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mehari

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Tout ce qui a été posté par mehari

  1. Ce n'est pas aussi simple. Il y a des bottleneck au niveau du nombre de cible que le radar (et le CMS) peut suivre et surtout le nombre de canaux uplinks disponibles pour fournir les information de guidage à mi-course. Auparavant, il y avait aussi le problème du guidage terminal semi-actif mais cette partie là est réglée avec le PAC-3. Si le système ne peut gérer qu'une vingtaines d'intercepteurs en vol et qu'une quinzaine de missiles divers arrivent simultanément, c'est foutu (en supposant que la doctrine dit "2 missiles par cible"). Cependant, malgré ça, le nombre de missiles disponible permet aussi de ne pas à avoir à mettre le système hors service pour recharger. Même en acceptant une limitation du nombre d'intercepteur en vol, la batterie n'est jamais à court de munition (tant que la logistique suit bien sûr).
  2. Le NG devrait monter à 25 tonnes si je me souviens bien.
  3. Je ne pense pas qu'on puisse réellement parler de munition rôdeuse ici. Le système ne semble pas permettre le même niveau de contrôle sur la munition et la désignation de cible (en tout cas avec une munition guidée) demande un élément additionnel. On est plutôt sur une extension de portée pour des roquettes. Comme @g4lly le décrit, un lance roquette jetable volant.
  4. Ce n'est pas aussi simple que de reformater l'infanterie pour l'anti-drone ou de lui ajouter des moyens anti-drone parce que c'est plus vite dit que fait. En théorie, l'anti-aérien est la responsabilité soit de l'artillerie, soit de la force aérienne. Sauf qu'en pratique, la défense AA est une tâches aux multiples couches, dont certaines sont assez basses et comme toujours, l'inter-arme est roi et chaque élément (compagnie, bataillon ou brigade, contact ou appui) a besoin de sa propre défense anti-aérienne. Donc même auparavant, il était difficilement tenable de ne pas avoir une forme ou l'autre d'AA. Sauf que l'AA a une charge matérielle assez lourde et un spectre assez vaste de menaces: avions et hélicos pesant plusieurs tonnes, missiles de tous types mais désormais aussi drones pesant de plusieurs tonnes ou quelques centaines de grammes... Et ça demande un spectre de réponses. Les réponses "classiques" sont les SPAAG (ou juste SPAA) et MANPADS. Et il en faut très certainement plusieurs par régiment (je dirais 1 par SGTIA donc un peloton par régiment). Sauf que les moyens de détection requis sont volumineux et les missiles sont coûteux, surtout si on doit en tirer un sur chaque 4copter ou RQ-11 qu'on voit (et les SPAA sont difficile à déployer par les mêmes moyens ou aux mêmes endroits que certaines unités)... Donc, il faudrait complémenter ça avec d'autres systèmes à plus bas niveau, moins capable, mais offrant une protection, même limitée, aux sections/pelotons et de nouveau, il n'y a pas une unique solution. Pour les véhicules, on peut placer des capteurs passifs sur certains des éléments du peloton pour détecter les émissions radio de certains drones ou des capteurs optiques à 2π steradian. Alternativement, on peut aussi placer des petits radars dédiés mais ça veut dire prendre des risques ELINT. Pour ce qui est des effecteurs, on peut envisager des 30×113mm airburst, des 40×53mm airburst ou même (si la cible n'est pas trop loin) tempter sa chance avec une M2. On peut aussi coller un brouilleur en coaxial sur une des RWS du peloton. Reste le problème de l'infanterie débarquée. On pourrait utiliser des brouilleurs portables mais ils restent volumineux et difficiles à distribuer partout. L'alternative est peut-être l'usage de conduite de tir pour fusil comme les viseurs SMASH. C'est pas idéal mais c'est quelque chose.
