herciv

On a encore çà des roquettes 300 mm avec des véhicules lanceurs développable par TEXELIS ?

le CEMAA Indien. Une pointure très pro rafale. Mais biaisé forcément puisqu'il emploi le rafale.

Mouais mais alors pourquoi la DGA a sauté sur l'idée ? SAFRAN parle bien "d'adapter la solution AASM".

Donc en gros à part la partie avant rien n'est commun ?

Moi j'ai deux problème pour imaginer à quoi çà va ressembler. La portée par rapport à une solution lancée par avion, et le diamètre du tube lanceur.

J'ai pas compris de quoi on parle. Est-ce d'adapter les KITs AASSM sur de nouvelles munitions ? Ou de prendre toute la munition (incluant la bombe) pour la coller dans un tube éjecteur ?

C'était une litote de ma part. Et encore je n'ai pas parlé du port civil qui voit aussi ses activités augmenter.

Oui il faut que ces ports puissent être un appui au moins en avitaillement.

C'est plus compliqué que ça. Il faut comprendre pourquoi l'Otan en est resté a l'interopérabilité et n'est pas passé a la fusion d'unité. Tout dépend en fait de l'échelon politique qui peut tres bien décider pour l'un de s'engager dans un conflit et pas pour l'autre. L'exemple typique est la brigade franco-allemande inemployable cause de trop grand ecart entre la politique fr et l'allemande.

Le sujet devient crucial avec le contexte en mer Rouge. Il va falloir supporter les unités déployées sans les faires revenir en metropole notamment pour recharger en munition, faire tourner les équipages et evidemment assurer des entretiens parfois lourds. Entre les lignes on voit aussi que la France s'interroge sur la perenité de sa présence a djibouthi et aux EAU non pas parce qu'elke veut partir mais parce qu'on ne souhaiterait plus sa présence. Je pense que le sujet est européen et pas seulement français parce que cette voie maritime est cruciales pour l'Europe. Enfin les bases outre-mer doivent être regardées comme des pepites stratégiques pour l'Europe qui a tout intérêt à les investir. Je commence avec ce lien qui explique cà plus en détail. https://www.zinfos974.com/la-base-navale-du-port-va-renforcer-son-role-de-point-dappui-dans-locean-indien/

Le sujet devient crucial avec le contexte en mer Rouge. Il va falloir supporter les unités déployées sans les faires revenir en metropole notamment pour recharger en munition, faire tourner les équipages et evidemment assurer des entretiens parfous lourds. Je pense que le sujet est européen et pas seulement français parce que cette voie maritime est cruciales pour l'Europe. Enfin les bases outre-mer doivent être regardées comme des pepites stratégiques pour l'Europe qui a tout intérêt à les investir. Je commence avec ce lien qui explique cà plus en détail. https://www.zinfos974.com/la-base-navale-du-port-va-renforcer-son-role-de-point-dappui-dans-locean-indien/

Tiens d'ailleur La Réunion a trouvé des sous pour financer un dock de réparation naval ... https://www.meretmarine.com/fr/vie-portuaire/la-reunion-le-dock-flottant-pour-developper-la-reparation-navale-attendu-en-fin-d-anne Autre "bizarrerie" qui n'en est pas une. De nouveaux logements sont construits pour les équipages a la reunion. On vous dit que c'est pour les patrouilleurs. https://lemarin.ouest-france.fr/defense/a-la-reunion-la-base-navale-de-port-des-galets-sagrandit-edff8c74-7fea-4622-b3e8-0521147621e9

Au-delà de la fatigue des équipages, ca va permettre d'avoir des ETP dispo pour armer rapidement de nouvelles unités le cas échéant. Je pense que cette raison explique beaucoup mieux que la fatigue le surarmement en hommes des fremm. Les FREMM vont devoir ètre deployées extremement souvent et ca ne sera possible que grâce aux doubles equipages. Quand les FDI seront là ca sera le même tarif. La Réunion va devenir un point d'appui majeur à ce rythme. Je crains par ailleur que la Marine ne doivent compenser en atlantique les difficultés de la Royal Navy.

Je suis très désagéablement étonnė par une telle performance. Surtout parce qu'elle résulte d'un manque complet d'anticipation quand les UK avaient encore beaucoup d'argent mais ne le recoltait pas grâce a l'impôt. Parce que de tels chiffres montrent que non seulement il n'y a plus que deux snle mais en plus il n'y a plus que deux équipages. Ils ont de tels problèmes de recrutement que le chef de ces snle est recruté sur internet. Je ne vois pas d'issue tant qu'un plan a 15 ans n'est pas posé.

Le projet en question est pour gérer une population jeune et en croissance rapide. Avec une pyramide a part y coller quelques cadavres ...

