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Tout ce qui a été posté par Titus K
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Ces chers disparus .... Des membres manquent à l'appel .... Où êtes-vous ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de Clairon dans Remarques et idées
Moi je suspecte que @Patrick soit partit à Nagpur avec sa pioche et une bétonnière pour rattacher le hangar de Dassault au taxiway de l'aéroport et qu'on avance enfin avec cette histoire de make in india ! Plus sérieusement il a peut-etre perdu ses accès avec le changement d'identifiant ? -
10 k commentaires ... j'vais pas aller voir mais ca doit être quelque chose
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C'est pour 5 ans les 150 millions € "les premieres livraisons annuelles " sont de 18 000 d'entrainement (jusqu'à 30 000 "par la suite") + 8 000 de combat
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Armées et ESA : double coup de boost pour l’avion spatial Vortex de Dassault https://www.challenges.fr/entreprise/aeronautique/vortex-lavion-spatial-de-dassault-va-t-il-decoller-en-2028_606384 Le ministère des Armées et l’Agence spatiale européenne ont signé coup sur coup deux lettres de soutien au projet d’avion spatial Vortex de Dassault, présenté au salon du Bourget. Un prototype pourrait voler dès 2028, avant une entrée en service en 2031, assure le groupe… à condition de trouver les financements. Vortex va-t-il décoller plus vite qu’escompté ? Cinq jours après la présentation de l’avion spatial de Dassault Aviation au salon du Bourget, le ministère des Armées et l’Agence spatiale européenne (ESA) ont donné un coup de boost indéniable au projet, en signant deux lettres de soutien ce vendredi 20 juin, en marge de la visite d’Emmanuel Macron. Côté armées, le document est une « convention de soutien » au développement d’un premier démonstrateur, un engin de 4 m de long et 2,5 m d’envergure que Dassault assure pouvoir faire voler dès 2028, qui permettra de « valider les performances critiques liées à la configuration d’un avion spatial, en particulier la maîtrise du vol hypersonique, les technologies avancées de protection thermique et le contrôle du vol ». L’ESA a quant à elle signé une lettre d’intention pour soutenir le projet, dans le cadre de sa stratégie Explore2040 dédiée à l’exploration spatiale. « Avec Vortex, Dassault contribue à renforcer les capacités européennes et à garantir un accès souverain à l’espace dans un secteur spatial concurrentiel et en forte croissance. Nous sommes impatients de combiner nos expertises et travailler main dans la main pour une Europe spatiale plus forte », estime Josef Aschbacher, directeur général de l’ESA, cité dans un communiqué. Développer Vortex, une urgence pour l’Europe En quoi consiste exactement Vortex ? L’idée est simple : Dassault propose de doter l’Europe d’un avion, ou plutôt d’une navette spatiale, capable d’atteindre l’orbite pour des missions de surveillance spatiale, de transport de fret et d’astronautes, mais aussi d’action dans l’espace. Cette navette, qui rappelle un peu le projet avorté de navette européenne Hermès, serait mise en orbite par une fusée, et retournerait sur Terre en atterrissant comme un avion. L’éventail de missions possibles est large : desserte de stations spatiales, retrait de débris spatiaux, mise en orbite de petits satellites. D’autres missions, non évoquées par Dassault, sont envisageables côté militaire : neutralisation de satellites espions (aveuglement, voire désorbitation), interceptions électromagnétiques, protection des satellites stratégiques… Le développement d’une telle capacité est une urgence, estime Dassault. « On voit bien actuellement que le champ de bataille est en train de se porter dans l’espace », assurait Éric Trappier le 11 juin dans une interview à Challenges. « Certaines puissances pourraient militariser l’espace avec des capacités défensives mais aussi offensives. » Les Etats-Unis disposent déjà d’une navette de ce type, le X-37B de Boeing, qui a mené à bien, depuis 2010, sept missions en orbite, dont la dernière de 14 mois jusqu’en mars 2025, sans qu’on ne sache exactement les tâches effectuées. La Chine s’est aussi invitée au club en 2020, avec un avion spatial expérimental qui