  5. En théorie, on pourrait imaginer que un handover vers la section mais j'ignore à quel point c'est possible. Rafael semble développer un truc du genre pour le Spike NLOS donc qui sait. Similairement, on a parlé de guidage de MMP par image capturée par NX-70 donc on pourrait imaginer la même chose entre les mains de la section de combat pour guider les MMP de la section d'appui. À part le Hero-30, le -90 pourrait aussi être employé à ce niveau mais ça reste probablement pour de l'AT. Personnellement, je pense qu'à ce niveau je préférerais disposer d'un drone style RQ-11/-20 avant d'essayer d'ajouter des munitions rôdeuses. En dessous de ça, on a les Switchblade 300 et Spike Firefly mais l'endurance de ces systèmes est assez faible (une quinzaine de minutes) donc plus quelque chose pour le niveau en dessous. Le 4copter IAI Rotem L pourrait faire l'affaire par contre.
  6. C'est à ça que devrait servir l'Enforcer. Le diamètre est de 90mm mais en top attack, ça devrait quand même faire mal... J'aurais mis desCG (pour la basse intensité et l'appui direct HE) au sein des groupes d'appui avec une double dotation CG-Enforcer suivant la situation, le groupe prenant ce dont il a besoin en partant en mission/en débarquant. Puis ajouter des MMP au niveau de la compagnie et des munitions rôdeuses capables d'AT au niveau du régiment. Les munitions rôdeuses plus lentes et à longue endurance sont réellement efficaces si elles sont déjà en l'air quand tu en as besoin avec des équipes capables de lancer, utiliser, récupérer et relancer les munitions. Pour ce qui est des systèmes plus légers, j'ai un toujours un peu de mal à trouver comment les insérer dans le dispositif sans retirer d'autres capacités. Une idée que j'avais était de placer des lanceurs pour munitions type Firefly sur les véhicules et d'utiliser les senseurs embarqués et l'équipage pour guider et superviser mais j'ignore à quel point c'est réaliste.
  7. Je proposerais de remplacer l'AT4NG par un CGM4 quand même plus pratique pour l'appui mais sinon d'accord. Ici justement, je ferais l'inverse et je mettrais le MMP au niveau de la section d'appui et je remplacerais les MMP de la compagnie d'appui par des munitions rôdeuses. Note qu'en Ukraine, le Javelin n'est pas un outil de la compagnie ou du bataillon (qui ont chacun leurs propres missiles AT) mais bien de la brigade (au même titre que le Stugna) et assigné aux unités de contact en fonction de ce qui est nécessaire. Ceci est apparemment du à la rareté du système plutôt qu'à une contrainte d'emploi. Les Brits font pareil mais ne disposent pas de sections d'appui au niveau de la compagnie donc la comparaison est difficile. Les US en comparaison n'ont pas l'air de s'embêter et placent le Javelin dans les pelotons.
  8. Plus simple que la basse intensité. La plupart des scénario de HI impliquent la défense européenne dans un cadre NATO ou UE. Dans ce cas, l'ensemble du dispositif (français, allemand, italien ou luxembourgeois) passe sous contrôle international quoi qu'il arrive et la direction politique qui est l'obstacle habituel au déploiement basse intensité n'est pas un problème. La seule question est de savoir où s'insère cette brigade dans le dispositif mais on peut en faire un élément flottant attaché à différent commandements selon les besoins. Ou alors, on la passe sous le commandement ferme d'une division (française ou allemande, je m'en fous).
  9. Il y a ça et aussi le fait que tout n'est pas aussi plat que l'Ukraine. Ceci dit, dommage de ne pas avoir de vrai plan bi-national pour cette brigade, à la fois en elle-même et aussi au sein de l'Eurocorps.
