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Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Du coup en Indonésie une lettre d'intention a été signée pour des "Frégates Légères" (probablement des FDI), mais aussi pour des Scorpènes (en plus des 2 déjà commandés) https://lemarin.ouest-france.fr/defense/lindonesie-sengage-avec-la-france-pour-lachat-de-nouveaux-sous-marins-et-de-fregates-e78641b8-3ba6-11f0-88b0-943c4d024772
  2. Faut croire qu'ils ont changé d'avis ? Je pense pas que NG les a forcé ... Surtout que le support pour le dispositif est installé depuis le Barracuda 1, donc c'était prévu de longue date mais probablement pas prêt pour les 3 premiers (ou pas de budget). Mer et Marine sur le standard 2 --> https://www.meretmarine.com/fr/defense/cherbourg-le-sna-de-grasse-sort-de-son-hall-de-construction Ces trois premiers SNA constitue le « Batch I » de la série, les trois autres formant le « Batch II », comprenant différentes évolutions à la fois dans le processus industriel et la mise à jour de certains systèmes embarqués, dont le système de combat et les capteurs. Le De Grasse est donc le premier bâtiment de la classe Suffren à ce standard.
  3. Un webinaire avec des militaires Indonésiens sur la visite de macron. L'audio n'est pas en anglais, mais les slides le sont par contre --> Quelques Slides Rafale --> Il ya aussi des slides sur les offsets Dassault vers 25/30 minutes, mais je vais tout screen j'ai pas le temps. Sinon il y a aussi des slides sur tout le reste : - A400M - Scorpène - Caesar - Véhicules Texelis - Hélicoptères - etc ...
  4. Non, les Caesar 6x6 tirent bien plus que ca... Je pense vraiment que c'est une particularité du 8x8. 100 coups par mois pour les 8x8 ca paraît très peu par rapport aux chiffres présentés dans ce rapport d'information parlementaire. Page 34 --> https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/rapports/cion_def/l17b1356_rapport-information.pdf Les besoins toujours plus importants en véhicules d’artillerie ont conduit KNDS à augmenter significativement sa cadence de production de CAESAR de 2 véhicules par mois avant la guerre en Ukraine à 6 véhicules par mois depuis l’automne 2024. KNDS a réduit son cycle de production à 15 mois, contre 30 mois auparavant. Les limites actuelles seraient liées aux capacités de fourniture des sous-traitants et de production de la canonnerie de KNDS. Si vos rapporteurs saluent l’augmentation significative des cadences de production de la part de KNDS, ils rappellent néanmoins que l’usure accélérée des canons utilisés en Ukraine favorisée d’une part par le nombre important de coups tirés par jour (moyenne de 60 à 90 coups par jour avec des pics à 150 coups/jour) et d’autre part par l’emploi des portées maximales des tirs, nécessite de disposer en national d’une capacité industrielle rapide de régénération des tubes des camions CAESAR. En Ukraine, d’après les informations transmises à votre rapporteur, les canons Bohdana fabriqués par l’entreprise ukrainienne KZVV supportent en moyenne jusqu’à 7 000 à 8 000 coups avant usure. L’érosion accélérée des tubes d’artillerie en haute intensité limite temporairement la disponibilité opérationnelle et/ou la performance sur le champ de bataille. En conséquence, la recherche d’un optimum économique entre performance en portée des poudres utilisées et disponib
  5. Naval Group a lancé aujourd’hui à Cherbourg le De Grasse, 4ème sous-marin nucléaire d’attaque de classe Suffren, qui est sorti de son chantier de construction pour être transféré vers le dispositif de mise à l’eau. Quatrième bâtiment du programme Barracuda, piloté par la DGA et qui vise à remplacer progressivement les SNA de classe Rubis de la MarineNationale, son transfert est une étape clé qui précède la mise à l’eau du sous-marin prévue en 2026. Bonne nouvelle --> J'ai l'impression que le De Grasse et donc les "Barracuda standard 2" (4/5/6) seront bel et bien équipés d'un dispositif de ravalement d'antenne ALR ! On le voit entre les deux empennages bâbord ! Sur le Barracuda 3, le Tourville, le support pour l'ALR était présent mais pas la "gaine" elle même :
  6. Je trouve le chiffre vraiment pas énorme en fait ... Ca fait moins d'une 100aine de coups/canon/mois. Ainsi, opérationnels depuis le 28 avril 2023, ces CAESAr 8×8 ukrainiens ont effectué plus de 40 000 tirs. Ce qui fait une moyenne de 2 100 coups par pièce. À noter qu’un exemplaire a été détruit. https://www.opex360.com/2025/05/27/les-19-caesar-8x8-livres-a-lukraine-ont-tire-plus-de-40-000-obus-depuis-avril-2023/
  7. Ils "réfléchissent" à produire les FDI en cadence 2 ??? Ca fait des années qu'ils annoncent que c'est le plan ... Le 9 avril 2025 on entendait même parler de cadence 3 ... ou alors on met vraiment la charrue avant les boeufs sur la communication ... https://www.lefigaro.fr/societes/naval-group-se-met-en-ordre-de-bataille-pour-produire-plus-vite-20250409#:~:text=Le leader européen du naval,une première pour Naval Group.
  8. J'avais fait un post sur Starnav dans le forum Marine, mais je sais plus quel fil. https://www.starnav.fr/site/fr/visee-astrale/
  9. Plusieurs site non-fiables ( par exemple Bulgarian ) évoquent depuis quelque jours une nouvelle commande de Rafale par l'Égypte avec transfert techno etc... la source semblerait être "tacticalreport.com" https://www.tacticalreport.com/daily/63504-egypt-france-defense-relations-rafale-deal-update
  10. Titus K