a effectué trois missions en orbite, dont la dernière a atterri en septembre 2024. Une navette de 15 tonnes en 2031 Pour développer son appareil made in Europe, Dassault propose une approche progressive. Un premier démonstrateur de 4 m de long et 2,5 m d’envergure, Vortex D, pourrait être lancé dès 2028, en suborbital (vol qui n’atteint pas l’orbite), puis en orbite. Ce prototype, d’un poids d’une tonne environ, pourrait atteindre 120 km d’altitude et la vitesse de 15 000 km/h. Vortex D serait suivi d’un engin plus grand, Vortex S, probablement autour de 5 tonnes et 8 m de long. Une troisième version d’une quinzaine de tonnes et de 12 m de long, Vortex C (pour cargo), serait la première navette vraiment opérationnelle en orbite. Elle pourrait être lancée en 2031. Une éventuelle version habitée, Vortex M, encore plus grosse, pourrait être développée dans la foulée. « Nous y allons par étapes, avec un démonstrateur que nous testerons en suborbital, puis en orbital, puis avec un équipage », expliquait Éric Trappier dans Le Figaro le 16 juin. « Nous aurons besoin d’un petit lanceur très flexible pour le lancer. » Intérêt en France, mais… Ce petit lanceur, qui correspond assez bien au profil du lanceur Maia de MaiaSpace, sera suffisant pour mettre en orbite le premier démonstrateur. Mais pour lancer la version définitive de 15 tonnes, un lanceur lourd, comme Ariane 6, serait nécessaire. Dassault, plus connu pour ses compétences en avions de combat et en jets d’affaires, n’a pourtant rien d’un néophyte du spatial. « Qui contrôle l’espace contrôle ce qu’il y a en dessous », assurait déjà Éric Trappier en 2018. Dassault était pilote du projet de navette européenne Hermès, qui devait embarquer sur Ariane 5 mais a été stoppé en 1992. Le groupe français avait aussi participé au développement du prototype de navette spatiale X-38 de la Nasa, abandonné en 2002 du fait de coupes budgétaires, avant de désigner le démonstrateur européen IXV, lancé en 2015. L’Europe va-t-elle accepter de financer un tel projet ? « Les Américains sont sur ce segment, les Chinois aussi, l’ESA (Agence spatiale européenne) est intéressée », soulignait Éric Trappier le 11 juin. « A la France et l’Europe de dire si elles veulent y être. » Les signatures de l’ESA et du ministère des Armées sont un signal positif, qui montre qu’un tel engin, par essence dual (civil et militaire), figure bien sur la feuille de route de la France et de l’Europe. Mais le plus dur commence maintenant. Au-delà des lettres d’intention, un tel projet va nécessiter des centaines de millions d’euros, voire des milliards, alors même que l’enveloppe financière du ministère des Armées et de l’ESA peine déjà à financer tous les projets actés. Les militaires eux-mêmes ne semblent pas mettre le projet au niveau le plus élevé de leurs priorités. « Un avion spatial ? Oui ça nous intéresse, c’est probablement le futur », assurait le général Philippe Adam, Commandant de l’espace (armée de l’air), interrogé au Bourget par Challenges le 19 juin. « Mais la question est : quel est l’intérêt immédiat ? A court terme, nous n’avons pas forcément besoin d’un design aussi compliqué. Nous avons des priorités plus urgentes. Mais il ne faut pas insulter l’avenir : des études commencent, nous allons y participer. » Vers un programme en coopération ? Le vrai juge de paix sera la capacité de transformer Vortex en un vrai programme de coopération européenne. Pour cela, il devra être soutenu par plusieurs États membres de l’ESA. L’Italie pourrait être intéressée : elle a été en première ligne sur les projets de démonstrateur IXV et du programme de petite navette Space Rider, un engin expérimental de l’ESA, développé par Thales Alenia Space, qui doit voler en 2027. Elle dispose d’un outil industriel de premier plan sur le sujet de l’exploration spatiale, avec l’usine Thales Alenia Space de Turin, qui assemble des éléments de cargos spatiaux (Cygnus) mais aussi de stations spatiales. Les autres grands pays contributeurs de l’ESA (France et Allemagne) n’ont, jusqu’à présent, pas fait preuve d’un enthousiasme similaire sur le sujet. Le nouveau contexte géopolitique peut-il faire bouger les lignes ? La prochaine conférence ministérielle de l’ESA, en novembre à Brême, permettra d’y voir plus clair.