  10. Il faut arrêter de penser à des lance-roquette. La déclaration dit bien "missile" ce qui veut dire guidage. Ensuite, il faut penser au cadre d'usage. Si c'est au niveau de la compagnie, on est sur une alternative au MMP. Cependant, ça pose la question de savoir ce qu'il advient du MMP si on le remplace à niveau. En théorie, les régiments disposent de sections au sein des CA. Sauf que l'arrivée des munitions rôdeuses pourrait complémenter voire supprimer l'usage du MMP à ce niveau également. Or, si on ajoute un missile bon marché pour les compagnie et des munitions rôdeuses pour le régiment, pourquoi s'être embêté à développer le MMP en premier lieu? Reste le niveau de la section. Au vu des contraintes de mobilité qui lui sont attachées et de son périmètre d'opération, on peut exclure le MILAN. L'Eryx a été mentionné mais reste un peu lourd (17.5kg tout compris) mais ça ferait l'affaire en terme de prix. Après, il faut voir ce qu'ils veulent exactement du côté des specs.
  11. Tu restes sévèrement limité par le diamètre. Ça doit rentrer dans un CG donc le diamètre max est de 84mm. Si tu prends le scénario NLAW, c'est moins à cause de l'angle droit. En gardant le même ratio, ça te donne une charge de 57mm. Vu que la pénétration est fonction du diamètre, on y perd beaucoup (et qu'une EFP n'a pas le même rapport pénétration/diamètre qu'une charge creuse). Il vaut alors peut-être mieux d'avoir une paire de vrais NLAW dans le véhicule au cas où... Le seul scénario qui aurait du sens, serait de passer à une charge HEAT-Tandem avec attaque plongeante mais j'ignore si le missile est suffisamment manœuvrant. Et il reste le problème du guidage. Note que l'Enforcer souffre d'un problème similaire à cause de son diamètre de 90mm.
  12. Le NLAW a le problème de son guidage, limitant la portée. La charge ne fait aussi que 102mm. Une version de l'Enforcer spécialisée pour l'AT est en développement ("Enforcer X"). Par ailleurs, si l'Enforcer est un outsider, le NLAW aussi. La charge est purement explosive (HE, pas HEAT) et le guidage est SALH. Il faudrait quelque chose qui ne se repose pas sur guidage tiers pour bien faire. L'Alcotàn 100 SLGM intègre un fallback avec PLOS et INS mais ça limite sévèrement la portée. Ceci dit, le CG en général est un bon choix d'alternative au missile en situation où celui-ci n'est pas requis. J'ai longtemps postulé que les groupes d'appuis devaient être en double dotation missile-CG.
  13. Le NLAW est un peu limité par son guidage PLOS (et on est plus sur 30k-35k EUR que sur 20k) mais on a aussi l'Enforcer produit par MBDA en Allemagne qui arrive avec une version anti-char. Le diamètre est un peu faible mais si il a un mode top attack ça ne devrait pas être un problème. La raison pour laquelle on veut redévelopper est la même que celle qui ramène sans cesse la question de la filière d'armes légères en France... Après, il est toujours possible qu'il n'y ait pas de produit sur le marché qui satisfasse pleinement les prérequis imposés par l'AdT (ou que ceux-ci ait été spécialement conçus pour qu'aucun missile existant n'y satisfasse). Guidage F&F LOBL: élimine le NLAW (et au passage l'ERYX) Diamètre >100mm: élimine l'Enforcer Conception et production en France Europe: élimine le Spike-SR Etc. J'invente des demandes mais c'est tout à fait possible. À mon avis, on ferait mieux d'acheter à un autre pays Européens et de mettre l'argent sur le développement de trucs plus importants comme des systèmes anti-drones/anti-aériens, des drones et des micro-munitions pour drones mais c'est pas comme si je prenais les décisions...
  14. C'était déjà le cas. Un RI devait de toute façon avoir des VAB ambulance par exemple. Et c'est avant qu'on commence à parler de formation de GTIA et SGTIA. La compagnie du génie attachée ne sera pas non plus dotée de VBCI...