    Marine Britannique

    Celui-là ... sur archive.is ca ne fonctionne pas justement
  11. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Pas vraiment ... moi idéalement j'aurais bien voulu voir des Crossover de Damen ... Par exemple : https://media.damen.com/image/upload/v1632424639/catalogue/defence-and-security/crossovers/product-sheet-xo-131-c.pdf 3 Crossover pour les rotation en outre-mer 3 Gros bâtiments pont plats pour drones / hélicoptères / amphibie Après il faut pas oublier qu'aucun navire n'est basé en permanence en outre-mer, il y a en general seulement 1 OPV déployé dans les Caraïbes ... On aurait donc 1 LHD/LPD déployé sur zone en permanence à la place. Ce dernier sera bien mieux adapté pour deployer Marines qui sont basés dans les iles ABC à l'année. La capacité de surveillance sera accrue grace aux nombreux drones. Sans oublier le gain substantiel en capacité d'assistance aux population après une catastrophe naturelle. Le bâtiment amphibie pourra peut-être également faire du soutient à un sous-marins déployé dans la zone. Sur Holland-class, la plupart des interventions pendant les missions de police des pêches/drogue sont assurées par des embarcations légères (les FRISC) parfois accompagnés d'un moyen aérien... Les patrouilleur Holland embarquent 2 FRISK pour ce genre de mission --> Un bâtiment amphibie pourra en embarquer plus d'embarcations, plus de moyens aériens, des drones et aussi plus de Marines. Dans tout les cas, quel que soit le choix, avoir 1/2 patrouilleurs légers basés en OM à l'année ce serait bon a prendre.
  12. THALES INAUGURE GENF, UNE PREMIÈRE ÉTAPE VERS LA CRÉATION D’ÉNERGIE PAR FUSION NUCLÉAIRE https://www.thalesgroup.com/fr/monde/groupe/press_release/thales-inaugure-genf-une-premiere-etape-vers-creation-denergie-fusion Thales, leader mondial des lasers de haute puissance, inaugure GenF le jeudi 15 mai 2025 au Barp (Bordeaux). GenF a pour ambition de franchir une première étape vers la création d’une nouvelle énergie sûre, abondante, compétitive et bas carbone, grâce au procédé de fusion nucléaire par confinement inertiel. GenF collabore avec le CEA, le CNRS, l’École polytechnique et la Région Nouvelle-Aquitaine pour concevoir un premier réacteur à fusion nucléaire par confinement inertiel. Thales met à la disposition de GenF son savoir-faire dans les lasers de haute puissance, conçus sur le site d’Elancourt. Cette expertise lui a permis de développer le système laser le plus puissant au monde, exploité en Roumanie. La production d’énergie par fusion nucléaire est aujourd’hui identifiée comme l’une des solutions pour répondre à deux enjeux cruciaux : la nécessité de réduire les émissions de carbone dans le monde et la demande sans cesse croissante en énergie de différents secteurs de l’économie tels que le transport, le bâtiment, l’agriculture et l’industrie numérique. D’après l’AIE (Agence Internationale de l’Energie), la consommation d'électricité des centres de données devrait plus que doubler d'ici 2030, notamment en raison de la montée en puissance de l’IA. La fusion nucléaire apparaît donc comme une formidable opportunité de créer une nouvelle énergie sûre (elle ne présente aucun risque d’emballement), abondante (ses ressources sont présentes en grandes quantités dans la nature), compétitive et bas carbone (elle n’émet pas de gaz à effet de serre). Par ailleurs, la fusion nucléaire génère un million de fois moins de déchets radioactifs que la fission, et ces