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Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Titus K

    Ici on cause MBT ....

    Prototype Chally Mk3
  2. Mais non il est mort lors d'une frappe sur un QG Otanien l'été dernier en représailles de la frappe qui avait tué Guerassimov quelques jours plus tôt
  3. Titus K

    Eurofighter

    Rail double pour 2 Iris T (j'avais aussi vu une photo avec 2 Meteor), je ne sais pas si c'est opérationnel dans une armée ou si ça a seulement testé ?
  4. Les sondages à Gaza et en Cisjordanie de décembre -->https://www.pcpsr.org/en/node/963
  5. La propagande de l'Unesco a propos du bortsch qui n'est pas ukrainien mais bien russe AU moins elle connait ses priorités
  6. Rheinmetall développe un 155 en 60 calibres https://www.edrmagazine.eu/a-long-range-truck-based-artillery-effector-by-rheinmetall
  7. Titus K

    [Rafale]

    https://x.com/anthonypecchi/status/1748287837986852954?s=20 Je me trompe ou il y a 4 MICA IR + 2 MICA EM Je pensais que les IR étaient seulement montés en bout d'aile, et qu'on en montait généralement plus de MICA EM que de MICA IR.
  8. 8 Véhicules par mois en 2024. Nouveau tour en 2024 --> doublement de la production de tubes avec maintenant des tubes de 12 mètres de long soit 62 calibres (au lieu de 52 soit 9m)
  9. Anecdote perso, j'ai croisé un loup ce matin à Apeldoorn aux alentours de 7h45, je viens de faire le signalement et j'apprend qu'il y a en effet plusieurs groupes qui sillonnent la région ! Je savais qu'il étaient de retour en France mais je m'attendais pas à en croiser dans des régions aussi urbanisées. une carte que je viens de découvrir : https://www.wolveninnederland.nl/
  10. Cet appel au financement est peut a destination de pays comme le Portugal, la Grèce ou la Slovénie a tout hasard et pas de a destination de l'Allemagne. Parce que sinon s'il faut en échange financer quelques Léopards ou IRIS T commandés par les allemands ... ça fera de l'ambiance en commission défense
  11. Le ministre des Armées annonce au Parisien la production de 78 canons Caesar, fleuron de l’artillerie française, à destination de l’Ukraine. A l’heure où se dessine un essoufflement de l’aide militaire occidentale, il assure que la France s’est mise en configuration d’économie de guerre. Donc en 2024 il n'y en aura pas pour l'export (hors Ukraine) ni pour l'armée de terre ?
  12. On annonce qu'on produira 78 canon en 2024 ? Dont une partie ira en Ukraine au lieu de l'armée de terre et des clients exports ? J'avoue ne pas très bien comprendre cette annonce.
  13. Titus K