  15. Seulement si tu considères que le mortier lourd est exclusivement une arme d'artillerie, ce qui n'est pas forcément le cas. Si tu dis à un américain, espagnol, allemand ou italien que l'addition de mortiers lourds et d'un peloton de reconnaissance crée une unité inter-arme, il vont te répondre que c'est juste une unité d'infanterie et qu'il te manque au minimum des blindés.
  16. "On l'a toujours fait" n'est pas une excuse pour continuer à faire quelque chose. Et le Mo120 porte à 8km (13 avec munitions RAP). Tabler sur le fait que l'adversaire à potentiellement des drones n'est pas une excuse pour une absence de mobilité. C'est juste un autre paramètre à prendre en compte dans la protection des pièces.
  17. C'est effectivement une possibilité. Il est possible que le temps de mise en batterie du 120 n'est pas aussi grand que celui d'un obusier tracté mais c'est pas forcément génial non plus. Après, je me dis que tout ce qui est annoncé peut être annulé (surtout si il y a un changement de gouvernement dans le chemin) et c'est pire pour ce qui ne l'est pas...
  18. Bien sûr mais si ils donnaient les ML à l'infanterie, ils auraient pu faire pareil avec la cavalerie. Ceci dit, mon point de vue tablais moins sur la création de GTIA découverte et mêlée et plus sur la création de 4 GTIA de combat dans la brigade pour des opérations du type de Serval. Dans ce cas, les GTIA infanterie et cavalerie (au sens de leur QG principal) servent des missions assez similaires et, après échange de compagnies et escadrons, sont assez similaires. Or, les GTIA basés infanterie disposeraient de SML tandis que les GTIA cavalerie en seraient dépourvus, situation qui ne pourrait être résolue qu'en attribuant des pelotons de mortiers lourds à la cavalerie ou en maintenant une batterie de mortiers au sein de l'artillerie dans ce seul but. Par ailleurs, l'argument de mobilité ne tient pas vraiment quand on connaît le risque de contrebatterie encouru par absolument toute les pièces. Même si le GTIA infanterie pouvait se permettre de rester statique en destruction de l'objectif, sa composante d'appui devrait en théorie rester mobile (à moins d'être hors de portée de 152mm adverse). Dans l'idéal, cavalerie et infanterie recevrait des MEPAC, ce qui ne semble pas garanti. Il est effectivement probable qu'on utilise une justification tactique pour masquer un manque de moyen. On notera qu'en Belgique, on en restera à 12 CAESAR et 8 mortiers par brigade au sein de l'artillerie mais Nos brigades seront beaucoup plus petites On est pas vraiment un exemple. Le Bn BELUX (hors brigade à priori) devrait avoir 8 MEPAC de son côté. Quoiqu'il arrive, c'est une amélioration pour nous.
  19. mehari

    L'artillerie de demain

    En théorie, oui. On avait aussi parlé de récupérer le Katana mais oublie cette partie (super cher et plus simple de refaire un guidage de zéro) mais sinon, on pourrait le faire. Pour une indication des performances, il faut jeter un œil au LAR-160 israélien. La portée est d'une 50aine de km qu'on obtient déjà avec un CAESAR (RAP L/52), au prix d'un peu de payload. L'argument inverse est qu'on pourrait étendre les performances en allongeant le propulseur (la LAR-160 fait 3.4m de long, le M270 autorise 4m). Potentiellement, dans les contraintes du container 227mm, on pourrait caser ~12 roquettes. Cependant, je ne suis pas sûr que ça en vaut la peine.
  20. Un truc qui me frappe, c'est que malgré le passage des mortiers à l'infanterie, l'artillerie en garde (alors qu'elle pourrait les remplacer par des batteries de CAESAR en plus). La seule réponse que j'ai est que, si l'infanterie obtient des mortiers, ce n'est pas le cas de la cavalerie or celle-ci est censée créer des GTIA au même titre que l'infanterie. Il lui faut donc des mortiers en provenance de quelque part, ce qui mène à la conservation des mortiers dans l'artillerie.