déchets peuvent être éliminés plus vite. Pour atteindre la fusion nucléaire, deux méthodes font l’objet de recherches approfondies : par confinement magnétique et par confinement inertiel. La méthode du confinement inertiel requiert l’utilisation de lasers de haute énergie pour comprimer la matière et atteindre les conditions thermonucléaires nécessaires à la fusion. Pour que ce mode de production d'énergie puisse être déployé, de nombreuses avancées scientifiques seront encore nécessaires. Afin que la France continue à être l’un des pays pionniers dans ce domaine, le gouvernement a lancé en juin 2023, dans le cadre de France 2030, un appel à projet « réacteurs nucléaires innovants » auprès de BPI France. Fort de son savoir-faire dans les lasers de haute puissance, Thales a présenté le projet TARANIS, en partenariat avec le CEA, le CNRS et l’École polytechnique, pour démontrer la faisabilité de la conception d’un premier réacteur à fusion nucléaire par confinement inertiel. Ce projet a été sélectionné en février 2024, ce qui lui permet de bénéficier d’un budget de 18,5 millions d’euros pour sa première phase de développement. Afin de réunir les compétences complémentaires indispensables, Thales a créé la société GenF, officiellement lancée en janvier 2025, et signé un premier contrat de plusieurs millions d’euros pour le développement de son laser à fusion. GenF va poursuivre un développement en trois phases : D’ici 2027, GenF prévoit une première phase de modélisation et de simulation, calibrées par des expérimentations sur des installations existantes comme le LMJ ; De 2027 à 2035, une deuxième phase de montée en maturité des technologies de fusion telles que la synchronisation multiple de lasers, la production de cibles cryogéniques ou encore le développement de nouveaux matériaux pour la paroi du réacteur ; À partir de 2035, une troisième phase pourrait aboutir au passage à l’échelle du réacteur, avec la construction du premier prototype. GenF regroupe à ce stade une dizaine de scientifiques, ingénieurs et industriels et implique une quarantaine de collaborateurs, tous instituts confondus. La société inaugure le jeudi 15 mai 2025 ses locaux au Barp (Bordeaux), avec le soutien du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, une région qui regroupe déjà de nombreuses compétences en matière de fusion nucléaire : le Centre Lasers intenses et Applications (CELIA-CNRS/Université de Bordeaux/CEA) et le Centre d’études scientifiques et techniques d’Aquitaine (CESTA-CEA). Thales a 40 ans d’expérience dans les lasers haute puissance. De la conception au développement, en passant par l'installation, la formation des équipes et l'assistance à l'exploitation, Thales maîtrise l'ensemble de la chaîne d'expertise des lasers haute puissance qui comprend à la fois des sources laser de 10 TW à 10 pétawatts, des lignes de transport de faisceau, des optiques de focalisation sur cible et le système de contrôle qualité. Thales est également l’un des acteurs de la fusion nucléaire depuis plus de 25 ans, notamment comme maître d’œuvre de sous-ensembles dans le cadre du Laser Mégajoule, programme de recherche sur la fusion par confinement inertiel développé par le CEA. De plus, Thales développe, sur les sites de Vélizy et Thonon, des tubes électroniques de forte puissance pour les réacteurs de fusion par confinement magnétique, notamment pour le démonstrateur international ITER. -->https://genf-systems.com/
  13. Titus K

