « le probable passage en vigilance rouge des départements les plus exposés aux fortes températures ». « Ce niveau d’alerte prévoit des restrictions d’activités. mais nous n’avons pas de réponse sur les implications que cela aurait pour l’éducation nationale », s’énerve Sophie Vénétitay, responsable de ce syndicat majoritaire chez les enseignants des collèges et lycées. « On a l’impression que le gouvernement découvre les effets de la canicule comme si c’était la première fois que nous en vivions », s’agace Aurélie Gagnier, la porte-parole du Snuipp-FSU, qui déplore, elle aussi, « un manque de réflexion d’ampleur » sur le sujet. « Comme d’habitude, les personnels vont faire preuve de vigilance et de débrouillardise et pallier au plus urgent », soupire la responsable du premier syndicat des enseignants du primaire. Les professionnels de l’éducation commencent à être aguerris. Déjà en juin 2019 où les épreuves du brevet des collèges avaient été reportées de quelques jours, ou en juin 2022 lors d’un autre épisode caniculaire, ils avaient dû faire face à des élèves agités ou étourdis par la chaleur, voire malades, pris de saignements de nez, de vomissements, ou de malaises. A titre de comparaison, l’Institut national de recherche et de sécurité estime qu’« au-delà de 30 °C pour une activité de bureau (…), la chaleur peut représenter un risque pour la santé des salariés ». Or, les plus jeunes font partie des populations les plus vulnérables en période de canicule. « Ces problématiques sont désormais structurelles » Dès mi-juin cette année, des enseignants alertaient via les réseaux sociaux sur la montée de la température dans leurs salles de classe. Face à des bâtiments peu isolés, de larges façades vitrées exposées au Soleil ou des fenêtres qui ne s’ouvrent pas ou peu pour des raisons de sécurité, la température n’a pas besoin d’atteindre des seuils caniculaires pour déjà poser problème. « Ces problématiques sont désormais structurelles », juge ainsi Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale de la CFDT Education, formation, recherche publiques. L’inadaptation du bâti scolaire au réchauffement climatique est en effet connue depuis des années. Même s’il n’existe pas de diagnostic précis, nombre des 45 000 écoles, 5 300 collèges et 2 300 lycées publics sont aujourd’hui des bouilloires thermiques. Selon les spécialistes, au moins huit écoles, collèges et lycées sur dix doivent connaître des opérations de rénovation pour respecter les normes de performances énergétiques dans les années à venir. Le coût est estimé entre 40 milliards et 50 milliards d’euros, à la charge des collectivités – les communes pour les écoles, les départements pour les collèges, les régions pour les lycées. Le plan de rénovation des écoles, lancé en 2023 par le président de la République, Emmanuel Macron, promettait des facilités de financement pour les collectivités territoriales mais il n’atteignait pas ces pharaoniques montants. Il pâtit aujourd’hui des coupes dans le fonds vert, cette enveloppe destinée à porter la transition écologique, et des contraintes budgétaires plus larges auxquelles les collectivités font face. « On est très loin d’un nécessaire grand plan d’adaptation au changement climatique », regrette Sophie Vénétitay pour qui « le jeu de ping-pong entre les acteurs ne facilite pas les choses ». Des inégalités territoriales se font désormais jour entre les collectivités qui font le choix politique et ont les moyens d’engager une rénovation thermique de leurs établissements scolaires et les autres. Ces enjeux sont d’ailleurs identifiés par la convention citoyenne sur les temps de l’enfant, dont les travaux se déroulent jusqu’à fin novembre. En attendant, élèves et personnels de l’éducation vont encore suffoquer dans les jours à venir.
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Les VCIs sont sensé travailler essentiellement avec le MBT ... il serait assez logique qu'il partage le meme niveau de mobilité. L'EBRC est un engin d'appui direct pour les motorisé ... C'est la situation "ante" qui était bizarre. Vouloir faire une sorte d'APC VCIsé à la place d'un VCI rugueux adapté aux restes des élément avec lesquels ils étaient sensés opérer, les Leclerc.
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Lesquels ?!