Oups :

La question n'est pas là. Elle est plus dans la progression de ce discours depuis 2 ans. Contredire l'experte n'amène rien. Ce qu'il faut comprendre c'est son auditoire et comment cet auditoire reçoit son message.

https://www.defense.gouv.fr/actualites/podcast-que-fait-lunion-europeenne-defendre-leurope-0 La défense de l’Europe par les Européens « Ce n’est pas seulement l’architecture de sécurité des Européens qui change, c’est le contexte. Ce n’est pas seulement le rôle de la Russie vis-à-vis de l'Europe, mais aussi tous les bouleversements des 50 prochaines années en Afrique, en Asie, dans le Pacifique qui font que les Européens doivent se prendre eux-mêmes en main », déclare Philippe Perchoc. Pendant longtemps, plusieurs pays européens ont pensé leur défense à travers l’allié américain. Mais le changement de relation avec les États-Unis, perceptible depuis l’élection du président Barack Obama, incite le vieux continent à renforcer ses capacités propres en matière de défense. Pour Philippe Perchoc : « Ce qui est en train de changer aux États-Unis, c’est le lien personnel et biographique des Présidents américains avec l’Europe, peu importe si ce sont les républicains ou les démocrates. » Bouleversements stratégiques de la guerre en Ukraine À côté du changement de posture américain, la guerre en Ukraine a aussi provoqué une prise de conscience chez les Européens de la nécessité de renforcer leur autonomie stratégique commune. Pour Pierre Haroche, cela n’est pas allé tout de suite de soi : « Je me souviens qu’au début de la guerre en Ukraine, il y a tout un tas d’analyses qui ont dit : “C’est la fin de l’autonomie stratégique européenne. Nous sommes de nouveau dans un conflit classique avec la Russie, l’ennemi idéal de l’Otan et pour lequel l’Otan a été fait. Refermons la parenthèse de l’autonomie stratégique.” Aujourd'hui, nous voyons bien que c’était erroné, mais il a fallu du temps pour sortir de cette idée. » Pour les Européens, « l’Ukraine est le rempart de l’Europe, explique le chercheur. Donc, si le rempart de l’Europe s’effondre ou s’affaiblit, ça veut dire que c’est l’Europe qui recule. » C’est pour cela qu’il faut apporter un fort soutien à l’Ukraine, passant notamment par une mobilisation industrielle afin de lui fournir plus d’armes. « Le vrai objectif, si l’on doit définir aujourd’hui ce qu’est l’autonomie stratégique, c’est de produire plus que les Russes, ou en tout cas autant qu’eux », indique Pierre Haroche. Cette nécessaire augmentation de la production industrielle de défense doit être pensée sur le long terme. « La Russie ne passera pas d’une économie de guerre à une économie de paix du jour au lendemain. Ce qui veut dire que l’économie de guerre que nous avons aujourd’hui en Europe, même si le terme est un peu abusif, sera là pour 10 ou 15 ans, peu importe ce qui se passe en Ukraine », explique Philippe Perchoc. Un parapluie nucléaire européen ? Le retour de la rhétorique nucléaire dans le conflit ukrainien relance les débats sur les conditions d’utilisation du parapluie américain, mais aussi sur la doctrine de la France, seul pays de l’Union européenne doté de l’arme nucléaire. Sur ce point, Héloïse Fayet apporte son expertise : « Il y a une connexion entre les intérêts vitaux [des États européens] et les intérêts vitaux de la France, et donc ceux qui sont protégés par la dissuasion nucléaire française. C’est cette fameuse dimension européenne des intérêts vitaux français […] Concrètement, si Tallinn ou Riga sont en danger de mort, la France le sera aussi. »

Fallait bien que çà arrive un jour ...

Bien vu. C'est un hypothèse qui tient la route. Mais j'aimerai quand même savoir si c'est ce que Le Point décrit. SI il n'y a pas un scénario encore plus pénible sur la table.

Sans vouloir te fâcher 600 millions de petit russes, çà ne sera pas atteint avec la natalité mais par l'intégration de nouveaux copains. Grosso modo les deux tiers de l'UE actuel. Soit absolument tous les anciens pays du bloc de l'Est et sûrement un bout de l'Allemagne.

Oui complètement d'accord avec ces deux points. Un des buts c'est de permettre au commandant de tirer à l'économie dès que possible afin qu'il maitrise sa propre attrition. Ca manque d'affût laser d'ailleurs. Il en faudrait au moins deux par bord.

L'outil industriel à Lorient est configuré pour fabriquer des FDI en ce moment. Moi je trouve qu'allonger la série avec des XL ou des tailles S c'est plutôt une bonne idée.

Les perspective géostratégique de la Corée du Nord sont très limitées au nord par un gros voisin, au sud par un voisin avec qui il n'arrive pas à s'entendre. Il lui reste la mer mais il n'a pas d'économie. A part sa chair à canon la Corée du Nord n'a pas grand chose à vendre.