    Marine Britannique

    Article assez hors-sol au vu de l'état de la RN ... Mais on reconnait bien la participation de l'auteur de l'article sur le 2 power standard ... article supprimé sur NavyLookout d'ailleurs a mon grand malheur The EU Needs a Navy. Can the UK Supply It? | Opinion https://www.newsweek.com/eu-needs-navy-can-uk-supply-it-opinion-2073272 Il y a deux siècles, la Royal Navy dominait totalement les océans du monde. Portée par l’empire mondial que ses navires étaient chargés d’étendre et de défendre, la marine britannique maintenait une « two power standard ». Autrement dit, elle s’efforçait d’être au moins aussi puissante que les deux marines suivantes combinées. Aujourd’hui, la flotte britannique — la marine et les auxiliaires de soutien — ne compte que 73 navires pour un tonnage inférieur à un million de tonnes. Cela en fait une marine neuf fois plus petite que celle des États-Unis, trois fois plus petite que celles de la Chine et de la Russie, et à peine plus grande que la flotte japonaise, qui n’a pourtant pas de mission globale. Mais il existe une opportunité, même modeste, d’inverser ce déclin naval de 200 ans. Le basculement autocratique chaotique des États-Unis sous la présidence de Donald Trump — en particulier, leur abandon de l’Europe et de l’Ukraine au profit de liens plus étroits avec la Russie — a contraint les pays européens à prendre beaucoup plus au sérieux leur propre défense. À Londres, le Premier ministre Keir Starmer s’est engagé à augmenter les dépenses militaires britanniques de 2,3 % du produit intérieur brut actuellement à 2,5 % en 2027. Son objectif, a-t-il déclaré, est que le Royaume-Uni consacre 3 % de son PIB à ses forces armées d’ici 2035. À court terme, cette augmentation se traduit par 17 milliards de dollars supplémentaires par an pour les troupes, l’équipement et les opérations. Il reste à voir combien recevra la Royal Navy, et ce qu’elle pourrait faire avec cette manne potentielle. Elle devrait en recevoir la plus grande part — positionnant ainsi la flotte britannique pour retrouver une partie de sa gloire passée et offrir une garantie de sécurité maritime à toute l’Europe. La Royal Navy pourrait devenir la marine de l’Europe. Ce serait logique. « Le Royaume-Uni est une nation insulaire et, historiquement, sa prospérité et sa sécurité dépendent du contrôle des mers », a déclaré Pete Sandeman, directeur de Navy Lookout, une publication spécialisée. « En gros, les puissances européennes devraient se concentrer sur le développement de leurs forces terrestres pendant que le Royaume-Uni protège les flancs maritimes. » Pour les Britanniques, le renforcement de la flotte constitue un meilleur investissement que, par exemple, une expansion majeure de la minuscule armée britannique. « L’armée britannique est dans un état déplorable, en grande partie par sa propre faute, et nous ne devrions pas gaspiller davantage de ressources pour tenter de reconstituer la BAOR » — la British Army of the Rhine de la Guerre froide en Allemagne — « ou une nouvelle “Armée de la