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ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
g4lly a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
D'où tient il cela ?! Il parle des consultationd de 74 puis 76 ? Ou la France a laissé au îles des Comores la liberté de décider de leur avenir ? -
[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
g4lly a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
Les missiles longues portée ne servent pas a s'opposer aux chasseurs qui peuvent facilement passer sous l'horizon radar... Mais essentiellement les HVAA, donc taper un avion de guet c'est pile dans la doctrine. Pareil pour un tanker ou un bombardier stratégique, en gros tous les avions contraints de voler haut pour leur mission et qui servent de multiplicateur de force. -
[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
g4lly a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
Il y a des infos qui traine sur un tir de S400 indiens qui aurait détruit au moins un avion de guet aérien Pakis à plusieurs centaines de kilometre - plus de 300 de mémoire -. https://www.eurasiantimes.com/exclusive-s-400-secures-furthest-kill-during/ The EurAsian Times has learned from reliable sources that the Indian S-400 has created a world record by securing the longest kill by an SAM by hitting an aerial target at 314 kilometers. With the launch, the SAM took out a force multiplier of the Pakistan Air Force’s Saab Erieye-2000 flying radar. This is the second loss of the Saab Erieye-2000 flying radar, the source told EurAsian Times, on the condition of anonymity as he is not authorized to speak to the media. --- D'autres détails https://idrw.org/iafs-s-400-sets-new-sam-kill-record-imposes-200-km-no-fly-zone-after-downing-paf-saab-erieye/ In a landmark event for aerial warfare, the Indian Air Force (IAF) has successfully utilized its S-400 air defense system to shoot down a Pakistan Air Force (PAF) Saab Erieye Airborne Early Warning and Control (AEW&C) aircraft at an unprecedented range of 280-300 km. This record-breaking surface-to-air missile (SAM) kill, which occurred on June 5, 2025, has effectively imposed a 200 km no-fly zone along the International Border (IB), drastically altering the operational dynamics for PAF’s airborne assets. The S-400 Triumph, acquired by India from Russia in a $5.43 billion deal in 2018, has proven its long-range engagement capabilities in this operation. Deployed by the IAF’s 501 Air Defence Squadron, the system detected and tracked the PAF Saab Erieye—a variant of the Saab 2000 equipped with the Erieye radar—while it was conducting surveillance over Pakistani airspace. At approximately 7:00 AM IST on June 5, 2025, the S-400 fired a 48N6E3 missile, which successfully intercepted the Erieye at a range of 280-300 km, marking the longest confirmed SAM kill in military history. This surpasses previous records, such as the S-300’s 150 km kill of a Ukrainian aircraft in 2022, and underscores the S-400’s ability to engage high-value targets at extreme distances. The downing of the Saab Erieye has had immediate repercussions for PAF operations. The Erieye, a critical asset for early warning, command, and control, was likely monitoring Indian airspace when it was targeted. Its loss, combined with the demonstrated range of the S-400, has forced the PAF to reassess its operational strategy. Sources indicate that PAF AEW&C, Communications Intelligence (COMINT), and Electronic Intelligence (ELINT) aircraft will now avoid flying within 200 km of the IB to evade the S-400’s engagement envelope. This effectively creates a no-fly zone over a significant portion of Pakistani airspace, severely limiting the PAF’s ability to conduct aerial surveillance and coordinate operations near the border. -
Il aurait fallu organiser des fuites radioactives hurler au crime de guerre etc. l'Iran ne l'a pas fait ... ou pas plus que ca. Pourtant il aurait été facile d'appuyer sur le double standard, avec le traitement psychotique du nucléaire Ukrainien occupé vs le traitement par dessus la jambe du nucléaire iraniens chez les gens qui ne mérite meme plus notre mépris.
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C'est une forme de libération ... les pieds devant.
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Opérations dans la stratosphère (20 / 50 km) et la mésosphère (50 / 80 km)
g4lly a répondu à un(e) sujet de herciv dans Divers air
Toi tu n'as pas la foi ... 100,000' sinon rien ! -
Opérations dans la stratosphère (20 / 50 km) et la mésosphère (50 / 80 km)
g4lly a répondu à un(e) sujet de herciv dans Divers air
Avec le kit turbofan AASM XLR x6 plus les x2 T-Rex ... On le satellise le Rafale... Le reste on le fait au canon a l'ancienne ! -
Opérations dans la stratosphère (20 / 50 km) et la mésosphère (50 / 80 km)
g4lly a répondu à un(e) sujet de herciv dans Divers air
Comme il n'y aura pas guerre pendant 15/20 ans ça tombe pile comme prévu dans la LPM bidule truc ... En attendant... On bricolera. Ça se trouve daddy aura pitié de nous et nous dépannera avec ses jouets si on est sage -
TP15 aura une voie IIR pour le recalage DSCMAC au moins, plus probablement un radio altimetre pour le TERCOM, plus la classique centrale INS/GNSS. Probablement une datalink sérieuse permettant de retasker ... et peut être une capacité de suivi/recherche de cible "pas complétement immobile" ou "pas tout a fait au bon endroit". On parle d'une capacité anti-navire envisageable par exemple. RJ10 aura un radar AESA, dont l'antenne a priori assez large bande pourra aussi servir en capteur passif - anti-radiation -. Autrement le mode d'attaque classique est celui de l'Exocet ... INS/GNSS+datalink puis radar pour la recherche terminale. Mais a priori la mission SEAD/DEAD et "high value airborne assets" ne serait pas si secondaire que cela, de sorte qu'il servirait autant en air-sol contre des radar, qu'en air-air contre des tanker ou des AWACS.