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Le spatial est la jauge des puissances. Pour garantir la place de la France et de l'Europe au sein de celles-ci, nous devons faire plus vite et plus fort, en particulier sur le volet militaire. C'est le cap réaffirmé par le Président de la République au salon du Bourget. Pour soutenir l'innovation de rupture dans le domaine spatial, nous financerons donc à hauteur de 30 millions d'euros le projet d'avion spatial Vortex deDassault_OnAir Un programme ambitieux, développé de façon agile pour qu'un premier démonstrateur puisse être produit en quelques années. Il permettra un accès rapide, manoeuvrant, peu coûteux et réutilisable à l'espace, pour y mener aussi bien des missions civiles que militaires.
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Apparement il y a eu une signature cet après-midi ?
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Soutient de l'export à gros sabots du coté de la présidence ...
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Si je comprends bien, des livraisons annuelles à partir de 2026 de : 18 000 à 30 000 munitions d'entrainement 8 000 à ------ munitions de guerre Pour 5 ans c'est un contrat de 150 M d'€
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Y aurait-il déjà un client pour le MRTT+ ? --> https://www.flightglobal.com/defence/airbus-to-boost-a330-mrtt-tanker-output-as-demand-soars/163449.article Le premier MRTT+ est déjà en production pour une livraison en 2028, mais ils refusent de divulger le client. Ils étudient une augmentation de la cadence de production pour le MRTT+ (4-5/an pour le MRTT standard) car la demande est très élevée. La flotte MFF de l'OTAN va s'agrandir et d'autres clients vont aussi augmenter leur flotte de ravitailleurs.
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Je pense que le l'Oostende est a Concarneau pour des réparations du coup ...
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Bon par curiosité je suis passé voir 15 minutes sur un forum Suédois quelles étaient les reaction aux rumeurs de FDI ... et agréable surprise la reception est excellente. Evidement sont évoqués l'integration de radars suédois, du canon 57mm Bofors, de la Torpille TP47 et du missile anti-navire suédois. Ils se posent aussi des questions sur l'integration du CAMM (commandé pour les visby) dans les cellules Sylver ... un classique Sinon un info que j'ai glané au passage : Dans une interview accordée à Dagens Industri (malheureusement derrière un paywall), à l’occasion de l’annonce par la France de son intention d’acheter le GlobalEye de SAAB, le Ministre de la Défense confirme également que l’Aster 30 est l’option principale comme missile sol-air de moyenne portée pour le Luleå.
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Au delà des développements du T-REX (pour atteindre 9 tonnes de poussée, via modif de 6 modules sur 21 de l'actuel M88), SAFRAN développe une famille de moteurs en s'appuyant sur des modules existants pour les drones de combat (1,5, 3 et 5 tonnes de poussée pour M15, M30 et M50) M15 --> 1,5 tonnes M30 --> 3 tonnes M50 --> 5 tonnes
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https://x.com/ForcesOperation/status/1935694159563894865 "Si vous signez aujourd'hui vous serez livrés en 2028", assure EUROSAM Environ 36 mois pour livrer une section SAMP/T NG complète, un délai qui devient incompressible au vu de la complexité du système
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Oui c'est sur, mais Dassault ne le cache pas, ils devront passer par des partenariats, et donc convaincre : Dassault souhaite aller vite, « de manière incrémentale », par étapes. L’enjeu technologique est « l’intégration de l’avion », le cœur du métier de Dassault, qui possède les compétences nécessaires « en aérodynamique, commandes de vol, guidage et dialogue homme-machine », assure Eric Trappier. « Les briques sont là, il n’y a pas de trous technologiques béants, pas de gap technologique », ajoute-t-on chez l’avionneur. Dassault avait déjà été impliqué dans le projet abandonné de navette spatiale européenne Hermes (1985-1993), puis dans le programme européen IXV (Intermediate eXperimental Vehicle) en 2015, ainsi que précédemment dans le programme de la Nasa X-38. Une mission s’effectuerait ainsi : Vortex décolle grâce à une fusée au sommet de laquelle il est placé. L’appareil nécessite donc « un petit lanceur très flexible ». Dassault n’entend pas développer un tel système et mise sur la coopération.
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La France pourrait aussi aider à promouvoir le GlobalEye dans son énorme portefeuille de clients du Rafale ... peut-être le globalEye "FR", sans ITAR et avec liaisons de données F4/F5 etc Avec deja les EAU et la France comme client du Rafale et du GlobalEye, l'indonésie ou l'Inde pourraient vouloir rejoindre ce "club" ... ou la Grèce qui opère deja des anciens Erieye.