Vistule” » en Pologne. « L’armée aurait besoin d’au moins 40 000 soldats supplémentaires pour être considérée comme une force véritablement significative, mais dans le climat actuel, il est irréaliste de penser pouvoir recruter et conserver ce nombre », a expliqué Sandeman. « Si la Royal Navy pouvait recruter et retenir seulement environ 2 000 personnes de plus, ce serait transformateur. » Ce personnel supplémentaire serait une première étape cruciale vers une Royal Navy plus grande. Ces dernières années, les planificateurs de la flotte ont mis en réserve ou désarmé de façon inattendue plusieurs navires, notamment des frégates précieuses, des navires d’assaut amphibie et des bâtiments de soutien — non pas parce que ces navires ne valaient pas la peine d’être entretenus, mais parce qu’ils manquaient d’équipages, dans une flotte démoralisée qui peine à attirer et à conserver suffisamment de nouvelles recrues. Un plan réaliste pour une flotte plus grande et plus performante — avec de meilleurs salaires et un respect de l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, tel que l’exigent les meilleurs marins professionnels — pourrait inverser la crise du recrutement. Oui, la marine doit aussi injecter des milliards de dollars dans la construction navale et les déploiements. Mais les personnes doivent passer en premier. « Je dirais que la rétention et le recrutement sont des défis plus urgents » que la construction navale, a déclaré Sidharth Kaushal, analyste naval au Royal United Services Institute de Londres. En effet, la Royal Navy a déjà esquissé les grandes lignes d’un programme de construction navale élargi, qui pourrait ajouter une douzaine de navires de haute technologie ou plus à la flotte de première ligne. Pour renforcer sa flottille appauvrie de combattants de surface — qui ne compte actuellement que huit vieilles frégates Type 23 et six destroyers Type 45 plus récents — la flotte construit deux nouvelles classes de frégates : la Type 26, spécialisée dans la lutte anti-sous-marine, et la Type 31, polyvalente. Des commandes supplémentaires, au-delà des huit Type 26 et des cinq Type 31 déjà prévues — ou d’un hypothétique Type 32 — ajouteraient une capacité indispensable à une force d’escorte surmenée, chargée de protéger les deux porte-avions de la Royal Navy tout en défendant les eaux britanniques contre les incursions de navires russes. Les frégates et destroyers actuels peinent déjà à remplir ces missions obligatoires — sans même parler de parcourir des centaines ou des milliers de kilomètres pour faire la guerre à un adversaire puissant. Si cette flotte plus grande et plus puissante semble hautement hypothétique, c’est parce qu’elle l’est. Même avec l’augmentation prévue des dépenses et l’urgence d’une Europe plus affirmée alors que les États-Unis se détournent, il reste toujours une chance que le gouvernement de Londres prolonge des décennies d’« aveuglement maritime » qui ont en grande partie gaspillé l’héritage naval britannique.
  14. Encore de nouveaux essais pour l'Oostende
  15. Titus K