  21. mehari

    L'artillerie de demain

    C'était déjà un missile, non? Le PrSM, c'est un missile balistique (et le M dedans signifie bien "missile"). La différence serait un passage à un mode "croisière" comme sur le FMAN/FMC.
  22. Je crois qu' @hadriel voulait dire "lance-grenade de 40mm" plutôt que 40CT. 20mm, j'ai des doutes vu la capacité explosive du machin mais bon...
  23. Effectivement. Il n'y a pas de confirmation que ce soit IIR mais c'est effectivement un verrouillage LOBL donc c'est probable (en théorie, on pourrait faire un lock sur image (avec un senseur faible luminosité) pour éliminer la dépendance à la signature thermique de la cible mais je ne pense pas que qui que ce soit fasse ça). Je ne sais pas pourquoi je pensais au SALH (Carl Gusatv peut-être?). Dans ce cas, il reste juste la charge AT à développer mais c'est déjà en cours pour la version X de l'Enforcer et ça va être difficile à franciser. La seule autre option qui satisferait un argument économique d'achat serait un quid pro quo avec un achat d'Enforcer bon marché en contrepartie d'un achat d'Akeron LP pour les hélicoptères allemands (ils ne vont pas laisser tomber les Spike-LR) mais ça paraît compromis si la France renonce effectivement au LP pour acheter des Brimstone (ou alors ils pourraient acheter d'autres missiles (ANL? FMAM/FMC?)). La seule vraie faiblesse de l'Enforcer est que le diamètre n'est "que" de 90mm donc les performances AT ne sont pas forcément incroyables (peut-être 700mm sans ERA, 600 avec si on a une charge tandem (j'ai pris l'exemple du RGW-90 HH-T)) donc pour un anti-char, ça pourrait être un peu tendu de face, à moins de programmer une trajectoire en top attack mais j'ignore si le missile en est capable (et si le capteur a le FOV nécessaire pour le faire sans perdre sa cible de vue). Sinon, dans la partie "trucs vraiment bon marchés", les espagnols ont peut-être un truc encore moins cher que le NLAW avec l'Alcotán 100. En théorie, le système est déjà PLOS, déterminant le point de visée en fonction du tracking fait par l'opérateur. Mais les espagnols prévoient d'ajouter une nouvelle munition SLGM qui est plus une roquette guidée qu'un missile. Elle ajoute des surface de contrôle et un guidage SALH. Si un pointeur SALH n'est pas disponible, le système peut aussi fonctionner en inertiel avec CEP de 2m contre une cible statique et 5 contre une cible mobile. Masse totale, 12kg. Source: https://www.edrmagazine.eu/instalaza-rocket-launchers-evolution Cependant, ici, on est pas sur un missile et une top attack n'est pas possible.
  24. Trop cher, ça dépend du prix cible (on connaît le coût du MMP). Cependant, l'Enforcer est vendu comme étant low cost (et après tout, le missile est simplement guidé SALH donc...) mais si ils veulent vraiment du très bon marché, ils peuvent toujours aller voir du côté du NLAW, même si celui-ci est moins capable. De toute façon, il faudrait une modification de l'Enforcer pour remplacer le SALH par un IIR (basé sur celui du MMP?) pour que le missile soit un tantinet plus pratique dans un rôle AT. Ça augmenterait le coût tout en restant moins cher que le MMP. Pour les besoins, c'est vrai qu'ils ne sont pas exprimés donc inutile de s'emballer (peut-être qu'ils vont juste relancer la production du MILAN...). Tout ce qu'on sait, c'est que c'est un missile, anti-char, pas cher et pour un usage en milieu urbain. Cette dernière partie me rend un peu perplexe. Est-ce qu'ils veulent un missile utilisable en espace confiné ou veulent-t'ils dire autre chose? Pas assez français, c'est toujours l'argument qui ressort mais on peut toujours espérer... Comme mentionné, on pourrait rendre une variante AT de l'Enforcer franco-allemande et satisfaire cette partie du problème.
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