    US Air Force

    Celle de 2023 était étudiante-chercheuse dans le nucléaire. Elle était notamment à la cop cette année pour parler du "renouveau nucléaire"
  14. Justement, quid des acteurs non étatiques (non reconnus) et des territoire loins du sol hexagonal ?
  15. Combien d’eau consomment les centrales nucléaires ? – Édition 2023 https://www.sfen.org/documents-references/combien-deau-consomment-les-centrales-nucleaires-2023/ L’objet de cette étude est de permettre aux personnes intéressées un accès facile et rapide à une base de données construite sur des sources consolidées et publiques sur la consommation d’eau des réacteurs nucléaires en France. Il s’agit aussi de clarifier les différentes notions qui peuvent prêter à confusion, comme la distinction entre prélèvement et consommation ou celle entre circuit ouvert et circuit fermé. Elle permet également de visualiser la consommation d’eau des centrales , à la bonne maille, qui est la maille locale. Aussi cette étude présente la situation de chaque Centrale nucléaire de production d’électricité (CNPE) par rapport à la source froide dont il utilise de l’eau. Voici les principaux enseignements : En 2021, 97 % de l’eau douce prélevée par les centrales nucléaires sur les cours d’eau a été restituée au milieu d’origine. Les 3 % restants ont représenté 410 Mm3 d’eau, et représentent aujourd’hui 12 % des consommations totales françaises d’eau douce. Sur l’année 2021, la consommation moyenne d’un centre nucléaire de production d’électricité (CNPE) représente 1 % du débit des cours d’eau où il est installé. La consommation des réacteurs nucléaires en circuit ouvert au bord du Rhône est très faible en proportion, par rapport aux deux réacteurs du Bugey et aux quatre réacteurs de Cruas qui fonctionnent en circuit fermé. Les prélèvements de ces réacteurs en circuit ouvert se montent à 11 milliards de m3 d’eau en 2021 dont plus de 99 % est restitué au Rhône. Un circuit ouvert consomme bien moins d’eau qu’un circuit fermé. Mais il prélève plus d’eau dans l’environnement et engendre une augmentation plus importante de température entre l’amont et l’aval. Il n’existe pas un mode de refroidissement à privilégier de façon systématique. Ce choix technologique est dépendant de la situation de chaque installation. D’un point de vue méthodologique, le rapport de la Sfen s’appuie sur les déclarations mensuelles de prélèvement et de consommation d’eau des centrales nucléaires (source EDF) ainsi que sur les données de débits des stations hydrométriques les plus proches.
  16. Partenariat franco-britannique pour développer la technologie nucléaire de quatrième génération https://www.euractiv.com/section/energy-environment/news/exclusive-franco-british-partnership-to-develop-fourth-generation-nuclear-technology/ La société britannique Newcleo et la société française NAAREA sont prêtes à former un partenariat stratégique pour accélérer le développement de leurs technologies nucléaires de quatrième génération, ont annoncé les deux sociétés dans un entretien avec Euractiv France, l'AFP et Le Figaro mardi (16 janvier). Mardi, les deux start-up ont annoncé qu'elles unissaient leurs forces pour "soutenir le déploiement industriel, technologique, scientifique et réglementaire" des réacteurs nucléaires de quatrième génération, connus sous le nom de réacteurs modulaires avancés (AMR), ont-elles déclaré dans un communiqué. Cette catégorie de réacteurs, qui fait partie de la famille plus large des petits réacteurs modulaires (SMR), combine plusieurs technologies avec la caractéristique unique d'utiliser du combustible nucléaire déjà utilisé provenant de réacteurs existants. Les deux entreprises ont déjà des projets en cours. Alors que NAAREA développe un micro-générateur nucléaire à sels fondus et à neutrons rapides capable de produire 40 MW d'électricité et 80 MW de chaleur, Newcleo développe deux concepts de mini-réacteurs rapides refroidis au plomb (30 MW et 200 MW). Les deux projets sont prévus à des dates similaires : 2026 pour le prototype non nucléaire et 2030 pour le premier prototype alimenté. Ensemble, les deux entreprises espèrent bénéficier des synergies qui se dessinent au niveau européen en développant des petits réacteurs modulaires (SMR). En ce sens, le partenariat "complète la grande alliance industrielle pour les SMR qui sera bientôt lancée par la Commission européenne", selon le communiqué de presse des entreprises. Annoncée début novembre par le commissaire européen à l'énergie Kadri Simson, l'alliance doit être lancée en février, selon les informations obtenues par Euractiv. L'axe du partenariat Selon le protocole d'accord signé par les deux entreprises, l'accent sera mis sur le cycle du combustible, le financement des infrastructures du cycle du combustible, la recherche et le développement industriel. Bien que ces domaines de travail soient très différents, les équipes des deux industriels travaillent déjà ensemble dans certains d'entre eux, "notamment dans le domaine de la recherche, un domaine où il y a peut-être eu moins de contacts", a déclaré David Briggs, directeur général adjoint de NAAREA, lors d'une interview mardi. Selon lui, ce partenariat pourrait même fournir une base de recherche commune au niveau européen en collaboration avec la Sustainable Nuclear Energy Technology Platform (SNETP), un centre d'échange et d'influence sur l'énergie nucléaire en Europe. Un autre domaine de travail clé pour le partenariat est le développement d'une approche commune pour les règles de sûreté nucléaire au niveau européen, une question souvent soulevée par les parties prenantes des réacteurs SMR. "Nous avons déjà eu des discussions informelles à ce sujet avec les autorités d'autres États membres dans le cadre des réunions organisées sous l'égide de NuclearEurope", une association professionnelle, a ajouté M. Briggs. Objectifs Dans un premier temps, les deux entreprises souhaitent trouver des sites pour leur prototype en 2024 et sécuriser l'accès à la matière fissile. Pour en discuter, une réunion se tiendra une fois par mois, animée par un comité de pilotage composé de Briggs et de Ludovic Vandendriesch, directeur général de Newcleo pour la France. "Le timing répond à la fois à l'urgence environnementale et à la nécessité de faire émerger des projets européens de 4ème génération, pour avoir des solutions face à la concurrence chinoise et américaine", souligne M. Briggs. Actuellement, le partenariat ne concerne que NAAREA et Newcleo, mais il a vocation à s'étendre à toutes les start-up de 4ème génération travaillant sur les neutrons rapides et qui le souhaitent. "Nous n'avons pas attendu cet accord pour prendre des contacts et travailler avec d'autres entreprises du secteur", précise M. Briggs. "Si nous agissons rapidement, nous pourrons créer une synergie à travers un écosystème", a ajouté David Vannier, responsable des relations gouvernementales chez Newcleo, lors d'une interview mardi. Financements publics et européens "Cette collaboration résulte de la volonté du gouvernement français et des autorités européennes de progresser dans le domaine de l'énergie nucléaire. Nous travaillons directement avec eux", explique M. Vannier. Pour preuve, NAAREA et Newcleo sont toutes deux lauréates de l'appel à projets "Réacteurs nucléaires innovants" du plan d'investissement France 2030, qui consacre 1 milliard d'euros à la filière nucléaire. En termes de financement, les deux entreprises utiliseront leurs propres ressources, même si elles espèrent bénéficier à terme d'un financement de l'UE. "Nous sommes prêts à aller les chercher", a déclaré M. Briggs. Dans le même temps, l'alliance SMR, annoncée par la Commission européenne en décembre, pourrait être l'occasion de faire pression en faveur d'un projet important d'intérêts européens communs (IPCEI) dans ce domaine, à l'instar d'autres alliances : batteries, énergie solaire, hydrogène et autres.
  17. J'ai cru que c'était un compte parodique ... mais non c'est vraiment le ministère des affaires étrangères RU
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