    A330 MRTT

    Ah encore lui, fascinant personnage : https://www.polskieradio.pl/395/7784/Artykul/3466949,former-polish-defense-minister probed-for-alleged-diplomatic-treason Former Polish defense minister probed for alleged 'diplomatic treason' La Pologne voudra au moins avoir une base capable d'accueillir les MRTT sur son propre sol non ?
  16. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Pour l'instant c'est encore assez flou en effet ... Les reflexions sont en cours, et ca va évidement dépendre du budget alloué. L'idée est toujours de remplacer a partir de 2032 les 4 Patrouilleurs et les 2 LPD A propos du nombre de bâtiments, le nombre varie encore, à savoir 4 "grands" ou plutôt 6 "petit" bâtiments. On se demande aussi s'il faut absolument que des flat-tops ou non... La décision devrait être prise l'année prochaine. Si la cible de 6 bâtiments est maintenue, le plus petit des enforcer (120m) pourrait être une bonne option. --> https://media.damen.com/image/upload/v1694075766/catalogue/defence-and-security/enforcers/enforcer-12026/product-sheet-lpd-enforcer-12026-13226ed.pdf Parmi les autres solutions peu couteuses il y a aussi le MPSS commandé par le Portugal... et la Marine a clairement indiquait qu'elle préférait un flat-top La version courte (MPSS-7000 / 109m) commandée par le Portugal leur a couté 132 Millions €, mais il n'y a pas de dock ... https://media.damen.com/catalogue/defence-and-security/multi-purpose-support-ships/MPSS/multi-purpose-support-ship-7000/product-sheet-mpss-7000.pdf Il existe une version longue avec dock (MPSS-9000 / 130m) qui doit couter un peu plus de ~150 Millions €https://media.damen.com/image/upload/v1708701923/catalogue/defence-and-security/multi-purpose-support-ships/MPSS/multi-purpose-support-ship-9000/product-sheet-mpss-9000.pdf Si la marine accepte de réduire le format à 4 bâtiments, j'imagine que ce seront des bâtiments de la taille des LPD actuels, à savoir ~175 mètres / 15/20.000 tonnes ... mais cette fois-ci avec flat-top. Ce serait un nouveau design Custom par Damen.
  17. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Bon toutes ces discussions sur les systèmes de manutentions d'hélicoptère a bord des FDI m'ont permis d'apprendre que pour les futures frégates ASWF Belges-Néerlandaises, Damen a choisi Van Halteren. Ils proposent 2 systèmes, à winch ou à rail, je ne sais pas lequel est retenu (j'imagine à rail) : --> https://vanhalteren.com/naval/handling-at-sea/helicopter-transfer-systems --> https://vanhalteren.com/wp-content/uploads/2025/01/Brochure-VHT-Naval-01_2025.pdf A noter que les 4 frégates de défense aériennes utilisent le SAMAHE de Naval Group
  18. Pour remettre une piece dans la machine ... le BRF figure bien parmi les produis Naval Group dans son yearbook
  19. Titus K

    Marine Grecque

    @ARMEN56 J'avais remarqué aussi juste au dessus, du coup c'est bien un rail pour SAMAHE ! Apparement les indiens utilisent le système SAMAHE sur pas mal de leur navires qui embarquent des Seaking https://kaypius.com/2020/02/22/helicopter-traversing-systems-the-last-mile-connectivity-problem/ Or les Seaking sont justement en cours de remplacement par des Seahawk ... j'en déduis que c'est bon pour le couple SAMAHE-Seahawk
  20. Titus K

    Marine Grecque

    Le RAM des FDI HN est mis en œuvre depuis le PCLCMA ou depuis le Central Opérations ?
  21. Titus K

    A330 MRTT

    C'est bien ca, c'était juste une lettre d'intention donc la liste des pays participants a changé. ici les elements de la lettre de 2012 --> https://eda.europa.eu/docs/default-source/eda-factsheets/factsheet-air-to-air-refuelling ici une timeline 2012-2020 --> https://www.nato.int/nato_static_fl2014/assets/pdf/2020/10/pdf/2010-factsheet-mrtt-c1.pdf Je me demande si la Pologne et l'Italie voudront rejoindre la MMF également (s'ils prennent des MRTT) ou s'ils voudront garder leur propre flotte comme l'Espagne et les 2 pays dotés (UK/FR)
  22. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Oui les KSS-III Sub-Coréens par exemple avec missiles balistiques et missiles de croisière --> https://en.wikipedia.org/wiki/KSS-III_submarine 6 VLS dans le batch 1 10 VLS dans le batch 2 Mais en effet le MDCN a un quasi monopole dans les solutions tube launched. Kongsberg va developper un NSM SL mais avec une portée incomparable au MDCN. Je pense que les turcs vont aussi developper quelque chose dans ce domaine.
  23. Audition de l’amiral Nicolas Vaujour, chef d’état-major de la Marine, dans le cadre du cycle "Espaces maritimes et enjeux de défense”. --> https://www.youtube.com/watch?v=AgkNjHKYP6A Audition du vice-amiral Emmanuel Slaars, sous-chef d’état-major en charge des opérations (ALOPS) auprès du chef d’état-major de la Marine, dans le cadre du cycle d'auditions "Espaces maritimes et enjeux de défense". --> https://www.youtube.com/watch?v=8E25az19Zq8
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