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Dassault était sous-traitant/partenaire de Thales Alexia Space sur IXV ... en charge de l’expérimentation en vol et des bases de données aéro/aérothermodynamique.
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Spatial militaire France et Europe (actualités)
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Militarisation de l'espace
Par curiosité, à part Vmax, c’est quoi le marché pour une fusée sonde française ? -
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Retour d’ascenseur Edit : oups grillé La FDI officiellement candidate au programme des futures frégates suédoises https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-fdi-officiellement-candidate-au-programme-des-futures-fregates-suedoises Dans le cadre d’un large accord visant à renforcer la coopération entre Paris et Stockholm en matière d’armement, la candidature de la nouvelle frégate de défense et d’intervention (FDI) de Naval Group pour le programme des bâtiments de combat suédois de nouvelle génération a été officialisée. … Et justement, cette commande à venir de GlobalEye de Saab est en train d’ouvrir la porte à d’autres opportunités pour les entreprises françaises. La feuille de route signée par Sébastien Lecornu et Pål Jonson évoque en effet une large évantail de sujets : « Cette coopération concerne la surveillance aérienne, la trame missile anti-char, le missile Meteor, la défense aérienne moyenne (missile Aster) et courte portée, la frégate de défense et d'intervention en tant que système candidat du programme suédois de nouvelle génération de bâtiment de surface, l’innovation ainsi que la sécurité des approvisionnements en munitions et explosifs », détaille le ministère français des Armées, qui estime que « cette feuille de route représente un signal fort en faveur de la construction de l’Europe de défense ». ... Dans le domaine des bâtiments de surface, un nouveau programme de corvettes devait être lancé à la fin des années 2010, mais il a été repoussé, seul un contrat d’étude étant notifié à Saab en 2021. L’objectif était alors de remplacer les cinq corvettes furtives de la classe Visby (73 mètres), construites de 1996 à 2006, par une version améliorée. Cette approche a cependant été abandonnée suite à la guerre en Ukraine et la hausse sensible du niveau de menace en mer Baltique. Le projet a été complètement remis à plat et la marine suédoise souhaite désormais des plateformes plus grandes (autour de 120 mètres) et armées, en particulier en matière de défense aérienne. Quatre bâtiments, formant la classe Luleå, sont souhaités. N’y arrivant pas seul, Saab avait annoncé en 2023 une alliance avec le groupe britannique Babcock en vue d’étudier conjointement le développement d’une nouvelle corvette d’environ 100 mètres. Mais ce partenariat, relancé en 2024, n’a encore rien donné et il semble désormais que le gouvernement suédois souhaite ouvrir la compétition, en particulier vers des designs existants et donc des solutions moins risquées. D’où la candidature de la FDI française, bâtiment compact de 122 mètres et 4500 tonnes qui répondrait parfaitement aux besoins suédois en matière notamment de lutte antiaérienne et anti-sous-marine. Pour aller vite, Stockholm a ouvert la voie à une production des coques à l’étranger et leur armement final à Karlskrona, à l’image de ce qui a été fait avec le bâtiment collecteur de renseignements Artemis. La marine suédoise veut en tous cas aller vite, puisqu’elle souhaite recevoir deux premières unités autour de 2030 et les eux autres avant 2035. … En tenant compte du carnet de commandes et du planning industriel actuel (5 FDI pour la France livrables en 2025, 2027, 2028, 2031 et 2032, ainsi que 3 à 4 pour la Grèce livrables en 2025, 2026 (x2) et 2028, même si la Norvège choisit la frégate française (pour une première livraison en 2029), Naval Group sera en mesure au plus tard de livrer des coques en 2029 et 2030, puis en 2033 et 2034.
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C’est un avion, qui pourra faire des mission entre 20 et 100km dans la THA, donc pas dans l’espace … et c’est l’armée de l’air et de l’espace de toute façon !!!! En effet, de toute façon il faudra bien trouver des financements hors LPM je pense… donc pourquoi pas voir chez les voisins. Et Dassault ferait aussi probablement aussi l’assemblage final (j’imagine ?)
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[SpaceX] Programme Starship et autres innovations
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Engins spatiaux, Espace...
Magnifique explosion- 4 154 réponses